Une année 2020 réussie pour iWay - une croissance supplémentaire est prévue

Pour le fournisseur d'accès Internet (FAI) suisse iWay, l'année 2020 a été fructueuse : l'entreprise a de nouveau gagné des parts de marché et augmenté son chiffre d'affaires d'un pourcentage à deux chiffres. Selon le directeur Markus Vetterli, l'entreprise souhaite élargir son offre afin d'être une "bonne alternative aux grands".

Le directeur d'iWay, Markus Vetterli, a pu annoncer une croissance réjouissante pour l'année 2020. (Image : zVg)

Au cours de l'exercice 2020, les recettes du fournisseur d'accès Internet iWay sont passées de 30,5 millions de francs l'année précédente à 34,5 millions de francs. La croissance du chiffre d'affaires est ainsi passée de 12% en 2019 à 13% en 2020. Les taux de croissance les plus importants ont été enregistrés dans les principaux secteurs d'activité de l'entreprise : le domaine de l'accès Internet a augmenté de 18,5% pour atteindre 19,8 millions de francs, ce qui correspond à une part de 59% du chiffre d'affaires total. Avec la téléphonie par Internet (Voice over IP) et les services TV, iWay a réalisé 8,3 millions de francs (plus 16,1 pour cent) ou 25 pour cent du chiffre d'affaires au cours du dernier exercice. L'effectif est passé de 48 à 50 collaborateurs. Cette croissance relativement modérée reflète les efforts continus de numérisation et d'automatisation des processus commerciaux. "Avec 13 pour cent contre 10 pour cent, nous avons pu dépasser nettement la croissance prévue au budget l'année dernière. L'augmentation du nombre de connexions Internet, tant pour la fibre que pour les lignes xDSL, est particulièrement réjouissante compte tenu de la forte concurrence sur le marché", déclare Markus Vetterli, directeur d'iWay. La pandémie de Covid 19 a également contribué dans une certaine mesure à la croissance : "Nous avons pu constater qu'en tant que fournisseur d'accès à Internet, nous sommes d'importance systémique. En effet, le besoin de plus grandes largeurs de bande a de nouveau augmenté en raison du transfert accru vers le bureau à domicile, de la scolarisation à domicile et de l'augmentation de la consommation de télévision et de streaming chez les clients privés", explique Vetterli.

Plus de prestations pour le même prix

iWay répond maintenant à cette fidélité de la clientèle en adaptant les vitesses et les prix dans toute la Suisse : "Nous augmentons dès maintenant les largeurs de bande pour les produits et baissons les prix des abonnements. Nos clients obtiennent donc plus de prestations au même prix ou à un prix inférieur", explique Vetterli. Ainsi, un abonnement avec une vitesse ascendante et descendante de 1000/1000 Mbit/s coûte désormais 59 francs par mois. Pour l'abonnement à 10 Gbits/s, iWay baisse même le prix de 99 à 69 francs. Les prix sont valables aussi bien pour les nouveaux clients que pour les clients existants. Il est important de noter que ces prix ne sont pas limités dans le temps. "Nous harmonisons notre portefeuille dans les villes dotées de réseaux de fibre optique, mais aussi dans toute la Suisse pour les connexions Fiber et XGS-PON", explique Vetterli. Les clients existants et les nouveaux clients bénéficient donc de ces adaptations de prestations et de prix. En outre, les produits peuvent être testés gratuitement pendant un mois chez iWay. En effet, comme l'a expliqué Vetterli lors d'une conférence de presse, c'est justement dans le domaine B2C que l'on constate une forte propension des clients à changer de fournisseur, en particulier pour la télévision.

Virtual-ISP modèle de distribution convoité dans le lockdown

Conformément aux attentes, les affaires avec les partenaires se sont révélées importantes pour le succès d'iWay au cours de l'exercice écoulé. Ainsi, le chiffre d'affaires réalisé par le biais de la distribution indirecte est passé de 16,9 à 17,6 millions de francs en 2020 (plus 4 pour cent). Le processus de commande automatisé pour les revendeurs s'est avéré être un modèle commercial très demandé pendant la pandémie. Alors que les purs partenaires de vente génèrent des chiffres d'affaires supplémentaires pour leur entreprise grâce à des commissions d'intermédiaire, les partenaires de gros peuvent se présenter à leurs clients en tant que fournisseurs (Virtual ISP). "La possibilité pour les entreprises informatiques de vendre des services Internet et TV à leurs clients en leur nom propre et de pouvoir les commander confortablement depuis leur bureau à domicile sur notre portail partenaire a facilité le travail de nombreux partenaires pendant le lockdown", explique Vetterli. Les Virtual ISP n'ont pas besoin de conclure leurs propres contrats avec Swisscom ou les réseaux urbains. iWay se charge également pour eux de la gestion en arrière-plan, comme l'envoi de routeurs préconfigurés, la facturation ainsi que les services d'assistance au nom des partenaires. Grâce à cette optimisation des processus, qui a déjà fait ses preuves depuis plus de trois ans, l'entreprise a non seulement pu augmenter son chiffre d'affaires via ses partenaires, mais aussi continuer à développer son réseau de partenaires wholesale, qui passera de 171 entreprises en 2019 à 214.

iWay lance de nouveaux produits

Pour les clients d'entreprise, iWay a dès à présent la possibilité d'établir une connexion téléphonique avec la solution de communication Microsoft Teams. De nombreuses entreprises se sont rendu compte à quel point les fonctionnalités de ces solutions de vidéoconférence peuvent également être utilisées pour la téléphonie, à condition d'investir dans le Voice Add-On de Microsoft nécessaire à cet effet, explique Dejan Crvenkovic, responsable de la clientèle entreprises chez iWay. Pour les petites entreprises aux exigences plutôt simples, la connexion se fait via un Session Border Controller hébergé par iWay. Chaque utilisateur de Teams reçoit un numéro de téléphone et peut ainsi téléphoner en entrée et en sortie. En outre, Teams offre de manière standard une petite fonctionnalité PBX. Pour les entreprises ayant des besoins plus complexes en matière de solution de téléphonie, VPBX offre, outre la connexion à Microsoft Teams, un vaste choix de fonctionnalités PBX et une flexibilité maximale - même en cas d'exploitation mixte de téléphones de bureau, de clients mobiles et d'utilisateurs Microsoft Teams. D'autres nouveaux produits pour les clients professionnels concernent des offres pour la détection en quelques secondes des interruptions des connexions fibre ou DSL et la reprise automatique de l'itinéraire par une ligne secondaire via 4G/LTE.

Perspectives pour 2021 : iWay s'attend à une poursuite de la croissance

Pour l'exercice en cours, Vetterli s'attend à une croissance à un chiffre élevé. En effet, la pression croissante sur les prix et un certain effet négatif après la pandémie devraient rendre moins probable une croissance aussi forte que les années précédentes dans le domaine de l'accès. En revanche, Vetterli s'attend à une croissance nettement à deux chiffres pour la Voix sur IP dans l'environnement de la clientèle commerciale et pour les offres TV. Une importance toujours plus grande est également accordée à la cybersécurité. iWay confirme également une augmentation des attaques DDOS depuis le début de la pandémie Corona, mais se considère bien équipé à cet égard. Les adresses IP des clients iWay sont notamment surveillées en permanence par des prestataires de services de cybersécurité externes, ce qui permet de détecter rapidement les ports ouverts ou les serveurs mal sécurisés et d'informer les clients en conséquence.

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Publicité pour les PME : nouvelle solution de publicité numérique pour les petites entreprises

Que ce soit sur Google, les médias sociaux ou les principaux portails d'information de Suisse : pour la première fois, le monde illimité de la publicité professionnelle multicanal s'ouvre aux petites entreprises avec MyCAMPAIGNS de localsearch (Swisscom Directories SA). Faire de la publicité pour les PME devient ainsi encore plus simple.

La publicité numérique pour les PME doit devenir encore plus simple grâce à MyCAMPAIGNS de localsearch. (Image : Capture d'écran localsearch.ch)

localsearch (Swisscom Directories SA), l'agence numérique leader pour les PME suisses, révolutionne la publicité pour les PME et lance avec MyCAMPAIGNS une première suisse pour le petit commerce. Grâce à cette offre d'un nouveau genre, les petites entreprises peuvent pour la première fois faire jeu égal avec les grands annonceurs et réaliser des campagnes publicitaires professionnelles largement diffusées sans connaissances préalables, selon l'entreprise. Les PME font ainsi de la publicité là où se trouvent aujourd'hui les clients potentiels.

Faire de la publicité pour les PME devient encore plus facile

La nouvelle solution combine les technologies marketing les plus modernes, comme le reciblage cross-canal, l'optimisation du budget et le rapport détaillé des campagnes, avec un service d'agence personnalisé. Une combinaison de savoir-faire d'experts et d'intelligence artificielle doit garantir des campagnes parfaitement adaptées sur tous les canaux médiatiques, fait savoir le fournisseur. Grâce à MyCAMPAIGNS, il n'a jamais été aussi facile pour les professionnels d'acquérir des clients en ligne, promet-il.

Disponible en trois niveaux

"Avec MyCAMPAIGNS, nous avons développé un produit publicitaire qui permet pour la première fois aux petites entreprises suisses de bénéficier de la puissance illimitée des campagnes de marketing numérique multicanales. Qu'il s'agisse de Google Ads, de publicité sur Facebook ou de bannières publicitaires sur les principaux portails d'information de Suisse comme 20 Minuten, Blick ou Tagesanzeiger, MyCAMPAIGNS révolutionne la manière dont les PME font de la publicité numérique", explique Stefano Santinelli, CEO de localsearch. Le nouveau produit est disponible en trois niveaux : "Search" (Google Ads), "Visual" (publicité sur les médias sociaux et bannières publicitaires sur les portails d'information) et "Search Plus" (Google Ads, publicité sur les médias sociaux et bannières publicitaires sur les portails d'information).

Source et informations complémentaires : localsearch.ch

Infoniqa acquiert Sage Suisse SA

L'éditeur de logiciels Infoniqa, basé à Wels en Autriche, annonce l'acquisition des activités suisses du groupe Sage. Infoniqa fait partie depuis des années des entreprises de logiciels RH à la croissance la plus rapide dans la région DACH et renforce sa présence en Suisse avec l'acquisition de Sage Suisse SA, spécialisée dans les logiciels RH et ERP.

Sage Suisse SA, sous la direction de Thomas Hersche, a un nouveau propriétaire avec Infoniqa. (Image : PD / Sage Suisse SA)

La maison mère britannique Sage a fait savoir le 20 novembre 2020 qu'elle avait l'intention de vendre Sage Suisse SA. L'acheteur a désormais été trouvé : La société Infoniqa GmbH, basée à Wels en Autriche, va reprendre l'entreprise.

Infoniqa voit des "potentiels de synergie intéressants".

Grâce à l'acquisition de Sage Schweiz AG, le chiffre d'affaires du groupe Infoniqa va presque doubler pour atteindre un total de 60 millions d'euros par an et le nombre d'employés va passer à 410 au total. L'acquisition renforce notamment le positionnement dans le segment stratégiquement important des petites et moyennes entreprises. Le portefeuille de produits sera complété par des solutions ERP, des logiciels de gestion financière ainsi que des solutions Payroll et HCM spécialisées dans les exigences suisses. En raison de la grande compatibilité des produits, il en résulte des potentiels de synergie intéressants.

"Nous sommes très heureux d'annoncer notre prochaine acquisition avec le soutien de nos propriétaires Warburg Pincus Global Growth et Elvaston Capital. Avec l'acquisition de Sage Suisse SA, nous poursuivons résolument notre stratégie de croissance et continuons à faire avancer l'expansion internationale du groupe Infoniqa. Ensemble avec Sage Suisse SA, leader et ayant fait ses preuves, nous pourrons investir de manière encore plus conséquente dans le développement des produits ainsi que dans un excellent service client pour tous les clients et partenaires suisses", résume Léon Vergnes, directeur général d'Infoniqa.

Développement des produits existants assuré

L'achat comprend les produits Sage Start, Sage 50 Extra et Sage 200 Extra, qui continueront à être développés en continu et gérés localement par des collaborateurs expérimentés, selon le communiqué. "L'acquisition de Sage Suisse SA par Infoniqa est une grande opportunité pour nos collaborateurs, nos clients et nos partenaires. En tant que partie du groupe Infoniqa avec un investisseur fort en arrière-plan, cette étape nous offre de fortes perspectives d'avenir et la possibilité de continuer à offrir la meilleure qualité de logiciel et une satisfaction maximale des clients en tant que partie d'un fournisseur de solutions fortement orienté vers la croissance dans la région DACH. Au cours des 30 dernières années, Infoniqa a démontré que son excellent service et sa forte orientation client enthousiasmaient à la fois ses clients et ses partenaires", ajoute Thomas Hersche, directeur général de Sage Schweiz AG.

Après l'achat de Haveldata GmbH fin 2019 et de StoneData GmbH début 2020, l'acquisition de Sage Schweiz AG représente une nouvelle étape dans la stratégie de croissance d'Infoniqa.

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Rudolf P. Winzenried renforce l'équipe de Continuum AG

Rudolf P. Winzenried complète en tant que conseiller la société Continuum AG sur le Plateau suisse. L'entreprise, dont le siège est à Saint-Gall, est spécialisée dans les processus de succession et le développement, notamment des entreprises familiales et des familles d'entrepreneurs.

Rudolf P. Winzenried renforce Continuum AG dans la région du Mittelland (photo pd).

Depuis plus de 18 ans, Continuum AG conseille et soutient les moyennes et grandes entreprises dans leur développement à long terme et aide les familles à résoudre leurs défis dans le processus de succession. Outre Zurich et Staufen b. Lenzburg, l'entreprise existe depuis 2003 à Saint-Gall avec le partenaire Rolf Brunner, le Senior Manager Dr. Stefan Schneider et le partenaire associé Matt Moser.

Renforcement de Continuum AG dans le Mittelland

À partir d'avril 2021, Rudolf P. Winzenried rejoindra l'équipe en tant que partenaire associé supplémentaire et étendra le réseau dans la région du Mittelland. Rudolf P. Winzenried possède une vaste expérience dans le domaine de la gouvernance d'entreprise, du développement stratégique et de la structuration d'entreprises familiales.

Rolf Brunner, qui, en tant qu'associé, accompagne depuis huit ans les entreprises dans leurs processus de développement et de succession, se réjouit de ce renfort : "Le large champ de compétences dont dispose déjà Continuum AG est complété de manière tout à fait idéale par l'arrivée de Rudolf P. Winzenried".

Rudolf P. Winzenried : Une grande expérience de l'entrepreneuriat familial

En tant qu'avocat, titulaire d'un Bachelor of Business Administration, d'un Advanced Management Programme SKU et d'un Certified Board Member, Rudolf P. Winzenried dispose de 30 ans d'expérience au niveau du conseil d'administration et de la direction dans des entreprises familiales suisses actives au niveau international dans les domaines de l'industrie, des biens de consommation, du commerce, de l'immobilier et de la gastronomie. Ses domaines de prédilection sont le développement stratégique, la structuration d'entreprises et de transactions, la modération et la recherche de solutions dans des situations d'intérêts complexes et leur organisation juridique ainsi que la gouvernance d'entreprise. Il exerce des mandats de président ou de membre de conseils d'administration et de fondations.

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Monde du travail post-Corona : les espaces de coworking suisses sont prêts

Outre l'interdiction des manifestations, l'obligation de travailler à domicile a eu un impact particulièrement fort sur la fréquentation des espaces de coworking. Pour le monde du travail post-Corona, l'association Coworking Switzerland est positive : après la pandémie, de nombreux employés ne veulent pas simplement retourner au bureau "normal", mais passer au moins une partie de leur temps de travail de manière plus flexible dans un autre lieu.

Des postes de travail vides à cause de la pandémie... Mais pour le monde du travail post-Corona, les espaces de coworking suisses se sentent armés. (Image : Pixabay.com)

Le 11 mars, l'assemblée générale de l'association Coworking Switzerland a eu lieu - pour la première fois de manière virtuelle. L'état actuel du coworking en Suisse et les effets de la pandémie ont également été discutés lors de cette assemblée.

La pandémie touchera aussi les espaces de coworking en 2020

Au début de l'année 2020, les gros titres indiquaient encore que le coworking était passé d'un phénomène marginal à un marché en pleine croissance. Cette évolution a toutefois été largement freinée par la pandémie, bien que les différentes mesures prises pour lutter contre la pandémie n'aient jamais conduit à la fermeture forcée d'espaces de coworking. Au printemps 2020, la plupart des espaces de coworking étaient néanmoins contraints à l'inactivité, tant en ce qui concerne la location des postes de travail que des salles de conférence et de réunion. Après la levée des restrictions durant l'été, une reprise a été observée. De nouveaux clients sont arrivés, intéressés par des postes de travail individuels dans l'open space ou même par des bureaux privés.

Évolution des espaces de coworking suisses à l'été 2020

Cette reprise a toutefois été interrompue en octobre 2020 et, compte tenu des restrictions et de l'obligation de travailler à domicile, la situation ne s'est pas vraiment améliorée depuis. 2020 a donc été une année difficile, comme pour de nombreux autres secteurs. Dans une enquête, 56% des membres de l'association ont signalé une perte de revenus. Les espaces qui dépendent de la location de salles de réunion et de conférence ont été plus durement touchés que les autres. Ces pertes de revenus ont été partiellement compensées dans plus de 40% des cas par le chômage partiel, les aides Covid-19 et les réductions de loyer de la part des propriétaires.

En 2020, un autre défi pour les espaces de coworking a été de maintenir en vie une communauté existante - l'idée même du coworking - malgré les restrictions de contact. L'ingéniosité était de mise et diverses actions ont été proposées aux membres de la communauté concernée. Ces actions, au cours desquelles les contacts sociaux, si importants pour l'être humain, étaient encore présents, ont contribué à la bonne santé psychique des coworkers.

Le changement durable du monde du travail va renforcer le coworking

La pandémie Covid19 a bouleversé les habitudes de travail dans notre pays et un nombre croissant de travailleurs ont découvert, avec plus ou moins de plaisir, le travail à domicile. Le gain de temps sur les trajets domicile-travail grâce au home office permet d'améliorer la qualité de vie. Il reste néanmoins difficile de séparer vie privée et vie professionnelle, surtout lorsque les conditions de travail à la maison ne sont pas idéales. Cette expérience marquera le monde du travail pour l'avenir : Selon d'une étude publiée la semaine dernière de Deloitte, seuls 12% des salariés souhaitent retourner à temps plein au bureau "normal" une fois la pandémie terminée. 62% souhaitent plus de flexibilité et veulent répartir leur temps de travail entre le bureau et le home office. Toutefois, le terme de bureau à domicile est trop réducteur : près de la moitié (46%) des personnes interrogées n'utilisent pas seulement leur propre domicile comme bureau à domicile, mais travaillent aussi par exemple dans des appartements de vacances, chez des amis, dans la famille ou dans un espace de coworking. Pour 44% des personnes interrogées, le manque d'échanges personnels au travail est l'un des plus grands défis du home office. C'est précisément sur cet aspect que les espaces de coworking marquent des points en tant qu'alternative au bureau à domicile. La proximité du lieu de résidence est également un argument important : avec plus de 150 espaces de coworking dans toute la Suisse, l'association Coworking Switzerland constitue une offre couvrant l'ensemble du territoire.

Les espaces de coworking veulent profiter de l'élan pour le monde du travail post-Corona

La majorité des acteurs suisses du coworking sont convaincus que la situation qu'ils viennent de vivre a accéléré le changement de paradigme au niveau professionnel et que les espaces de coworking en profiteront à moyen terme. L'association Coworking Switzerland réagit elle aussi à la chance qui s'offre désormais d'ancrer plus largement le coworking. Elle a produit un clip compact qui montre les avantages du coworking comme alternative au travail à domicile : La proximité du domicile, la séparation de la vie privée et de la vie professionnelle, des bureaux ergonomiques, des contacts sociaux. La campagne avec la vidéo disponible en cinq langues débutera dans les prochains jours.

L'année dernière a changé la façon de travailler de la plupart des employés de bureau. Les espaces de coworking, présents dans tout le pays - et de plus en plus dans les régions rurales - vont jouer un rôle dans le monde du travail post-Corona. Ils permettent à chacun de travailler près de chez soi, dans un environnement professionnel, tout en conservant les contacts sociaux si importants pour notre santé mentale.

Source : www.coworking.ch

Jouer un rôle au lieu de développer son potentiel

Les travailleurs suisses ont souvent le sentiment de devoir jouer un rôle au travail. Dans les grandes entreprises en particulier, il est difficile pour les professionnels d'être eux-mêmes au travail. Ce serait pourtant une condition importante pour le développement du potentiel personnel.

Le vrai potentiel se cache derrière les masques : dans les grandes entreprises en particulier, de nombreux collaborateurs doivent jouer un rôle et ne peuvent pas être suffisamment eux-mêmes. (Image : Pixabay.com)

Dans le cadre d'une enquête en ligne sur le thème "Développement du potentiel dans le monde du travail", l'institut d'études de marché Marketagent a interrogé en février 2021, pour le compte de XING, 500 personnes actives âgées de 18 à 65 ans en Suisse alémanique. L'échantillon aléatoire est représentatif de la population active en Suisse alémanique. Le résultat le plus important : une personne sur trois (32 pour cent) doit jouer un rôle au travail. Seule une personne sur quatre (26 pour cent) peut être totalement elle-même au travail. 34 pour cent ont en outre l'impression d'être perçus par l'employeur non pas comme un individu, mais comme une simple force de travail. L'exigence serait différente : 92 pour cent des hommes et 96 pour cent des femmes estiment qu'il est important de pouvoir être soi-même au travail.

ont un rôle à jouer : Surtout dans les grandes entreprises

Vivre sa propre individualité a tendance à mieux fonctionner dans les petites entreprises. Dans les entreprises comptant jusqu'à 10 collaborateurs, près de 40 % indiquent pouvoir être complètement eux-mêmes au travail. A l'autre bout de l'échelle, dans les grandes entreprises de plus de 10 000 collaborateurs, ils ne sont plus que 21 %.

Les conditions cadres pour le développement du potentiel individuel font souvent défaut

73 % des personnes interrogées affirment qu'elles ne peuvent développer pleinement leur potentiel que si elles peuvent être elles-mêmes au travail. Or, les conditions nécessaires à cela ne sont souvent pas réunies : Plus d'une personne sur quatre (28 pour cent) indique que la culture d'entreprise ou l'environnement de travail actuel ne permet pas de développer son potentiel individuel et un autre quart (23 pour cent) estime que son propre employeur se concentre uniquement sur les points faibles au lieu des points forts de ses collaborateurs.

Souhait de plus de dialogue avec les supérieurs sur le développement de son propre potentiel

Environ une personne sur deux (52%) parle régulièrement avec son manager de la promotion de ses propres talents et potentiels. 37 % des personnes interrogées souhaiteraient que ces entretiens soient plus nombreux. Alors que 35 pour cent indiquent que leurs potentiels et talents sont encouragés par leur employeur par le biais de formations et de formations continues, une personne sur quatre (24 pour cent) pense que l'épanouissement du potentiel personnel n'est pas du tout souhaité par son propre manager. Le directeur de XING Suisse, Robert Bertschinger, déclare à ce sujet : "Les collaborateurs qui peuvent être eux-mêmes au travail et développer leur potentiel sont plus motivés, plus satisfaits et contribuent en fin de compte davantage au succès d'une entreprise. Les entreprises qui n'ont pas mis en place les conditions nécessaires à cet effet conduisent avec le frein à main serré. Tant du point de vue de l'employeur que de celui des collaborateurs, il vaut la peine d'établir une culture dans laquelle les capacités personnelles peuvent être mises à contribution et où personne ne doit jouer un rôle".

Une personne sur trois doit se retenir d'exprimer ses opinions au travail

Près d'un tiers des personnes interrogées (32 pour cent) indiquent qu'elles ne peuvent pas toujours exprimer leur propre opinion dans leur travail actuel. Et 28 pour cent des employés ne peuvent pas toujours gérer ouvertement leur orientation sexuelle au travail. Seule la moitié des personnes interrogées (54 pour cent) affirme pouvoir s'habiller et se coiffer comme elles le souhaitent au travail.

Toujours est-il que dans la plupart des cas, il y a de la place pour les émotions positives. 85 % indiquent pouvoir montrer ouvertement leur joie et leur plaisir au travail. Les émotions négatives sont plus délicates : Seulement un peu plus de la moitié (54 pour cent) a le sentiment de pouvoir exprimer des sentiments comme la tristesse ou la colère au travail. Et une personne sur trois (33 pour cent) indique qu'elle ne doit pas laisser paraître qu'elle est stressée.

Source : XING et New Work SE

Daniel Junker devient le nouveau CEO de Medgate Suisse

Au cours des dernières années, Medgate est passée d'une entreprise purement suisse à une entreprise internationale avec des succursales dans le monde entier. Avec Daniel Junker, c'est une personnalité dirigeante expérimentée dans le domaine de la santé qui prend désormais en charge le destin de Medgate en Suisse.

Daniel Junker sera le nouveau CEO de Medgate à partir du 1er août 2021. (Image : Friedel Ammann - Bâle)

L'entreprise de santé Medgate a été fondée en 1999 et emploie aujourd'hui plus de 300 collaborateurs en Suisse, dont 110 médecins, et plus de 500 collaborateurs dans le monde. Depuis l'an 2000, Medgate exploite le plus grand centre médical de télémédecine d'Europe et dispose ainsi d'une expérience et d'un savoir exceptionnels dans le domaine de la télémédecine. Pour les consultations sur place, les patients ont à leur disposition les Medgate Mini Clinics ainsi que les médecins et cliniques du Medgate Partner Network.

Jusqu'à présent, le Dr Andy Fischer a dirigé, en tant que cofondateur et Managing Partner de Medgate, aussi bien les activités suisses qu'internationales. Il transmet maintenant la direction de Medgate Suisse à Daniel Junker à partir du 1er août.

Daniel Junker : une grande expérience dans le secteur de la santé

Daniel Junker dispose de 18 ans d'expérience dans la gestion et le développement d'entreprises dans le secteur de la santé. En tant que Chief Operation Officer de Pallas-Kliniken AG et directeur général de Meconex AG et des centres de santé santémed, il a contribué de manière déterminante au succès de plusieurs acteurs importants du secteur de la santé. Outre ses activités auprès des différents fournisseurs de prestations, il peut également se prévaloir d'une expérience du côté des assureurs grâce à son engagement antérieur auprès de la Swica. Le conseil d'administration de Medgate SA se réjouit d'avoir trouvé Daniel Junker pour le poste de CEO et de lui confier la direction de Medgate en Suisse.

Poursuite de la croissance internationale

Le Dr Andy Fischer, qui a dirigé les activités suisses de Medgate depuis sa création en 1999, se concentrera à partir du 1er août sur la direction du groupe international Medgate en tant que Group CEO. Outre la Suisse, Medgate dispose de succursales en Allemagne, aux Philippines, aux Émirats arabes unis et en Inde. Medgate vise une croissance continue sur les marchés européen et asiatique et poursuit l'objectif d'être un leader mondial de la santé numérique en offrant à tous les individus un accès simple et rapide à des soins médicaux rentables et de première qualité.

De par son rôle de CEO du groupe Medgate, Andy Fischer sera également en contact étroit avec le nouveau CEO des activités suisses. En outre, il reste membre du conseil d'administration de Medgate Suisse.

Source : Medgate

Impulsion du succès : votre nettoyage de printemps en matière de leadership

Qu'est-ce qui est important et qu'est-ce qui ne l'est pas pour obtenir des résultats exceptionnels ? Un nettoyage mental de printemps permet de répondre à cette question. Notre auteur donne des conseils à ce sujet.

Nettoyage de printemps pour votre leadership : qu'est-ce qui peut être supprimé de tout ce qui fait obstacle à vos excellents résultats plutôt que de leur être utile ? (Image : Unsplash.com)

"La perfection ne vient pas du fait que l'on ne peut plus rien ajouter, mais du fait que l'on ne peut plus rien omettre" est un dicton bien connu. Si, dans ce cas, nous traduisons "perfection" par résultats exceptionnels, il en résulte une question forte pour votre leadership : "Qu'est-ce que vous pouvez et devriez laisser de côté qui entrave vos résultats exceptionnels plutôt que de les aider ?"

Qu'est-ce qui fait obstacle à la perfection ?

Le principe sous-jacent est que vous ne pouvez utiliser chaque minute de votre vie qu'une seule fois. Vous pouvez utiliser cette minute pour quelque chose d'utile ou la gaspiller. C'est en soi très simple à comprendre, et pourtant, rares sont ceux qui parviennent à utiliser leur temps à plus de 50 % de manière productive.

C'est pourquoi la simple question que vous devriez vous poser régulièrement au cours de la journée vous aidera : "Cette minute contribue-t-elle à l'obtention de mes meilleurs résultats ou à autre chose ?" Important : les meilleurs résultats comprennent également des sujets privés, tels que l'augmentation de la proximité avec les enfants, l'amélioration du sommeil ou l'augmentation de la forme physique.

Trois conseils pour le nettoyage de printemps du leadership

Parce que les choses qui ne sont pas si importantes en comparaison poussent automatiquement comme les mauvaises herbes ou les trucs dans votre débarras ou sur votre bureau, je vous propose de faire régulièrement un "nettoyage de printemps" dans votre travail quotidien. Voici trois étapes que je vous recommande pour un "désencombrement" efficace :

  1. Faites le point sur vos objectifs les plus importants. Que voulez-vous vraiment atteindre cette année et les années suivantes ? Quels en sont les résultats pour vos objectifs mensuels et hebdomadaires ? Attention : n'ayez jamais plus de trois objectifs principaux ! Jetez le reste ou gardez-le pour plus tard.
  2. Faites une liste de toutes les responsabilités et activités dont vous avez vraiment besoin pour atteindre vos objectifs. Et inversement : qu'est-ce que vous faites aujourd'hui à longueur de journée que vous pouvez laisser de côté ? Sinon, nous risquons de construire un espace de stockage symbolique, alors qu'en réalité, il serait bien plus utile de jeter des objets.
  3. Lancez votre "vente de garage" : Quelles activités et responsabilités donnez-vous aux autres ? Quelles sont celles que vous supprimez parce qu'elles sont devenues sans importance (attention : ce sont souvent nos jouets préférés) ? Qu'est-ce que vous réduisez fortement ? L'étape 3 est certainement la plus difficile. Pour cela, on a presque toujours besoin d'un partenaire ou d'un coach qui nous soutient et nous pousse vers l'avant.

La bonne nouvelle : après chaque désencombrement, on se sent mieux et plein d'entrain. C'est aussi ce que vous ressentirez après ce nettoyage de printemps. Conseil bonus : faites cet exercice avec toute votre équipe.

Vers l'auteur :
Volkmar Völzke est un maximisateur de succès. Auteur de livres. Conseiller et consultant. Coach de formation. Orateur. www.volkmarvoelzke.ch

Retour au bureau - mais pas aussi souvent qu'avant la pandémie

Plus de la moitié de la population active suisse travaille actuellement en home office. Beaucoup s'y sont habitués et y voient aussi des avantages. Mais ils sont nombreux à vouloir retourner au bureau dès que la situation le permet, même si ce n'est pas tous les jours. C'est ce que montre une étude représentative de Deloitte.

Lieu de nostalgie ? Selon un sondage représentatif, de nombreux actifs souhaitent retourner au bureau après la pandémie - même si ce n'est plus tous les jours. (Image : Unsplash.com)

Depuis l'apparition de la pandémie il y a un an, le thème du home office est sur toutes les lèvres. En février 2021, 52% des personnes actives en Suisse travaillaient entièrement ou partiellement en home office - pendant le lockdown il y a un an, c'était 50 pour cent. Pour 36 pour cent, le travail à domicile n'est en principe pas possible. C'est ce que montre un sondage représentatif réalisé entre le 12 et le 23 février par le cabinet d'audit et de conseil Deloitte auprès d'environ 2000 personnes en âge de travailler vivant en Suisse.

Retour au bureau : oui, mais pas tous les jours

Parmi les employés de bureau, une grande majorité (88%) ne souhaite plus passer chaque jour de travail au bureau à l'avenir, selon l'enquête Deloitte (voir graphique 1). Près des deux tiers (62 %) des personnes interrogées souhaitent continuer à travailler à domicile certains jours de la semaine après la pandémie. Vingt-six pour cent se prononcent même en faveur d'un retour complet au bureau à domicile. Il n'en reste pas moins que 12 % d'entre eux souhaitent retourner complètement au bureau.

(Graphique : Deloitte)

"Les douze derniers mois ont montré que le travail à distance fonctionne très bien pour de nombreuses personnes. Le fait que si peu d'entre eux souhaitent retourner complètement au bureau après la pandémie le confirme clairement", déclare Reto Savoia, CEO de Deloitte Suisse. "Pour le travail de demain, une nette majorité souhaite un mélange approprié de travail à distance et de présence au bureau et veut profiter des avantages des deux modèles de travail. Les entreprises ne peuvent et ne doivent pas se fermer à ce besoin. La tendance au travail à distance entraîne en outre d'importants changements économiques et sociaux et aura par exemple une influence sur les transports publics, le marché immobilier ou la gastronomie et le commerce de détail. Parallèlement, des modèles de travail à distance flexibles et attrayants offrent de nouvelles opportunités aux entreprises et à leur personnel. Que ce soit dans l'élargissement du rayon de recrutement ou dans l'établissement de nouveaux modèles familiaux".

Différences entre les générations

Lorsqu'il s'agit de préférences individuelles, il existe également des différences entre les générations : Chez les moins de 30 ans, seuls 9 pour cent veulent retourner complètement au bureau, chez les plus de 50 ans, ce sont 16 pour cent qui ne veulent plus travailler à domicile. De l'autre côté du spectre, le tableau est similaire : 31 pour cent des jeunes souhaitent continuer à travailler complètement à la maison après la pandémie, contre 22 pour cent seulement des plus de 50 ans.

"Les jeunes générations veulent plus de flexibilité dans leur travail", explique Veronica Melian, Human Capital Leader chez Deloitte Suisse. "Attirer de jeunes talents est et reste un défi majeur pour de nombreuses entreprises. Il est important que les employeurs comprennent les préférences et les méthodes de travail de leurs jeunes collaborateurs et qu'ils les intègrent de manière ciblée et productive dans leur entreprise. Les entreprises doivent élaborer et communiquer de manière ciblée des modèles de travail flexibles afin d'attirer les jeunes talents du monde entier dont elles ont un besoin urgent, qui sont flexibles sur le plan géographique et qui recherchent délibérément un environnement de travail moderne et tourné vers l'avenir. Il s'agit là d'un défi stratégique majeur pour de nombreuses entreprises, compte tenu de la pénurie de main-d'œuvre qualifiée qui s'aggrave".

Plus productif en télétravail ?

Près de la moitié des personnes interrogées (47%) ont l'impression d'être plus productives en travaillant à domicile qu'avec leurs collègues au bureau. Seuls 16% pensent qu'ils sont moins productifs à la maison, tandis que pour 37%, la productivité est restée la même. Si l'on compare ces chiffres à la Enquête Deloitte réalisée pendant le lockdown de l'année dernièreLa productivité s'est améliorée avec le temps (voir graphique 2).

(Graphique : Deloitte)

"Le fait que la productivité perçue par les collaborateurs ait augmenté par rapport à l'année précédente pourrait s'expliquer d'une part par le fait que les écoles sont restées ouvertes et que de nombreux parents n'ont plus eu à s'occuper eux-mêmes de la garde des enfants", explique Veronica Melian. "En outre, les collaborateurs comme les entreprises étaient techniquement mieux préparés que lors du premier lockdown et plus habitués à utiliser les outils numériques".

L'échange personnel fait défaut

Le home-office comporte cependant aussi ses pièges. Outre les problèmes de place (20%) et le manque d'infrastructure (22%), c'est surtout le manque d'échanges personnels qui représente le plus grand défi pour bon nombre des personnes interrogées (44%). "L'échange personnel conscient continue de jouer un rôle important pour beaucoup, y compris pour la culture d'entreprise", explique Reto Savoia. "On vient au bureau pour échanger, créer des idées ensemble - des aspects essentiels de l'innovation nécessitent une interaction personnelle et se réalisent le mieux sur place. C'est donc là que se trouvent de grandes chances pour les entreprises de réunir le besoin de contacts personnels avec les clients et les collègues ainsi que l'utilisation ciblée de la numérisation en un paquet global attractif qui correspond le mieux aux besoins des collaborateurs".

"Les entreprises doivent se préparer à l'après-verrouillage en trouvant un bon équilibre entre le travail à distance et la présence au bureau", poursuit Savoia. "J'imagine que les employés travaillent d'une part consciemment et de manière concentrée à la maison. D'autre part, s'il s'agit des aspects collaboratifs et créatifs du travail, un bureau moderne a plus de sens. Les entreprises doivent créer en conséquence de nouveaux espaces et des 'espaces de collaboration' qui permettent aux collaborateurs de trouver l'inspiration, les incitent à échanger des idées et les aident à développer de nouvelles stratégies".

Source : Deloitte

Augmentation à deux chiffres du chiffre d'affaires d'Abacus Research AG

Pour la cinquième fois consécutive, l'entreprise de logiciels de Suisse orientale Abacus Research AG a réalisé une augmentation à deux chiffres de son chiffre d'affaires. Malgré la pandémie et le chômage partiel qui en a résulté, le chiffre d'affaires total consolidé a augmenté de 13,9% en 2020 par rapport à l'année précédente.

Le directeur d'Abacus, Claudio Hintermann, peut à nouveau se réjouir d'une augmentation à deux chiffres de son chiffre d'affaires. (Image : zVg / Abacus Research AG)

Avec une nouvelle augmentation à deux chiffres de son chiffre d'affaires, Abacus confirme sa position de leader en tant qu'éditeur de logiciels de gestion pour les PME et l'administration publique pour l'année 2020. Les activités traditionnelles de licence, qui consistent à acheter un logiciel, sont restées à un niveau élevé et constant, avec plus de 2'400 modules de programme vendus et 460 entreprises qui ont opté pour Abacus Business Software, selon l'entreprise. À titre de comparaison, il y avait 2'200 modules de programme et 450 entreprises en 2019. Grâce aux développements innovants, les abonnements pour l'utilisation à partir du cloud ont rencontré une forte demande. Avec 3'100 abonnements supplémentaires jusqu'à la fin de l'année, cette solution compte déjà plus de 13'800 utilisateurs qui utilisent 24'000 abonnements au programme pour divers domaines d'application.

Les fonctions de libre-service sont bien acceptées

Les fonctions en libre-service ont également été très bien accueillies, avec 60 000 abonnements supplémentaires, ce qui correspond à une augmentation de 50 %. Elles sont adaptées aux besoins des membres de l'entreprise et permettent d'adapter soi-même les données de base comme par exemple l'adresse, les coordonnées bancaires, de consulter les décomptes de salaire ou de saisir les justificatifs de frais, les heures de travail, les absences et les prestations, indépendamment du lieu, à l'aide de smartphones, de tablettes et d'ordinateurs. Fin 2020, 180 000 utilisateurs avaient recours à ces fonctions du logiciel Abacus.

L'augmentation du chiffre d'affaires permet le remboursement volontaire des indemnités de chômage partiel

Claudio Hintermann, CEO d'Abacus, est donc plus que satisfait de la marche des affaires de l'année dernière : "Contre toute attente, nous avons terminé l'année avec un succès extrême, malgré un contexte économique difficile dû à la pandémie qui sévit. C'est pourquoi nous avons décidé de rembourser volontairement à l'État toutes les indemnités de chômage partiel perçues, soit plus de 1,3 million de francs. De même, aucune réduction de salaire n'a été effectuée en raison des heures de travail interrompues. Le chômage partiel chez Abacus a duré de mai à août et s'est appliqué à pratiquement tous les collaborateurs, à quelques exceptions près. Un grand merci à nos partenaires de distribution qui, malgré la période difficile de Corona, ont influencé de manière déterminante le très bon résultat".

Des distributeurs qui réussissent

En 2020, le plus grand distributeur d'Abacus en termes de chiffre d'affaires total a été, comme en 2019, le Logiciel de gestion Axeptsuivi par BDO et OBT. Le partenaire OBT, qui a reçu le prix de l'innovation, s'est avéré être le fournisseur le plus performant d'abonnements logiciels pour l'utilisation mobile du logiciel Abacus et l'utilisation du logiciel ERP avec des abonnements en libre-service pour les employés. En outre, l'année dernière, le nombre d'employés d'Abacus a augmenté de 37 personnes pour atteindre 439. L'ensemble du groupe, y compris les filiales de Bienne, Thalwil et Allemagne, comptait 556 collaborateurs à la fin de l'année.

Source et informations complémentaires : Abacus Research SA

Le couteau suisse sous les chaussures

La pandémie nous touche de plein fouet. Pour ce qui est des chaussures, un modèle polyvalent peut nous sauver : la sneaker blanche - en quelque sorte le couteau de poche parmi les chaussures.

Le couteau suisse parmi les chaussures : la sneaker blanche sait tout faire. (Image : Risch Shoes)

"Le retour au bureau à domicile est un impératif. La pandémie continue de déterminer notre réalité. Sur le plan vestimentaire, nous nous appuyons sur l'expérience acquise lors de la première vague. Nous avons déjà acquis une certaine routine dans le passage du quotidien au bureau au quotidien à la maison.
Mode de travail.

Une chaussure ne se voit pas à l'écran ?

Une présentation professionnelle, même à domicile, passe par une tenue professionnelle. Seule la question des chaussures n'est pas encore totalement résolue pour beaucoup. Beaucoup pensent qu'on ne les voit pas à l'écran. En êtes-vous sûr ? Ce dont peu de gens sont conscients, c'est que la tenue a aussi un effet à l'intérieur.

La chaussure crée de la personnalité et du charisme. Même à l'époque du zoom et de Webex. Car celui qui a un bon pied se crée un bon standing. Le choix des chaussures a une influence sur le leadership, la qualité du travail et la productivité. C'est pourquoi il faut toujours penser - même dans un bureau à domicile - à l'importance des chaussures d'affaires.

La sneaker blanche : le couteau suisse de la chaussure

Chaussures d'affaires - les sneakers en font définitivement partie, et plus précisément les sneakers minimales blanches. Chaque homme doit posséder une paire de sneakers blanches ! La sneaker blanche souligne le look décontracté. Et elle convient toujours. C'est déjà un classique. La sneaker blanche était un must de l'automne 2020 et elle le restera : parce qu'elle est le couteau suisse des chaussures pour hommes. Cette chaussure est vraiment polyvalente. Elle se porte avec une chemise pour une vidéoconférence, elle est parfaite avec un costume sombre classique pour une réunion client avec un masque de protection et avec un jean pour aller à la garderie avec les enfants, elle est décontractée pour faire les courses, sportive pour aller à vélo, bref, c'est une pièce parfaite pour tous les jours.

La sneaker est le partenaire mode congénial de la numérisation et du bureau à domicile, car en tant que tenue d'affaires décontractée, elle allie parfaitement vêtements confortables et travail professionnel. La sneaker offre confort et style. Décontractée et de grande qualité. Elle transmet personnalité et statut. Et fait une déclaration : je dispose d'une autodiscipline et d'une autogestion, je suis sûr de moi et
motivé par le travail. Et dynamique !

Entretien correct et accessoires

Outre la couleur de base blanche, le design et la qualité de la sneaker doivent être parfaits. Elle doit être de grande qualité et d'une finition impeccable. Et important : la sneaker blanche doit toujours être maintenue propre - la nettoyer de temps en temps avec une brosse à dents et un peu de savon. Avec le temps, elle perdra sa couleur blanche immaculée. Ce n'est pas grave, elle peut avoir l'air un peu rock'n'roll. Mais trop de patine est un signe évident que la prochaine sneaker blanche doit être achetée !

Pour le choix des chaussettes dans le contexte professionnel, vous pouvez toujours opter pour les modèles éprouvés en noir ou en bleu foncé, assortis au costume ou au chino, jusqu'au genou. Pour le sport, portez les sneakers blanches avec des chaussettes de sport blanches ou sans. N'essayez en aucun cas de mettre l'accent avec des chaussettes de couleur contrastée ou même amusantes ! Cela dévalorise la sneaker blanche - et donc son porteur.

 

Dominik Risch, de Risch Shoes, portraituré le 22 juin 2018 à Zurich. (Image : KEYSTONE/Gaetan Bally)

Vers l'auteur
Dominik Risch a fondé avec sa femme Risch Shoes, dont le siège est à Zurich, et a lancé sur le marché le concept unique au monde de chaussures sur mesure avec Foot-DNA. Risch Shoes a des sites à Zurich, Berne, Francfort, Mannheim et Lech. www.risch-shoes.com

Huawei mise sur un tandem de femmes dans le secteur B2B

Avec Lisa Stinner et Laurence Pasquier Dessingy, Huawei fait monter deux femmes à bord pour son segment de clientèle commerciale. Le prestataire de services de télécommunication veut poursuivre sa croissance en Suisse alémanique et en Suisse romande sur des marchés cibles tels que la fabrication, le transport, la vente au détail, l'industrie financière et le secteur public. L'Account Management sera développé en conséquence et davantage axé sur les nouvelles affaires.

Laurence Pasquier Dessigny (à gauche) et Lisa Stinner sont désormais responsables chez Huawei du segment de la clientèle commerciale en Suisse romande et en Suisse alémanique. (Image : zVg / Huawei)

L'entreprise chinoise de télécommunications Huawei mise sur une double force féminine : d'une part, Lisa Stinner devient Account Manager pour les secteurs de la fabrication, du commerce de détail et des transports en Suisse alémanique. D'autre part, l'entreprise nomme Laurence Pasquier Dessingy Territory Manager en Suisse romande pour les branches Manufacturing, Financial Services et Universités. Ces deux dames ont pour mission, dans leur région respective, de développer les activités de Huawei dans le domaine de l'entreprise, d'entretenir et de développer les relations avec les clients existants et nouveaux et de faire progresser l'écosystème de partenaires de Huawei en Suisse, comme l'indique un communiqué de presse correspondant.vC'est surtout en Suisse romande que Huawei veut augmenter sa part de marché auprès des grands clients. Dans toute la Suisse, la technologie de Huawei doit créer une plus-value pour les entreprises suisses, augmenter le degré de numérisation et contribuer ainsi à ce que la Suisse reste hautement compétitive dans les secteurs cibles mentionnés.

Des femmes avec des qualifications de haut niveau

Lisa Stinner et Laurence Pasquier Dessingy apportent toutes deux de nombreuses années d'expérience professionnelle dans des entreprises informatiques de renom et une expertise dans le conseil et la gestion de projets ainsi que dans la vente et le key account management. Après avoir obtenu un bachelor à l'Université des sciences appliquées de Bielefeld avec un mémoire sur le positionnement différenciateur de la concurrence dans l'environnement du cloud, Lisa Stinner a suivi un CAS Customer Management à la HWZ Zurich. Elle est entrée chez T-Systems et est restée fidèle au prestataire de services ICT pendant plus de 8 ans dans différents pays et dans différentes fonctions en contact avec la clientèle, la dernière en date étant un rôle de New Business Sales pour des clients de taille moyenne en Suisse.

Avec des noms comme Hewlett-Packard, Microsoft, Avanade ou SAGlobal Switzerland, les étapes professionnelles de Laurence Pasquier Dessingy se lisent comme un "Who's who" de l'industrie des TIC. Diplômée de l'Université de Genève avec des études de biologie et un master en Business & Administration, elle a en tout plus de 15 ans d'expérience dans la gestion des ventes, la gestion des comptes et le développement commercial. Elle a une connaissance approfondie, en particulier des secteurs de la fabrication et de la vente au détail, et est experte dans le développement de partenariats et d'initiatives communes de go-to-market pour les nouvelles affaires.

Huawei a des objectifs commerciaux ambitieux

Roland von Arx, Vice President Enterprise Business Group Switzerland, salue les deux nouvelles venues : "Nous avons des objectifs commerciaux très ambitieux en Suisse, où nous voulons croître avec succès année après année avec notre Enterprise Business Group et accélérer encore cette croissance. Nos deux nouvelles collègues ont prouvé au cours de leurs carrières qu'elles savent enthousiasmer les clients, s'engager et prendre des initiatives pour stimuler de nouvelles affaires. Outre nos solutions fiables, robustes et fonctionnellement excellentes et nos services appréciés sur le marché, ce sont surtout nos collaborateurs et leur orientation client qui rendent notre succès possible. Je suis très heureux que nous puissions continuer à développer notre diversité, déjà vécue avec succès et très appréciée des clients".

Source et informations complémentaires

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