OBT AG et Revidas Treuhand AG et Revidas Revisionsgesellschaft AG, dont le siège est à Saint-Gall, fusionnent. Avec cette démarche, OBT affirme se concentrer sur les clients PME.
Rédaction
-
26 avril 2022
Délégation de la direction d'OBT et de Revidas (de g. à d.) : Christoph Brunner, Markus Jäger, Patrik Bawidamann, Thomas Züger, Hans Martin Zanetti. (Photo : Groupe OBT)
La société dirigée par Markus Jäger (2e à partir de la gauche sur la photo), Patrik Bawidamann (au centre) et Hans Martin Zanetti (tout à droite) Revidas est une entreprise fiduciaire de Suisse orientale spécialisée dans les PME. Face à la numérisation croissante de la branche et au besoin de trouver une solution de succession durable et à long terme pour des postes clés, les responsables de l'entreprise fondée en 1984 ont décidé de s'associer au groupe OBT. Markus Jäger, actionnaire principal et partenaire de Revida, déclare à ce sujet : "Outre la connaissance des forces d'OBT dans le domaine de l'informatique, ce qui a été déterminant dans cette décision, c'est notamment la sympathie mutuelle, une base de valeurs communes et un engagement clair envers les clients PME".
L'offre de base et les compétences existantes de Revidas sont maintenues ; les clients PME peuvent toutefois profiter, grâce à la fusion avec OBT, non seulement du savoir-faire et de l'infrastructure dans le domaine de l'informatique, mais aussi de nouvelles ressources dans les domaines du conseil fiscal, juridique et d'entreprise ainsi que de la fiducie et de l'audit, comme l'indique un communiqué aux médias. La marque Revidas sera maintenue jusqu'à nouvel ordre et l'entreprise conservera ses sites de la Flurhofstrasse à Saint-Gall et du Theaterweg 11 à Coire, ajoute le communiqué.
Le partenaire OBT et responsable du domaine fiduciaire, Christoph Brunner (en haut à gauche sur la photo), siègera à la direction et au conseil d'administration de Revidas en tant qu'interface avec le groupe. Les 22 collaborateurs de l'entreprise continueront à être employés par Revidas sur son site actuel. La priorité des responsables est de regrouper les collaborateurs, d'obtenir des synergies et d'uniformiser les processus informatiques dans le cadre du processus de reprise qui vient de débuter. Ainsi, l'élan de numérisation souhaité et la succession des propriétaires actuels, qui restent disponibles, doivent être lancés avec détermination. Pour le groupe OBT, cette étape représente une nouvelle croissance réjouissante dans le domaine des PME, qui lui permet de renforcer sa position en Suisse orientale, explique l'entreprise.
Il y a de plus en plus de fonctions sans "position power" : cela signifie que vous n'avez pas de pouvoir de direction formel, mais que vous devez quand même diriger les autres. Comment diriger sans être chef ?
Volkmar Völzke
-
26 avril 2022
Diriger sans être chef : un leadership réussi fonctionne aussi au-delà des frontières de l'équipe. (Image : Unsplash.com)
Un bon leadership est déjà un défi lorsque vous occupez formellement la position du chef ou de la cheffe. Car même votre "position power" ne vous sert pas à grand-chose si les gens ne vous suivent qu'à contrecœur. Vous pouvez alors tout au plus imposer des résultats à court terme. Cela ne fonctionne jamais à moyen et à long terme. C'est encore plus difficile lorsque vous devez diriger les autres, mais que vous n'avez pas d'autorité formelle ?
D'après mes observations, de tels postes sont de plus en plus fréquents : qu'il s'agisse du gestionnaire de portefeuille de produits sur plusieurs divisions, du directeur commercial global qui dépend des sociétés nationales ou du chef de projet avec vingt membres de l'équipe de projet issus des domaines les plus divers. Dans tous ces cas, l'influence est indirecte. Comment obtenir un maximum de résultats avec votre équipe virtuelle dans ces cas-là ?
Eh bien, la réponse réside dans le fait que le leadership de haut niveau a toujours signifié une influence de haut niveau, que ce soit avec ou sans position formelle. Le leadership sans poste dépend donc encore plus de votre influence.
La question est donc la suivante : comment influencez-vous les gens dans votre sens, même s'ils ont un autre chef ?
Voici trois questions importantes auxquelles il faut répondre :
"Qu'est-ce que je veux ?"
Cette question peut paraître très simple, mais la plupart des gens ont de grandes difficultés à y répondre (c'est en tout cas ce que je constate régulièrement dans mon coaching). Il est très important que vous puissiez citer des résultats clairs pour des périodes précises : Que voulez-vous atteindre exactement d'ici la fin de l'année ? Avec qui ? Et pourquoi ? Car si vous n'êtes pas clair à cent pour cent sur ce que vous voulez exactement, comment les autres peuvent-ils vous suivre ? Comment allez-vous convaincre les autres ?
"Qu'est-ce que les autres ont à y gagner ?"
Dans le domaine de la vente, cela s'appelle "l'argumentation sur les avantages". Qu'est-ce que les autres, ceux que vous voulez influencer, ont à gagner de votre rôle et de votre leadership ? Quelle valeur apportez-vous à leurs yeux ? Pour beaucoup de personnes, cette idée est difficile, mais dans une telle position, vous devez aussi vous vendre vous-même. Vous devez pouvoir démontrer clairement pourquoi les autres devraient consacrer leur précieux temps à vos sujets. Un bon moyen est d'ailleurs (comme dans la vente) de demander concrètement aux autres.
"Comment peut-onöpouvons-nous profiter les uns des autres ?"
C'est une bonne question à poser aux personnes avec lesquelles vous souhaitez réaliser quelque chose ensemble. Une question aussi ouverte et positive invite à la réflexion. Conseil supplémentaire : vous pouvez également poser la question en rapport avec des thèmes spécifiques que vous souhaitez faire avancer. Vous orientez ainsi les autres dans la direction que vous souhaitez. C'est ce qu'on appelle "exercer une influence". Vous deviendrez ainsi un meilleur leader.
Donc, si vous vous trouvez dans une situation de leadership difficile, je vous recommande de répondre à ces trois questions. Vous augmenterez ainsi votre influence d'un bon cran.
Auteur : Volkmar Völzke est un maximisateur de succès, auteur de livres, conseiller, coach, speaker.www.volkmarvoelzke.ch
Jeunes CEO : conseils pour une présentation élégante
Aujourd'hui, il est plus important que jamais pour les CEO de véhiculer la bonne image. Après tout, on veut présenter sa propre entreprise tout en ayant l'air stylé et en donnant une impression positive à son entourage. Mais comment s'y prendre et à quoi faut-il faire attention ?
Rédaction
-
25 avril 2022
De quoi les CEO ont-ils besoin pour avoir du style ? (Image @Adobe Stock, Gajus, #73105374)
Un costume élégant avec des chaussures à lacets raffinées pour les hommes et un tailleur avec des escarpins chics pour les femmes sont de véritables classiques de la tenue. Ils conviennent parfaitement lorsque l'on doit discuter d'idées commerciales sérieuses ou lorsqu'une réunion importante est prévue. Pour une présentation élégante, la règle du look business est souvent la suivante : moins, c'est plus. Des bijoux simples, une montre coûteuse ou un foulard en soie en disent long, sans pour autant paraître trop habillé. Les détails jouent également un rôle : l'interlocuteur peut se faire une certaine idée d'une personne grâce à des accessoires comme un sac, une ceinture ou des boutons de manchette.
Décontracté et cool : Comment progresser avec le look business casual
Le site Look casual business est un terme très large qui englobe une multitude de tenues. Pour les hommes, le look dans un environnement professionnel prévoit un costume, mais celui-ci peut avoir une coupe à la mode et être porté sans cravate. La combinaison typique est celle d'un pantalon chino, d'une chemise et d'une veste. En outre, dans le cadre de ce code vestimentaire, on peut également porter des pulls en maille fine ou des polos. Les femmes ont le choix entre un éventail particulièrement large de looks : Blouses décontractées, pantalons en tissu, jupes et pulls peuvent être combinés selon l'humeur du moment. L'important est que les vêtements soient adaptés à l'occasion et qu'ils ne soient ni trop formels ni trop décontractés.
Se présenter avec style : Ce qu'il faut absolument éviter en tant que CEO
Il vaut mieux laisser les jeans déchirés, les vêtements trop colorés et les imprimés fantaisistes dans l'armoire. Même dans les professions créatives, ces looks ne sont jamais bien vus. Les vêtements de sport sont également à proscrire. En tant que CEO, on évolue toujours dans un cadre qui présuppose le "business". Le look doit donc également correspondre à la description de la profession. En outre, il faut veiller à ce que les vêtements soient bien ajustés et agréables à porter. La coupe et le matériau sont ici prioritaires. Des vêtements mal ajustés ou inconfortables se remarquent immédiatement et peuvent mettre celui ou celle qui les porte dans une situation inconfortable. En tant que CEO, il faut être sûr de soi et parfois même tenir un discours. Il est alors particulièrement important que les vêtements offrent une liberté de mouvement maximale.
Des accessoires élégants complètent le look
En tant que CEO, on montre sa personnalité avec les accessoires adéquats. Les montres sont un excellent moyen de s'exprimer de manière discrète mais efficace. Les montres-bracelets classiques laissent penser qu'il s'agit d'une personne qui aime les choses réglées et qui est soucieuse des détails, tandis qu'un chronographe sportif trahit l'aventurier ou l'aventurière. Les bracelets en caoutchouc sont à proscrire. On choisira plutôt un bracelet en cuir ou en métal. Les bracelets milanais sont particulièrement tendance. Les femmes continuent de miser sur les montres en or rose délicat. Souvent, moins c'est plus, cela vaut également pour le prix des chronographes. Ici, il ne faut pas décider qu'une montre doit être la plus chère possible pour impressionner l'autre. Néanmoins, de nombreux modèles du segment du luxe ont bien sûr un prix. C'est pourquoi les jeunes CEO qui doivent faire attention à leur budget ou qui ne veulent pas dépenser des sommes folles peuvent envisager d'acheter des montres d'occasion. Réputé Des fabricants comme Breitling proposent des modèles reconditionnés et d'occasionIl y a aussi des produits qui sont absolument comme neufs et moins chers.
Si vous portez des bijoux, optez pour des pièces simples. Un bracelet ou un collier en or s'accordent parfaitement avec une tenue sobre aux couleurs douces. Il est important de ne pas en faire trop non plus. Il est préférable de laisser les bijoux particulièrement grands ou avec des pierres colorées à la maison et de les ressortir pour la prochaine fête.
C'est comme ça que ça se passe
Les chaussures sont souvent la première chose sur laquelle les partenaires commerciaux attirent l'attention. Elles doivent donc être soignées et de bonne qualité. Les baskets usées ou les escarpins démodés ou les chaussures à lacets à bouts carrés ne répondent pas à ces exigences. Les hommes ne peuvent pas se tromper avec des oxfords classiques. Les femmes porteront de préférence un modèle de chaussure classique à talon moyen. Si le look est plus décontracté, on peut opter pour des chelsea boots ou des sneakers élégantes.
Ceinture et sac
La ceinture ou le sac doivent toujours être assortis aux chaussures. Cela ne signifie pas pour autant que la couleur et le matériau doivent être identiques. Toutefois, il est étrange de porter une ceinture marron avec des chaussures noires, et vice versa. Les femmes peuvent assortir leur sac à un élément de leur tenue. Néanmoins, le sac à main doit toujours être en harmonie avec les chaussures.
Trouver sa marque de fabrique
Steve Jobs portait un pull noir à col roulé et un jean, Mark Zuckerberg préfère les t-shirts gris : les CEO représentent une marque - et deviennent souvent eux-mêmes une marque. En créant un look mémorable, on reste dans la mémoire de ses partenaires commerciaux. Il est important d'être cohérent et d'adopter le même look. De petites variations sont certes possibles, mais il faut s'en tenir à sa marque de fabrique. Se construire une certaine image demande du temps et des efforts. Il faut donc bien réfléchir à ce que l'on fait comme marque de fabrique et au look dans lequel on se sent le mieux.
Conclusion
Il n'existe pas de look universel qui convienne à un CEO. Il est plutôt important que l'apparence soit adaptée à l'entreprise concernée et reflète les valeurs de la marque. De nombreux jeunes CEO choisissent un look business casual, à la fois élégant et confortable. Les combinaisons typiques sont un pantalon en tissu et une veste pour les hommes et un pantalon, une blouse à la mode et un blazer pour les femmes. Les accessoires et les bijoux apportent une touche personnelle au look. Il est important que les collaborateurs et les partenaires commerciaux puissent s'identifier à ce look. Les vêtements trop formels ou trop décontractés sont à proscrire.
Swisscom StartUp Challenge : Une startup suisse apporte-t-elle une solution au problème climatique ?
Avec son dixième Startup Challenge, Swisscom recherche dans le monde entier des startups et des équipes de recherche qui contribuent à la réduction des gaz à effet de serre avec leurs solutions et leurs services. Les cinq gagnants du Swisscom Startup Challenge Sustainability seront invités en novembre 2022 à participer à une Exploration Week sur mesure avec Swisscom, son Outpost Silicon Valley et Venturelab. La phase de candidature est ouverte jusqu'au 31 mai 2022.
Rédaction
-
22 avril 2022
Avec le Swisscom Startup Challenge, le prestataire de services de télécommunication recherche des start-up dont les solutions permettent par exemple de réduire les émissions de gaz à effet de serre. (Image : Pixabay.com)
Selon un rapport de World Finance datant de 2020, Swisscom peut se targuer d'être la Telco la plus durable au monde : depuis 12 ans, Swisscom utilise exclusivement des énergies renouvelables, a fortement réduit leur consommation et offre depuis mars 2022, tous les abonnements sont climatiquement neutres à.
Le telco le plus durable du monde
D'ici 2025, Swisscom veut économiser un million de tonnes de CO2 supplémentaires par an. En se basant sur de nouvelles solutions TIC innovantes pour les clients privés et commerciaux, ceux-ci peuvent réduire massivement leur empreinte carbone. Selon une estimation propre à l'entreprise, cette contribution est bien plus significative que sa propre empreinte (contribution que Swisscom peut elle-même apporter à travers sa propre chaîne de création de valeur). Mieux encore : elle est si importante que la Suisse, en tant que pays, pourrait atteindre plus rapidement ses propres objectifs climatiques, comme le constate Swisscom. C'est pourquoi le prestataire de services de télécommunication recherche, dans le cadre du dixième Swisscom Startup Challenge, de jeunes entreprises qui ont développé des innovations et des technologies permettant de protéger directement ou indirectement le climat.
Les startups et les équipes de recherche du monde entier peuvent poser leur candidature pour le Swisscom Startup Challenge jusqu'au 31 mai 2022. Parmi les candidatures reçues, dix jeunes entreprises seront sélectionnées et invitées à un pitch en septembre 2022. En collaboration avec Venturelab, le jury d'experts désignera à la fin cinq gagnantes ou gagnants. Ils auront l'occasion de développer leurs solutions avec des experts de l'écosystème Swisscom dans le cadre d'un programme d'exploration sur mesure. En outre, les gagnants auront la chance de bénéficier d'un investissement ou d'un partenariat commercial avec Swisscom.
Dixième Swisscom StartUp Challenge : Échoué, vaincu, vendu à Apple
"Nous avons répété avec eux jusque tard dans la nuit avant que les gagnants du premier Startup Challenge ne viennent le lendemain pitcher leur business case devant les grands capital-risqueurs de la Silicon Valley", se souvient Stefan Kuentz, cofondateur du Swisscom Startup Challenge. C'était en 2013 et depuis, un nouveau monde s'est ouvert aux quelque 40 gagnants du programme d'encouragement avec la visite de la Silicon Valley. "Nous étions déjà à Palo Alto depuis 1998 avec notre Outpost et nous voulions apporter un peu de l'esprit d'entreprise californien dans le paysage suisse des start-up et bien sûr trouver des candidats pour un investissement de Swisscom Ventures", explique Roger Wüthrich-Hasenböhler, qui a lancé l'initiative en 2013 avec Stefan Kuentz, Urs Stender (aujourd'hui Blue Lion) et Beat Schillig de Venturelab.
Depuis, en dix ans, près de 2000 start-up ont posé leur candidature pour le Challenge et 45 ont suivi le programme de soutien. Près de 100 jeunes entrepreneurs se sont rendus au Swisscom Outpost et ont pitché leurs business cases devant de grands capital-risqueurs et des géants de l'Internet. Parmi eux, des startups comme Ava (2015), Creal (2019), Ecorobotix (2017), Geosatis (2014), Gmelius (2019) ou Nanolive (2016). Swisscom Ventures, une division de Swisscom, a également investi dans chacune d'entre elles. Six des start-up gagnantes ont entre-temps vendu leur entreprise : Par exemple, la startup de regtech Qumram (2016) à Dynatrade ou la reconnaissance d'images intelligente Fashwell (2016) à Apple. Certains des anciens du Swisscom Startup Challenge se classent aujourd'hui parmi les 100 premières jeunes entreprises de Suisse. Quatre des 45 ont malheureusement déjà dû mettre un terme à leur parcours entrepreneurial. "En comparaison avec les statistiques américaines, le taux d'échec dans le Hall of Fame du Swisscom Startup Challenge est beaucoup plus faible", explique Beat Schillig de Venturelab. "Soit la sélection a donc été très bonne, soit nous prenons moins de risques en Suisse que les startups de la Silicon Valley et disposons encore d'un grand potentiel d'innovation en friche. Car celui qui ose plus peut aussi gagner plus !"
Etude PME 2022 : Combien y a-t-il de PME en Suisse ?
L'Institut suisse pour les PME et l'entrepreneuriat de l'Université de Saint-Gall et OBT s'intéressent depuis des décennies aux intérêts et aux défis des PME. La dernière étude sur les PME suisses, qui est déjà la 9e édition de cette série d'études, vient d'être publiée. Les chiffres actuels de l'Office fédéral de la statistique (OFS) de 2019 y ont été évalués et comparés avec les années précédentes.
Rédaction
-
22 avril 2022
L'étude PME 2022 donne un aperçu de la diversité du paysage suisse des PME. (Image : Depositphotos.com)
Avec l'étude PME 2022, l'Institut suisse pour les PME et l'entrepreneuriat de l'Université de Saint-Gall et la société d'audit OBT fournissent aux lecteurs des informations approfondies sur le paysage des PME en Suisse. Les auteurs mettent également en évidence les différences entre les PME, car toutes les PME ne se ressemblent pas. Ainsi, le coiffeur, la boulangerie, l'entreprise de peinture ou l'agence de publicité font partie des PME au même titre que les leaders mondiaux de la haute technologie dans le domaine de la technique médicale ou de la construction mécanique. De plus, du point de vue des auteurs, les PME ne sont pas simplement de petites grandes entreprises, mais se distinguent par des caractéristiques spécifiques. Tous les deux ans, les chiffres les plus récents concernant les PME sont évalués, en se référant à chaque fois aux études passées. La présente étude se concentre sur l'évaluation des chiffres de 2019 et sur une comparaison avec les années précédentes.
Combien de PME y a-t-il au total en Suisse ?
99.7 % des entreprises en Suisse sont considérées comme des PME selon les derniers chiffres provisoires de l'Office fédéral de la statistique. Les micro-entreprises, qui emploient moins de dix personnes, constituent la forme la plus fréquente de PME, avec près de 90 % des entreprises. Les deux autres formes de PME, à savoir les petites et moyennes entreprises, ne représentent ensemble qu'une entreprise sur dix en Suisse : 8,4 % des entreprises sont des petites entreprises de 10 à 49 collaborateurs, et seulement 1,6 % des entreprises sont des moyennes entreprises de 50 à 249 collaborateurs.
Entreprises et employés en équivalent temps plein selon la taille de l'entreprise en 2019 (données de l'OFS, 2021)
Combien de personnes travaillent dans des PME suisses ?
Un coup d'œil sur les chiffres de l'emploi montre qu'environ deux tiers des salariés en Suisse - mesurés en équivalents temps plein (ETP) - travaillent dans des PME. Les employés sont répartis à peu près à parts égales entre les différentes tailles d'entreprises dans les PME : 22.7 % des employés travaillent dans des micro-entreprises (< 10 MA), 21.6 % dans des petites entreprises (10 - 49 MA) et 21.0 % dans des entreprises moyennes (50 - 249 MA).
Combien de PME y a-t-il dans chaque secteur ?
Si l'on compare les différents secteurs entre eux, on obtient l'image suivante : Dans le premier secteur - le secteur agricole - il n'y a presque que des micro-entreprises. Elles représentent 98,2 % des entreprises. Dans le troisième secteur - celui des services - les microentreprises sont également très dominantes, avec 90,6 % des entreprises. Et même dans le deuxième - le secteur industriel - leur nombre est de 80,4 % des entreprises. Les secteurs suivants, entre autres, présentent un nombre élevé de micro-entreprises :
Immobilier
Conseil juridique et fiscal, audit, conseil aux entreprises
Santé publique
Autres activités libérales
Activités artistiques
Activités de services divers
Agriculture
En ce qui concerne le nombre de personnes employées, les secteurs se distinguent fortement : dans le premier secteur, presque toutes les personnes travaillent dans des PME (99.7 %) et 86.4 % sont employés dans des micro-entreprises. Dans le deuxième secteur, en revanche, 67,4 % des personnes travaillent dans des PME. Avec 15,5 %, moins d'un cinquième des salariés travaillent dans des micro-entreprises. Dans le troisième secteur, avec 63,2 % des salariés, ce sont les PME qui emploient le moins de personnes en pourcentage par rapport aux autres secteurs. Mais leur part est à nouveau plus importante dans les micro-entreprises que dans le secteur industriel : 23.0 % des salariés du secteur des services appartiennent à des micro-entreprises.
Quelles sont les formes juridiques des PME suisses ?
En ce qui concerne les formes juridiques, il est frappant de constater que la plupart des PME sont organisées en entreprises individuelles. Dans l'agriculture en particulier, près de 90 % des PME sont des entreprises individuelles. Les PME de l'industrie et des services sont souvent organisées en SA ou en Sàrl. Plus la taille de l'entreprise augmente, plus le nombre de sociétés individuelles et de Sàrl tend à diminuer.
Depuis combien de temps les PME existent-elles ?
Cette année encore, le taux de survie des nouvelles entreprises a été mis en lumière dans la série d'études mentionnée. L'étude montre qu'environ 49 % des entreprises sont encore actives cinq ans après leur création, avec de grandes différences selon le secteur. Le taux de survie est le plus faible dans l'hôtellerie et la restauration (38 %), alors qu'il est le plus élevé dans le secteur de la santé et de l'action sociale (64 %).
Combien de PME sont actives à l'exportation ?
L'influence des PME sur le volume des exportations montre qu'en Suisse, seule une PME sur 13 exporte, mais qu'elles sont responsables de 42 % du volume des exportations suisses. La majeure partie du volume d'exportation des PME provient des moyennes entreprises. De plus, les micro-entreprises de moins de 10 employés représentent deux tiers de toutes les entreprises exportatrices et 7 % du volume total des exportations. En Allemagne, en France ou en Irlande, l'influence des grandes entreprises est nettement plus marquée. En comparaison avec d'autres pays européens, les PME suisses présentent - selon l'étude - des volumes d'exportation moyens parmi les plus élevés.
L'étude PME 2022 montre également une comparaison avec d'autres pays
Selon l'étude PME 2022, la part des PME est également similaire dans d'autres pays. En ce qui concerne le nombre d'employés, il existe toutefois des différences - par exemple, les grandes entreprises au Royaume-Uni (UK) et en Allemagne emploient proportionnellement plus de personnes que les grandes entreprises en Suisse. En raison de ces différences, il est possible de faire des comparaisons entre la taille des entreprises et la performance économique (PIB par habitant) des pays. La ligne de tendance montre une relation légèrement négative entre la part des PME d'un pays et sa performance économique.
L'étude complète sur les PME suisses peut être téléchargée ici ou sur kmu.unisg.ch/kmu-zahlen peut être téléchargé.
Créer une boutique en ligne : Les cinq erreurs à éviter
Démarrer, mais correctement : avec une boutique en ligne. Le commerce sur Internet est en plein essor. Ce n'est pas étonnant, car le seuil pour se lancer dans la distribution numérique ne cesse de baisser. En particulier, le nombre croissant de solutions prêtes à l'emploi attire de nombreux entrepreneurs qui veulent tenter leur chance en ligne.
C'est justement dans la phase de création d'une boutique en ligne que certaines décisions peuvent freiner l'entreprise. Andreas Köninger* connaît le secteur de l'e-commerce et sait comment éviter les cinq erreurs les plus fréquentes.
Erreur #1 : agir tête baissée
"Celui qui veut réussir avec une boutique en ligne ne doit pas agir dans la précipitation. Que ce soit dans le choix du logiciel, de l'infrastructure ou de ses mises à jour ultérieures", constate Andreas Köninger. Le mot d'ordre est de bien planifier les opérations. "Si l'objectif est uniquement de lancer rapidement un site web, les décisions qui seront prises risquent de compliquer ou d'entraver les projets futurs", fait remarquer le professionnel. "Il existe bien sûr aussi l'option de concevoir des processus de manière agile et itérative. Une telle approche nécessite toutefois une équipe bien rodée ainsi que de l'expérience et comporte des défis spécifiques. En conséquence, à chaque étape, il faut également penser aux implications pour d'éventuelles extensions de la ligne de magasins numériques". C'est pourquoi l'expert conseille, en cas de doute, de se faire conseiller par un personnel spécialisé, notamment en ce qui concerne les subtilités techniques. "L'analyse ciblée du concept existant et des exigences qui en découlent augmente les chances de succès durable", sait Andreas Köninger.
Erreur #2 : Sous-estimer sa propre capacité d'innovation
Il n'est pas rare que les fournisseurs précurseurs s'orientent vers la concurrence. Mais pourquoi se présenter comme une copie alors que ses propres produits représentent quelque chose de fondamentalement nouveau ou une interprétation intelligente ? "Faire confiance à son instinct d'entrepreneur et avoir le courage d'exploiter une niche de marché s'avère souvent payant sur Internet", souligne Andreas Köninger. C'est pourquoi il vaut dans tous les cas la peine de faire des Unique Selling Points (USP), c'est-à-dire des caractéristiques uniques des produits, le cœur de la présentation. "Les nouveaux venus ont besoin d'un positionnement et d'une niche clairs et précis, mais ils devraient toujours penser au trafic mobile. En effet, selon le groupe cible, jusqu'à 50 pour cent des achats s'y font déjà", explique-t-il.
Erreur #3 : ne pas inclure le processus de commande
Seule la première impression décide de la conclusion d'une vente ? C'est un peu court ! "Même si des objets se trouvent déjà dans le panier, les clients potentiels sautent sur l'occasion.
Communiqué de presse les clients se détournent régulièrement. Il convient d'examiner attentivement si cela est dû, dans certains cas, au manque de disponibilité de différentes options d'expédition, à un compte client obligatoire ou à d'autres causes", explique Andreas Köninger. Ce qui est sûr, c'est que : L'ensemble du processus de commande contribue au succès de la boutique en ligne. Si l'on se fie entièrement à des images attrayantes sans tenir compte de l'expérience utilisateur tout au long du processus d'achat, on perd à la légère son chiffre d'affaires. Une attention particulière doit être accordée au processus de validation. "Environ 60 % des clients abandonnent le processus d'achat à ce stade", explique le spécialiste du commerce électronique. Pour la vente internationale, un large choix de moyens de paiement revêt une grande importance. Alors que dans un pays, les cartes de crédit sont par exemple le moyen de paiement privilégié, les clients d'autres régions du monde préfèrent des services de paiement comme PayPal. "Si l'option souhaitée n'est pas disponible, les acheteurs se mettent souvent à la recherche d'autres boutiques", constate l'expert.
Erreur #4 : négliger l'optimisation des performances
Des temps de chargement éternels ? Des images de produits qui s'affichent lentement ? Des éléments de navigation difficiles ? Aucun client n'aime attendre les offres, surtout sur Internet. "Les boutiques en ligne dotées d'un grand nombre de fonctions ont particulièrement tendance à rencontrer des problèmes de performance si elles ne sont pas adaptées par du personnel spécialisé", décrit Andreas Köninger. Même les plateformes légères peuvent parfois perdre de la vitesse. "Si les images des produits ne sont pas optimisées pour le web, les acheteurs attendent trop longtemps que la page se charge", explique Andreas Köninger. Si le chargement dure plus de trois secondes, la plupart des utilisateurs perdent patience. "Une maintenance et une optimisation régulières permettent d'éviter des pertes financières inutiles dues à des performances insuffisantes", confirme le professionnel.
Erreur #5 : Vouloir s'adresser à tous avec une boutique en ligne
En règle générale, des groupes cibles clairement identifiés achètent dans la boutique en ligne. Ils représentent également une grande partie du chiffre d'affaires. En conséquence, la présence sur Internet doit être adaptée à ce public. "Si l'on perd le focus, on risque rapidement de faire passer les USPs à l'arrière-plan", sait Andreas Köninger. C'est d'autant plus vrai dans le domaine B2B. Alors que les profanes recherchent des explications détaillées sur des produits nécessitant des explications, comme les capteurs spécialisés, le véritable groupe cible a besoin de données techniques concrètes. C'est pourquoi le spécialiste du commerce électronique conseille : "Dans cette mesure, il vaut généralement la peine de se concentrer sur les compétences clés de la boutique en ligne".
* Andreas Köninger est membre du conseil d'administration de SinkaCom AG. Plus d'informations sous : https://www.sinkacom.de/.
NDLR : nous n'avons pas encore discuté de la possibilité d'optimiser l'expérience utilisateur à l'aide de l'IA. ici rapporte.
Malgré la crise : la durabilité gagne en importance pour les PME
Malgré la guerre en Ukraine et la pandémie de Corona, le thème de la durabilité gagne en importance auprès des PME suisses. C'est ce que montre un récent sondage représentatif réalisé par l'institut d'études de marché YouGov pour le compte de Visable. Selon 46% des PME suisses interrogées, l'importance de la durabilité a nettement (18%) ou quelque peu (28%) augmenté en raison des crises actuelles.
Rédaction
-
21 avril 2022
Malgré ou à cause de la période de crise actuelle, les PME misent par exemple de plus en plus sur une mobilité plus écologique. (Image : Unsplash.com)
La période de crise actuelle ne semble pas freiner les tendances amorcées : plus des deux tiers de toutes les entreprises (69 pour cent) ont mis en œuvre des initiatives environnementales et climatiques au cours des douze derniers mois, selon une enquête récente commandée par l'exploitant de la plate-forme B2B Visable. Parmi ces mesures, c'est surtout le bureau numérique qui s'impose de plus en plus, certainement accéléré par les nécessités de la pandémie Corona. Près d'un tiers (29%) des PME interrogées ont davantage misé sur le home-office au cours des douze derniers mois. 26% des entreprises sont passées à des processus sans papier. Environ un quart des entreprises (23%) ont privilégié les réunions en ligne et un cinquième ont réduit leurs déplacements professionnels.
Malgré ou à cause de la crise : plus de mobilité écologique
Il existe également des mesures qui ont été prises indépendamment de la pandémie. Ainsi, 16 pour cent des PME ont encouragé la mobilité écologique de leurs collaborateurs et 12 pour cent ont utilisé de nouveaux véhicules électriques. Il n'en reste pas moins que 11 pour cent d'entre elles ont opté pour des sources d'énergie renouvelables.
Le résultat de l'enquête est surprenant. Les PME suisses ont en effet dû faire face à de nombreux autres défis depuis un certain temps. "Les crises actuelles posent d'énormes problèmes aux entreprises dans les domaines les plus divers : L'augmentation massive des coûts énergétiques et l'interruption des chaînes d'approvisionnement ne sont que deux exemples", explique le CEO de Visable, Peter F. Schmid. "Malgré cela, le thème de la durabilité ne perd pas de son importance, bien au contraire : c'est justement une période de crise qui montre aux entreprises que seule une gestion durable et prévoyante dans tous les domaines permet à leurs entreprises d'assurer leur avenir", explique Peter F. Schmid.
Source : Visable
L'enquête a été menée par l'institut d'études de marché YouGov du 5 au 10 avril 2022 220 auprès de décideurs de petites et moyennes entreprises suisses. L'enquête a eu lieu à l'occasion de la "Leaders for Climate Action Week". Visable soutient l'organisation "Leaders for Climate Action (LFCA)" dans son objectif d'atteindre un total de 100 millions de personnes avec des informations sur la protection du climat pendant la semaine d'action du 18 au 24 avril 2022.
Le travail à distance perd de son importance après une pandémie
Avec l'affaiblissement attendu de la pandémie, l'élan pour la mise en œuvre de mesures dans le domaine du travail à distance semble également s'essouffler : Une proportion nettement plus faible des personnes interrogées a prévu des mesures dans ce sens pour les douze prochains mois. Mais malgré la situation de travail déjà radicalement modifiée par deux années de pandémie, 14 % veulent encore développer le travail à domicile. 13 pour cent veulent passer encore plus aux réunions en ligne et 12 pour cent veulent réduire les déplacements professionnels. D'autres mesures telles que la promotion de la mobilité écologique (14%), le passage aux véhicules électriques (9%) et la conversion de l'approvisionnement énergétique aux sources renouvelables (10%) restent plus ou moins inchangées en termes d'importance pour les 12 prochains mois.
Tendances similaires en comparaison internationale
Outre la Suisse, l'enquête en ligne a été menée en Allemagne (508 participants), en Autriche (220 participants) et en France (530 participants). La comparaison entre les pays montre que la pertinence de l'économie durable n'est pas seulement restée intacte en raison des crises actuelles, mais qu'elle a même (nettement) augmenté dans certaines parties : L'importance de la durabilité a nettement ou légèrement augmenté pour 41 pour cent des PME allemandes interrogées. En Autriche, c'est le cas pour 49 pour cent des PME. En France, ce chiffre est tout de même de 36 pour cent.
Peter F. Schmid déclare à ce sujet : "Je suis heureux de voir que ce thème continue de gagner en importance sur nos principaux marchés. Pour encourager cette évolution, il est personnellement important pour moi d'aiguiser la conscience d'une action entrepreneuriale plus respectueuse du climat et, bien sûr, de la mettre en œuvre dans ma propre entreprise. C'est pourquoi je m'engage auprès des Leaders for Climate Action et nous soutenons la Leaders for Climate Week en tant qu'entreprise".
Etude sur les apprentis 2021 : les professionnels du commerce sont optimistes pour l'avenir
Depuis plus de 15 ans, la Société des employés de commerce interroge les jeunes diplômés de l'enseignement commercial en Suisse sur les conditions de travail pendant l'apprentissage, le passage à la vie professionnelle et leurs projets d'avenir. L'étude sur les apprentis en fin de formation 2021 montre qu'une grande partie des jeunes professionnels ont bien surmonté la situation difficile du Covid-19 et envisagent leur avenir de manière positive.
Rédaction
-
20 avril 2022
Selon l'étude sur les apprentis 2021 de la Société des employés de commerce, les jeunes professionnels envisagent l'avenir avec optimisme. (Image : Unsplash.com)
Avec environ 14 000 diplômés par an, l'apprentissage de commerce est la formation initiale la plus appréciée en Suisse. Afin d'observer la situation pendant et après l'apprentissage ainsi que les projets d'avenir des jeunes professionnels, la Société des employés de commerce mène chaque année depuis 2006 une enquête auprès des diplômé-e-s d'un apprentissage de commerce en Suisse. Environ 3600 personnes ont participé à la première vague de l'enquête en juillet 2021 ; environ 1200 personnes ont participé à la deuxième vague de l'enquête en novembre 2021. Les deux dernières années ont été marquées par la pandémie de Corona et les mesures prescrites. Pour les apprentis de commerce, cela a signifié un quotidien fait de travail à domicile et d'école à domicile, et donc une diminution des contacts avec leurs amis, leurs collègues de classe et les collaborateurs de l'entreprise. Outre la situation de l'emploi des jeunes professionnels et leurs plans de formation continue, l'étude sur les apprentis 2021 se concentre donc sur la santé psychique et le bien-être général.
L'apprentissage n'est pas une fin en soi
La pandémie Covid-19 avait fortement touché les jeunes professionnels et rendu leur entrée sur le marché du travail plus difficile. La situation des jeunes diplômés s'est toutefois rapidement rétablie en 2020 après les défis liés à la pandémie. Ainsi, la majorité des diplômé(e)s (71,6%) sont actifs au moment de la deuxième vague de l'enquête, en novembre 2021 (voir graphique 1). "La tendance à la hausse constatée ces dernières années se poursuit après un creux intermédiaire en 2020", confirme Kathrin Ziltener, responsable de la formation initiale & du conseil aux jeunes à la Société des employés de commerce. Avec 4,2% en novembre, la part des demandeurs d'emploi est même plus faible que dans les années précédant Corona. L'intérêt des jeunes apprentis de commerce pour la formation continue est toujours aussi énorme. Environ 90% des participants ont déjà commencé une formation continue ou prévoient d'en suivre une à l'avenir. "L'enquête confirme que le SEC continue à servir de formation de base solide pour les spécialisations et les carrières les plus diverses", déclare Ziltener.
Graphique 1 : Activité professionnelle quatre mois après la fin de l'apprentissage (en %) (source : kfmv)
L'étude 2021 sur les apprentis en fin de formation a posé des questions spécifiques sur le bien-être et la santé psychique
Il est réjouissant de constater qu'environ 90% ont perçu positivement la période de formation dans l'entreprise formatrice/de stage : Tant au niveau de la nature des tâches, de l'ambiance de travail que de l'encadrement par les formateurs/trices professionnels/les et pratiques. La plupart des personnes interrogées se sont également bien accommodées de la situation plus difficile du Covid 19 et envisagent l'avenir de manière positive. Néanmoins, une proportion considérable de jeunes fait part de ses craintes. Environ un tiers (32,4 %) des jeunes indiquent que l'avenir les préoccupe. "Les raisons sont de nature différente : certains s'inquiètent pour leur avenir professionnel, leur emploi ou les formations continues, d'autres se sentent dépassés et stressés", explique Ziltener. Les mégatendances que sont la numérisation et le changement climatique font également partie des facteurs d'incertitude.
Ziltener constate : "Il est particulièrement important que les jeunes aient la possibilité de parler de leurs peurs et de leurs sentiments négatifs. Ce n'est qu'en en parlant ouvertement que des solutions peuvent être trouvées pour les personnes concernées et que la santé mentale peut être renforcée". 86% des participants ont une ou plusieurs personnes dans leur entourage avec lesquelles ils peuvent parler en toute confiance de leurs soucis et de leurs angoisses. Mais tous les jeunes ne sont pas logés à la même enseigne : environ 14% indiquent qu'ils ne peuvent ou ne veulent parler de leurs problèmes à personne (voir graphique 2). Pour ces jeunes, il est urgent d'avoir des points de contact externes afin qu'ils puissent obtenir le soutien nécessaire même dans des situations difficiles.
Graphique 2 : Où les apprentis ont souhaité plus de soutien pendant la pandémie. (Source : kfmv)
La Société des employés de commerce dit prendre très au sérieux les préoccupations des apprentis de commerce et leur besoin d'être mieux informés, c'est pourquoi elle élargit son offre de soutien existante. Un nouveau partenariat avec la fondation Promotion Santé Suisse en fait partie. Celui-ci met davantage l'accent sur la santé des apprentis et sur un home office sain. Reto Kälin, responsable des partenariats de Promotion Santé Suisse, confirme : "Le Job Stress Index que nous calculons périodiquement depuis 2014 fournit des chiffres clés sur l'impact du stress lié au travail sur la santé et la productivité des personnes actives. La dernière enquête étaye le fait qu'une attention particulière devrait être accordée à la santé psychique des jeunes actifs". La comparaison de différents groupes d'âge montre qu'en Suisse, les jeunes travailleurs âgés de 16 à 24 ans présentent le taux de stress le plus élevé. Promotion Santé Suisse a lancé en 2021 l'offre Apprentice pour les personnes en formation professionnelle afin de promouvoir la santé psychique des apprentis. Dans le cadre des programmes d'action cantonaux et de deux campagnes de promotion de la santé psychique menées dans les régions linguistiques, la fondation s'engage également, en collaboration avec les cantons, pour que les jeunes se nourrissent de manière équilibrée, fassent plus d'exercice et restent en bonne santé psychique.
Source et informations complémentaires : SEC Suisse
L'augmentation des volumes et les taux de fret élevés donnent à Dachser des chiffres records
Au cours de l'exercice 2021, le groupe logistique Dachser a augmenté son chiffre d'affaires consolidé de 26,0 %, à 7,1 milliards d'euros. Après le pas de côté de l'année précédente dû au lockdown, l'entreprise renoue avec la croissance.
Rédaction
-
20 avril 2022
Les augmentations de volume et les taux de fret élevés génèrent pour les logisticiens de Dachser une Une croissance record. Le fret aérien et maritime progresse à lui seul de 78,3 %. (Photo : Dachser)
En 2021, le groupe logistique international Dachser a réalisé pour la première fois un chiffre d'affaires de plus de 7 milliards d'euros. L'exercice clôturé a été exceptionnel à bien des égards, l'augmentation des volumes et les taux de fret élevés ont généré une croissance record. Le fret aérien et maritime à lui seul a augmenté de 78,3 pour cent. Les augmentations organiques des envois et des tonnages de 6,3 et 7,7 pour cent au niveau du groupe sont à l'origine de ce bilan annuel positif. Les prix élevés du fret, dus à la pénurie d'espace de chargement sur tous les modes de transport, ont complété le bond du chiffre d'affaires. Dachser Suisse a réalisé un chiffre d'affaires net de 128,8 millions de francs suisses pour l'exercice 2021 (2020 : 99,05 millions de francs suisses). Cela correspond à une augmentation de 30 pour cent. En 2021, Dachser Suisse a transporté 621.000 envois d'un poids de 264.800 tonnes.
Des taux de fret élevés dans de nombreux secteurs d'activité
Le secteur d'activité Road Logistics, dans lequel Dachser regroupe le transport et l'entreposage de biens industriels et de consommation (European Logistics) ainsi que de denrées alimentaires (Food Logistics), a connu en 2021 une croissance de 12,3 pour cent pour atteindre 4,99 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Après que les lockdowns dans le sud de l'Europe aient entraîné une baisse du chiffre d'affaires de 2,2 pour cent en 2020, le résultat représente également une augmentation significative par rapport à l'année 2019, qui a précédé Corona.
La Business Line European Logistics a fortement augmenté son chiffre d'affaires de 13,1 pour cent et a enregistré un chiffre d'affaires de 3,92 milliards d'euros. Après plusieurs années de stagnation, le nombre d'envois a nettement augmenté de 6,8 pour cent à 72,0 millions, et les tonnages ont même progressé de 8,5 pour cent à 30,0 millions. Toutes les unités d'affaires régionales - Germany, North Central Europe, France & Maghreb et Iberia - ont enregistré une augmentation à deux chiffres de leur chiffre d'affaires.
Des interruptions de la chaîne d'approvisionnement, des capacités de fret limitées et des taux élevés en conséquence ont caractérisé l'activité du fret aérien et maritime en 2021. Suite à cette évolution, le secteur Air & Sea Logistics a enregistré une croissance record de 78,3 % de son chiffre d'affaires. Les envois y ont augmenté de 9,1 pour cent, les tonnages même de 20,9 pour cent. La poursuite de l'extension des affrètements de fret aérien en un réseau de trafics réguliers entre l'Asie, l'Europe et l'Amérique du Nord s'est révélée particulièrement fructueuse. En 2021, Dachser a effectué au total 230 vols charter.
Agir de manière stratégique et orientée vers l'avenir
L'année 2022 s'annonce toujours comme une année de volatilité et de défis pour le marché. La guerre en Ukraine provoque une souffrance humaine extrême. Elle laissera également de profondes traces dans l'économie mondiale. À cela s'ajoutent des coûts de l'énergie et du carburant historiquement élevés, une nouvelle aggravation de la pénurie de chauffeurs et des perturbations persistantes dans les chaînes d'approvisionnement mondiales, notamment en raison de foyers de COVID-19, comme récemment en Chine et à Hong Kong.
Cependant, Dachser continue d'investir dans des installations logistiques, des technologies numériques et des équipements. Après une centaine de millions d'euros en 2021, quelque 200 millions d'euros sont prévus pour 2022. " Parmi eux, des projets phares comme notre entrepôt à hauts rayonnages entièrement automatisé à Memmingen, d'une capacité de 52 000 palettes, qui sera mis en service en octobre ", explique Burkhard Eling, CEO de Dachser. "Par ailleurs, nous investissons substantiellement dans la numérisation, les mesures de protection du climat et surtout dans nos collaborateurs, car la logistique est et reste une activité faite par des hommes pour des hommes". En 2021, Dachser a embauché environ 1 000 personnes supplémentaires dans le monde entier, environ 2 200 jeunes suivent actuellement une formation chez Dachser dans le monde entier. Dachser Suisse est aujourd'hui présent sur sept sites et emploie 292 personnes.
Les temps de crise stimulent le marché des cryptomonnaies
La guerre continue de faire rage en Ukraine. Depuis le début du conflit, les cours de certaines monnaies numériques se sont montrés plus stables que ne le prévoyaient certains experts. Le besoin des personnes et des entreprises d'une aide immédiate aux paiements et l'assouplissement de la politique monétaire par les principales banques centrales ont entraîné une forte hausse.
Rédaction
-
19 avril 2022
Andrey Wolfsbein de Freedom Finance explique pourquoi les cryptomonnaies résistent aux temps de crise. (Image : zVg/Freedom Finance)
Il semble que les périodes de crise n'affectent pas les crypto-monnaies, au contraire : l'enthousiasme pour les moyens de paiement numériques ne diminue toujours pas. Par rapport à l'année précédente, le nombre de personnes possédant des cryptomonnaies a augmenté de plus d'un tiers. Une personne sur dix dans le monde est désormais en possession d'au moins une cryptomonnaie. Les autorités de régulation observent également les marchés des cryptomonnaies avec beaucoup d'intérêt. Le Salvador, par exemple, a déclaré le bitcoin comme moyen de paiement officiel. Ce n'est qu'en février, peu avant le début de la guerre, que l'Ukraine a adopté une nouvelle loi légalisant les cryptomonnaies. Les monnaies numériques continuent de jouer un rôle important en Ukraine. "Les entreprises ukrainiennes et étrangères seront désormais en mesure de travailler officiellement avec des cryptomonnaies, d'ouvrir des comptes bancaires ou encore de proposer leurs services à la population", explique Andrey Wolfsbein, porte-parole pour la Suisse de la société d'investissement Freedom Finance. Il s'agit d'une société d'investissement internationale et auditée au niveau international, qui compte plus de 340.000 clients et offre un accès direct au négoce sur les plus grandes places boursières sur les marchés américains, européens et asiatiques.
Malgré les temps de crise : Le bitcoin a repris du poil de la bête
Si le cours de certaines monnaies numériques s'est brièvement effondré fin février, on observe actuellement une certaine reprise. Depuis l'éclatement du conflit fin février, le cours du bitcoin a augmenté et se maintient depuis à un niveau constant. En effet, l'intérêt pour les investissements dans les moyens de paiement numériques augmente généralement avec les tensions mondiales croissantes. Les gens craignent pour leur argent en temps de crise et ne veulent pas le confier à un gouvernement potentiellement instable. Parallèlement, la confiance dans les systèmes de paiement tels que PayPal, Visa et Mastercard diminue. "Même si les crypto-monnaies ne sont pas à leur plus haut niveau, le bitcoin se maintient bien en ce moment", estime Wolfsbein. En effet, avec plus de 40 000 dollars américains (au 13 avril 2022), le cours du bitcoin se situe toujours au-dessus de la barre psychologiquement importante des 40 000 dollars. Les cours d'autres monnaies connues comme l'Ethereum, le Solana et le Binance Coin ont également augmenté le mois dernier.
La crise comme force motrice
La guerre actuelle en Ukraine n'a donc pas d'influence négative trop importante sur le marché des cryptomonnaies, bien au contraire. "Dans une crise géopolitique, l'un des principaux avantages des actifs numériques est qu'ils permettent un transfert d'argent rapide et surtout mondial", explique Wolfsbein pour expliquer l'intérêt croissant pour les crypto-monnaies en temps de crise. Il cite l'exemple de la Turquie : "En 2021, l'inflation en Turquie a atteint un pic de près de 20 ans, à 36%. La monnaie nationale a perdu près de la moitié de sa valeur par rapport au dollar américain. En revanche, le nombre de personnes possédant des crypto-monnaies a doublé en un an. Près d'un internaute turc sur cinq en possède désormais une". Si les crypto-monnaies semblent si attrayantes pour beaucoup en temps de crise, c'est surtout en raison de leur caractère décentralisé et des possibilités de paiement et de transfert rapides. En temps de crise, les gens se réfugient volontiers dans les investissements en or, mais le mois dernier, on a comparativement beaucoup investi dans les monnaies numériques. Ce n'est pas parce que les crypto-investissements sont plus sûrs que les investissements en or - ils restent un produit d'investissement à haut risque. Les crypto-monnaies marquent plutôt des points grâce à leurs possibilités numériques, qui gagnent nettement en pertinence et sont nécessaires, notamment dans les situations de crise aiguë. Wolfsbein met néanmoins en garde : "Les cours des crypto-monnaies ne dépendent pas uniquement de la situation actuelle. Les facteurs fondamentaux ne doivent pas non plus être oubliés maintenant. La Fed augmente les taux d'intérêt et les augmentera encore d'ici l'été. Dans des périodes comme celle-ci, l'argent cherche des placements sans risque".
Reconnaître les changements de tendance
En temps de crise, les gens ont souvent tendance à vouloir investir rapidement. Le marché des cryptomonnaies en particulier se caractérise par des fluctuations de cours rapides, raison pour laquelle il est conseillé d'analyser les mouvements de plus près avant d'investir. Un mouvement constant à la hausse du cours et une accumulation constante d'ordres d'achat indiquent qu'un changement de tendance a soit déjà eu lieu, soit est sur le point de se produire. En outre, un changement de tendance s'observe lorsque le cours d'un actif oscille entre des sommets et des creux, explique Wolfsbein. De tels événements ont pu être observés à la mi-janvier et à la mi-mars 2022. Outre l'analyse technique, il faudrait également tenir compte de l'activité croissante dans des communautés de médias sociaux spécifiques comme Twitter, Telegram ou Reddit, afin de pouvoir déterminer plus précisément la tendance des cours de certaines cryptomonnaies. "Un intérêt public accru pour un sujet ou encore un battage médiatique indiquent également que le marché va bientôt s'inverser. Il convient d'en tenir compte dans la situation actuelle", explique Wolfsbein. Le fait qu'un investissement dans une cryptomonnaie comme le bitcoin soit considéré comme une opportunité ou un risque en période de crise aiguë dépend donc aussi en grande partie de l'imminence d'un changement de tendance.
Barbara Bader nommée rectrice de la Haute école de Lucerne
Le Conseil de la Haute école spécialisée de Lucerne a élu la professeure Barbara Bader comme nouvelle rectrice. Elle succédera au Dr Markus Hodel le 1er décembre 2022.
Rédaction
-
19 avril 2022
Barbara Bader, rectrice désignée de la Haute école de Lucerne. (Photo : Ulrike Myrzik)
Après une procédure de sélection en plusieurs étapes, le Conseil des hautes écoles spécialisées a élu la professeure Barbara Bader au poste de rectrice de la Haute école de Lucerne (HSLU). La Bernoise d'origine dispose d'une longue expérience de direction stratégique et opérationnelle dans l'environnement universitaire suisse et allemand. De par ses anciennes fonctions de professeur, de directrice de filière et d'institut, cette manager universitaire expérimentée peut en outre s'appuyer sur un savoir-faire et une vaste expérience de l'enseignement et de la recherche dans le contexte des hautes écoles spécialisées.
De Stuttgart à Lucerne
La carrière de Barbara Bader a commencé par l'obtention d'un diplôme d'enseignement primaire et secondaire. En 2002, elle s'est installée en Angleterre et a obtenu son doctorat en histoire de l'art à l'université d'Oxford. À son retour en Suisse, elle a pris la fonction de directrice d'institut à la Haute école des arts de Zurich (ZHdK) et, après quelques années, elle a rejoint la Haute école spécialisée bernoise, où elle a dirigé les filières de master et de bachelor en éducation artistique. En 2013, elle a été nommée professeur de didactique de l'art et de sciences de l'éducation à la Staatliche Akademie der Bildenden Künste (ABK) de Stuttgart et, peu de temps après, elle a également été nommée au conseil d'administration de cette université. Depuis 2017, Barbara Bader est rectrice de l'ABK Stuttgart, qui regroupe quatre facultés (architecture, design, art, sciences de l'art-restauration) sous son toit.
Barbara Bader prend la relève le 1er décembre 2022
À partir du 1er décembre 2022, elle prendra donc la direction de la HSLU et remplacera Markus Hodel, qui a été à la tête de la haute école pendant 16 ans. "Nous sommes très heureux d'avoir trouvé en Barbara Bader une personnalité dirigeante intégrative et communicative pour occuper le poste de directrice.
Anton Lauber, président du Conseil des hautes écoles spécialisées (CHES), a déclaré : "Je suis heureux d'avoir trouvé un successeur qui allie une expérience approfondie de la gestion des hautes écoles à un vaste réseau au niveau national et international". Sylvia Egli von Matt, vice-présidente du FHR et également membre de la commission de sélection, souligne : "Les exigences envers les hautes écoles en matière de transfert de savoir et de technologie ont augmenté. Les liens avec l'économie, la politique, la culture et la société sont plus étroits que jamais. Nous sommes convaincus que Barbara Bader donnera de nouvelles impulsions à des champs thématiques stratégiques tels que la transformation sociale et numérique, la durabilité et la diversité, et qu'elle continuera à développer notre haute école et la place universitaire de Lucerne de manière qualitative et ambitieuse".
18e Journée du personnel de Suisse orientale : des mondes du travail en mutation rapide
La 18e Journée du personnel de Suisse orientale, qui aura lieu le 15 septembre 2022 à Saint-Gall, sera placée sous le signe du changement. La pandémie de Corona a modifié de manière marquante les environnements de travail au cours des deux dernières années. Que reste-t-il ?
Rédaction
-
14 avril 2022
Les conférenciers de la 18e Journée du personnel de Suisse orientale (dans le sens des aiguilles d'une montre) : Carlos Frischmuth, Elke Thamm, Sarah Genner, Stefan Camenzind. (Images : zVg)
Lockdown, home office, collaboration virtuelle, obligation de porter un masque, gel des embauches. L'éruption de Covid-19 a bouleversé nos environnements de travail au printemps 2020. Les gagnants sont la numérisation et les natifs du numérique, qui ont toujours vu le monde du travail différemment des générations qui les ont précédés. Mais dans quelle mesure ce changement lancé à toute vitesse est-il durable ? Il ne fait aucun doute que les entreprises doivent repenser leurs structures et leurs modèles de temps de travail et trouver de nouvelles formes de gestion du personnel. La Journée du personnel de Suisse orientale 2022 fournira des inputs de différents points de vue. À quoi pourraient ressembler les postes de travail de demain ? Quels nouveaux modes de pensée sont opportuns ? À quoi ressembleront les futurs processus de recrutement ? Comment promouvoir les talents ? Ce ne sont pas seulement les spécialistes RH qui sont sollicités, mais tous les cadres et collaborateurs, ainsi que les architectes de bureau, les artistes et même les philosophes.
18e Journée du personnel de Suisse orientale avec deux conférencières, deux conférenciers
Le 15 septembre 2022, l'éventail des intervenants qui se pencheront sur les perspectives des nouveaux environnements de travail est donc très large. Stefan Camenzind, partenaire et CEO d'Evolution Design AG à Zurich, se penchera sur les changements de notre environnement de travail suite à la pandémie. Dr Sarah Genner, spécialiste des médias et conférencière zurichoise, se penchera sur les effets de la transformation numérique sur la main-d'œuvre et les postes de travail. Elke Thamm, Global Head of Personnel Development chez Bühler AG à Uzwil, présentera de nouveaux modes de pensée et modèles dans le développement organisationnel. Enfin, l'auteur Carlos Frischmuth, qui suit les débats sur le marché du travail au Bundestag à Berlin en tant que Managing Director du cabinet international de conseil en ressources humaines Hays, fournira des réponses et des messages sur le nouveau monde du travail. Tous ces apports sur le monde du travail du futur seront complétés par une table ronde.
Inscription par site web
Les inscriptions pour la Journée du personnel de la Suisse orientale 2022 - avec un rabais pour les inscriptions anticipées - sont possibles dès maintenant via le site web : www.personaltag.ch. Le nouveau site web contient également les dernières informations et mises à jour sur la journée du personnel, ainsi que des textes et des photos sur les événements des années précédentes.
La 18e Journée du personnel de Suisse orientale aura lieu l'après-midi du 15 septembre 2022 à partir de 13h30 dans la halle 9.1.2 de l'Olma Messen de Saint-Gall. Un apéro riche sera servi à 17 heures et il y aura bien sûr la possibilité d'un networking étendu.