Comment garder votre bureau au frais, même sans climatisation

L'été a atteint son apogée avec ses journées de canicule. Ceux qui ne peuvent pas s'échapper vers des régions plus fraîches et qui doivent travailler dans un bureau surchauffé peinent à passer la journée. Que peut-on faire ? SuisseEnergie, respectivement l'Office fédéral de l'énergie, déconseille en tout cas les climatiseurs qui consomment beaucoup d'électricité, mais donne d'autres conseils pour que le bureau reste frais même sans climatisation.

Ceux qui doivent passer les journées de canicule dans un bureau se languissent d'une climatisation. Il existe pourtant des alternatives efficaces et peu gourmandes en énergie. (Image : Pixabay.com)

Passer les journées de canicule au bureau ? Aérer correctement, utiliser des protections solaires et éliminer les sources de chaleur apportent souvent déjà un soulagement sensible. SuisseEnergie donne les conseils suivants pour des bureaux frais même sans climatisation :

Conseil n° 1 : utiliser la protection solaire suffisamment tôt et intelligemment

Qui ne connaît pas cette situation : les prévisions météorologiques annoncent une chaude journée d'été et nous nous préparons déjà à transpirer au bureau. Mais il ne fait vraiment chaud qu'aux alentours de midi. Fermer la protection solaire devant les fenêtres ne sert alors plus à grand-chose. C'est pourquoi il vaut mieux empêcher les rayons du soleil d'entrer dès le matin. La coordination est ici la clé du succès : le premier à arriver au bureau le matin devrait immédiatement obscurcir toutes les fenêtres. Il vaut également la peine de réfléchir à une commande automatique de vos systèmes de protection solaire en fonction des besoins.

Conseil n° 2 : bien aérer

Si les bureaux se trouvent à l'étage et que les fenêtres ouvertes ne sont pas une invitation pour les voleurs, il vaut la peine de les laisser ouvertes pendant la nuit. L'aération transversale est particulièrement efficace : ouvrez les fenêtres opposées et créez ainsi un courant d'air. Comme pour la protection solaire, il faut s'organiser pour aérer. Il est préférable d'ouvrir toutes les fenêtres ensemble le matin plutôt que de les ouvrir à des heures différentes tout au long de la journée.

Conseil n° 3 : créer des courants d'air avec des ventilateurs à faible consommation d'énergie

L'air en mouvement extrait de la chaleur du corps. Cet effet est appelé effet de refroidissement éolien et peut être créé artificiellement par des ventilateurs. Les réfrigérateurs ont besoin d'une puissance d'environ 1000 watts pour fonctionner, tandis que les ventilateurs se contentent d'une puissance d'environ 50 watts. Les ventilateurs consomment donc nettement moins d'électricité que les climatiseurs et produisent souvent une sensation de fraîcheur similaire. Lors de l'achat, veillez à ce que les ventilateurs soient silencieux, qu'ils tournent lentement et qu'ils aient un grand diamètre. Placez-les si possible à proximité du sol. Vous dirigerez ainsi l'air plus frais vers le haut.

Conseil n° 4 : réduire les sources de chaleur

Les appareils électriques et les éclairages dégagent de la chaleur pendant leur fonctionnement. Éteignez systématiquement les écrans externes, les mémoires, les imprimantes ou les éclairages lorsque vous ne les utilisez pas. Si vous remplacez des appareils, veillez lors de l'achat à ce que appareils à haute efficacité énergétique en consultant l'étiquette énergie. La page topten.ch vous offre un aperçu des appareils électriques recommandés et efficaces sur le plan énergétique.

Conseil n° 5 : adapter son comportement

Votre entreprise propose-t-elle des horaires flexibles ? Alors commencez votre journée de travail plus tôt et profitez des heures fraîches du matin. Le soir, vous aurez ainsi plus de temps pour vous rafraîchir à la piscine ou pour vous rendre à la gelateria la plus proche. Buvez en outre au moins un litre et demi par jour et choisissez un repas facile à digérer lorsqu'il fait chaud. Une pause déjeuner plus longue (sieste) et une tenue de bureau estivale adaptée en lin, en soie ou en coton sont des aides complémentaires.

Contre le gaspillage alimentaire : des stratégies efficaces pour les entreprises et les consommateurs

Au niveau mondial, environ 25 pour cent de l'impact environnemental du système alimentaire global est dû au gaspillage alimentaire. Les nouveaux produits, qui disparaissent rapidement des rayons des supermarchés, représentent une part non négligeable de ce gaspillage. Une plate-forme Internet veut lutter contre ce phénomène.

Le gaspillage alimentaire : un problème mondial. De nombreux nouveaux produits qui ne s'imposent pas sur le marché en sont également responsables. (Image : Unsplash.com)
Chaque année, 1,3 milliard de tonnes de nourriture sont jetées à la poubelle dans le monde. Outre le gaspillage des ressources, cela représente également une charge extrême pour le climat. Mais les consommateurs ne sont pas les seuls à devoir repenser leur consommation et à faire des achats plus durables. Les fabricants de la branche Fast-Moving-Consumer-Goods doivent eux aussi agir et créer des concepts alternatifs afin d'éviter le gaspillage alimentaire. "Ici, ce sont surtout les échecs de lancement de produits qui constituent un problème majeur. Toutefois, les commentaires des clients et les études de marché ciblées peuvent aider à réduire les émissions, les déchets plastiques et d'emballage ainsi que les déchets alimentaires et à diminuer l'empreinte écologique", révèle André Moll, fondateur et directeur général de Utry.me, qui affirme être le premier marché de dégustation en ligne "sans prix" au monde.

Plate-forme marketing contre le gaspillage alimentaire

En collaboration avec Tobias Neuburger, André Moll a créé cette plateforme marketing en 2018 à Munich. Elle propose aux consommateurs un assortiment quotidien de nombreux nouveaux produits dans les domaines de l'alimentation, des boissons, des cosmétiques, des articles ménagers et de la nourriture pour animaux. "Sans prix" ne signifie toutefois pas que tout est gratuit ; le concept fonctionne comme suit : Pour un prix forfaitaire de 24,90 euros, les utilisateurs enregistrés peuvent se composer une boîte d'essai colorée de marques renommées, tester les différents produits et donner leur avis. Les entreprises partenaires obtiennent ainsi des commentaires importants de la part des utilisateurs sur leurs produits et des contacts d'essai basés sur l'attraction sans perte de diffusion. Les consommateurs profitent ainsi d'une valeur nettement plus élevée des produits et d'une occasion unique de se défaire de leurs anciennes habitudes d'achat et d'essayer quelque chose de nouveau à la place.

Des produits à profusion

Chaque année, des dizaines de milliers de nouveaux produits sont lancés sur le marché par les fabricants de produits de grande consommation. Mais douze mois plus tard, les trois quarts de ces articles ont déjà disparu des rayons des supermarchés. André Moll explique pourquoi il en est ainsi : "La plupart des clients ont tendance à mettre toujours les mêmes 40 à 50 produits dans leur panier d'achat. Beaucoup n'ont même pas l'idée d'essayer quelque chose de nouveau. Ce comportement d'achat discipliné nuit cependant à chaque nouveau lancement de produit, avec pour conséquence que le commerce de détail allemand jette chaque année environ 500.000 tonnes de denrées alimentaires". Selon la rédaction, la situation devrait être à peu près similaire en Suisse, ramenée au volume du marché local.
André Moll, cofondateur de Utry.me, une plate-forme marketing qui permet de tester les nouveaux produits pour voir s'ils ont la faveur des consommateurs. (Image : Utry.me)
Mais comment résoudre ce problème ? Si les entreprises savaient quels articles du marché sont souhaités par les consommateurs, elles pourraient économiser beaucoup d'argent et éviter qu'un grand nombre de produits alimentaires ne finissent à la poubelle. "Une étude de marché efficace et intelligente est la clé pour lutter activement contre le gaspillage alimentaire. Si les fabricants connaissent les souhaits et les besoins de leurs clients potentiels, ils peuvent adapter leurs articles en conséquence, ce qui permettrait d'augmenter massivement le nombre de lancements de produits réussis. C'est sur ce concept que repose Utry.me", explique André Moll.

Gain pour toutes les parties

D'un côté, Utry.me offre aux grandes entreprises la possibilité de présenter aux consommateurs de nouveaux produits de consommation sans indication de prix dans la boutique en ligne. Ainsi, l'accent est mis uniquement sur le produit lui-même et les acheteurs reçoivent uniquement les articles qu'ils ont eux-mêmes choisis. Ensuite, il est possible de réaliser une étude de marché intensive. Grâce à des screenings de concepts, des tests d'emballages, des analyses conjointes ainsi qu'aux nombreux et honnêtes feedbacks des utilisateurs, les fabricants obtiennent de précieuses informations sur leurs groupes cibles. "Pour les entreprises, c'est l'occasion de tester les chances de succès d'un nouveau produit avec un petit nombre d'unités et sans investissements initiaux risqués, avant même le lancement du produit. Comme seuls les articles qui ont fait leurs preuves trouvent une place dans les rayons des supermarchés, la demande se régule et la surproduction est réduite", sait André Moll. Ainsi, ce ne sont pas seulement les fabricants qui contribuent à une gestion durable des biens de consommation, mais aussi les consommateurs - qui découvrent au passage de nouveaux articles préférés grâce à Utry.me. Plus d'informations : Utry.me Le post Contre le gaspillage alimentaire : des stratégies efficaces pour les entreprises et les consommateurs appeared first on Organisateur.

Rétrospective de l'événement : Female Business Seminars CEO-Talk avec Silvio Denz

Silvio Denz, président du conseil d'administration de Lalique Group SA, a donné un aperçu précieux de sa vie et de son œuvre lors du Female Business Seminars CEO-Talk à l'hôtel Les Trois Rois. Grâce à des dialogues passionnants avec des décideurs importants, l'entreprise Female Business Seminars apporte une contribution importante à une plus grande diversité de talents dans l'économie suisse.

Le bon flair pour les parfums, les vins et une culture d'entreprise responsable : Silvio Denz en a parlé lors du Female Business Seminar CEO-Talk du 5 juillet 2022. (Photo : zVg / Adriana Tripa)

Le mardi 5 juillet 2022, le quatrième CEO-Talk de Female Business Seminars avec Silvio Denz, actionnaire principal et VRP de Lalique Group SA, s'est déroulé avec succès. L'entretien a été mené par Madame Karin Jeker Weber, fondatrice et CEO de Female Business Seminars. Silvio Denz, entrepreneur expérimenté, a donné au public un aperçu de son groupe Lalique, des hôtels et des domaines viticoles. Au cours de la discussion, il est apparu clairement qu'il est important d'avoir du flair pour les personnes et l'histoire derrière une entreprise. L'entrepreneur, qui a eu très jeune un bon flair pour les parfums, a en outre souligné la pertinence de la création d'expériences qui font appel à tous les sens. "Créez des expériences qui font appel à tous les sens", tel était le message de l'invité du talk-show.

L'héritage du fondateur de l'entreprise René Lalique a été ressuscité sous la direction de Silvio Denz, complété par une expérience et des relations commerciales précieuses dans le secteur des cosmétiques et des parfums. Avec Silvio Denz, le public a fait la connaissance d'un CEO responsable, pour qui le maintien des emplois et du site de production à Wingen (Alsace) est particulièrement important. Aujourd'hui, on peut également y visiter un musée avec plus de 650 œuvres en bijoux, cristal et verre décoratif ou la villa de René Lalique transformée en hôtel. Positionné comme un événement exclusif, l'établissement 5 étoiles Les Trois Rois à Bâle offrait le cadre approprié pour cette manifestation. L'hôtesse et directrice générale de l'hôtel Tanja Wegmann, qui a transmis son poste à son successeur Philippe Clarinval début juillet, était également présente.

Source : www.femalebusinessseminars.ch

Diriger des collaborateurs hautement qualifiés et sûrs d'eux

Les collaborateurs hautement qualifiés sont généralement sûrs d'eux. Ils remettent donc souvent en question les opinions et les décisions de leurs supérieurs. C'est pourquoi les cadres ont parfois du mal à les gérer.

Diriger des collaborateurs et collaboratrices sûrs d'eux est une tâche exigeante. (Image : Unsplash.com)

Aujourd'hui, les cadres n'ont souvent plus d'avance sur leurs collaborateurs en termes de connaissances techniques et d'expérience. En effet, il n'est pas rare que ces derniers soient des spécialistes hautement qualifiés. Ces collaborateurs sont donc très sûrs d'eux, surtout lorsqu'ils savent que l'entreprise dépend de leur expertise. Ils veulent alors ressentir au quotidien l'estime qu'ils estiment leur être due. Si cela fait défaut, leur motivation au travail diminue et, dans le cas extrême, ils changent d'employeur.

Communiquer plus et différemment

De nombreux cadres ont du mal à diriger des collaborateurs aussi sûrs d'eux, notamment parce que certains ont encore secrètement intériorisé le credo selon lequel leurs instructions doivent être suivies aveuglément. Mais de nombreux membres de la "génération Y", nés après 1980 et qui forment aujourd'hui déjà l'épine dorsale de nombreuses entreprises, voient les choses différemment. Ils remettent souvent en question les instructions et les décisions de leurs dirigeants et veulent avoir une explication plausible à leurs yeux sur la nécessité de certaines choses.

Cela signifie pour les cadres : Ils doivent communiquer davantage et différemment qu'auparavant avec leurs collaborateurs. Au lieu de donner des instructions du haut vers le bas, il faut aujourd'hui impliquer les employés dans les processus de décision. Si cela n'est pas possible, les cadres doivent au moins accepter que les collaborateurs, en plus de leurs décisions, remettent parfois en question leur comportement.

En théorie, la plupart des cadres en sont bien conscients. Mais cela ne signifie pas qu'ils adoptent toujours le bon comportement de direction dans leur travail quotidien. On constate souvent que dans les situations où ils sont eux-mêmes tendus, les supérieurs adoptent un comportement qui correspond davantage à un style de gestion autoritaire qu'à un style de gestion partenarial et coopératif. Il n'est pas rare qu'ils provoquent ainsi des conflits qui auraient pu être évités.

Les collaborateurs "tiquent" très différemment

Dans la vie quotidienne de l'entreprise, on constate en outre que les équipes composées de nombreux collaborateurs sûrs d'eux ne rencontrent jamais de problèmes avec certains d'entre eux, mais que les relations avec d'autres sont toujours conflictuelles, ce qui fait que ces collaborateurs sont étiquetés "difficiles" par leur direction.

Si l'on analyse les causes de cette situation, on constate souvent que si la relation entre le cadre et le collaborateur est bonne, les cadres ont la plupart du temps

  • ont un système de valeurs similaire à celui des collaborateurs avec lesquels ils s'entendent bien, et/ou
  • leurs préférences en matière de comportement correspondent aux attentes que les collaborateurs ont envers leur manager en raison de leur système de valeurs.

Il en va autrement pour les "collaborateurs difficiles". Soit ils ont un système de valeurs différent de celui de leur manager, ce qui fait que d'autres choses sont importantes pour eux. Ou bien ils ont, en raison de leur système de valeurs, des attentes envers leur manager que celui-ci ne satisfait pas en raison de leurs préférences.

Connaître les différents systèmes de valeurs

Les systèmes de valeurs et les attentes divergents ne posent généralement pas de problème dans le quotidien de l'entreprise si les cadres les connaissent. Mais de nombreux supérieurs ne sont même pas conscients de leur propre système de valeurs et de leurs propres préférences en matière de comportement. Et c'est encore moins le cas en ce qui concerne les collaborateurs. Pourtant, cela devient de plus en plus important pour une direction réussie - notamment parce qu'aujourd'hui, de moins en moins de personnes sont prêtes à accepter sans poser de questions une quelconque autorité qu'elles n'ont pas choisie.

Si les supérieurs souhaitent diriger leurs collaborateurs de manière individuelle et conformément à leurs systèmes de valeurs, ils doivent savoir ce qui suit :

  • Quel est le "tic" de mon collaborateur ?
  • Comment voit-on le monde à travers ses "lunettes" ?
  • De quoi a-t-il besoin pour être performant ?

Car ce n'est qu'alors que les cadres peuvent vraiment adapter leur comportement de direction à leur interlocuteur. En outre, ce n'est qu'à ce moment-là qu'ils peuvent conclure un accord solide avec chaque collaborateur sur ce dont il a besoin pour que son travail soit satisfaisant, parce qu'il a du sens et qu'il correspond à son système de valeurs.

Auteur
Joachim Simon, Braunschweig, est un formateur de cadres et un conférencier spécialisé dans le (self-)leadership (www.joachimsimon.info). Il est l'auteur du livre "Selbstverantwortung im Unternehmen" paru aux éditions Haufe et cofondateur de l'application de coaching en (auto)leadership Mindshine (www.mindshine.app).

Le lieu du crime au bureau : ce n'est pas toujours l'écran qui est en cause

La santé n'est pas seulement influencée par l'écran, mais aussi par le choix de l'équipement d'impression. Sur quoi les entreprises doivent-elles donc miser ? De nombreux facteurs sont à prendre en compte, comme l'explique une experte en équipement de bureau. Bureau

Ce n'est pas seulement l'écran qui peut être à l'origine de problèmes de santé dans les bureaux, mais aussi un équipement d'impression mal choisi. (Image : igreeen GmbH)

Yeux rouges, maux de tête, baisse de la concentration, sensation latente de fatigue, toux et muqueuses irritées - désormais à l'ordre du jour dans les de nombreux bureauxet pas seulement depuis Corona. Une fois les symptômes constatés, commence la recherche des causes, qui s'appuie davantage sur l'instinct et les mythes urbains que sur les faits et la science. La liste des suspects s'étend de la climatisation à l'électrosmog en passant par l'ennemi public numéro un, l'écran. "Intuitivement, c'est logique", explique Tanja Schmidt, directrice de l'entreprise allemande igreeen solution GmbH et experte en équipement technique de bureau, "car les employés de bureau fixent chaque jour pendant des heures les écrans, dont on sait qu'ils surchargent les yeux. Mais beaucoup ignorent que les écrans modernes ne sont souvent pas les coupables, mais les appareils d'impression". Mais pourquoi en est-il ainsi et quel est le rapport avec l'air ambiant ?

La santé, principale monnaie d'échange

Le choix de l'équipement de bureau est souvent soumis à des facteurs économiques, de sorte que beaucoup semblent penser que plus les coûts sont réduits, mieux c'est. Ce raisonnement erroné a souvent de graves conséquences, car le matériel dont disposent les employés n'est pas de la qualité escomptée. C'est particulièrement vrai pour l'imprimante, qui est l'un des achats les plus importants puisqu'elle est constamment utilisée. "Les entreprises économisent volontiers sur ce point et achètent des imprimantes laser, pensant ainsi réduire les coûts grâce à de gros toners et à la technologie laser", explique l'experte. Mais Schmidt met en garde : "Celui qui ne pense qu'aux potentiels d'économie sera tôt ou tard le perdant. Car la santé est la monnaie la plus importante. Si les entreprises font passer les prix avant le bien-être des collaborateurs, cela leur coûtera finalement très cher".

Le diable se cache dans les détails

Les imprimantes laser ont longtemps été considérées comme la panacée du travail de bureau. Cependant, les processus de travail que la technologie doit obligatoirement exécuter montrent qu'ils sont potentiellement dangereux pour la santé des personnes. Ainsi, avant d'effectuer un travail d'impression, l'appareil doit chauffer les rouleaux à l'intérieur à environ 180 degrés, ce qui nécessite obligatoirement un ventilateur dans l'appareil. Or, c'est justement par ce dernier que des particules d'encre sont libérées dans l'air et, par des voies détournées, dans les poumons, soupçonnées de provoquer des mutations. "En même temps, l'appareil produit une haute tension qui, combinée à l'air, libère de l'ozone pouvant provoquer des maladies respiratoires et des irritations des muqueuses", explique Schmidt. De plus, le processus libère des nanoparticules pour lesquelles la recherche a montré à plusieurs reprises des effets nocifs sur le organisme a pu démontrer. En outre, les substances benzène et styrène sont émises lors du processus d'impression - elles aussi sont suspectées, cancérigène être.

Choisir les appareils avec soin

Les entreprises doivent se préoccuper davantage de la santé de leurs collaborateurs lors de l'achat de leurs ustensiles - si ce n'est déjà pour des raisons humanitaires, c'est aussi pour des raisons économiques, car la santé influence la productivité des collaborateurs. Mais quelle peut être la solution ? "Il existe déjà des imprimantes durables et sans danger pour la santé, et cela ne date pas d'hier : le jet d'encre est le mot magique. Avec ces appareils, il n'y a pas de développement de températures élevées et donc pas de formation de poussières fines", explique Schmidt. Il n'y a pas non plus de compromis sur la qualité : Grâce à l'encre non soluble dans l'eau, ces systèmes sont aujourd'hui déjà dans la même classe de performance que les systèmes laser. L'experte souligne : "Par rapport au système laser, il n'y a donc aucun inconvénient qualitatif et donc aucune raison logique de ne pas miser sur des systèmes d'impression écologiques". Partout où une imprimante est utilisée, les responsables doivent réfléchir et remplacer les appareils de temps en temps, car on ne travaille pas seulement à l'écran, mais on imprime encore souvent.

Source et informations complémentaires : www.igreeen.de

Bureau en forêt : une startup fait entrer le bureau dans la nature

Le monde du travail et ses formes de travail connues sont en pleine mutation. Dans le sillage du New Work, du Home Office, du travail agile, des espaces de co-working ou de la semaine de quatre jours, les entreprises innovantes réfléchissent intensément au lieu de travail de demain. Pourquoi ne pas déplacer le bureau dans la forêt ? C'est ce que propose une startup.

Travailler en toute décontraction dans la fraîcheur de la forêt : une offre peu banale qui permet de varier les plaisirs au travail. (Image : Waldbuero.com)

Travailler de manière plus productive, se réunir de manière plus concentrée, communiquer de manière plus détendue et se régénérer plus rapidement. Ce ne sont là que quelques-uns des avantages évidents qu'offre la forêt aux travailleurs du savoir. Peter Fibich et Roland Lüthi, les fondateurs du bureau forestier, passent depuis longtemps déjà une partie importante de leur temps de travail en forêt. Enthousiasmés par les possibilités et les avantages de leurs expériences de journées de travail au bureau, de réunions, de séminaires et d'événements d'équipe dans les forêts les plus diverses, ils proposent désormais aux entreprises innovantes leurs expériences et leurs services en tant que bureau forestier dans toute la Suisse.

Pionniers en matière de bureau forestier

Le bureau forestier propose des postes de travail numériques "plug in & work" entièrement équipés ainsi que des settings d'ateliers sur mesure pour des réunions particulières dans une atmosphère forestière unique. Selon ses propres dires, cette offre est unique en Suisse. Selon la tâche, le temps ou l'envie, chaque collaborateur peut travailler à l'intérieur dans la maison forestière spacieuse et confortable ou à l'extérieur sous les arbres, en pleine nature. Rien ne manque : connecté au monde par W-LAN et équipé du matériel de bureau nécessaire, le travail dans cet environnement devient une expérience particulière. Le tableau à feuilles mobiles et le tableau d'affichage sont également des outils de présentation utiles, en particulier lorsqu'une réunion ou un séminaire est prévu.

Les concierges de la forêt garantissent un service tout compris

Deux offres standard pour des équipes jusqu'à 15 personnes et des offres spéciales du bureau forestier à planifier individuellement répondent à tous les souhaits. L'équipe expérimentée du bureau forestier, en tant que concierge de la forêt, veille à ce que rien ne manque lors du travail dans cet environnement naturel particulier. Tout compris signifie que le wifi est disponible à chaque poste de travail à l'intérieur et bien sûr aussi à l'extérieur ou que les collaborateurs d'une équipe sont accueillis dès leur arrivée avec un café délicieusement parfumé.

La gestion de la santé en entreprise renforce la résilience  

Les deux formateurs certifiés en pleine conscience forestière et professionnels de l'événementiel accordent une importance particulière aux effets positifs avérés de la forêt sur la santé physique et psychique des nouveaux "travailleurs forestiers". Grâce à leur expérience en tant que coachs de bain de forêt ainsi que de formateurs en Mindfulness et en résilience, ils savent comment transmettre de manière tangible la force de la nature et de la forêt. En tant que membres de différentes associations dans les domaines de la santé mentale et de la gestion de la santé en entreprise, ils transmettent leur expérience et leur savoir-faire à toutes les personnes participantes dans le cadre des offres en intégrant délibérément des sessions de relaxation et d'activation.

Le travail au bureau des forêts se termine par des mets culinaires

Les cuisiniers de la forêt et du feu proposent une expérience particulière pour les repas du matin, les déjeuners, les apéritifs ou les dîners. Des plats naturels d'origine locale sont préparés, assaisonnés, cuits au four, braisés, cuits à la vapeur, rôtis, grillés ou fumés sous les yeux des hôtes. Sur demande, des créations alimentaires insoupçonnées en rapport avec la forêt peuvent être servies.

Bien entendu, ces offres Réservation possible toute l'année, à la journée ou à la semaine, indépendamment des conditions météorologiques..

Trafic des paiements en Suisse : que nous réserve l'avenir ?

Avec la facture QR, qui remplacera définitivement les anciens bulletins de versement au 1er octobre 2022, la place financière suisse fait un pas vers l'avenir. La QR-facture est une véritable panacée qui répond aussi bien aux besoins des nostalgiques des guichets qu'à ceux des personnes qui ont franchi depuis longtemps le pas vers le monde des paiements numériques. C'est le moment idéal pour QR Modul de jeter un coup d'œil sur un avenir possible du trafic des paiements en Suisse.

La facture QR permet un traitement entièrement numérique d'un paiement, comble ainsi une lacune de l'ancien bulletin de versement et réduit les coûts pour les émetteurs de factures. (Image : module QR)

Au cours des dix dernières années environ, de nombreux nouveaux prestataires ont fait leur apparition sur le marché des paiements. Un domaine du monde financier autrefois considéré comme "poussiéreux" a fortement évolué grâce aux nouvelles technologies, notamment le mobile, l'e-banking et les achats en ligne. Des fintechs innovantes se disputent une part du gâteau, qui offre un grand potentiel avec plus d'un milliard de factures envoyées rien qu'en Suisse (source : SIX Group AG). A cela s'ajoutent les transactions à la caisse du magasin, au restaurant et lors des achats en ligne. Alors que les fournisseurs de solutions de facturation QR et les partenaires du réseau eBill se disputent les émetteurs de factures classiques, des fournisseurs relativement jeunes comme TWINT, Apple Pay, Samsung Pay et d'autres se battent contre les cartes de débit et de crédit classiques. Il semble qu'il existe aujourd'hui une solution spécifique pour chaque cas imaginable où l'argent est transféré d'une personne à une autre. La question est : qui peut encore s'y retrouver ? Cela vaut-il la peine de maintenir autant d'infrastructures parallèles ? Une chose est sûre : au final, ce sont les clients finaux qui paient le prix.

Le code QR sert les paiements analogiques et numériques

En entrant dans le traitement numérique des paiements, la QR-facture ose sortir du monde analogique des bulletins de versement et améliore significativement la commodité du paiement numérique. L'option représentée dans l'illustration, qui permet de faire glisser une QR-facture au format pdf directement dans l'eBanking et d'éviter ainsi les ruptures de médias, constitue notamment une étape importante. La facture QR est ainsi le seul procédé capable de servir efficacement à la fois le monde analogique et le monde numérique, ce qui oblige les émetteurs de factures à se demander s'ils n'abandonnent pas, le cas échéant, une trop grande marge de manœuvre en passant à un canal purement numérique comme l'eBill.

Les paiements instantanés vont changer les vieilles habitudes

Si l'on considère en outre que le trafic des paiements interbancaires en Suisse offrira bientôt la possibilité de traiter les paiements en temps réel, d'autres jeux de réflexion s'imposent. En effet, comme SIX Group SA l'a déjà communiqué en septembre 2021, il prévoit, en collaboration avec la Banque nationale suisse, d'introduire les "paiements instantanés" en août 2024. Lorsque les paiements de banque à banque sont traités en temps réel, le destinataire de la facture reçoit le crédit en quelques secondes après que le débiteur l'a déclenché dans son application de mobile ou d'eBanking. Ce type de transaction pourrait ainsi devenir intéressant pour le commerce de détail, que ce soit dans les magasins ou dans les boutiques en ligne. Car si un commerçant écrit de toute façon des factures QR dans certains cas, qu'est-ce qui s'opposerait à ce que le Swiss QR Code soit également utilisé à la caisse du magasin ? Le client sortirait son smartphone, scannerait le code QR et validerait le paiement. Le commerçant recevrait immédiatement la confirmation de réception - comme pour TWINT, Apple Pay, Samsung Pay, etc., mais sans passer par un prestataire tiers qui détournerait une part du chiffre d'affaires à son profit. Pourquoi le commerçant devrait-il alors encore gérer ces modes de paiement si toutes les transactions pouvaient être effectuées via une norme unique, la QR-facture ?

La concurrence favorise l'innovation, mais aussi la complexité

L'avenir nous dira où nous allons. D'une part, le fait que différents fournisseurs soient en concurrence les uns avec les autres conduit à plus d'innovation. D'autre part, des infrastructures x-différentes augmentent non seulement la complexité, mais aussi les coûts pour les émetteurs de factures. C'est précisément dans un domaine comme le trafic des paiements, où une infrastructure unique mais omnipotente serait amplement suffisante, que se pose la question de savoir quel service apporte le plus d'avantages aux parties concernées. Il faudra voir si les différents fournisseurs déjà disponibles et qui vont encore s'imposer sur le marché pourront se maintenir, ou si la tendance évolue à nouveau vers l'élégante simplicité d'une norme unique. Dans ce dernier cas, la période d'effervescence sur le marché des paiements pourrait bientôt s'achever et l'on reviendrait à la stabilité fade des décennies passées. En revanche, le trafic des paiements redeviendrait clair et prévisible.

Auteur :
Beni Schwarzenbach est directeur général de Module QR.

Environ 1 150 jeunes professionnels prêts pour le Championnat suisse des métiers

Lors des "SwissSkills 2022", qui s'ouvriront dans deux mois sur le site de Bernexpo, les meilleurs jeunes professionnels de Suisse démontreront leur savoir-faire devant un grand public. 150 métiers seront présentés, un nombre encore jamais atteint. Des championnats suisses auront lieu dans 85 de ces métiers. La plupart des 1'150 participants sont désormais connus.

A nouveau des championnats des métiers devant un grand public : près de 1150 jeunes professionnels se préparent pour les championnats suisses des métiers à Berne. (Image : zVg SwissSkills)

Du 7 au 11 septembre 2022, le site de Bernexpo deviendra pour la troisième fois, après 2014 et 2018, une immense scène temporaire pour la relève de quelque 150 métiers différents. Environ 1'150 des meilleurs jeunes professionnels suisses offriront pendant les SwissSkills 2022 un aperçu inspirant de la diversité et de l'excellence de la formation professionnelle suisse. La troisième édition de ces championnats suisses centraux des métiers était initialement prévue pour 2020 et a dû être reportée de deux ans en raison de la pandémie de Corona. La joie est d'autant plus grande que la présentation générale de la formation professionnelle suisse pourra à nouveau avoir lieu dans toute son ampleur.

Les participants aux professions sont connus

Au total, environ 1 150 apprentis et diplômés d'apprentissage se mesureront aux SwissSkills 2022. Les critères de participation aux SwissSkills, fixés par les associations professionnelles respectives, sont aussi variés que les métiers des SwissSkills. A l'exception de quelques associations qui ne désigneront leurs participants qu'après les examens de fin d'apprentissage de l'été 2022, la plupart des associations professionnelles ont terminé le processus de sélection.

Les plus de 850 candidates et candidats actuellement nominés sont présentés sur le site Internet de SwissSkills 2022 sous www.swiss-skills2022.ch/de/teilnehmende ont été présentés. La liste sera complétée au fur et à mesure par d'autres participants.

Championnat des métiers : une attraction pour le public

Le format unique des SwissSkills centraux permet au public, et en particulier aux jeunes en processus d'orientation professionnelle, de regarder par-dessus l'épaule des meilleurs jeunes professionnels du pays au travail et de découvrir ainsi les métiers d'apprentissage les plus divers à l'échelle 1:1. De plus, les plus de 60 associations professionnelles participantes offrent au public des possibilités attrayantes pour essayer les métiers sur place.

Environ 120'000 visiteurs sont attendus pendant cinq jours. Entre autres, 2426 classes avec plus de 60'000 élèves de toute la Suisse visiteront l'événement.

Vitrine pour la formation professionnelle

"Le système suisse de formation professionnelle a extrêmement bien fait ses preuves, notamment pendant la pandémie de Corona, en tant que pilier central de la place industrielle et intellectuelle suisse, et offre de nombreuses perspectives aux jeunes du pays", déclare le président du comité d'organisation Daniel Arn. "Les SwissSkills 2022 seront plus que jamais la grande vitrine de la formation professionnelle. Avec tous les participants et surtout les jeunes professionnels de la relève, nous allons donner un signe important de renouveau".

La demande de produits pour la production d'énergie augmente

La hausse des prix de l'énergie suite à la guerre en Ukraine entraîne une augmentation de la demande de produits liés aux sources d'énergie alternatives. C'est ce que montre le baromètre de l'approvisionnement de la plateforme en ligne wlw (anciennement "Wer liefert was") pour le deuxième trimestre 2022.

Les produits les plus recherchés sur wlw au premier trimestre 2022 : les produits de production d'énergie dominent. (Graphique : Visable)

Si l'on considère les 20 catégories ayant connu la plus forte croissance entre le deuxième trimestre 2021 et le deuxième trimestre 2022, les produits destinés à la production d'énergie dominent. Dans ce segment, les installations photovoltaïques enregistrent la plus forte hausse (305% d'augmentation du nombre de pages vues), suivies des modules solaires (plus 287%) et du forage de sondes géothermiques (plus 252%). Les groupes électrogènes enregistrent une augmentation de la demande de 261%.

La recherche de bois de chauffage est également en hausse

En matière de chauffage, une source d'énergie presque archaïque se distingue. Ainsi, le bois de chauffage enregistre une augmentation de 207% du nombre de pages consultées. Les granulés de bois (244% d'augmentation), les briquettes de bois (241% d'augmentation) et les petites éoliennes (241% d'augmentation) connaissent également une forte croissance. Les pompes à chaleur enregistrent tout de même une augmentation de 179%.

"La diversité des catégories liées à l'énergie pourrait indiquer que la grande masse des professionnels et peut-être même des particuliers recherchent des produits de sources d'énergie alternatives sur notre plate-forme B2B", explique Peter F. Schmid, CEO de l'opérateur de la plate-forme Visable. "C'est une bonne chose. La transition énergétique est une tâche qui concerne toute la société, tout le monde doit s'y mettre".

"L'ère de la durabilité est lancée"

"L''ère des crises' annonce définitivement l''ère de la durabilité'. Le passage aux énergies renouvelables réduit les dépendances et augmente la résistance aux crises", déclare le CEO de Visable. Dans un sondage réalisé par Visable en collaboration avec l'institut de sondage YouGov, 49 pour cent des entreprises interrogées en Autriche avaient déjà indiqué en avril que l'importance de la durabilité avait augmenté chez elles en raison des crises actuelles.

Malgré tous les efforts, le chemin est encore long jusqu'à ce que l'économie et la société soient entièrement tournées vers la durabilité. La dépendance aux combustibles fossiles reste importante, comme le montre également l'examen des catégories qui ont connu la plus forte croissance au deuxième trimestre 2022 : les carburants diesel y occupent la première place et les huiles de chauffage la 18e. L'ère des combustibles fossiles va donc encore durer un certain temps, même si la réorientation vers les énergies renouvelables a maintenant définitivement commencé.

Source : Visible

Google organise une "Summer Academy 2022" numérique

La "Summer Academy" numérique en sera à sa troisième édition en été 2022 : entre le 25 juillet et le 19 août, Google, en collaboration avec de nombreux partenaires de formation, offrira à nouveau aux personnes et aux PME intéressées la possibilité de se perfectionner gratuitement et de se préparer ainsi à l'avenir numérique.

Profiter de la pause estivale pour se former gratuitement à la numérisation : C'est ce que propose la Summer Academy de Google et de ses partenaires. (Image : zVg / Google)

La troisième Summer Academy propose des offres de formation continue axées sur la pratique dans les domaines numériques les plus divers. Google est responsable de cette offre en collaboration avec des partenaires de formation tels que l'AWA-RAV, la FHNW et, depuis peu, l'Institut für Jungunternehmen IFJ, General Assembly et Glacier Carbon Reduction GmbH, ainsi qu'avec de nombreux experts spécialisés. Pendant quatre semaines, il est possible de suivre diverses formations en ligne gratuites. Ainsi, cet été encore, les personnes intéressées seront invitées à participer à l'initiative " L'entrepreneuriat en Suisse ".Google Atelier Digital - saisir ensemble les opportunités"Un programme d'apprentissage actuel et de haute qualité est proposé aux étudiants qui souhaitent développer des compétences spécifiques dans le domaine numérique.

Formations et ateliers en direct

Grâce à des formations dans les domaines numériques les plus divers, la "Summer Academy" permet à des personnes de toutes les couches sociales et de tous les horizons d'élargir leurs compétences et de faire ainsi un pas décisif dans leur développement professionnel. Parmi ces formations en direct, on trouve par exemple des ateliers dans les domaines suivants Analyse du web, Marketing sur les moteurs de recherche avec Google Ads, Automatisation des ventes ou Les bases du SEO pour les PMEmais aussi des webinaires dans le domaine des soft skills comme "Voix, parole et langage corporel", Comment mener des entretiens d'embauche et gérer le vivier de talents ou #IamRemarquable. Cette année, pour la première fois, une session sur la stratégie de durabilité de l'entreprise / la transformation climatique sera organisée par les experts de Glacier (Every Job is a Climate Job) et de l'IFJ pour les personnes qui envisagent de se mettre à leur compte : De l'idée à la propre entreprise - Ton chemin vers l'indépendance (partielle). Ce ne sont là que quelques-uns des points forts.

Summer Academy dans le cadre de l'apprentissage tout au long de la vie

Avec la "Summer Academy 2022", Google veut, en collaboration avec des partenaires qualifiés, aider encore plus d'entreprises, de communautés et de personnes privées à acquérir des compétences qui les aideront à mieux saisir les opportunités de la numérisation. C'est ce que confirme Patrick Warnking, Country Director Google Suisse : "Comment assurer à long terme le succès du site d'innovation suisse ? Cette question est très pertinente pour de nombreuses branches et startups du site de recherche et de développement suisse et les préoccupe en vue d'assurer leur croissance future. La formation continue et l'apprentissage tout au long de la vie (#LLL) sont cités par de nombreux leaders d'opinion comme des facteurs de réussite critiques pour atteindre cet objectif ; l'avenir du travail et notre prospérité à tous seront fortement marqués par les compétences numériques des travailleurs et dépendront d'eux. C'est sur la base de cette motivation que nous lançons cet été, en collaboration avec des partenaires, une offensive de formation en plein été et proposons, avec la Académie d'été encore plus de thèmes pour l'upskilling numérique personnel. La Summer Academy 2022 propose donc, en plus des compétences numériques, encore plus de soft skills de la part de partenaires de longue date ainsi que de nouveaux experts - le tout gratuitement".

Pour plus d'informations sur les cours de la "Summer Academy", veuillez consulter l'aperçu du programme : events.withgoogle.com/google-summer-academy-2022/aperçu du programme

Les voyages d'affaires en Suisse sont en constante augmentation

Malgré l'avancée des technologies de communication modernes depuis le début de la pandémie de Corona, les voyages d'affaires continuent d'occuper une place importante pour les entreprises. En Suisse, on observe une légère tendance vers des classes de réservation plus chères ainsi qu'une durée de voyage plus longue.

Les voyages d'affaires en Suisse sont de nouveau en hausse, et pas seulement cela : Les entreprises font payer les vols. (Image : Airplus International / Pixabay.com)

Les rencontres personnelles et le réseautage professionnel ont quasiment cessé au début de la pandémie de Corona. Pourtant, selon une enquête menée par AirPlus International, spécialiste des paiements aux entreprises, auprès de 111 cadres supérieurs en Allemagne, 84 pour cent des personnes interrogées sont d'avis que ces rencontres personnelles en particulier sont indispensables pour établir des relations commerciales et une confiance mutuelle. Cela ne vaut pas seulement chez nos voisins du nord : "Nous voyons très clairement cette attitude en Suisse", confirme également Andy Stehrenberger, directeur d'AirPlus International en Suisse. La majorité des personnes interrogées préfèrent également une rencontre personnelle pour les négociations (citées par 76 pour cent), les événements à contenu de communication émotionnel (73 pour cent), les réunions à contenu confidentiel et sensible (71 pour cent), la prospection et la fidélisation de la clientèle, les visites de salons et les rencontres sectorielles (70 pour cent dans les deux cas) ainsi que les réunions internes stratégiques (56 pour cent). En revanche, les personnes interrogées estiment que des événements tels que l'échange de connaissances ou la collaboration au sein d'équipes de projet peuvent continuer à se dérouler virtuellement à l'avenir.

Les voyages d'affaires en Suisse sont en nette augmentation depuis le début de l'année

En Suisse, le nombre de transactions de billets d'avion effectuées via AirPlus est en constante augmentation depuis le début de l'année, comme le montre le Business Travel Index d'AirPlus. Après une brève stagnation en avril, près de trois fois plus de vols ont été enregistrés via AirPlus en mai 2022 qu'en janvier. Avec la reprise des voyages, l'écart par rapport à l'année 2019, avant la crise, se réduit également de mois en mois. En mai 2022, le volume de facturation en Suisse n'était plus que de 15,1 % inférieur au niveau de mai 2019.

Il est frappant de constater que les entreprises suisses font payer les voyages cette année et font davantage voyager leurs collaborateurs en classe affaires. Sur les vols intercontinentaux, la part des vols en classe affaires a augmenté de 2,3 points de pourcentage à 50,5 pour cent entre janvier et mai 2022 par rapport à 2019, l'année précédant celle de Corona, et de 1,9 point de pourcentage à 5,2 pour cent sur les lignes européennes. C'est sur les lignes intérieures suisses que cette évolution est la plus frappante : Ici, la part de la classe affaires a augmenté de 18,8 points de pourcentage pour atteindre 26,4 pour cent au cours des cinq premiers mois de 2022 (janvier-mai 2019 : 7,6 pour cent).

Les Suisses plus longtemps en voyage d'affaires

Alors que la période moyenne de réservation à l'avance au printemps 2022 n'a diminué que pour les vols intercontinentaux - de 34,2 jours en 2019 à 31 jours en 2022 -, on constate parfois de nets décalages dans la durée des voyages. De janvier à mai 2022, les voyages intercontinentaux ont duré en moyenne 12,5 jours (10,3 jours en 2019), les voyages en Europe 4,6 jours (3,7 jours en 2019) et les voyages d'affaires en Suisse ont augmenté de manière significative pour atteindre une moyenne de 18,5 jours (3,4 jours en 2019). "Les possibilités actuelles et l'acceptation du 'travail à distance' apparaissent clairement ici", explique Andy Stehrenberger. "Au lieu de voyager plusieurs fois de A à B à l'intérieur de la Suisse, les déplacements sont regroupés ou le lieu de travail est carrément déplacé pour une période plus longue. Ce fait témoigne également d'un changement de mentalité écologique", ajoute Stehrenberger.

Les résultats de l'enquête AirPlus en Allemagne prouvent également que le thème des voyages d'affaires durables revêt une grande importance pour les entreprises. Presque toutes les entreprises interrogées indiquent que ce thème figure à leur agenda. Parmi les mesures les plus importantes, on trouve notamment le regroupement des rendez-vous d'affaires dans des voyages moins fréquents mais plus longs (cité par 60%) - seul le choix de moyens de transport aussi écologiques que possible a été cité encore plus souvent (64%).

Année record pour bike to work : 80'000 parcourent 22 millions de kilomètres !

La 18e édition du bike to work Challenge enregistre une croissance de 30% par rapport à l'année précédente. Ainsi, en mai et juin, 80'556 participants de 2'829 entreprises ont parcouru 22'184'698 kilomètres. Ces chiffres surpassent toutes les éditions précédentes de l'action, comme le communique PRO VELO Suisse.

Le boom du vélo se poursuit : plus de 80'000 travailleurs ont parcouru plus de 22 millions de kilomètres à vélo en 2022. (Image : Unsplash.com)

Le boom du vélo se poursuit : 21823 équipes de 2829 entreprises au total ont parcouru 22 184 698 kilomètres à vélo. Cela correspond à une émission de CO2-de 3 195 tonnes pour une base de calcul de 144 g/km de CO2-2sont en hausse. Cette évolution réjouit bien sûr Mai Poffet, responsable de projet de bike to work : "Pour de nombreux collaborateurs, la participation à bike to work est un changement rafraîchissant dans le quotidien professionnel et apporte de l'élan à l'équipe. Le succès de cette année repose sur de nombreux facteurs, dont le plus important est certainement le "sentiment d'après Corona". Les collaborateurs retournent dans leurs bureaux, les entreprises veulent renforcer les équipes et offrir quelque chose à leurs collaborateurs. Ainsi, de nombreuses entreprises profitent de l'action pour renforcer l'esprit d'équipe et l'ambiance de renouveau".

Google a également participé à bike to work

Les entreprises ont également reconnu la valeur du vélo et l'encouragent activement. Patrick Warnking, Country Director Google Suisse : "Pour Google Suisse, le vélo et les transports publics sont les moyens de transport préférés. Il est important pour nous que nos collaborateurs puissent se rendre au travail rapidement et en toute sécurité à vélo, mais aussi qu'ils puissent se déplacer entre nos différents sites à Zurich. Nous encourageons activement le vélo et ici à Zurich, nous offrons à nos collaborateurs plus de 1500 places de stationnement pour vélos modernes. De plus, nous saluons l'extension du réseau cyclable et de l'infrastructure, qui sont essentiels pour une micromobilité durable. Et nous investissons dans l'innovation concernant les informations sur le vélo et les itinéraires dans Google Maps".

Action pour la promotion de la santé dans les entreprises

Lors de la 18e édition de bike to work, 28% des participants ont utilisé un vélo électrique. En 2019, ils n'étaient plus que 19%. Le vélo électrique est de plus en plus attractif pour les navetteurs* et remplace les trajets en voiture inefficaces et polluants.

Le bike to work Challenge est une action nationale de PRO VELO Suisse pour la promotion du vélo et de la santé dans les entreprises. Elle a lieu en mai et en juin et bénéficie du soutien de Veloplus, de la SUVA et de Panter. Outre de nombreuses PME, de grands groupes participent également à bike to work. Des prix d'une valeur totale de plus de 120'000 CHF sont à gagner.

Top 3 des entreprises par nombre de participants

  1. Groupe Migros : 1447 participants
  2. Île Groupe : 1059 participants
  3. La Poste Suisse : 960 participants

L'aperçu de tous les établissements du top 10 se trouve ici.

Source et informations complémentaires : Pro Velo Suisse

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