La distinction "Great Start !" décernée pour la cinquième fois à login Formation professionnelle SA

Pour la cinquième fois consécutive, login Formation professionnelle SA fait partie des meilleures entreprises formatrices de Suisse. Elle reçoit à nouveau le label de qualité "Great Start ! En tant que partenaire de formation des CFF, du BLS, des RhB, de l'Union des transports publics (UTP) et d'une soixantaine d'autres entreprises, login organise des apprentissages professionnels, des stages et des formations continues orientés vers le marché pour le monde de la mobilité.

Les apprentis évaluent leur entreprise formatrice : ils attestent un "Great Start !" à login Formation professionnelle SA. (Image : login Formation professionnelle SA)

L'institut indépendant Un endroit où il fait bon travailler a de nouveau décerné le certificat "Great Start !" à login Formation professionnelle SA. Ce certificat distingue les entreprises qui offrent une culture de travail exemplaire aux apprentis. La certification se déroule en deux étapes : d'une part, le concept de formation de l'entreprise est examiné sous toutes les coutures et, d'autre part, une enquête anonyme est menée auprès des apprentis. A cette occasion, 86% des apprentis de login ont confirmé : "Dans l'ensemble, c'est une très bonne entreprise formatrice". L'affirmation suivante a même atteint un taux d'approbation de 90% : "Je peux m'adresser à ma formatrice ou à mon formateur pour toutes mes questions et je reçois toujours une réponse directe et ouverte".

Varié et passionnant - dans un secteur qui bouge

Mais qu'est-ce qui rend une formation chez login si particulière ? André Renold, apprenti automaticien en 2e année : "Je n'aurais pas pu rêver d'un meilleur départ dans la vie professionnelle. Après deux ans de formation au centre de formation technique de Spiez, je peux maintenant passer à la pratique, ce qui rend mon apprentissage varié et passionnant". Lea Kröll, apprentie employée de commerce en transports publics en troisième année, déclare : "Le monde des transports publics et de l'aviation m'a toujours fascinée. L'apprentissage me donne la possibilité de regarder derrière les coulisses et de voir comment les différents domaines communiquent et fonctionnent ensemble". Sandro Kneubühl, apprenti logisticien transport en 2e année, ajoute : "Pour moi, mon équipe est comme une famille ! De plus, j'apprécie la diversité de mon métier et le fait de pouvoir commencer chaque jour à travailler dans le magnifique paysage montagneux du canton des Grisons".

login forme l'avenir du monde de la mobilité

Michael Schweizer, CEO de login Formation professionnelle SA, se réjouit de cette distinction : "Nous sommes très fiers de figurer à nouveau parmi les meilleures entreprises formatrices de Suisse en 2023. Avec nos partenaires CFF, BLS, RhB, l'Union des transports publics et de nombreuses entreprises de transport, nous mettons tout en œuvre pour que notre relève devienne des professionnels compétents et des personnalités fortes. Cette distinction est donc aussi une grande confirmation et une grande estime pour tous les formateurs et formatrices qui accompagnent et soutiennent les 2100 apprentis pendant leur formation".

Source : www.login.org

Metassociation : Fondation de la Swiss Metaverse Association

47 partenaires issus de l'économie, de la science et de l'administration fondent la Swiss Metaverse Association. Ils veulent apprendre ensemble, échanger des idées, établir des preuves de concept et s'engager en faveur de conditions-cadres favorables afin que la Suisse, en tant que site d'avenir pour Metaverse, fasse partie des meilleurs au monde.

La Swiss Metaverse Association (Metassociation) veut contribuer à faire de la Suisse l'un des meilleurs sites d'avenir pour Metaverse. (Image : capture d'écran www.metassociation.ch)

Pour un nombre croissant d'experts, l'avenir d'Internet réside dans le metaverse. Les espaces virtuels du métavers pourraient notamment se transformer en gigantesques canaux de marketing. Selon une étude récemment publiée, la Suisse risque toutefois de rater le coche. Une association qui vient d'être fondée à Berne veut justement éviter cela et s'est fixé pour objectif de créer un écosystème Metaverse largement soutenu et de s'engager pour des conditions-cadres attrayantes en Suisse, afin que de nouveaux modèles commerciaux, entreprises et emplois puissent voir le jour. La Swiss Metaverse Association (en bref : Metassociation) est présidée par Tina Balzli, partenaire et responsable du département Fintech & Blockchain chez CMS Suisse, et Alexandra Hofer, Senior Consultant chez furrerhugi. "Avec cette association, nous créons des bases importantes pour positionner la Suisse en tant que site innovant et tourné vers l'avenir, qui rend possible les projets Metaverse. En tant qu'association, nous mettons en réseau les acteurs pertinents, lançons des projets et encourageons le dialogue et l'information", explique Tina Balzli, coprésidente.

Grand besoin d'échanger sur le métavers

Le projet "Metassociation" a été initié conjointement par Lorenz Furrer, Managing Partner chez furrerhugi, et Daniel Diemers, Partner chez SNGLR Group. Daniel Diemers siège également au conseil d'administration de la Swiss Metaverse Association. Parmi les 47 membres fondateurs figurent des organisations, des banques, des entreprises internationales, des start-ups, des universités, des associations et des particuliers. Les rencontres passées avec les membres fondateurs ont montré que le métavers ouvrait de nombreuses possibilités et opportunités, mais qu'il soulevait aussi des questions et des défis - en conséquence, le besoin des membres d'échanger et d'approfondir des questions intéressantes est très grand. "Nous sommes très heureux que la Swiss Metaverse Association ait rencontré un tel succès. Avec ses 47 membres fondateurs, l'association dispose d'expertises variées dans des domaines très différents - ce qui apporte une grande valeur ajoutée. Ensemble, nous pouvons désormais contribuer à façonner un monde numérique futur qui profite à tous", déclare la coprésidente Alexandra Hofer.

Aborder de manière proactive les questions relatives au métavers

Diverses manifestations sont prévues dans le cadre de la Swiss Metaverse Association. En outre, des groupes de travail sont en train d'être formés pour traiter des questions et des thèmes spécifiques. Les thèmes suivants font actuellement partie des priorités : Fiscalité, Metaverse industriel, Régulation, Art et culture, Recherche et formation, Assurance et banque, Technologie et infrastructure, Santé ainsi que Tourisme et sport. En outre, un livre blanc sera rédigé et une carte de l'écosystème Swiss Metaverse sera établie. Daniel Diemers, membre du comité et Head Expert Tribe, explique : "Nous voulons apprendre ensemble, développer des idées, trouver des synergies, élaborer les défis et les opportunités du métavers et faire ainsi en sorte que la Suisse devienne l'un des sites Metaverse les plus attrayants et les meilleurs au monde".

Source et informations complémentaires

Les problèmes informatiques ralentissent les collaborateurs

Les problèmes informatiques font perdre à 49% des collaborateurs une à cinq heures de productivité par semaine. C'est ce que révèle la nouvelle étude "From Surviving to Thriving in Hybrid Work" (De la survie à la prospérité dans le monde du travail hybride) d'Unisys, réalisée en collaboration avec HFS.

Les problèmes informatiques limitent régulièrement la productivité de près de la moitié des collaborateurs, affirme une étude. (Image : Depositphotos.com)

La nouvelle étude de la Unisys Corporation (NYSE : UIS) "From Surviving to Thriving in Hybrid Work" (De la survie à la prospérité dans le travail hybride), réalisée en collaboration avec la plus grande société de recherche au monde. HFS Research montre à quel point les problèmes informatiques freinent les collaborateurs. Elle fournit également une feuille de route aux employeurs pour améliorer la productivité et l'engagement de leurs employés.

Une meilleure utilisation et un meilleur soutien de la technologie pour un meilleur engagement des employés 

Le rapport montre que : L'accès à une technologie de premier ordre continuera d'être un facteur déterminant pour l'engagement des collaborateurs et leur performance. 62% des employés interrogés ont déclaré que l'accès à la technologie était un facteur très motivant pour leur performance au travail. Cependant, le rapport montre également que la manière dont les entreprises adoptent et soutiennent continuellement les solutions technologiques représente un défi pour les employés :

  • Près de la moitié (49 pour cent) des travailleurs estiment qu'ils perdent entre une et cinq heures de productivité au travail par semaine à cause des problèmes informatiques. Pourtant, 42 pour cent des employeurs ne mesurent pas la perte de productivité due aux problèmes informatiques.
  • Les employés veulent contribuer à l'amélioration de l'expérience informatique. 92 % sont plutôt ou très disposés à partager leurs données si cela permet un meilleur support technologique prédictif.

Les employeurs devraient également tenir compte des différences entre les générations en ce qui concerne la valeur perçue des différentes technologies sur le lieu de travail. Il s'agit ici de trouver un équilibre entre ce qui est nouveau et innovant et ce qui améliore la productivité. Par exemple, les millennials voient une valeur bien plus élevée dans les chatbots, les dispositifs portables et les tableaux blancs virtuels que leurs homologues de la génération Z. Les jeunes de la génération Y voient également une valeur plus élevée dans les technologies de l'information et de la communication.

Investir dans des programmes d'expérience des employés

De nombreuses entreprises ont récemment mis en place ou développé des programmes d'expérience des employés (Employee Experience, EX) afin d'améliorer le recrutement et la fidélisation des employés. Les entreprises dont les programmes d'EX sont très développés estiment que leurs employés sont plus engagés aujourd'hui qu'il y a six mois (74 %), comparé aux entreprises dont les programmes d'EX ne sont pas encore développés (24 %).

Les employés et les employeurs partagent des points de vue similaires sur la valeur d'un programme EX : plus de 60% chacun estiment qu'un tel programme a un impact significatif sur la productivité des employés, la rétention des talents, le chiffre d'affaires et la rentabilité.

Le nouveau standard pour les modèles de travail est le travail hybride 

Plus personne n'a besoin de prophétiser : "Le travail hybride va s'imposer", car un modèle de travail hybride est devenu la norme. Cependant, les entreprises doivent non seulement adopter des formes de travail hybrides, mais aussi les optimiser pour attirer et retenir les talents, former et impliquer les nouveaux membres de l'équipe, attirer de nouveaux leaders et maximiser l'engagement et la productivité. Voici d'autres conclusions de l'étude :

  • 70% des employeurs déclarent que les formes hybrides de travail continueront à être leur modèle d'emploi principal à l'avenir.
  • 67% des travailleurs hybrides citent la flexibilité du lieu de travail pour concilier vie professionnelle et vie privée comme l'un des principaux facteurs de motivation qui influencent leur performance au travail.
  • Le pouvoir de décision individuel sur le lieu de travail est une nécessité - 70% des travailleurs affirment que le pouvoir de décision est un facteur déterminant de leur motivation, alors que seulement 57% des dirigeants considèrent que c'est important.

"La convergence de la technologie du lieu de travail et de l'engagement des employés n'a jamais été aussi impérative qu'aujourd'hui. Les entreprises continuent d'être confrontées à des choix difficiles et doivent évaluer comment investir dans la création du lieu de travail du futur tout en favorisant une forte culture du lieu de travail qui améliore la satisfaction des employés", a déclaré Joel Raper, vice-président senior et directeur général des solutions de lieu de travail numérique chez Unisys. "Notre étude souligne ce que nous observons chez nos clients lorsque les entreprises adoptent une mentalité 'hybride d'abord' et entreprennent le type d'initiatives de gestion du changement organisationnel qui favorisent la satisfaction des employés et la productivité à long terme".

Pourquoi les réunions échouent-elles ?

L'experte en modération systémique Michaela Stach illustre les raisons pour lesquelles de nombreuses réunions échouent. Mais elle montre aussi des pistes pour réussir à éliminer les causes des réunions inefficaces.

De nombreuses réunions sont improductives. Avec une bonne préparation et une bonne animation, elles peuvent néanmoins être efficaces. (Image : Unsplash.com)

Nous passons d'innombrables heures de notre temps de travail en réunions et en ateliers. Le gain de connaissances par rapport au temps investi offre - pour le dire prudemment - une grande marge de progression. La réunion mal aimée en elle-même n'est que le symptôme. Le vrai problème est plus profond.

Quelles sont les réunions qui ont un sens - et celles qui peuvent être supprimées ?

Un coup d'œil sur un calendrier Outlook moyen en dit long. Et bien que personne ne soit explicitement engagé pour passer du temps en réunion, mais plutôt pour effectuer une tâche définie, des études montrent que les réunions représentent parfois un tiers du temps de travail hebdomadaire.

La seule façon de réduire cette abondance est de remettre en question sans ménagement les différentes sessions. "Mais notre réunion du lundi, nous la faisons depuis toujours !" Exactement. Est-ce pour autant qu'elle est automatiquement porteuse de sens ? Plutôt non. "Que se passerait-il si cette réunion n'existait plus ?" Cette question est justifiée. Surtout avec les innombrables rendez-vous réglementaires qui ont déjà rythmé le nouveau calendrier avant même que l'année ne commence. Quelle est l'utilité concrète de ces réunions ritualisées ? Et une réunion est-elle vraiment le meilleur outil pour les tâches qui sont sur la table ? Ce n'est souvent pas le cas. S'il s'agit par exemple de transmettre des informations actuelles, cela peut se faire plus rapidement et plus efficacement par mail. De même, les questions concrètes trouvent parfois plus facilement leur réponse lorsqu'elles sont traitées directement et personnellement dans le bureau voisin ou au téléphone.

Outre la quantité de réunions, il s'agit également d'examiner le "comment", c'est-à-dire la manière de les organiser. Car même si la réputation de la collaboration commune est mauvaise, une collaboration qui a du sens offre la seule possibilité de partager des connaissances, d'apprendre les uns des autres, de gérer la complexité et d'élaborer des solutions innovantes grâce à des perspectives et des expertises hétérogènes. Mais dans quelles réunions cela se passe-t-il réellement ? Quelles sont les réunions dont les participants sortent avec le sentiment d'avoir mis en route quelque chose de précieux et de sensé ?

Le succès ne se décide pas seulement dans la salle de réunion

La nouvelle dérangeante d'emblée : les jalons pour le succès de la collaboration commune ne sont pas posés lors de la réunion elle-même, mais bien plus tôt. Le mot clé est la préparation. Et oui, la préparation prend du temps. Mais les réunions non préparées coûtent beaucoup plus de temps et, en outre, beaucoup d'argent. L'efficacité ? Pas de chance !

Pour qu'une réunion ait une chance d'être considérée comme réussie, il est essentiel de réfléchir au préalable à l'objectif concret de la réunion et à l'ordre du jour nécessaire. Cela semble banal ? Malheureusement, ce n'est pas le cas ! Que diriez-vous d'une étude personnelle sur le terrain dans votre environnement direct ? Je suis sûr que dans de nombreux cas, on en revient malheureusement toujours à la même chose : Objectif ? Un agenda ? Pas d'objectif !

Un deuxième aspect est décisif en ce qui concerne l'objectif : ce n'est qu'avec un objectif défini devant les yeux que l'on peut déterminer qui est nécessaire pour atteindre cet objectif - et qui ne l'est pas non plus. Et c'est précisément ce cercle de personnes qu'il faut inviter. S'il manque des acteurs importants, il n'y a pas d'autre solution que d'ajourner le sujet après quelques tergiversations. Mais l'inverse n'est pas mieux. En effet, s'il y a plusieurs personnes dans la salle qui n'ont rien de concret à apporter, il est compréhensible qu'elles s'occupent d'autres choses pendant ce temps.

Créer un cadre pour des réunions réussies

Souvent, la séparation n'est pas claire comme de l'eau de roche, car différents sujets sont à l'ordre du jour. Que faire alors si, dans le cadre d'une réunion, il y a des points qui concernent tout le monde et d'autres dans lesquels seuls certains sont impliqués ? Il est alors recommandé de mettre délibérément en marge les sujets qui ne concernent qu'une partie du groupe.

Si les participants concernés sont informés à temps de l'objectif et de l'ordre du jour, ils ont la possibilité de se préparer eux-mêmes en conséquence. En même temps, cela permet d'éliminer un phénomène qui a été mis en évidence dans une étude récente du fournisseur de collaboration Barco : selon cette étude, près de la moitié des 3000 personnes interrogées ne savent régulièrement pas de quoi il s'agit lors de la réunion et quel est l'objectif de celle-ci. Chez les cadres supérieurs, ce chiffre atteint même 61%.

Il faut également clarifier au préalable les conditions-cadres à respecter pour atteindre l'objectif. Qu'il s'agisse de directives stratégiques de la direction, de restrictions budgétaires ou d'engagements existants envers des entreprises partenaires, si les participants doivent finalement parvenir à un résultat réalisable, cela ne fonctionnera que si toutes les conditions-cadres sont mises sur la table de manière transparente.

Temps et durée

La préparation organisationnelle comprend également la définition du début et de la durée de la réunion. Et c'est loin d'être trivial. Surtout dans le monde virtuel. La plupart du temps, les réunions commencent à l'heure pile et se terminent exactement après 60 minutes. Du moins dans le calendrier. Il est difficile de quitter la réunion A à 9 heures pour rejoindre la réunion B à 9 heures précises. Cela a pour conséquence que les réunions commencent plus tard et durent ensuite plus longtemps - comme un retour de bâton. Préparation du contenu et mise en place du nouveau thème ? Aucune chance !

En revanche, si la durée de la réunion de 60 minutes est raccourcie, cela a deux effets positifs : Le premier est le tampon jusqu'à la prochaine heure pleine. De cette manière, il est possible de se préparer, le cas échéant, à un rendez-vous ultérieur. Et le bénéfice supplémentaire : Un temps de réunion plus court peut augmenter la concentration et la discipline des participants.

Travailler sur le sujet plutôt que d'en parler

Souvent, les réunions se révèlent être de véritables séances de bavardage. Comme le dit Karl Valentin : "Tout a déjà été dit, mais pas encore par tout le monde". Dès que les participants sont invités à noter leurs pensées sur une question concrète, par exemple sur des notes autocollantes dans l'espace réel ou virtuel, cela devient concret et utilisable. C'est pourquoi il est essentiel, pour que les réunions soient constructives, de faire participer activement les participants.

Modération et autres rôles

L'animation d'une réunion est importante pour garder le cap sur une approche structurée et ciblée et pour guider le processus. En outre, il existe d'autres rôles qui peuvent soutenir le travail en commun. Par exemple, pour la gestion du temps et le compte rendu. L'idéal est d'alterner les rôles d'une réunion à l'autre. Afin de s'améliorer en tant qu'équipe lors des réunions, il est recommandé de prévoir un court laps de temps à la fin de la réunion pour réfléchir à la collaboration commune.

Conseils pour des relations constructives

  1. Remettre en question de manière conséquente les réunions et les thèmes : Les réunions de régulation sans valeur ajoutée sont des voleurs de temps et d'énergie. De même, il est préférable de rayer directement de l'ordre du jour les sujets qui peuvent être mieux traités de manière asynchrone.
  2. Pas de réunion sans objectif et sans ordre du jour : Des objectifs définis permettent de travailler de manière ciblée et de bien se préparer.
  3. Inviter les bons participants : Des résultats réalisables peuvent être obtenus avec les acteurs pertinents autour de la table.
  4. Des réunions plus courtes sont de meilleures réunions : Des temps tampons pour le prochain rendez-vous permettent de se préparer - à cet égard, la pression du temps sportif lors de la réunion favorise la concentration.
  5. Travailler sur ce point plutôt que d'en parler L'implication active des participants permet d'obtenir des résultats concrets.

Livre conseillé :

Michaela Stach : Modération en atelier et en réunion. Redéfinir la collaboration avec des outils et des méthodes axés sur les résultats. 1ère édition BusinessVillage 2022. 254 pages. ISBN 978-3-86980-660-0

 

Auteur :
Michaela Stach est une animatrice passionnée - même pour les grands groupes. Avec enthousiasme, empathie et estime, elle accompagne les équipes sur la voie de solutions viables et d'un véritable engagement. Qu'il s'agisse de changements dans les entreprises, de la conception de l'avenir dans les communes ou de l'interaction lors de congrès : Avec professionnalisme et vivacité, elle amène les groupes à un échange axé sur les objectifs. Elle dirige l'Académie pour la modération systémique et organise des formations certifiantes sur deux sites. www.akademie-fuer-systemische-moderation.de/

La proportion de femmes dans les entreprises suisses continue d'augmenter

Pour la première fois, plus de la moitié (52 %) des 100 plus grands employeurs suisses emploient au moins 3 femmes au sein de leur conseil d'administration ; parallèlement, la part des entreprises comptant au moins 3 femmes au sein de leur direction passe à 20 %. Le nombre de femmes CEO passe de 9 à 10 - et a déjà évolué à 11 cette année. Parallèlement, le nombre de femmes CFO passe de 9 à 14, ce qui signifie que 20 % des entreprises emploient une femme CEO ou CFO. 56 % des membres de la direction nouvellement nommés n'ont pas de passeport suisse - un record. La proportion d'étrangers au sein des directions d'entreprise atteint le chiffre record de 47 %.

La proportion de femmes dans les instances dirigeantes des grandes entreprises suisses a encore augmenté. (Image : Pixabay.com)

Selon le schillingreport publié le 3 mars 2023 par la société de recherche de cadres Guido Schilling AG, les 100 plus grands employeurs suisses atteindront en 2023 les valeurs indicatives de genre requises de 30 % au conseil d'administration et de 20 % à la direction. Actuellement, la proportion de femmes est de 29 % au conseil d'administration et de 19 % à la direction. Dans les conseils d'administration, la proportion de femmes augmente pour la première fois de 3 points de pourcentage pour atteindre 29 %, car les entreprises ont nommé des femmes pour un nombre record de 46 % de postes vacants. Dans les comités de direction, la proportion de femmes passe de 17 % à 19 %, grâce à 27 % de femmes parmi les nouvelles nominations - la deuxième valeur la plus élevée en 18 ans. "Ce qui est décisif, c'est que les entreprises parviennent à établir le thème de la 'diversité' comme faisant partie de la culture d'entreprise et à l'ancrer dans l'ADN de l'entreprise. Des proportions de femmes ou d'hommes de 40 à 60 % dans les deux organes de direction seront la règle à l'avenir", estime à ce sujet l'éditeur Guido Schilling.

Evolution positive sans précédent de la proportion de femmes dans le SMI

Dans les entreprises du SMI, la part des femmes dans les conseils d'administration augmente de 4 points de pourcentage pour atteindre 34 %. Cette progression a été rendue possible par le fait que les entreprises du SMI ont nommé des femmes pour 54 % des postes vacants - un record absolu. "Les entreprises du SMI sont clairement arrivées à la phase d'acceptation de la diversité des genres et misent systématiquement sur les avantages d'équipes de direction diversifiées. En comparaison avec les groupes cotés au DAX allemand, qui ont nommé des femmes pour 46 % des sièges vacants, ce qui porte la proportion de femmes dans les conseils de surveillance à 37 % (+ 2 points de pourcentage), la dynamique des entreprises du SMI est nettement plus positive, et je suis convaincu que dans les deux prochaines années déjà, les entreprises du SMI dépasseront ou égaleront celles du DAX", déclare Schilling. Ceci est souligné par l'évolution des directions d'entreprises. Les entreprises du SMI ont réalisé un bond de 10 points de pourcentage au cours des deux dernières années, passant de 14 % en 2021 à 24 % de femmes membres de la direction. Ils augmentent ainsi encore leur avance sur les comités directeurs du DAX, dans lesquels la proportion de femmes passe de 18 % à 22 %, satisfaisant ainsi au quota allemand exigé. "Pour moi, la question se pose de savoir dans quelle mesure les quotas durs sont durables à long terme. Ou ne sont-ils qu'un instrument pour atteindre des objectifs à court terme ?", réfléchit Guido Schilling en regardant l'aplatissement de l'évolution dans les entreprises du DAX. Les 40 groupes du DAX emploient tous des femmes dans leurs conseils de surveillance, tandis que 6 conseils d'administration (8 l'année précédente) ne comptent aucune femme. Parmi les entreprises du SMI, les 20 entreprises comptent des femmes dans leur conseil d'administration, 2 d'entre elles n'ayant encore aucune femme à leur tête (3 l'année précédente).

Beaucoup de femmes cadres venant de l'étranger

Le fait que la proportion de femmes ait augmenté dans de nombreux organes de direction ne doit pas faire oublier qu'une partie de cette augmentation est quasiment "importée". En effet, après des années de stagnation, la proportion d'étrangers au sein de la direction des 100 plus grands employeurs suisses mentionnés augmente à nouveau. Alors qu'elle se stabilisait encore ces dernières années à 45 %, elle atteint actuellement le niveau record de 47 % ; les entreprises suisses ont fait venir directement de l'étranger les membres de la direction pour 46 % des postes vacants. Le schillingreport 2023 montre que la proportion d'étrangères parmi les membres féminins de la direction (54 %) est nettement plus élevée que chez les hommes (45 %). La différence de 59 % de "femmes nationales" contre 64 % de "nationaux" est remarquable.

Poursuivre l'élargissement du pipeline de la diversité en matière de genre

Pour anticiper les évolutions futures concernant la proportion de femmes au niveau de la direction/des cadres supérieurs, le pipeline de la diversité des genres est l'indicateur déterminant. Dans l'échantillon de l'économie privée, la part des femmes dans le middle management augmente à 27 % (année précédente 25 %) et dans le top management à 19 % (année précédente 18 %). "Il est très réjouissant de constater que les entreprises parviennent à promouvoir les femmes à tous les niveaux hiérarchiques, car cela assure une relève solide pour faire le pas vers les équipes exécutives. Néanmoins, une large mixité durable des sexes au sein de la direction reste un projet de génération", explique Schilling. Le pipeline est plus large dans le secteur public, qui présente des proportions inchangées de 29 % de femmes aussi bien dans le middle management que dans le top management.

Source : Guido Schilling AG

Économie circulaire automobile : une réduction de 60% des émissions de CO2 est possible

Une étude sur l'économie circulaire automobile réalisée par le cabinet de conseil Bain & Company montre qu'une utilisation durable des matériaux permet de réduire de 60 % les émissions de CO2.

L'économie circulaire automobile pourrait permettre de réduire de 60% les émissions de CO2. (Image : Unsplash.com)
La mobilité est actuellement à l'origine d'environ 30 % des émissions de CO2 dans le monde. Une part considérable de ces émissions est imputable au trafic routier. Si l'on veut minimiser l'impact sur l'environnement tout au long du cycle de vie d'une voiture, il ne faut pas seulement des moteurs neutres en termes d'émissions, mais aussi des approches innovantes tout au long de la chaîne de création de valeur. Cela va de la conception durable de nouveaux modèles à une meilleure utilisation des véhicules existants, en passant par des cycles de matériaux fermés dans la production. Les constructeurs automobiles européens sont actuellement les leaders mondiaux en matière d'économie circulaire, avec un taux de 40 %, principalement en raison de réglementations européennes strictes. Dans son étude "Reuse, Remanufacturing, Recycling, and Robocabs : Circularity in the Automotive Industry", le cabinet de conseil international Bain & Company analyse les principaux leviers qui permettent de faire progresser l'économie circulaire automobile dans le monde. Il montre également comment les constructeurs automobiles et les fournisseurs peuvent se préparer à cette nouvelle ère.

Le recyclage quasi complet des voitures est possible d'ici 2040

Actuellement, le secteur de la mobilité représente environ 10 % de l'ensemble des matières premières et des fournitures utilisées dans le monde. Pour les constructeurs automobiles européens, la part des matériaux recyclés et réutilisés dans la production de véhicules neufs est de 23 %, mais selon la dernière étude de Bain, elle pourrait plus que doubler d'ici 2040 pour atteindre 59 %. Cela permettrait à lui seul de réduire de 60 pour cent les émissions de CO2 liées à l'utilisation des matériaux. Dans le même temps, il est possible d'augmenter le taux de recyclage d'une voiture de 80 % à 97 % - presque toutes les pièces d'un véhicule seraient alors réutilisées. "Pratiquement tous les constructeurs convertissent actuellement leur gamme de modèles aux propulsions alternatives", explique Björn Noack, partenaire de Bain et co-auteur de l'étude. "Mais ils n'atteindront réellement l'objectif ambitieux de la neutralité climatique que s'ils créent en même temps des cycles de matériaux fermés".

L'économie circulaire automobile offre également des avantages économiques

L'étude de Bain prend également en compte les étapes de création de valeur en aval. Selon cette étude, la part des pièces usagées dans les réparations en Europe pourrait atteindre 12 % d'ici 2040, contre 2 % seulement en 2020. Pour les batteries en particulier, le recyclage et la réutilisation deviendront à l'avenir la norme afin de satisfaire aux exigences réglementaires strictes. Mais pour cela, un marketing professionnel est nécessaire. "Plus les constructeurs automobiles s'engagent dans le concept de recyclage et plus ils s'adressent au public, plus il sera facile pour les entreprises de service de convaincre leur clientèle d'utiliser des pièces de rechange d'occasion", constate Klaus Stricker, partenaire de Bain et responsable du groupe de pratique mondial Automobile et mobilité. Pour les constructeurs automobiles du monde entier, le passage à une économie circulaire présente plusieurs avantages. "Les circuits fermés ne réduisent pas seulement l'impact environnemental, mais augmentent également la résilience des chaînes d'approvisionnement et réduisent les coûts des matériaux à plus long terme", explique Stricker. "Cela se traduit par des marges plus élevées, et de nouvelles opportunités de revenus s'offrent en outre".

Le mode de déplacement change radicalement

En outre, un changement de comportement d'utilisation jouera un rôle important sur le chemin vers la neutralité climatique. Selon l'étude de Bain, l'utilisation de robotaxis sera probablement de plus en plus rentable dans les années 2030. Par conséquent, la part des véhicules privés dans le nombre de kilomètres parcourus dans le monde passera de 67 % aujourd'hui à environ 50 % en 2030. En 2050, elle ne devrait même plus être que de 40 %. Le taux d'utilisation global de tous les véhicules augmenterait ainsi considérablement, tandis que le besoin en nouveaux véhicules diminuerait. "La mobilité reste une partie essentielle de notre vie", assure Noack, partenaire de Bain. "Mais la manière dont nous nous déplaçons va fondamentalement changer. Le changement climatique perceptible y contribue avant tout, l'urbanisation croissante et une conscience plus aiguë de l'environnement s'y ajoutent". Et il ajoute : "L'avenir appartient à l'économie circulaire automobile. Plus tôt les constructeurs et les fournisseurs s'y prépareront, plus tôt ils pourront se démarquer de leurs concurrents".

La coopération intersectorielle est indispensable

Les entreprises pionnières se concentrent sur trois mesures. D'une part, elles examinent systématiquement l'ensemble de leur chaîne de création de valeur afin de pouvoir exploiter de manière conséquente les opportunités de circuits fermés. D'autre part, il s'agit de reconnaître les tendances à temps et de poser dès aujourd'hui les jalons pour les marchés de demain sur la base de scénarios d'avenir. Enfin, ils s'engagent dans des écosystèmes et commencent à mettre en place des circuits fermés en collaboration avec des partenaires. Dans le cadre de la Global Battery Alliance, par exemple, plus de 120 entreprises et institutions travaillent désormais à l'établissement d'une chaîne de création de valeur durable pour les batteries. Les coopérations intersectorielles revêtent justement une grande importance. "L'économie circulaire automobile présuppose que les constructeurs, les fournisseurs et les personnes extérieures au secteur collaborent largement et en toute confiance", souligne l'expert du secteur Noack. "Les constructeurs automobiles qui le reconnaissent sondent très précisément les domaines dans lesquels leur position unique leur donne une longueur d'avance et où les coopérations sont particulièrement avantageuses pour eux. De cette manière, ils sont parfaitement équipés pour affronter la concurrence à l'avenir". Source : www.bain-company.ch Le post Économie circulaire automobile : une réduction de 60% des émissions de CO2 est possible appeared first on Organisateur.

Manager en marketing diplômé : nouveau plan d'études cadre approuvé

Le nouveau plan d'études cadre pour la formation de manager en marketing diplômé(e) a été approuvé.

Le SBFI a approuvé le nouveau plan d'études cadre pour le diplôme de manager en marketing. (Photo : zVg, HFMK, SIB)

Le Secrétariat d'Etat à la formation, à la recherche et à l'innovation (SEFRI) a approuvé le nouveau plan d'études cadre pour la formation de "manager en marketing diplômé(e)". Le contenu révisé des études est classé au niveau de compétence NQR 6 et prépare les étudiants aux exigences actuelles de la vie professionnelle.

Les nouvelles conditions d'admission à l'Ecole supérieure de marketing et de communication (ESMC) sont applicables dès maintenant :

  • Il est désormais possible de suivre cette formation avec un diplôme d'employé(e) de commerce CFC, de gestionnaire du commerce de détail CFC et de médiamaticien(ne) CFC sans expérience professionnelle.
  • Des enregistrements sur dossier sont possibles.
  • Les diplômes de formation existants et la pratique professionnelle peuvent être pris en compte par les prestataires de formation.

Les objectifs d'apprentissage s'orientent sur les compétences opérationnelles professionnelles. Ils sont adaptés aux compétences opérationnelles acquises dans la nouvelle formation commerciale de base. La durabilité, l'agilité et la numérisation sont représentées de manière intégrée dans tous les champs d'action et processus.

Sources et informations complémentaires : Marketing suisse, Hfmk.ch

Voyage dans le temps à travers l'histoire commerciale

La Société suisse des employés de commerce fête cette année ses 150 ans d'existence. La nouvelle campagne "buerogeschichten.ch" montre à quel point les années passées ont été émouvantes pour les employés de commerce. On y trouve plus de 350 contributions en ligne - allant de coupures de presse à des reportages audio en passant par des vidéos - sur l'histoire de la plus ancienne association d'employés de Suisse, encore active aujourd'hui.

Un site Internet spécialement conçu à cet effet emmène les personnes intéressées dans un voyage dans le temps à travers 150 ans d'histoire commerciale. (Image : Société suisse des employés de commerce)

À l'occasion de son 150e anniversaire la Société suisse des employés de commerce lance une campagne immersive qui permet de remonter le temps jusqu'aux débuts de l'association dans les années 1870. Depuis toujours, la formation et l'apprentissage tout au long de la vie sont fermement ancrés dans l'ADN de la Société suisse des employés de commerce. Engagée à développer constamment les profils professionnels et à promouvoir le système de formation dual, la Société a fait des professions commerciales ce qu'elles sont aujourd'hui : un pilier absolument central pour l'économie et le monde du travail suisses.

Contributions audio, vidéos et textes sur 150 ans d'histoire de l'association

Lors de la campagne d'anniversaire "buerogeschichten.ch"Des commerçants, d'anciens professionnels, des apprentis actuels, des représentants de l'association, des organisations partenaires et des politiciens prennent la parole. Que l'on filtre les articles par thème ou que l'on les consulte chronologiquement, tous donnent un aperçu vivant des 150 ans d'histoire de l'association. Parmi les plus de 350 contributions en ligne, on trouve quelques trouvailles amusantes : des documents anciens, des films muets, des vidéos et des sources qui, d'un point de vue actuel, paraissent curieuses et parfois étranges. Un règlement de bureau datant de 1871 stipule : "La prise de nourriture est autorisée entre 11h30 et 12h00, mais le travail ne doit pas être arrêté à ce moment-là". La première femme a été admise aux cours de formation professionnelle en 1901. Un reportage filmé dans les années 1960 montre des boursicoteurs hurlant sur le ring. Au fil des décennies, des commerçants racontent leur expérience de l'apprentissage. Des lettres venues du futur laissent entrevoir la direction que prendront les professions commerciales dans les décennies à venir.

Autres temps, autres mœurs

La campagne "buerogeschichten.ch" documente l'évolution de l'association, du système de formation suisse et des profils professionnels des employés de commerce. Et elle donne un aperçu éclairant de l'évolution de notre société et des rôles qui y sont associés. En lisant certains articles, on ne peut s'empêcher d'être étonné - et de se réjouir de ces jalons.

La campagne du jubilé a été réalisée en collaboration avec les filiales Hochschule für Wirtschaft Zürich HWZ et Schweizerisches Institut für Betriebsökonomie SIB et accompagnée par un historien. Le matériel provient des archives de la Société suisse des employés de commerce et est librement accessible aux Archives sociales suisses à Zurich. Le concept, le design et la réalisation ont été signés par l'agence Partner & Partner AG de Winterthur. La Société suisse des employés de commerce a lancé officiellement la campagne dans le cadre de sa cérémonie solennelle du 3 mars 2023.

Source : www.kfmv.ch

La FFHS devient partenaire universitaire officiel des ZSC Lions

La Haute école spécialisée à distance Suisse (FFHS) et la ZSC Lions AG deviennent partenaires de coopération. Ensemble, ils veulent créer une plus-value pour le sport suisse en contribuant au renforcement de la carrière duale. Un premier produit de ce partenariat, est le CAS commun "Digital Business in Sports".

Un partenariat scellé : Mike Kurt, co-directeur de la filière CAS, Romano Caviezel, CTO ZSC Lions AG et Bora Altuncevahir, responsable de la filière BSc économie d'entreprise en management du sport. (Image : FFHS)

Environ 130 sportifs professionnels étudient aujourd'hui à la FFHS. Parmi eux, on trouve notamment Lia Wälti, capitaine du football féminin suisse, et le gardien de hockey sur glace Leonardo Genoni de l'EV Zug. Grâce au modèle d'études "blended learning", il est possible de combiner le sport de haut niveau et des études supérieures - une offre importante pour les athlètes afin de préparer en parallèle leur carrière après leur carrière professionnelle. Avec la filière de bachelor en économie d'entreprise en management du sport, la FFHS s'est également tournée ces dernières années vers l'industrie du sport, notamment dans les domaines de la transformation numérique, des nouvelles technologies, des SportsTech et des modèles commerciaux numériques.

Formation continue pour l'après-carrière sportive

Des thèmes qui sont également d'une grande actualité pour les ZSC Lions AG. Le club s'est fixé pour objectif d'être un précurseur dans la ligue suisse de hockey sur glace en ce qui concerne la transformation numérique. La mise en service de la nouvelle "Swiss Life Arena" moderne en octobre 2022 a constitué un premier jalon.

En faisant de la FFHS leur nouveau partenaire universitaire, les ZSC/GCK Lions soulignent l'importance de la formation et de la formation continue dans l'environnement sportif professionnel. "Pour entrer dans la vie professionnelle après une carrière sportive réussie, une formation continue est importante. La FFHS propose un large éventail de formations continues adaptées aux sportifs", explique Romano Caviezel, membre de la direction des ZSC Lions AG.

Nouveau CAS à la FFHS : le sport devient numérique

Depuis quelques années, le sport business est en pleine mutation. De nouveaux modèles commerciaux et l'importance croissante des technologies numériques poussent au changement. Avec le nouveau CAS Digital Business ins Sports, la FFHS lance une première formation continue en partenariat avec les ZSC/GCK Lions.

Le CAS transmet un savoir-faire dans les domaines de la numérisation, de la SportsTech et de l'innovation, qui complète le BSc en économie d'entreprise Management du sport. "Cette formation continue approfondie permet aux diplômés de contribuer de manière déterminante à la transformation numérique dans le business du sport", explique Ralf Kreuzer, co-directeur de la filière.

Le CAS Digital Business in Sports comprend trois modules et dure deux semestres. Comme toutes les filières d'études, la FFHS propose également cette formation continue dans un modèle flexible de "Blended Learning" : 80% de la formation continue sont suivis en ligne, les cours en présentiel ont lieu au Gleisarena FFHS Campus à la gare centrale de Zurich ou également à la Swiss Life Arena. Le cursus débutera pour la première fois en octobre 2023, la date limite d'inscription est fixée au 30 juin 2023.

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Cargobikes : un grand potentiel, mais aussi des mesures à prendre

Les cargobikes ont le vent en poupe en Europe. Grâce à eux, 50 % des transports de marchandises pourraient être effectués dans le respect de l'environnement et des villes, selon le communiqué. L'association Pro Velo Suisse demande donc à la Confédération, aux cantons et aux villes de faire avancer ce développement.

Les cargobikes ont un grand potentiel, mais rencontrent encore des obstacles en Suisse. (Image : Depositphotos.com)

Il est évident que l'utilisation de cargobikes permet d'économiser de l'énergie et de réduire les émissions de CO2 et les nuisances sonores. Un nouvel aperçu de la Fédération européenne des cyclistes (ECF) montre à quel point la présence de ces cargovelos dans les villes s'est déjà développée ces dernières années.

Un potentiel avec des obstacles

En Suisse aussi, les cargobikes ont un grand potentiel. Que ce soit pour le transport d'enfants ou de marchandises. La motivation pour utiliser un vélo-cargo n'est pas seulement le transport d'enfants ou de marchandises. De nombreux utilisateurs souhaitent également se déplacer de manière écologique et renoncer par exemple à la voiture, tout en continuant à se déplacer de manière autonome et efficace. "Les cargovelos sont un "game changer"", déclare Matthias Aebischer, président de PRO VELO Suisse. "Ils sont l'une des clés pour des villes climatiquement neutres et agréables à vivre, car ils contribuent à résoudre plusieurs problèmes urbains à la fois".

Les trois principaux obstacles au développement rapide des vélos-cargos sont les restrictions légales concernant les véhicules, la largeur des infrastructures cyclables et la disponibilité des places de stationnement.

Lever les restrictions pour les cargobikes

Pour PRO VELO, la limitation de poids et de largeur des vélos-cargos doit être libéralisée. Il en va de même pour le transport d'enfants sur les différents types de vélos électriques.

Du point de vue de l'infrastructure, ce sont surtout les villes qui sont sollicitées. La largeur des bandes et pistes cyclables n'est pas encore adaptée aux vélos-cargos dans de nombreux endroits. Pro Velo attend donc des cantons et des villes qu'ils dimensionnent en conséquence le réseau cyclable, qui doit de toute façon être étendu en raison de la loi sur les pistes cyclables. La création de plateformes logistiques permettant le transbordement de camions et de véhicules de livraison sur des cargovelos doit également être encouragée. Dans ce domaine, les villes peuvent participer au Exemple d'Oslo orienter.

Comme les cargobikes sont trop grands pour les places de stationnement pour vélos, il faut des surfaces de stationnement supplémentaires pour eux. Une possibilité est de réaffecter des places de parking pour voitures. Pro Velo veut cependant aller plus loin et propose à la Confédération de libérer les places de stationnement pour voitures de manière générale pour les cargovelos.

Subventionner les cargobikes ?

Une autre incitation pratiquée dans différents pays européens, dont récemment l'Autriche, est la subvention à l'achat d'un cargovélo. Ainsi, au cours des cinq dernières années, l'achat de 10 000 cargovelos a été soutenu financièrement dans toute l'Europe. Pour la Suisse, on peut citer l'exemple du Canton de Genève qui le pratique depuis 2019. En deux ans, jusqu'en 2021, la demande a plus que triplé, avec 589 contributions.

Source : Pro Velo Suisse

Dans les négociations avec les clients industriels, il existe

Les négociations sur les prix et les contrats dans le secteur B2B sont généralement remportées par le partenaire qui aborde l'épreuve de force avec un objectif plus clair et qui réagit de manière souveraine aux jeux tactiques de son adversaire. Sept conseils pour les vendeurs afin d'augmenter leurs chances de succès lors des négociations.

Les négociations avec les clients industriels sont exigeantes. La plupart du temps, le partenaire qui aborde l'épreuve de force avec des objectifs plus clairs l'emporte. (Image : Unsplash.com)

Le conseiller commercial Horst Bayer donne sept conseils pour aider les vendeurs à mieux réussir leurs négociations avec les clients industriels.

Conseil n° 1 : prenez conscience de la nature d'une négociation

Lors des négociations de prix et de contrats dans le secteur B2B, les vendeurs et les acheteurs sont généralement soumis à une forte pression pour réussir, car les deux parties doivent atteindre des objectifs prédéfinis, parfois très différents. C'est pourquoi il n'est pas nécessaire de mener des négociations avec l'intention de : Je veux gagner.

Les négociations sont généralement gagnées par celui qui a la stratégie et les objectifs les plus clairs et qui est le mieux préparé. L'idée selon laquelle les deux parties se comportent toujours de manière équitable est étrangère à la réalité. Dans de nombreuses négociations, le vendeur doit rapidement faire ses adieux à une approche câline - généralement feinte - gagnant-gagnant.

Les négociations de prix et de contrats dans le secteur B2B sont généralement si complexes qu'il est rare de réussir avec une procédure et un comportement standardisés. Ce qu'il faut, ce sont des personnalités dotées d'une colonne vertébrale et d'expérience, qui réagissent de manière flexible à la situation et au partenaire ; des personnalités dotées d'une intelligence sociale et émotionnelle, qui pensent de manière stratégique et se comportent de manière intelligente sur le plan tactique, et qui, malgré toute leur volonté de réussir, sont également prêtes et capables de coopérer. De tels négociateurs se développent au cours de nombreuses années, grâce à une étude continue des partenaires et à une réflexion critique sur leur propre comportement et ses effets.

Conseil 2 : Mettez-vous à la place de l'acheteur

Changer de perspective pour adopter le point de vue de l'acheteur peut faire des merveilles. En sortant de la perspective à la première personne, un tout nouveau monde d'idées créatives s'ouvre souvent pour créer une base de négociation commune.

Si les acheteurs se sentent perçus, pris au sérieux et compris avec leurs besoins et en tant que personne, ils veulent trouver une solution avec leur partenaire. Cela signifie que les énergies du vendeur et de l'acheteur vont dans la même direction. Ils ont donc plus de chances de trouver une solution avec laquelle les deux parties peuvent vivre - sans que l'un des partenaires ne perde de vue ses objectifs de négociation.

Conseil n° 3 : créer la conscience de la valeur nécessaire pour votre solution

La tâche centrale du vendeur est de faire en sorte que l'acheteur prenne conscience de la valeur de sa solution au problème. Il doit convaincre l'acheteur, à l'aide d'une argumentation de vente spécifique au client, qu'il est plus avantageux pour lui et son entreprise d'acheter le produit X ou le service Y chez lui - même si le prix est légèrement plus élevé que chez la concurrence.

Pour cela, les vendeurs doivent comprendre l'activité de leurs clients et connaître la situation actuelle du marché. Plus un vendeur est compétent dans ce domaine et plus il agit avec assurance, plus il est difficile pour l'acheteur d'exiger des réductions de prix ou de passer la commande à un concurrent.

Conseil n° 4 : soyez ferme, ne faites pas de phrases toutes faites

Lorsque les négociations deviennent délicates, par exemple parce que l'acheteur aborde un vrai point sensible, de nombreux vendeurs adoptent un comportement d'évitement. C'est-à-dire qu'ils abordent des sujets secondaires ou qu'ils se contentent de phrases toutes faites. Cela "agace" les acheteurs et peut entraîner la perte de la confiance et donc du contrat.

Lorsqu'un vendeur adopte un tel comportement d'évitement, les acheteurs en déduisent que ce vendeur prendra également la fuite si des problèmes surviennent dans la collaboration après la conclusion du contrat. Cela signifie que lui et son entreprise auront toujours une excuse quelconque au lieu de prendre au sérieux nos souhaits et nos problèmes et de s'en occuper. C'est pourquoi il n'est pas un partenaire intéressant.

Conseil n° 5 : établissez une relation avec l'acheteur - très tôt

Souvent, les vendeurs essaient de contourner le "méchant" acheteur et cherchent plutôt à entrer en contact avec les départements spécialisés. Aucun acheteur ne peut tolérer cela. Il laisse donc le vendeur "se faire avoir". Les vendeurs justifient généralement leur contournement des achats par l'argument suivant : "Les acheteurs n'ont aucune connaissance technique". Pourtant, les acheteurs sont aujourd'hui le plus souvent des experts qui, grâce à leur formation et à leur expérience, comprennent très bien les processus et les procédures techniques - tout comme les relations économiques.

En tant que vendeur, cherchez à entrer en contact avec le service des achats le plus tôt possible. Et si des entretiens sont menés avec les départements spécialisés, par exemple pour sonder les besoins futurs ? Les vendeurs devraient alors demander à leurs interlocuteurs des services spécialisés : "Qui du service des achats est responsable de cela ? J'aimerais bien me présenter à lui/elle". Sinon, cela se retourne amèrement contre eux lorsqu'il s'agit de passer une commande.

Conseil 6 : Présentez-vous et votre entreprise comme un partenaire stratégique potentiel

Lors de négociations dans le domaine B2B, il s'agit souvent de convenir d'un partenariat stratégique, c'est-à-dire de poser les jalons d'une collaboration à long terme. Car cela présente des avantages pour les deux parties. Il est par exemple possible de convenir de processus plus efficaces en raison d'une relation commerciale stable et empreinte de confiance - comme la suppression des contrôles à la réception des marchandises ou une procédure d'échantillonnage simplifiée.

Les fournisseurs qui souhaitent établir un partenariat stratégique avec une entreprise ne doivent pas seulement être en mesure de répondre à ses besoins immédiats. Ils doivent disposer d'autres caractéristiques pour être attractifs en tant que partenaires - par exemple une grande force d'innovation, des compétences en matière de développement et des liquidités. En tant que vendeur, convainquez les acheteurs que votre entreprise dispose de ces qualités.

Conseil n° 7 : réagissez avec calme et assurance aux fautes tactiques des acheteurs

Les acheteurs doivent obtenir le meilleur résultat de négociation possible pour leur entreprise. Il est donc normal que, comme les vendeurs, ils aient parfois recours à certaines astuces. Se plaindre de cela ne sert à rien. Car cela fait partie de la négociation, comme les "fautes tactiques" dans un match de football. Vous devez donc y réagir avec calme. Voici quelques exemples

  • Astuce d'acheteur : L'acheteur généralise les cas individuels négatifs
    Réaction du vendeur : ne pas accepter, demander d'autres exemples
  • Astuce d'acheteur : L'acheteur pratique la tactique du salami en réclamant sans cesse des informations complémentaires
    Réaction du vendeur : rassembler d'abord tous les points de négociation et ensuite seulement négocier
  • Astuce d'acheteur : L'acheteur tente de provoquer le stress chez le vendeur en mettant l'accent sur des points secondaires ou en feignant le désintérêt.
    Réaction du vendeur : rester calme, continuer à argumenter calmement, ne pas lancer de contre-attaque
  • Astuce d'acheteur : L'acheteur tente d'intimider le vendeur, par exemple en le faisant attendre longtemps, en téléphonant constamment en parallèle.
    Réaction du vendeur : faire preuve de courage et d'ouverture, mais en souriant, en expliquant que l'on a compris les astuces de l'autre partie

Les vendeurs doivent reconnaître les "fautes tactiques" des acheteurs. Ce n'est qu'alors qu'ils peuvent y réagir avec assurance. Si un vendeur n'y parvient pas, l'acheteur le considérera comme peu assertif, même dans sa propre entreprise. Il traitera le vendeur en conséquence. C'est pourquoi la maxime à appliquer en cas de "ruses et d'astuces déloyales" de la part des acheteurs devrait être la suivante : Montrer ses couleurs et sa confiance en soi. Ce n'est qu'à cette condition que les acheteurs les prendront au sérieux en tant que partenaires de négociation.

 

Vers l'auteur :
Horst Bayer est conseiller et formateur senior auprès de la société de conseil en distribution Peter Schreiber & Partner à Ilsfeld, Allemagne (www.schreiber-training.de). Avant de devenir consultant, cet économiste d'entreprise a travaillé pendant 30 ans dans les domaines des achats, de la logistique et de la gestion des matériaux pour l'industrie de la fabrication et des biens d'investissement. Son dernier poste était celui de directeur des achats et de la logistique chez un sous-traitant de l'industrie automobile.

Des talents informatiques d'Afrique du Nord pour lutter contre la pénurie de personnel informatique qualifié

"Remotecoders" a réuni son équipe de base en Egypte et ouvre un bureau au Caire avec le soutien de son partenaire local QualiDev. Cette association à but non lucratif propose du nearshoring informatique en préparant des réfugiés talentueux et des jeunes vulnérables à des stages à distance avec le soutien de l'EPFL.

Ensemble contre la pénurie de personnel IT qualifié : les fondateurs de Remotecoders : Hussam Allaham (à gauche) et Christian Hirsig. (Image : zVg / Remotecoders)

"Remotecoders" est la dernière initiative de Christian Hirsig, qui a déjà créé en 2016 avec sa femme Bettina l'association à but non lucratif "Powercoders" en Suisse - une école de codage pour les réfugiés et les migrants, qui aide les talents informatiques en Suisse à acquérir une solide formation en programmation informatique et ainsi à entrer dans le monde de l'informatique et à démarrer une vie indépendante. En collaboration avec Hussam Allaham, lui-même réfugié syrien arrivé en Suisse via un camp de réfugiés au Liban, Christian Hirsig a fondé les "Remotecoders" pendant la pandémie de Corona. La DDC soutient le projet, convaincue que ce type d'aide au développement est efficace sur le terrain et auprès des jeunes touchés par le chômage dans la région MENA.

L'Égypte a été choisie comme pays pilote. En collaboration avec l'EPFL, Remotecoders prépare les talents à distance pour leur stage en informatique. L'équipe de départ au Caire comprend deux cadres, onze chefs d'équipe et 29 internes. L'équipe de Remotecoders est spécialisée dans tous les domaines, du développement frontal à l'ingénierie des données en passant par Java Enterprise. Onze entreprises, comme le WWF, le commerçant en ligne BRACK.CH ou l'agence numérique suisse viu, ont déjà été mises en contact avec l'équipe égyptienne pour un projet pilote.

Les entreprises suisses utilisent les services informatiques de Remotecoders et font d'une pierre deux coups : elles exposent le Pénurie de personnel informatique qualifié en Suisse une solution créative et ils offrent des perspectives professionnelles à des personnes d'Afrique du Nord. Marcel Rassinger, CIO de BRACK.CH, peut le confirmer : "Pour nous, Remotecoders est un excellent moyen de lutter contre la pénurie de main-d'œuvre qualifiée et d'aider des personnes talentueuses à faire leur entrée dans le monde professionnel de l'informatique". L'initiateur Christian Hirsig ajoute : "Nous occupons actuellement 480 m2 de bureaux au Caire et sommes très motivés pour faire de notre projet une situation gagnant-gagnant pour les partenaires suisses impliqués comme pour nos collaborateurs ici en Égypte. Avec Powercoders, nous avons déjà prouvé une fois que des personnes d'horizons très divers peuvent trouver avec succès le chemin de l'informatique".

Source : Décodeurs à distance

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