Cinq raisons pour lesquelles les professionnels restent chez leur employeur

La plateforme d'emploi en ligne (allemande) StepStone a mené une étude auprès de plus de 20.000 professionnels et cadres afin de déterminer les facteurs auxquels les employés sont particulièrement attentifs pour rester à long terme chez un employeur.

Les professionnels ne veulent pas faire carrière à tout prix, mais comptent aussi sur des "facteurs mous" comme la collégialité, les possibilités de formation continue, etc. (Image : Fotolia.com)

Les professionnels sont sélectifs et ont une idée précise de leur emploi. Un salaire plus élevé (74 % d'accord) et une plus grande liberté dans l'organisation de la journée de travail (70 % d'accord) sont des facteurs attrayants pour les professionnels qui souhaitent changer de travail. Mais quelles sont les raisons qui les poussent à vouloir rester chez leur employeur ? La plate-forme d'emploi en ligne StepStone, qui appartient au groupe Axel Springer, a découvert dans une étude menée auprès de plus de 20.000 spécialistes et cadres que ces facteurs diffèrent parfois fortement de ce qu'ils attendent d'un nouvel emploi. Voici les cinq principales raisons pour lesquelles les professionnels conservent leur emploi.

Top 1 : Une bonne relation avec les collègues

Les personnes actives passent souvent plus de temps avec leurs collègues qu'avec leur famille. Il n'est donc pas étonnant que la bonne relation avec les collègues soit la raison la plus souvent citée pour rester chez son employeur actuel. Pas moins de 85 % des professionnels interrogés sont d'accord avec cette affirmation. Les jeunes talents qui ont au maximum trois ans d'expérience professionnelle accordent encore plus d'importance aux bonnes relations avec leurs collègues (89 %).

Top 2 : Valoriser le travail

Les personnes qui reçoivent de la reconnaissance et des félicitations pour leur travail choisissent généralement de rester fidèles à leur employeur. C'est ce qu'affirment aussi bien 83 % des spécialistes que des jeunes professionnels interrogés. Un signal clair pour les cadres : pour fidéliser les collaborateurs à long terme, les managers devraient également intégrer des signes de reconnaissance dans leur quotidien professionnel. Les augmentations de salaire, les promotions ou les événements d'équipe peuvent certes avoir des effets positifs, mais il suffit souvent d'un mot aimable pour signaler l'estime.

Le top 3 : Bonne relation avec les supérieurs

Une bonne ambiance de travail est importante pour les professionnels afin qu'ils se sentent bien dans leur travail. Toutefois, une bonne relation avec les collègues n'est pas le seul élément à prendre en compte, il y a aussi les relations avec les supérieurs hiérarchiques. Huit professionnels sur dix y attachent une grande importance.

Le top 4 : Équilibre entre vie professionnelle et vie privée

Concilier vie et travail est une tâche difficile, surtout pour les parents. Mais les professionnels ayant moins de responsabilités familiales souhaitent également un bon équilibre entre travail et loisirs. Pour 75 % des personnes interrogées, un équilibre positif entre vie professionnelle et vie privée est un facteur important pour rester fidèle à son employeur. Pour les jeunes professionnels, l'équilibre entre travail et loisirs est encore plus important : pour 81 pour cent d'entre eux, un équilibre positif entre travail et vie privée est une raison essentielle pour rester chez l'employeur.

Le top 5 : Possibilités de développement et de formation continue pour les professionnels

En changeant de travail, les professionnels souhaitent souvent faire progresser leur carrière : Outre un meilleur salaire, un poste avec plus de responsabilités peut être décisif pour un changement. Mais s'il y a suffisamment de possibilités de gravir les échelons et de se former au sein de l'entreprise, les professionnels restent en général dans leur emploi (68 %). Les jeunes professionnels qui n'ont que quelques années d'expérience professionnelle accordent encore plus d'importance à leur progression de carrière : 78% d'entre eux renonceraient à changer d'entreprise s'ils avaient des possibilités d'évolution.

Source : www.stepstone.de 

Nouveau pôle de recherche Design-Driven Digitalization à la FHS St.Gallen

À partir de l'automne 2017, la haute école spécialisée proposera une nouvelle filière de master en ingénierie avec une spécialisation dans le domaine Business Engineering and Production. Les étudiants titulaires d'un bachelor en ingénierie de gestion élaborent leurs études dans la nouvelle unité de recherche Design-Driven Digitalization.

La FHS St.Gallen fonde une nouvelle unité de recherche Design-Driven Digitalization. (Image : FHS St.Gallen)

Cet automne, les premiers ingénieurs en économie obtiendront leur bachelor à la Haute école spécialisée de Saint-Gall (FHS). Afin qu'ils puissent y poursuivre leurs études, la FHS propose désormais une spécialisation dans le domaine Business Engineering and Production dans le cadre des études techniques de master. Pour ce faire, elle a fondé une nouvelle unité de recherche sous la direction de l'Institut pour l'innovation, le design et l'ingénierie (IDEE-FHS) et avec la participation d'autres instituts de la FHS St.Gallen, de la Hochschule für Technik Rapperswil (HSR) et de l'Interstaatlichen Hochschule für Technik Buchs (NTB) : la Master Research Unit (MRU) Design-Driven Digitalization.

Développement de l'innovation guidé par le design

Dans ses activités de recherche, la MRU Design-Driven Digitalization s'occupe de tous les aspects de la numérisation dans les entreprises industrielles. La numérisation signifie ici l'utilisation de technologies numériques pour créer de nouvelles opportunités et possibilités ainsi que pour garantir et renforcer la pertinence commerciale des nouvelles offres et modèles numériques pendant le processus de développement. Cela se fait à l'aide d'approches, de méthodes et de processus de développement de l'innovation axés sur la conception. La création précoce de prototypes en est l'élément central. Au cours des études de master à la MRU Design-Driven Digitalization, les étudiants apprennent à analyser et à prévoir les évolutions futures du marché et les besoins des clients, ainsi qu'à développer, mettre en œuvre et améliorer des produits, services et modèles commerciaux innovants.

Masters en coopération de toutes les hautes écoles spécialisées

Le Master of Science in Engineering (MSE) est un cursus de coopération unique en Suisse entre toutes les hautes écoles spécialisées et constitue le diplôme le plus élevé des hautes écoles spécialisées dans les domaines de la technique, des technologies de l'information ainsi que de la construction et de la planification. La filière se caractérise par une offre variée et une grande liberté de choix. Les diplômé-e-s peuvent définir eux-mêmes leurs priorités d'études en fonction de leurs intérêts personnels et de leurs souhaits professionnels. Les études sont structurées de manière modulaire et comprennent 90 points ECTS (European Credit Transfer System). Le cœur du cursus est l'approfondissement professionnel orienté vers la pratique dans une unité de recherche (MRU Master Research Unit). Les étudiants y acquièrent des connaissances et élargissent leur expérience dans leur domaine de spécialisation dans le cadre de projets, souvent directement pour des clients de l'industrie ou du secteur public. Le MSE qualifie les diplômé-e-s pour des postes de direction et la gestion de projets interdisciplinaires. Ils disposent de connaissances approfondies en matière de gestion de projet, connaissent les interactions économiques et contribuent à des solutions innovantes sur les plans analytique, conceptuel, technique et de la planification.

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NTT Security coopère avec Recorded Future en Suisse

NTT Security (Switzerland) SA, membre du groupe NTT et spécialiste de la sécurité de l'information et de la gestion des risques, a conclu une coopération avec Recorded Future, spécialiste de la Threat Intelligence. Ce partenariat est placé sous le signe d'une commercialisation renforcée par NTT Security de services dans les domaines de la sécurité et de l'analyse avancées, du SIEM ainsi que de la réponse aux incidents, selon le communiqué.

Tom Hager de NTT Security : "Un défi élémentaire dans la défense contre les cyber-attaques réside par nature dans le domaine de la détection". (Photo : PD/NTT Security)

Fondée en 2009, l'entreprise américaine Recorded Future, dont le siège se trouve à Somerville, Massachusetts, développe et distribue des solutions dans le domaine de la Threat Intelligence, basées sur le "Machine Learning". En d'autres termes, des modèles mathématiques et statistiques permettent d'identifier les fichiers nuisibles et d'établir des prévisions de danger. L'entreprise analyse chaque jour des millions de documents en sept langues sur Internet. Les textes, les vidéos et les fichiers audio sont recherchés à l'aide de mots-clés spécifiques. Au total, Recorded Future utilise actuellement environ 750.000 sources - des forums chinois aux sites de criminels en ligne russes.

Image en temps réel de l'état de la menace

"L'approche technologique de Recorded Future est extrêmement impressionnante. Ce n'est pas pour rien que quatre des cinq plus grands groupes mondiaux ou de nombreux gouvernements et services secrets utilisent ses solutions", explique Tom Hager, Country Manager de NTT Security (Switzerland) AG, à Au ZH. "Mais bien sûr, les solutions doivent d'abord être implémentées et configurées de manière adéquate. En outre, il est nécessaire d'évaluer et d'interpréter correctement les données obtenues afin de générer une valeur ajoutée pour une entreprise. NTT Security se charge de ces tâches complexes qui requièrent savoir-faire, expertise et ressources".

Dans l'idéal, les données obtenues sont encore enrichies par des connaissances supplémentaires et leur pertinence est encore augmentée par des corrélations. "NTT Security est également prédestiné à ces tâches", poursuit Hager, "car en tant que fournisseur mondial, nous surveillons et analysons les messages et les perturbations des infrastructures informatiques les plus diverses de milliers de clients, et nous établissons sur cette base de données une image en temps réel de la situation en matière de menaces".

"Complément optimal pour NTT Security"

En Suisse, NTT Security suit une approche de conseil globale. Pour ce faire, l'entreprise mise sur une étroite coopération avec des fournisseurs de technologies nationaux et internationaux tels que Recorded Future et élargit continuellement son portefeuille de solutions.

La solution de Recorded Future complète de manière optimale l'offre de services de NTT Security dans les domaines SIEM (Security Information and Event Management), Advanced Analytics, Vulnerability Management et Incident Response. NTT Security a récemment lancé son service de réponse aux incidents en Suisse. L'entreprise réagit ainsi à la forte augmentation actuelle de la demande du marché dans ce segment. "Un défi élémentaire dans la défense contre les cyberattaques réside naturellement dans le domaine de la détection. La détection précoce est indispensable et doit se baser sur l'analyse de données en temps réel et sur une surveillance proactive", explique Hager. "Avec les Threat Intelligence Feeds de Recorded Future disponibles en plus dans le cadre du partenariat et les données de nos propres Global Threat Intelligence Centers (GTIC), nous créons une base de données qui nous permet d'améliorer considérablement la qualité de l'analyse des menaces. Et cette qualité profite bien sûr en premier lieu à nos clients en Suisse".

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Premier Sommet numérique pour les PME : un lancement réussi

La première édition du Digital Summit pour les PME, qui s'est tenue les 29 & 30 août 2017 en parallèle de SuisseEMEX à Messe Zürich, a été un succès. Les organisateurs ont osé un nouveau concept dans l'esprit d'une plateforme de connaissances sur la numérisation.

Rolf Schumann de SAP a présenté quelques exemples concrets de produits "numérisés" lors du Digital Summit pour PME. (Image : Service de presse / zVg)

Les plus de 550 participants au premier Digital Summit pour PME ont tous donné un feedback positif aux initiateurs et organisateurs, notamment à Ewa Ming, CEO Emex Management GmbH et Thomas Bergmann, Digital Head et fondateur de DIGIRATIS - Réseau suisse de l'élite numérique. Non seulement l'organisation de l'événement et l'ambiance, mais aussi et surtout la qualité des ateliers d'apprentissage et des keynotes, la compétence des experts et des conférenciers ainsi que la Digital EXPO avec des showcases pratiques de la numérisation des PME, ont été salués.

Un congrès qui affiche complet

Le congrès, qui affiche complet et propose des solutions et des outils concrets, montre que le besoin de formation continue axée sur la pratique est grand parmi les dirigeants de PME, comme nous l'avons déjà constaté. ici ont rapporté. "Nous sommes submergés. Il s'est avéré que la numérisation est un thème important pour les PME suisses et que le fait de se concentrer sur la question clé "La numérisation, oui, mais comment ?" a été le facteur de succès décisif", a déclaré Ewa Ming. Quelque 500 partenaires, experts et conférenciers ont participé à ce succès. En collaboration avec eux, le concept va maintenant être développé et optimisé - car malgré les nombreux éloges, les organisateurs voient des points de départ à cet égard. Les premières demandes pour 2018 ont déjà été formulées.

Sommet numérique pour les PME en déplacement

Désormais, le Digital Summit ON TOUR apporte également le savoir des experts dans les régions en se rendant dans plusieurs villes suisses. En automne 2017, les premiers cours Academy avec des experts numériques de renom débuteront déjà dans le bâtiment MFO à Oerlikon. L'objectif du Digital Summit pour les PME est toujours de soutenir les entreprises sur la voie de la numérisation par la transmission de connaissances et des conseils neutres et compétents sur place. Le lien avec SuisseEMEX, la plus grande expo suisse pour le marketing, l'événementiel et la promotion numériques, sera donc maintenu l'année prochaine et complété par un congrès de marketing.

Les personnes intéressées trouveront de plus amples informations sur digital-summit-kmu.ch et suisse-emex.ch.

Les sept champs d'action de la numérisation

Parallèlement aux salons professionnels topsoft et SuisseEMEX, le Digital Summit pour PME s'est tenu pour la première fois les 29 et 30 août à Zurich. Parmi les plus de 20 keynotes, c'est surtout la présentation d'une étude non encore publiée de la Fachhochschule Nordwestschweiz FHNW qui a suscité l'intérêt.

"Total digital" au Digital Summit pour les PME : mais où se situent les champs d'action décisifs de la numérisation ? Une étude a fourni les premières réponses. (Photo : service de presse Digital Summit)

Avec plus de 550 participants, le premier Digital Summit pour PME a affiché complet. Cela a montré à quel point le besoin d'informations des petites et moyennes entreprises en rapport avec la transformation numérique est toujours aussi important. Outre 20 keynotes, la manifestation a proposé aux visiteurs 42 ateliers d'apprentissage sur les thèmes les plus divers liés à la numérisation.

Le véritable contenu de la numérisation

La FHNW a également étudié la situation de la transformation numérique dans les PME pour le compte de Postfinance. Les résultats détaillés seront publiés en novembre de cette année. Les auteurs de l'étude, Dr Marc K. Peter (FHNW) et Patrik Vonlanthen (Postfinance), ont déjà présenté les premiers résultats aux personnes présentes. Ils ont fait remarquer que de nombreuses entreprises oublient encore l'enjeu fondamental de la transformation numérique, à savoir trouver une position concurrentielle à l'ère du numérique. L'un des objectifs de l'étude était de montrer aux entreprises les champs d'action de la numérisation.

Beaucoup d'activités, peu de satisfaction

L'enquête menée auprès d'un échantillon représentatif de PME a montré que de nombreuses entreprises utilisent déjà des technologies et des processus pour améliorer l'utilité pour le client. Pour 85 des personnes interrogées, la transformation numérique a des effets concrets, 70% ont des projets concrets dans le pipeline. Mais ce qui est surprenant, c'est que seuls 30 % des entreprises se disent vraiment satisfaites de l'avancement et des développements de la numérisation.

L'étude a également mis en lumière l'importance que les entreprises accordent à leur culture. Les cadres, en particulier, devraient être plus innovants et miser davantage sur la motivation intrinsèque de leurs employés. On attend également des collaborateurs qu'ils acceptent mieux les nouvelles formes de travail.

Sept champs d'action de la numérisation et recommandations

Les auteurs de l'étude ont déduit de ces résultats les sept champs d'action suivants de la numérisation :

  1. Une orientation client constante
  2. Nouvelles stratégies et modèles commerciaux
  3. Nouvelles approches en matière de leadership et de culture
  4. Des processus de travail optimisés
  5. Marketing numérique
  6. Nouvelles technologies comme l'Internet des objets
  7. Cloud & données, c'est-à-dire une infrastructure informatique moderne

Les deux conférenciers ont recommandé aux auditeurs les points suivants :

  • Les modèles de maturité (comme celui de l'université de Saint-Gall) doivent être utilisés pour évaluer le "degré de maturité numérique" de sa propre entreprise.
  • Les sept champs d'action mentionnés ci-dessus doivent être utilisés pour mettre en route sa propre transformation
  • Définir les priorités et élaborer un plan ou une stratégie
  • Identifier et minimiser les barrières et les risques
  • Définir un périmètre de projet réalisable
  • Travailler avec des partenaires

Pour plus d'informations, veuillez contacter www.kmu-transformation.ch.

topsoft a montré la numérisation de manière très concrète

Le salon professionnel topsoft de cette année a fermé ses portes le 30 août. Cet événement de deux jours n'était pas tant une vitrine des performances de l'industrie suisse du logiciel qu'une démonstration très concrète de la numérisation dans la pratique.

Les visiteurs de topsoft s'orientent "numériquement" sur les sites des exposants. (Photo : topsoft / flickr.com)

Cette année, le salon informatique topsoft s'est présenté une fois de plus comme une plateforme pour le business numérique. Pendant les deux jours du salon, les visiteurs ont pu s'informer auprès de plus de cent exposants. Des exposés spécialisés, des surfaces spéciales et des parcs à thèmes sont venus compléter l'offre. Les organisateurs de l'unique salon suisse de l'informatique tirent un bilan extrêmement positif.

La vague de la numérisation a définitivement atteint les PME

La vague de la numérisation a atteint de nombreuses entreprises. Les connaissances actuelles et les exemples concrets issus de la pratique sont très demandés. Avec ses tribunes d'exposés, ses parcs thématiques ainsi que ses surfaces spéciales, le salon professionnel topsoft 2017 a non seulement répondu à cette demande, mais a également fourni en même temps les solutions et les contacts adéquats. Le cœur du salon reste toutefois l'exposition spécialisée, dans laquelle plus de 100 fournisseurs ont présenté des applications pour toute la chaîne de création de valeur des entreprises.

La fréquentation a été très bonne pendant les deux jours du salon. En conséquence, la majorité des exposants se sont montrés satisfaits. Urs Amrein, du fabricant suisse de logiciels Opacc, a particulièrement apprécié la qualité des contacts. Pour Abacus aussi, la participation au salon a été un succès total, selon le directeur marketing Thomas Köberl, car les partenaires ont pu dépasser nettement leurs objectifs. Même son de cloche chez David Lauchenauer, directeur de myfactory : "Le salon s'est avéré être une source importante de nouveaux contacts et de leads.

topsoft présent toute l'année

Cyrill Schmid, directeur du salon, dresse un bilan tout à fait réjouissant : "Nous sommes plus que satisfaits de la manifestation de cette année et nous nous réjouissons de l'écho positif des visiteurs et des exposants. Le mélange de thèmes spécialisés, de solutions informatiques et de réseautage a été très bien accueilli. Nous allons donc continuer à développer notre concept de manière conséquente, notamment en collaboration avec SuisseEMEX et le Digital Summit pour les PME. En conséquence, nous sommes heureux d'avoir reçu, pendant le salon déjà, des promesses de participation d'exposants de renom pour l'année prochaine. En tant que plate-forme pour le commerce numérique, nous sommes toutefois présents toute l'année et offrons ainsi aux utilisateurs un savoir-faire et une orientation dans le dédale des différentes offres". Le prochain salon professionnel topsoft aura lieu les 28 et 29 août 2018.

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Liste de contrôle : Déterminer ses propres points forts

Quels sont mes points forts ? Sur quelles capacités et compétences puis-je m'appuyer ? C'est la question que se posent de nombreuses femmes et de nombreux hommes, que ce soit au moment de choisir une profession ou de planifier la suite de leur parcours professionnel.

Déterminer ses propres points forts : Qu'est-ce que je sais particulièrement bien faire ? Où suis-je capable d'exceller ? Quelques questions simples permettent de le savoir. (Image : Fotolia.com)

Dans de nombreuses entreprises, il n'est aujourd'hui guère possible ni judicieux de gérer les talents de manière centralisée en raison des nombreux changements et du manque de prévisibilité. En lieu et place, il s'agit d'aider les collaborateurs sur place à découvrir, développer et exploiter de manière ciblée leurs points forts. Mais comment identifier ses propres points forts, et ce par soi-même ? Les questions suivantes peuvent être utiles à cet égard :

  1. Qu'est-ce qui est facile pour vous ? Quelles sont les tâches/activités que vous réalisez de manière ludique, sans trop y penser ? Lesquelles vous permettent d'exceller ?
  2. Qu'est-ce qui vous motive et vous donne de l'énergie ? Quelles tâches vous attirent presque "magiquement" ? Qu'est-ce que vous faites avec plaisir ? Qu'aimeriez-vous faire plus souvent ?
  3. Où obtenez-vous de bons résultats ? Quelles sont les activités pour lesquelles vous obtenez des résultats surprenants, parfois sans effort apparent ?
  4. Quand vous sentez-vous "réel" ? Quelles sont les activités qui vous donnent l'impression d'être authentique et d'être pleinement vous-même ?
  5. Qu'est-ce que vous apprenez rapidement ? Quels sont les sujets/thèmes que vous comprenez très rapidement et que vous avez appris sans trop d'efforts ?
  6. Sur quoi vous concentrez-vous en particulier ? Quels sont les thèmes/évolutions que vous suivez attentivement ? Qu'est-ce que vous trouvez passionnant ?
  7. Qu'est-ce que vous faisiez déjà très bien quand vous étiez enfant ? Qu'aimiez-vous déjà ou faisiez-vous souvent dans votre enfance ? De quelles expériences d'autrefois vous souvenez-vous particulièrement ?
  8. Quand y a-t-il de l'enthousiasme dans votre voix ? Qu'est-ce qui vous passionne ? Quand votre voix est-elle pleine d'énergie et de passion ?
  9. Quand utilisez-vous des mots comme "super" et "génial" ? Dans quelles situations, à l'occasion de quels événements utilisez-vous des formules telles que "De préférence ..." et "Ce serait génial si ..." ?
  10. Quelles sont les tâches que vous accomplissez immédiatement ? Quelles sont les tâches que vous n'inscrivez souvent pas dans votre agenda parce que vous les faites immédiatement ? Quelles sont les activités pour lesquelles vous oubliez souvent l'heure ?

Vers l'auteur :

Frank Rebmann, de Stuttgart, travaille comme formateur et conseiller pour les entreprises. Il est spécialisé dans l'identification et le développement des points forts des collaborateurs et des équipes. Il est l'auteur du livre "Der Stärken-Code", qui vient de paraître aux éditions Campus : Décrypter, reconnaître et développer ses propres talents". Plus d'informations : www.staerkentrainer.de

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce que les PME suisses entendent par numérisation

La numérisation transforme toutes les PME - mais pas de la même manière et pas en même temps. C'est la quintessence du nouveau miroir des PME de la Haute école spécialisée de Saint-Gall. Au total, sept branches ont été passées en revue et les principaux résultats ont été consignés dans six conclusions.

La numérisation est sur toutes les lèvres. En même temps, il existe une grande incertitude, en particulier chez les petites et moyennes entreprises. (Image : Miroir PME 2017 / Haute école spécialisée de Saint-Gall)

Le miroir PME 2017 est consacré à la question de savoir quelles chances et quels défis les PME suisses voient dans le cadre de la numérisation. Dans son quatrième miroir des PME, l'Institut pour la gestion d'entreprise IFU-FHS de la Haute école spécialisée de Saint-Gall constate qu'il existe une grande incertitude, en particulier chez les petites et moyennes entreprises (PME), quant aux points sur lesquels elles doivent mettre l'accent en matière de numérisation, car la numérisation entraîne certes des changements dans toutes les branches, mais à des degrés et à des rythmes très différents. L'étude approfondit les connaissances acquises du point de vue des PME suisses et aborde en détail les spécificités sectorielles.

La numérisation n'est pas partout la même chose

Rigo Tietz de l'IFU-FHS, l'un des auteurs de l'étude, explique que la numérisation est certes sur toutes les lèvres, mais qu'elle est aussi discutée sous différents mots-clés, de sorte qu'il n'existe pas encore de compréhension claire du terme. Certes, la plupart des entreprises poursuivent déjà des projets numériques, mais les thèmes "numériques" sont très différents d'un secteur à l'autre.

Les réponses des participants à l'étude permettent de constater que la numérisation entraînera des changements dans tous les secteurs. "L'ampleur et la vitesse des changements varient toutefois considérablement d'une branche à l'autre", précise Tietz. Ainsi, dans le secteur de la production et de la construction, l'augmentation de l'efficacité est une priorité absolue. Pour les entreprises de services, c'est l'automatisation, tandis que pour le secteur des TIC, ce sont les nouveaux concepts commerciaux qui sont au premier plan. Dans le commerce et l'hôtellerie, les aspects liés au marché, tels que les nouveaux clients et les canaux de distribution numériques, sont très importants. Dans le secteur de la santé et des services sociaux, il s'agit avant tout de l'utilisation des données des patients, selon les auteurs de l'étude.

Les PME voient à la fois des opportunités et des défis

Les plus grands défis de la numérisation ne se situent pas uniquement du côté technique, constatent les auteurs de l'étude, qui écrivent : "Les PME manquent souvent des ressources financières nécessaires pour pouvoir faire face aux investissements élevés requis". Ils identifient comme autres défis le manque de compétences des collaborateurs, une transparence accrue du marché ainsi que les changements de la branche et de la situation concurrentielle. Après avoir examiné les secteurs étudiés, les auteurs constatent que les défis diffèrent d'un secteur à l'autre et sont donc globalement variés. Les entreprises du secteur des TIC craignent par exemple l'arrivée de nouveaux concurrents, tandis que dans le secteur des services et pour les entreprises du secteur de la santé et du social, la sécurité des données figure en tête de l'agenda.

En réalité, les PME interrogées perçoivent plutôt la numérisation comme une chance, constate Rigo Tietz. En tant que tendance commune à toutes les branches, les participants ont désigné l'augmentation de l'efficacité par l'automatisation des processus comme la plus grande chance. La numérisation ne concerne toutefois pas seulement le processus de fourniture de prestations, mais aussi la stratégie de commercialisation et le modèle de recettes, qui peut à son tour modifier considérablement la promesse d'utilité des PME. "Les entreprises du secteur des TIC voient les plus grandes opportunités, tandis que les entreprises commerciales présentent un tableau presque équilibré entre opportunités et défis", illustre Tietz à l'aide de deux exemples.

L'étude complète peut être consultée sur le lien www.fhsg.ch/kmu-spiegel peut être téléchargé.

 

PME Miroir - Contexte

Les résultats présentés dans le Miroir PME 2017 se basent sur une enquête en ligne menée dans tout le pays entre janvier et avril 2017. Les résultats ont été complétés par des interviews d'experts avec des représentants d'associations professionnelles et sectorielles ainsi que de diverses entreprises. Lors des recherches, les connaissances et les résultats d'autres études et analyses d'associations sectorielles, d'institutions ou d'entreprises ont également été pris en compte. Il en résulte une image complète et spécifique à la branche des aspects de la gestion d'entreprise en général et des stratégies de réussite en particulier pour les PME suisses.

Le Miroir PME 2017 a été rendu possible grâce au soutien financier d'Helvetia Suisse, de BDO et de Raiffeisen Suisse et est également soutenu par la Fédération suisse des PME.

Fraude sur Internet : Déjà 5000 sites web ont dû être supprimés

Les internautes qui profitent d'une bonne affaire sur Internet peuvent être victimes d'escrocs. Les experts en sécurité de SWITCH mettent en garde : les offres frauduleuses en ligne ont fortement augmenté en 2017.

Il existe déjà de nombreux exemples de fraude sur Internet, comme les fausses boutiques en ligne. (Capture d'écran SWITCH)

Lorsque des articles de marque sont proposés sur Internet à des prix sensationnels, la prudence est de mise. La criminalité économique ou la fraude sur Internet n'est pas nouvelle, mais elle a fortement augmenté en 2017. En 2016, SWITCH a supprimé environ 700 adresses web de boutiques en ligne avec une extension .ch. En août 2017, ce chiffre avait déjà dépassé les 5'000. Michael Hausding, expert en sécurité en cas d'abus de noms de domaine et membre de l'équipe de 14 experts en sécurité SWITCH-CERT, explique : "Grâce à une étroite collaboration avec les autorités et à des processus améliorés, nous avons pu, rien qu'en août 2017, retirer du réseau, dans le cadre d'une action concentrée, 4'500 boutiques en ligne .ch frauduleuses qui voulaient soutirer de l'argent aux internautes ou obtenir des données de cartes de crédit. Avec cette action, nous avons une longueur d'avance sur d'autres extensions de domaine comme le .com. Nous voulons que les internautes suisses puissent continuer à compter sur le haut niveau de sécurité et de fiabilité des adresses web .ch".

Danger sur Internet

Les internautes sont exposés à plusieurs risques lorsqu'ils visitent des sites frauduleux : ils donnent les informations de leur carte de crédit, leur adresse électronique et leur adresse postale à des organisations criminelles et, une fois le paiement effectué, ils reçoivent des marchandises de mauvaise qualité ou ne reçoivent rien du tout.

Paquet de mesures pour la protection contre la fraude sur Internet

Afin de protéger encore plus efficacement les internautes des sites en .ch contre les dangers d'Internet, la fondation a intensifié sa collaboration avec l'Office fédéral de la police (fedpol) et d'autres autorités suisses et a automatisé les processus d'assistance aux autorités. En outre, les experts en sécurité ont cinq conseils pour des achats en ligne en toute sécurité.

Procédure à suivre en cas de suppression - coopération étroite avec les autorités

Si, dans le cadre de ses activités, une autorité suisse (p. ex. fedpol, MELANI, Comlot, CFMJ, SRC, SECO, Swissmedic) tombe sur un site web en .ch dont le contenu est potentiellement illégal, elle essaie de prendre contact avec le détenteur du nom de domaine en .ch. Pour ce faire, elle a besoin d'une adresse de contact suisse. Si le détenteur du nom de domaine a inscrit dans la base de données de SWITCH une adresse erronée ou une adresse à l'étranger, l'autorité s'adresse à SWITCH. Celle-ci demande au détenteur d'indiquer une adresse valable en Suisse dans un délai de 30 jours. Si ce délai expire sans avoir été utilisé, le nom de domaine est supprimé. Ainsi, le site web frauduleux ne sera plus accessible sur Internet. Cette procédure se base sur l'Ordonnance sur les domaines Internet (ODI) de la Confédération.

Protection de l'adresse la plus sûre d'Europe

Depuis des années déjà, les experts en sécurité de SWITCH luttent très activement et avec succès contre les logiciels malveillants et le phishing dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité. Grâce à cela, le .ch est devenu l'extension de domaine la plus sûre d'Europe, comme on peut le lire. En outre, l'initiative "Safer Internet" a été lancée en collaboration avec des partenaires de l'industrie suisse de l'Internet. SWITCH agit également avec détermination dans le domaine de la criminalité économique, en collaboration avec les autorités suisses. Dans tous les cas, l'objectif est le même : protéger au mieux les internautes suisses contre les dangers.

Plus d'informations : www.switch.ch

 

Les associations de travailleurs demandent également une loi du travail plus flexible

Les associations d'employés Employés Suisse, la Société des employés de commerce, l'Association suisse des cadres ASC et la Société zurichoise pour la gestion du personnel (ZGP) demandent la modernisation de la loi sur le travail pour les employés disposant d'une grande autonomie en matière de temps de travail. Cela signifie : une application plus simple de la loi sur le travail, une plus grande flexibilité en cas de charge de travail élevée, le droit de fournir le travail de manière flexible sur le plan local (par ex. Home Office) et une meilleure protection de la santé.

Des horaires de travail plus flexibles ne sont qu'une des nombreuses exigences que diverses associations de travailleurs posent à une nouvelle loi sur le travail. (Image : Gerd Altmann - pixelio.de)

De nombreux employeurs estiment que la loi sur le travail actuelle doit être réformée depuis longtemps. Diverses interventions politiques en faveur d'une gestion plus flexible du temps de travail sont dans le pipeline. D'un autre côté, divers syndicats ont d'ores et déjà annoncé leur opposition. Mais les représentants des travailleurs ne sont pas tous totalement opposés à une réforme de la loi sur le travail. La loi sur le travail doit être adaptée à la réalité du monde du travail, estime par exemple l'Union européenne. plateformeL'Association suisse des cadres (ASC) est une représentation des intérêts des associations d'employés Employés Suisse, Société des employés de commerce (kfmv), Organisation suisse des cadres (SKO) et Zürcher Gesellschaft für Personal-Management (ZGP) vis-à-vis de la politique et du public. Ensemble, ces associations défendent les intérêts d'environ 80000 membres dans les domaines de la formation, de l'économie et de la politique des employés.

Le site plateforme demande maintenant la modernisation de la loi sur le travail. La flexibilisation du travail, qui est une réalité pour de nombreux travailleurs, doit également être réglée dans la loi sur le travail, peut-on lire dans un communiqué de presse envoyé le 28 août aux médias. En effet, avec la progression de la numérisation, la libre répartition du travail gagne en importance ; la compatibilité entre travail, famille et activités extraprofessionnelles doit être améliorée. C'est pourquoi les dispositions de la loi sur le travail en vigueur sont insuffisantes pour les travailleurs qui disposent d'une autonomie dans l'organisation de leur temps de travail et qui peuvent le plus souvent l'organiser librement. Des adaptations pour ce groupe de travailleurs sont donc nécessaires, argumente l'association. plateforme.

Le site plateforme demande un modèle d'annualisation du temps de travail ancré dans la loi, qui définisse à quels travailleurs s'applique la flexibilisation. Parallèlement, la notion de "travailleurs exerçant une fonction dirigeante élevée" doit être expliquée plus précisément. La flexibilisation doit s'accompagner de mesures efficaces en matière de protection de la santé. La prévention des risques psychosociaux est ici au premier plan. La proposition formulée dans la plateforme prévoit en détail les points suivants :

  • Le groupe cible est constitué des travailleurs disposant d'une autonomie majoritaire en matière de temps de travail, c'est-à-dire des travailleurs disposant d'une autonomie d'organisation qui peuvent déterminer eux-mêmes au moins 50% de leur temps de travail et de compensation.
  • Le temps de travail doit être défini en partenariat et sur un pied d'égalité avec l'employeur dans le cadre d'un modèle contractuel de temps de travail annuel.
  • Pas de modification du temps de travail annuel maximal (52 x 45 heures).
  • Pas de modification des heures supplémentaires annuelles (170 heures).
  • Possibilité d'augmenter la durée maximale de travail hebdomadaire à 60 heures pour une période limitée. Les heures supplémentaires et les heures complémentaires sont incluses dans ces durées. → Réglementation simplifiée, car les prescriptions relatives aux heures supplémentaires quotidiennes sont supprimées.
  • Simplification des règles relatives au repos et au temps de travail : extension de la période de travail quotidien à 15 heures et, en conséquence, réduction possible du temps de repos à 9 heures (mais 11 heures en moyenne sur 4 semaines)
  • le droit à la flexibilité locale (par exemple, le travail à domicile), notamment en ce qui concerne les heures supplémentaires.
  • Répartition flexible du travail sur la semaine de travail.
  • Les mesures de protection de la santé sont obligatoires dans ce modèle d'annualisation du temps de travail.

Les associations de plateforme prennent position sur les affaires parlementaires actuelles concernant la loi sur le travail et s'engagent en faveur de cette proposition dans la suite des débats politiques, dans l'esprit de leurs membres.

Plus d'informations : www.kfmv.ch, www.sko.ch

Swiss Arbeitgeber Award 2017 : voici les meilleurs employeurs de Suisse

Le 24 août, le Swiss Arbeitgeber Award a été décerné pour la 17e fois à Zurich. Au total, 28'853 personnes issues de 120 entreprises de Suisse et du Liechtenstein ont été interrogées dans le cadre de la plus grande étude de Suisse. Les gagnants ont été désignés dans quatre catégories.

L'entreprise de commerce de construction OPO Oeschger AG de Kloten a remporté le Swiss Arbeitgeber Award 2017 dans la catégorie "Moyennes entreprises" (Photo : Swiss Arbeitgeber Award)

Pour la dix-septième fois déjà, l'institut de sondage icommit de Küsnacht a mené l'enquête auprès des collaborateurs dans le cadre du Swiss Arbeitgeber Award. 120 entreprises de Suisse et du Liechtenstein ont participé à cette vaste enquête. Au total, 28'853 collaborateurs ont rempli le questionnaire. Cela correspond à 78% de toutes les personnes invitées et constitue donc un nouveau record. En comparaison, le taux de participation était encore de 65% en 2009. Depuis lors, le taux de participation n'a cessé d'augmenter. Cela s'explique par le fait que de plus en plus d'entreprises participantes utilisent systématiquement les résultats de l'étude pour développer leur entreprise et améliorer l'attractivité de leur employeur, écrit icommit dans son dernier communiqué de presse. Ainsi, la confiance dans l'enquête s'installe et les collaborateurs sont volontiers prêts à donner des informations détaillées sur leur situation professionnelle lors de l'enquête. Les collaborateurs ont évalué entre autres le contenu du travail, les structures et les processus, la collaboration, la gestion des changements, la direction, la gestion par les supérieurs, la promotion des collaborateurs et les systèmes de rémunération. Les entreprises participantes ont été réparties en quatre catégories de taille pour l'attribution des prix. Au total, 38 entreprises ont été récompensées.

Ce qui distingue les entreprises exceptionnelles

Si l'on compare les trois premières entreprises des quatre catégories de taille avec les autres entreprises participantes, elles se distinguent surtout sur les quatre aspects suivants : leur gestion du changement, la promotion des collaborateurs, la rémunération perçue comme équitable et une grande confiance dans la direction. Sur ce point, les évaluations des douze entreprises les mieux classées sur l'échelle des centaines utilisée sont en moyenne de huit à neuf points supérieures à la moyenne de toutes les entreprises participantes. Les années précédentes déjà, ce sont ces dimensions qui faisaient la différence entre les entreprises les plus performantes et les autres entreprises participantes. Cela n'a rien à voir avec le fait qu'il s'agirait des mêmes entreprises participantes. Seul un cinquième environ des entreprises réalisent des sondages annuels auprès des collaborateurs, soit nettement moins qu'il y a quelques années. En ce qui concerne les aspects, il s'agit de critères liés au pilotage de l'entreprise et à une culture de la confiance. C'est là qu'une entreprise peut faire une réelle différence !

Swiss Arbeitgeber Award 2017 : les gagnants

  • Catégorie Petites entreprises (50-99 collaborateurs) : Internat scolaire Ringlikon Schulinternat, Uitikon-Waldegg
  • Catégorie des moyennes entreprises (100-249 employés) : OPO Oeschger AG Bauhandelsfirma, Kloten
  • Catégorie des moyennes entreprises (250-999 collaborateurs) : Centre de rééducation Klinik Adelheid, Unterägeri
  • Catégorie Grandes entreprises (1'000+ collaborateurs) : ISS Suisse Fournisseur de Facility Services, Zurich

Quels sont les secteurs en tête

Un tiers des entreprises participantes ont été récompensées par le Swiss Arbeitgeber Award pour leur excellente évaluation. Les entreprises récompensées ne se répartissent pas de manière égale dans tous les secteurs représentés. Comme l'année précédente, les entreprises industrielles se trouvent en queue de peloton. Cela s'explique notamment par le fait que les emplois sont de plus en plus délocalisés à l'étranger et par la force du franc suisse. Un quart des 23 entreprises industrielles ont tout de même réussi à se classer dans le top 38. Le classement est similaire dans le secteur hôtelier et dans le secteur de la formation.

En revanche, le secteur de la construction obtient à nouveau de très bons résultats, comme les années précédentes. 60% des entreprises participantes ont obtenu une distinction. Ce résultat est lui aussi éloquent : lorsque la conjoncture dans le bâtiment est bonne, il est plus facile de gérer une entreprise et la confiance des collaborateurs dans l'entreprise est par conséquent élevée. Les autres branches ayant obtenu des résultats supérieurs à la moyenne sont les entreprises du secteur des services ainsi que les centres de soins et de retraite, qui ont également reçu de nombreuses distinctions.

L'étude est soutenue par l'Union patronale suisse, HR Swiss (Société suisse pour la gestion des ressources humaines), le magazine économique "Bilanz" et l'institut icommit de Küsnacht ZH, qui réalise et évalue l'enquête auprès des collaborateurs.

Plus d'informations : http://www.swissarbeitgeberaward.ch

 

Le symposium swissICT 2017 mise sur les nouveaux modèles commerciaux de la Suisse numérique

Pour la 37e édition du symposium SwissICT, qui se tiendra les 13 et 14 novembre au KKL de Lucerne, 24 intervenants de haut niveau ont été engagés sur le thème "Nouveaux modèles commerciaux de la Suisse numérique". Outre la blockchain, l'efficacité dans les affaires et les processus, l'organisation et le monde du travail, les modèles d'affaires et la communication, la cybersécurité et l'intelligence artificielle figurent également sur la liste des thèmes actuels.

Cette année, le symposium swissICT abordera des thèmes tels que la blockchain, l'efficacité dans les affaires et les processus, l'organisation et le monde du travail, les modèles d'affaires et la communication, ainsi que, de manière très actuelle, la cybersécurité et "l'intelligence artificielle". (Image : zVg / Service de presse du symposium swissICT)

Comme le veut la tradition, le symposium swissICT débute la veille au soir par un dîner de gala incluant un exposé à table. Selon les indications de l'organisateur, le programme de la conférence proprement dite du 14 novembre promet d'être riche : deux douzaines d'intervenants de haut niveau feront des exposés dans le cadre de six streams et de trois keynotes.

Symposium swissICT sous le signe de la cybersécurité

"Pascal Lamia, directeur de la Centrale d'enregistrement et d'analyse pour la sûreté de l'information (MELANI), s'interroge sur la sécurité de la (cyber)Suisse. Lamia expliquera que les cyberattaques sont devenues une menace réelle. Pratiquement tout ce qui peut être monnayé à peu de frais fait l'objet d'une attaque. Peu importe que la propre infrastructure soit sabotée ou que les agresseurs visent des données et des informations. Dans son exposé, le responsable de MELANIE donnera un aperçu des cybermenaces actuelles et montrera comment mieux se protéger grâce à quelques mesures simples.

Intelligence artificielle, réalité augmentée et blockchain

Dans un mélange d'exposés, de réseautage et de savoir-faire, le symposium swissICT transmet des connaissances actuelles sur le changement numérique et l'industrie 4.0 dont toute l'économie est concernée. Ainsi, une keynote traitera de l'analyse des données et des services basés sur les données ainsi que de la génération de revenus et de la minimisation des risques dans un monde complexe. Un monde qui se complique encore plus lorsque, par exemple, le suivi personnalisé des clients devient efficace grâce au Machine Learning et à l'intelligence artificielle, lorsque les facteurs psychométriques deviennent importants dans un système de recommandation pour des plateformes multimédias ou lorsque l'Analytics augmente l'automatisation dans la taxation fiscale. Tout à découvrir lors du symposium swissICT 2017.

D'autres aspects importants du symposium sont la réalité augmentée et la réalité mixte, par exemple avec les meilleures pratiques pour le marketing, les médias et la communication. La blockchain remet en question le système bancaire traditionnel et les start-ups disruptives posent de nouveaux défis aux processus de production et économiques courants. Enfin, dans le cadre d'un changement de thème rafraîchissant, les participants apprendront encore des "enseignements tirés de 14 ans de FC Bâle" sur une direction basée sur des valeurs et orientée vers l'équipe par l'ancien président Dr Bernhard Heusler.

Prix suisse des TIC 2017

Le Swiss ICT Award 2017 sera également décerné lors du symposium swissICT au KKL. Ce prix récompense des produits particulièrement innovants basés sur l'informatique et lancés en Suisse. Cinq finalistes sont nominés dans chacune des deux catégories pour cette distinction importante de la branche informatique suisse. Les gagnants seront désignés le 14 novembre 2017 à Lucerne. Tous les finalistes sont également en lice pour le Swiss ICT Public Award, le prix du public, qui sera déterminé par un vote en ligne du Swiss IT Magazine et un vote en salle lors de la cérémonie de remise des prix. La cérémonie de remise des prix est un lieu de rencontre important pour les acteurs du secteur suisse des TIC issus de la recherche, de l'économie et de la politique.

Plus d'informations : Symposium suisse des TIC

 

 

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