Le principe de l'espresso - Le coup de pouce des idées pour le succès de l'entreprise et de la vie privée

19 experts ont écrit ensemble un livre intitulé "Le principe de l'espresso - Le coup de fouet des idées pour la réussite entrepreneuriale et privée". Ce livre sera disponible à partir de décembre. En tant que "savoir à emporter", il doit offrir un mélange opportun d'informations rapidement consommables et d'inspiration précieuse.

Le principe de l'espresso fournit des connaissances à emporter - pour le succès de l'entreprise et de la vie privée.

Si l'on veut réussir à notre époque où tout va très vite, il ne faut pas attendre et boire du thé, mais mieux vaut prendre un espresso. Le principe de l'espresso - Le coup de pouce des idées pour le succès de l'entreprise et de la vie privée est le dernier livre de "Die-Keynote-Speaker" (www.die-keynote-speaker.com). Les-conférenciers-vedettes sont une association de 19 experts issus de domaines très différents :

  • Ariane Bertz, experte du principe de réussite de la bonne humeur
  • Benjamin Butscher, expert en stratégie
  • Kai Dase, expert en CLARHEUR d'opinion
  • Vivienne Dübbert, Keynote Speaker & experte en mindset
  • Nils-Peter Hey, expert en développement stratégique pour le marketing et la communication
  • Gabriele Horcher, experte en changement dans le marketing et la vente
  • Oliver Huitema, expert en tendances commerciales, pensée numérique et rêves de réussite
  • Timo Klösch, expert en motivation au travail
  • Stefan Schubart, expert en force physique et mentale
  • Iris Seng, experte en visibilité authentique
  • Jochen Sperber, expert en leadership moderne et en empowering leadership
  • Tanja Stöcker, experte en vitalité
  • Boris Thomas, direction, marketing, communication et vente
  • Marcel Weber, visionnaire suisse, penseur croisé et transversal
  • Dr. Gundolf Wende, expert en Business Excellence
  • Rüdiger Westphal, expert en disruption numérique dans le commerce et les services
  • Marco Wiebelt, expert en distribution
  • Thomas Wipprecht, expert en changement de perspective, pensée latérale et intuition
  • Angelika Zengler, experte de l'harmonie entre le corps et l'esprit

Les contributions de ces 19 auteurs fournissent des idées pratiques sur des sujets tels que la motivation, la forme physique et mentale, l'autoréflexion, l'authenticité, l'entraînement mental, la gestion d'entreprise, le marketing, la stratégie numérique et la gestion de crise, selon la devise "Knowledge-to-go". Les articles stimulants sont basés sur des faits réels de l'environnement concerné et sont présentés de manière claire. Chaque lecteur peut ainsi découvrir par lui-même où se situent ses propres défis professionnels ou privés. En même temps, il reçoit l'inspiration nécessaire pour maîtriser les exigences avec succès.

Le livre Le principe de l'espresso - Le coup de pouce des idées pour le succès de l'entreprise et de la vie privée est à Amazon au prix de 9,90 euros. Le jour de la première vente, le 06 décembre 2017, le livre sera disponible - quasiment comme cadeau de Saint-Nicolas - au prix de 99 centimes seulement.

Les microcrédits sont très demandés

Les microcrédits comblent une lacune dans le système de crédit. L'association GO ! objectif indépendant fournit de tels financements pour la création ou le développement de sa propre entreprise. Plus de la moitié de ces aides au démarrage, pour lesquelles il n'est pas nécessaire d'établir un plan d'affaires ni de fournir les garanties bancaires habituelles, sont accordées à des femmes.

Quand l'épargne ne suffit pas et que la banque ne suit pas : les microcrédits sont toujours très demandés pour la création d'entreprise. (Image : Fotolia.com)

Ceux qui ont une idée lumineuse pour se mettre à leur compte, mais pas assez de moyens financiers pour la concrétiser, se tournent de plus en plus vers des associations comme GO ! objectif indépendant. Des organisations comme celles-ci permettent d'accéder à un microcrédit pour la création de sa propre entreprise. Les personnes déjà indépendantes peuvent également solliciter un crédit d'investissement auprès de GO ! Depuis la création de l'association en 2009, de tels microcrédits ont été accordés à 247 personnes. Plus de la moitié des microcrédits versés ont été accordés à des femmes.

Le microcrédit comme aide au démarrage

Les personnes qui ne sont pas assez solvables pour les institutions financières et qui ne correspondent pas à l'image classique sont également à la bonne adresse chez GO ! 26 pour cent de tous les emprunteurs étaient auparavant sans emploi ou sans activité professionnelle et ont pu être réintégrés dans le marché du travail grâce au soutien de GO ! 87 pour cent de toutes les entreprises créées sont encore actives aujourd'hui. Le taux de remboursement est de 95 pour cent. "La demande de microcrédits est constamment élevée", explique Ruedi Winkler, président du comité directeur de l'association GO ! "Notre modèle d'affaires, l'intermédiation de microcrédits, est unique en son genre. Chaque jour, nous recevons de nouvelles demandes avec des idées commerciales. Beaucoup d'entre elles cherchent un soutien financier, car elles n'obtiennent pas de financement auprès d'un institut financier et n'entrent pas non plus en ligne de compte pour les plates-formes de crowdlending. En proposant des microcrédits, nous comblons une lacune sur le marché des crédits et des investissements et nous nous démarquons ainsi des nombreux services de conseil qui informent mais ne financent pas. Nos mentors, qui soutiennent tous bénévolement les emprunteurs, constituent une part importante de notre offre", explique Ruedi Winkler.

Attribution record en 2017

Jamais autant d'idées commerciales n'ont été soumises pour examen que cette année. Depuis le début des activités en 2009, le montant des crédits versés a également augmenté chaque année. Cette année, un nouveau record a été atteint avec la somme de 1,1 million de CHF de crédits versés.

Plus d'informations

 

Courrier de Noël : attention aux cartes de vœux électroniques

Le courrier électronique de Noël peut contenir de mauvaises surprises. Les experts en sécurité informatique mettent en garde contre une utilisation imprudente des cartes postales virtuelles.

Attention au courrier électronique de Noël : il pourrait être infecté par un logiciel malveillant. (Image : Fotolia.com)

Le début de la période de l'Avent coïncide avec le début de la saison des envois de Noël. Outre les vœux de Noël analogiques classiques, les cartes de vœux virtuelles sont de plus en plus populaires. Rien d'étonnant à cela : elles sont pratiques, ne coûtent pas de frais de port et sont envoyées en quelques clics seulement. Le fabricant de sécurité européen ESET met toutefois en garde contre une utilisation trop imprudente, car les cybercriminels ont également découvert les cartes postales électroniques.

Expéditeur inconnu

Dans le flot de vœux numériques de Noël se cachent malheureusement de plus en plus souvent des spams et des e-mails d'hameçonnage qui tentent d'attirer leurs victimes avec des pièces jointes ou des liens nuisibles. Une fois cliqué, l'ordinateur est rapidement infecté par un logiciel malveillant. "Si l'on ne connaît pas l'expéditeur d'une carte de vœux, il ne faut en aucun cas ouvrir les pièces jointes ou les liens et supprimer l'e-mail sans hésiter", recommande Thomas Uhlemann, spécialiste en sécurité chez ESET. En cas de doute, il s'agit d'une tentative de fraude, comme on en connaît toute l'année sous forme de fausses factures de commerçants en ligne ou de prestataires de services. La prudence est également de mise si la carte de vœux contient des fautes d'orthographe ou une formule de salutation anonyme comme "Cher ami" ou "Cher client". En cas de doute, il vaut toujours la peine de jeter un coup d'œil attentif à l'adresse e-mail de l'expéditeur ou à l'adresse du site Web lié.

Les messages de Noël infiltrés peuvent toutefois aussi provenir d'expéditeurs connus. Toutefois, une solution antivirus actuelle permet généralement de prévenir les dommages indésirables causés par les e-mails. "Des mises à jour régulières sont importantes pour que la protection antivirus puisse fonctionner de manière fiable et protéger l'utilisateur contre de telles menaces", ajoute Uhlemann.

Miser sur des fournisseurs connus

Si l'on souhaite envoyer soi-même des cartes électroniques, il faut absolument miser sur des fournisseurs sérieux. De nombreux grands fournisseurs de messagerie proposent ce service gratuitement à leurs utilisateurs. Sinon, on peut rapidement se retrouver sur la liste d'un collecteur d'adresses qui utilise les cartes de vœux virtuelles pour obtenir rapidement et facilement des adresses e-mail qu'il pourra vendre avec profit.

Si vous êtes tombé dans le piège de fournisseurs peu scrupuleux et que vous avez saisi d'autres données personnelles ou même des mots de passe en plus de votre adresse e-mail, vous risquez rapidement de recevoir d'innombrables e-mails publicitaires et d'être victime d'un abus de données au lieu de passer des fêtes de Noël tranquilles. Dans ce cas, il faut agir rapidement : changer les mots de passe et être plus prudent lors de l'envoi de nouveaux e-mails. En effet, ces derniers peuvent également contenir des pièces jointes ou des liens malveillants.

Des précautions simples pour un courrier de Noël sûr

Seul le message de Noël classique et analogique offre une sécurité à 100 %. Ces précautions simples permettent toutefois de minimiser le risque d'une surprise indésirable pendant les fêtes :

  • n'utiliser que des e-cartes de fournisseurs sérieux et connus
  • ne pas ouvrir les e-mails d'expéditeurs inconnus
  • être prudent même avec des expéditeurs connus et, en cas de doute, vérifier plus précisément l'adresse de l'expéditeur et les liens
  • Ne pas ouvrir les pièces jointes
  • utiliser une solution antivirus à jour

Source : ESET

 

Numérisation dans les PME : à quel point les entreprises suisses sont numériques

La Haute école spécialisée du Nord-Ouest de la Suisse publie les résultats d'une étude qui a examiné l'état de la transformation numérique dans les entreprises suisses. Les auteurs de l'étude ont déduit de ces résultats plusieurs champs d'action pour la numérisation dans les PME.

Numérisation dans les PME : une nouvelle étude de la FHNW identifie les champs d'action les plus divers. (Image : Fotolia.com)

L'étude sur la transformation numérique a été annoncée pour la première fois lors du Digital Summit pour PME fin août. Les premiers résultats avaient déjà été présentés à l'époque. Selon les auteurs de l'étude, il s'agit de la plus grande enquête suisse jamais réalisée sur ce thème. L'étude a été soutenue par des sponsors et des partenaires de renom tels que PostFinance, Abacus, AECS Swisscard, La Poste, Dreamlab Technologies, Gewerbezeitung, GS1, KMU Next, La Mobilière et Nemuk. Environ 2500 participants ont pris part à l'enquête. L'étude a délibérément mis l'accent sur les PME. On y constate une grande importance de ce thème. Suite aux résultats de l'étude, la Haute école d'économie FHNW a développé un guide pratique destiné à soutenir les PME dans la mise en œuvre de la transformation numérique.

Impact à différents niveaux

La numérisation dans les PME est motivée par les développements technologiques et les nouveaux écosystèmes numériques qui ont des répercussions sur la société, la politique et l'économie, dit-on. Pourtant, de nombreuses entreprises oublient encore l'objectif de la numérisation : Marc K. Peter à l'occasion du Digital Summit pour les PME, à savoir trouver une position concurrentielle à l'ère du numérique. Les résultats de l'étude montrent que la transformation des entreprises est motivée par le besoin d'optimiser les processus (82% des PME), de modifier les exigences des clients (59%) et de disposer de nouvelles technologies (53%).

Selon l'étude, les effets de la transformation sont perceptibles à différents niveaux :

  • Pour 85% des PME, la transformation numérique a un impact sur le modèle d'entreprise et la collaboration interne.
  • Pour près de 70% des PME, la transformation numérique a une influence sur la culture d'entreprise.
  • 63% des PME ont déjà adopté de nouvelles technologies
  • 62% des PME ont adapté leur positionnement sur le marché.
  • Mais seules 30% des PME sont satisfaites de leurs propres efforts de numérisation.

La numérisation dans les PME : sept champs d'action

L'investissement en temps et le manque de connaissances des cadres et des collaborateurs restent des obstacles à une numérisation réussie dans les PME. L'étude a identifié les sept champs d'action suivants pour la numérisation :

  • Une orientation client constante
  • Nouvelles stratégies et modèles commerciaux
  • Nouvelles approches en matière de leadership et de culture
  • Des processus de travail optimisés
  • Marketing numérique
  • Nouvelles technologies comme l'Internet des objets (IoT)
  • Cloud & données, c'est-à-dire une infrastructure informatique moderne

"Avec ces champs d'action désormais disponibles, nous avons créé une aide d'orientation importante pour soutenir ces projets importants", déclare Marc K. Peter. Le guide pratique publié contient des check-lists, de courtes études de cas, un modèle de procédure pour la transformation ainsi que des articles spécialisés pour la pratique rédigés par des auteurs renommés. L'étude et le guide pratique peuvent être téléchargés sur le site Internet www.kmu-transformation.ch peuvent être obtenus.

Pas assez de valeur ajoutée : les recruteurs acceptent aussi les candidatures sans lettre de motivation

Si les candidats renoncent à la lettre de motivation, ils ont désormais des chances d'être retenus. Près de la moitié des décideurs en matière de recrutement (46 %) prendraient en compte les candidatures même sans lettre de motivation. C'est ce que révèle l'étude sur le marché du travail réalisée par le prestataire de services en ressources humaines Robert Half.

Les décideurs RH accordent plus d'importance à l'entretien qu'à la lettre de motivation pour la première impression d'une candidature. (Image : Fotolia.com)

Un manager suisse sur deux accepte les candidatures sans lettre de motivation. C'est ce que révèle une récente étude sur le marché du travail, pour laquelle le prestataire de services en ressources humaines Robert Half a interrogé 200 managers en Suisse.

Les lettres de motivation n'apportent pas assez de valeur ajoutée

Parmi les personnes interrogées qui peuvent se passer de lettres de motivation, près de la moitié (48 %) critiquent leur manque de pertinence. 40 % considèrent que les lettres de motivation sont très subjectives. Une personne interrogée sur trois regrette l'absence de détails complémentaires au CV. Près d'une personne sur cinq n'a pas le temps de lire la lettre de motivation. "Les décideurs RH attendent d'une lettre de motivation qu'elle leur donne une image plus complète du candidat et qu'elle démontre ses atouts personnels et sa motivation", explique Yeng Chow, Senior Manager chez Robert Half à Zurich. "D'après notre expérience, l'entretien d'embauche est plus approprié pour cela. C'est pourquoi nous ne demandons pas de lettre de motivation et nous nous faisons une impression personnelle lors d'entretiens individuels. Cela peut paraître fastidieux. En fin de compte, cela accélère le processus de recrutement et évite des pertes de productivité inutiles".

Ce qui compte vraiment dans une lettre de motivation

Malgré une pertinence décroissante, 40 % des personnes interrogées estiment qu'une lettre de motivation reste pertinente. Plus de la moitié d'entre eux (53 %) estiment que les lettres de motivation donnent une image plus complète des candidats. 38 % y voient une démonstration de la créativité du candidat et autant apprécient dans la lettre de motivation le fait qu'elle révèle la motivation et l'intérêt.

Conseils pour rédiger une lettre de motivation correcte lors d'une candidature

"En règle générale, les candidats doivent rédiger leurs lettres de motivation avec soin et y inclure des informations qui complètent leur CV. Les références d'anciens employeurs sont en outre très appréciées", explique Yeng Chow. Les conseils suivants aident à mettre en scène ses compétences de manière optimale :

  1. Ne vous contentez pas d'énumérer vos étapes professionnelles - vous l'avez déjà fait dans votre CV. Au lieu de cela, vous devriez aborder le profil d'exigences du poste et montrer en quoi vous êtes compétent. Mentionnez les compétences concrètes que vous avez acquises au cours de votre carrière et qui vous aident à maîtriser les tâches à venir.
  2. Demandez à vos anciens supérieurs ou à vos anciens collègues (devenus cadres) de confirmer vos performances plutôt que d'utiliser uniquement des certificats de travail. Ces références renforcent la crédibilité de vos déclarations et contrebalancent ainsi la critique fréquente selon laquelle les lettres de motivation sont trop subjectives.
  3. Les recruteurs ont peu de temps. Ne rédigez donc en aucun cas plus d'une page et utilisez une entrée en matière individuelle pour susciter l'intérêt. Le mieux est de téléphoner au préalable au responsable des ressources humaines et de se renseigner plus précisément sur les exigences du poste. Cela montre votre engagement et peut être utilisé comme accroche dans la lettre de motivation.

Source : Robert Half

Fiduciaire 4.0 : un soutien pratique pour les entreprises fiduciaires

La numérisation des processus commerciaux transforme le secteur fiduciaire. Elle apporte aussi de nouvelles opportunités qu'il s'agit d'exploiter. Avec l'Institut Fiduciaire 4.0, l'Union Suisse des Fiduciaires FIDUCIAIRE|SUISSE propose depuis peu à ses entreprises membres des conseils et des services leur permettant d'aborder la transformation numérique de manière structurée.

Un nouveau service de TREUHAND|SUISSE offre aux entreprises fiduciaires un soutien pratique pour la numérisation. (Image : Fotolia.com)

"Notre objectif est de préparer les membres de FIDUCIAIRE|SUISSE à la transformation numérique et de les accompagner dans ce processus". C'est ainsi que la présidente centrale Daniela Schneeberger décrit l'objectif de l'institut Fiduciaire 4.0. De nombreux clients seraient eux-mêmes engagés dans un processus de numérisation et attendraient de leurs fiduciaires qu'elles soient à la pointe de la technologie et de l'efficacité des processus de travail. Pour les petites et moyennes entreprises fiduciaires en particulier, il est difficile d'évaluer l'influence concrète de l'évolution technologique. C'est là qu'intervient le soutien de l'Institut Treuhand 4.0, comme l'explique Daniela Schneeberger : "Grâce à des conseils stratégiques et des services spécifiques à la branche, nous aidons nos membres à s'orienter dans le domaine de la transformation numérique, à identifier leur marge de manœuvre et à organiser activement la transformation numérique de leur entreprise".

Orientation, bases de décision, outils

L'institut Fiduciaire 4.0 met à la disposition des entreprises fiduciaires intéressées un ensemble de prestations modulaires. L'étape 1 consiste en une évaluation personnelle de la situation, qui est effectuée sous la forme d'un questionnaire. www.treuhand40.ch est désormais accessible à tous et permet aux entreprises de sonder de manière ludique leur attitude face à la numérisation. La deuxième étape de l'offre de conseil de l'institut est une analyse au niveau de l'entreprise (disponible à partir de juillet 2018) : un screening accompagné par l'équipe de l'institut, qui débouche sur une évaluation sur mesure. Pour le choix du partenaire de mise en œuvre approprié, l'Institut Fiduciaire 4.0 met en place une plateforme communautaire comme troisième composante. Elle mène à des entreprises de technologie et de conseil qualifiées, mais aussi à des membres sélectionnés de l'association qui partagent leurs compétences en matière de numérisation. La mise en œuvre réussie est, en tant que quatrième étape, confirmée par un certificat et liée à un processus de recertification.

Une équipe qui allie fiduciaire et technologie

Le professionnalisme technique de l'Institut Fiduciaire 4.0 est garanti par une équipe de cinq professionnels expérimentés, qui disposent d'une formation et d'une expérience professionnelle tant sur le plan technique que fiduciaire.

Source et informations complémentaires : www.treuhandsuisse.ch

 

Nouveau directeur au centre de formation continue de la FHS St-Gall

Le Conseil de la Haute école spécialisée de St-Gall (FHS) a élu Dr. des. Rubén Rodriguez Startz au poste de directeur du centre de formation continue de la FHS St.Gallen. Il en prendra la direction générale le 1er mai 2018.

Le Dr. des. Rubén Rodriguez Startz prendra la direction du centre de formation continue de la FHS St-Gall le 1er mai 2018. (Photo : PD)

Le centre de formation continue de la FHS St. Gallen accueille des spécialistes et des cadres issus des professions et des secteurs les plus divers. Le programme de formation continue comprend, outre les masters de formation continue (EMBA, MAS), des cours avec certificat (CAS) et des séminaires. Tous les cours peuvent être suivis en cours d'emploi ou de carrière. Rubén Rodriguez Startz, qui a obtenu son doctorat à l'Université de Saint-Gall sur le thème "Contenu éthique dans l'éducation des cadres", y succèdera au professeur Reto Eugster, qui se retirera fin avril 2018 après plus de 28 ans d'activités de direction et d'enseignement à la FHS Saint-Gall. Avec Rodriguez Startz, c'est un connaisseur du secteur de la formation continue suisse et internationale qui reprend la direction du centre de formation continue. Martina Baerlocher Walser et le professeur José Gomez restent membres de la direction du centre de formation continue de la FHS Saint-Gall.

Rubén Rodriguez Startz a étudié les sciences politiques, la philosophie et l'histoire ibéro-latino-américaine à l'université de Cologne. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, il s'est penché sur les questions d'une orientation socialement responsable des formations continues en management. Actuellement, Rodriguez Startz est Business Development Manager à l'Executive School of Management, Technology and Law de l'université de Saint-Gall. Dans cette fonction, il est l'interlocuteur central pour le conseil aux personnes intéressées par la formation continue ainsi que responsable de différentes tâches de marketing. Auparavant, Rodriguez Startz a travaillé comme conseiller d'entreprise pour différentes PME et a occupé des postes de gestionnaire de comptes et de directeur dans le secteur de l'Internet et pour des groupes industriels.

informations : www.fhsg.ch/weiterbildung

Employés dans les achats : évolution des collaborateurs et des salaires en 2017

L'étude réalisée par procure.ch et l'EPFZ "Evolution des collaborateurs et des salaires dans les achats 2017" fournit des informations actuelles sur la situation des achats en Suisse. 964 personnes travaillant dans les achats y ont participé. Les achats restent un domaine professionnel attrayant, notamment en raison de la numérisation. Du point de vue de l'entreprise, qu'est-ce qui a changé depuis la dernière enquête ?

Les salaires de base dans le secteur des achats restent stables. Les femmes gagnent cependant toujours un peu moins que les hommes. (Image : Fotolia.com)

La numérisation des achats place les entreprises suisses devant de nouveaux défis, selon les résultats de l'étude de procure.ch et de l'EPF. Selon cette étude, plus de 65% de toutes les entreprises interrogées voient en principe un potentiel dans une transition vers les "achats 4.0", mais seules 10% ont déjà mené à bien des projets. En outre, 15% ont réalisé au moins les premiers investissements. Ces investissements se concentrent principalement sur la numérisation de certains processus et procédures, seules 151 TP2T environ n'ont pas encore été actives dans ce domaine, précise l'étude. L'intégration croissante des fournisseurs et des clients dans les processus d'achat y est liée. Dans ces domaines, les premières économies de coûts peuvent être rapidement réalisées. Une deuxième vague d'investissements pour l'exploitation de nouveaux champs d'activité rendus possibles par les "achats 4.0" se dessine déjà.

Salaires de base et primes

L'enquête a également révélé que les salaires de base et les bonus restent stables. Le salaire de base des acheteurs interrogés s'élèverait en moyenne à 112 000 CHF, soit une légère augmentation par rapport aux 108 300 CHF de 2014. La part des personnes appartenant aux catégories salariales supérieures (12%), avec un salaire de base supérieur à 151 000 CHF, augmenterait légèrement. Le montant des primes s'élève en moyenne à 7300 CHF, soit un peu plus que les 7200 CHF versés en 2014. Toutefois, seuls environ 66% des acheteurs reçoivent des primes en général, ce qui représente un léger recul. L'étude cite comme avantages supplémentaires les plus fréquents les téléphones portables à usage privé (42%), les repas de midi à prix réduit (40%) et les formations et perfectionnements rémunérés (39%).

Des différences subsistent selon le sexe et le secteur, comme le montrent les résultats de l'enquête. Ainsi, le salaire de base des hommes (CHF 116 100) est plus élevé que celui des femmes (CHF 93 750), mais l'écart semble se combler lentement. En 2014, la différence entre les sexes était encore de 25 800 CHF. Les grandes entreprises, celles qui emploient plus de 250 personnes, paient 10% de plus que les petites et moyennes entreprises.

C'est dans le secteur des services que l'on gagne le plus d'argent, avec un salaire moyen d'environ 122 000 CHF, tandis que le commerce est nettement en retrait, avec un salaire relativement modeste de 105 300 CHF. Certains secteurs paient des salaires de base nettement plus élevés que d'autres. Les "services financiers et d'assurance" (CHF 135 100) et les "technologies de l'information et des télécommunications, radiodiffusion" (CHF 132 200) sont les plus populaires ; la "construction automobile et d'autres véhicules" se situe loin derrière avec une moyenne de CHF 97 400.

En 2014, le revenu moyen était légèrement plus élevé en Suisse romande qu'en Suisse alémanique. Ce rapport s'est inversé en 2017. En Suisse alémanique, le salaire de base moyen (CHF 112 700) est supérieur d'environ 6,5% à celui de la Suisse romande (CHF 105 700). Les meilleurs salaires sont versés à Genève (CHF 133 800) et à Bâle (CHF 124 100).

Formation initiale et continue dans le domaine des achats

On constate également de nettes différences en fonction du diplôme professionnel. Les acheteurs titulaires d'un diplôme universitaire gagnent en moyenne environ 136 600 CHF, soit environ 50% de plus que les titulaires d'un brevet fédéral (90 700 CHF). L'examen professionnel supérieur et le diplôme d'une haute école spécialisée permettent également de faire des bonds salariaux significatifs. Le niveau de formation initiale et continue se reflète également dans le niveau de fonction atteint au sein du service des achats. On constate de nettes différences de salaire entre les fonctions d'employé(e) spécialisé(e) (CHF 74 800), de spécialiste des achats (CHF 95 800), de responsable des achats (CHF 124 800) et de Chief Procurement Officer (CHF 151 100).

Le profil de l'acheteur évolue vers davantage de connaissances informatiques et de compétences analytiques. Poussés en partie par la progression de la numérisation, 96% des participants à l'enquête voient des changements significatifs dans le profil d'exigences de l'acheteur. Les entreprises suisses continuent de considérer le travail fiable et autonome (98%), les capacités de communication (97%), en particulier dans les postes supérieurs, ainsi que l'esprit d'équipe (91%) comme les compétences clés dans les achats. Le travail orienté vers des solutions (97%) et la capacité de réflexion analytique (94%) ont gagné en importance par rapport à 2014. Concrètement, davantage de connaissances informatiques (54%) et de connaissances techniques et sectorielles (53%) sont requises. Les acheteurs ne peuvent plus progresser professionnellement sans une bonne compréhension de la numérisation.

Par conséquent, plus de 80% des entreprises accordent une grande importance à la formation continue dans le domaine des achats. Pour la plupart des acheteurs (88%), la formation continue est payante, par exemple par une augmentation de salaire, de meilleures perspectives de promotion ou tout simplement la sécurité de l'emploi.

Source et informations complémentaires : www.procure.ch

Cash is King, partie 2 : comment les conditions générales renforcent massivement votre position dans la gestion des créances

Les directeurs et les responsables de la gestion des créances le savent bien : Des conditions générales de vente (CGV) efficaces sont importantes pour la prévention des impayés et augmentent les chances d'un recouvrement réussi.

En utilisant des conditions générales, les directeurs renforcent la position juridique de leur entreprise. (Image : zVg)

Fermer les yeux et passer à travers : C'est ainsi que les gens se comportent lorsqu'ils rencontrent des conditions générales dans leur quotidien professionnel. La plupart ne font que les survoler ou ne les lisent pas du tout. Les entreprises y renoncent souvent complètement, avec pour conséquence qu'il n'est pas rare qu'elles se retrouvent sans rien en cas de défaut de paiement. Pourtant, les conditions générales de vente peuvent protéger une entreprise de la perte totale de ses créances. Lorsqu'une entreprise conclut une affaire avec un client, elle devrait donc d'abord penser à l'aspect financier. Gestion des créances et penser à sa propre couverture. "Nous recommandons aux entreprises de régler les modalités de paiement et les conséquences d'éventuelles mises en demeure dans leurs conditions générales", explique Jason Glanzmann, directeur des portefeuilles de services chez Intrum Justitia.

La juriste et auteure Regula Heinzelmann connaît elle aussi l'importance des conditions générales de vente pour la gestion des créances : "Les conditions générales sont toujours un bon instrument de relations publiques. Il est essentiel de les formuler de manière à ce que les clients les comprennent immédiatement. De cette manière, on évite les processus énervants et coûteux". L'experte recommande de ne pas simplement reprendre des conditions générales préfabriquées ou celles de la concurrence, mais de toujours adapter les conditions générales à la situation individuelle de l'entreprise, si nécessaire en faisant appel à des spécialistes. "Selon le secteur, il existe des directives correspondantes qu'il faut respecter".

"Nous recommandons aux entreprises de régler les modalités de paiement et les conséquences des retards de paiement dans les conditions générales de vente". Jason Glanzmann, directeur des portefeuilles de services chez Intrum Justitia. (Image : zVg)

 

Les CG font partie intégrante de la gestion des risques

Avec les conditions générales, les entreprises règlent leurs relations commerciales de la manière la plus complète possible et elles n'ont pas besoin de définir individuellement chaque modalité d'un contrat. En particulier, les CGV servent à leur auteur à transférer les risques, précisément en matière de responsabilité et de garantie. Les CG sont contraignantes lorsqu'elles sont reconnues par les entreprises impliquées comme faisant partie intégrante du contrat. Regula Heinzelmann conseille de toujours inclure cette formulation dans un contrat individuel. "Si les deux partenaires font référence aux conditions générales, les clauses concordantes s'appliquent. En principe, il est préférable de fixer par écrit les accords qui s'écartent des conditions générales", explique la juriste.

Dix conseils pour des conditions générales sûres dans la gestion des créances

Si vous avez modifié vos conditions générales de vente dans le Recouvrement de créances Si vous souhaitez formuler votre demande de manière efficace, vous devriez suivre les conseils suivants :

  1. Respectez les lois en vigueur, de sorte que les formulations soient conformes à ce cadre. Les clauses contraires à la loi sont nulles ; les parties des CG conformes à la loi s'appliquent néanmoins. "Selon le Tribunal fédéral, l'ensemble du contrat est nul si cette conséquence juridique est expressément prévue par la loi concernée ou si elle découle du sens et du but de la norme violée", explique Regula Heinzelmann.
  2. Selon l'article 8 de la loi fédérale contre la concurrence déloyale, agit de manière déloyale celui qui utilise des conditions générales qui prévoient, au détriment du consommateur et de manière contraire aux règles de la bonne foi, un déséquilibre important et injustifié entre les droits et les obligations découlant du contrat.
  3. Veillez à la transparence. Renoncez aux clauses inhabituelles, surprenantes et fortement désavantageuses pour le partenaire contractuel.
  4. Utilisez un langage simple. En effet, les clauses ne doivent pas pouvoir être interprétées de manière ambiguë ou se contredire. La structure doit également être claire.
  5. Il faut mettre en gras les clauses inhabituelles et indiquer qu'elles dérogent à la règle.
  6. Rédigez toujours les conditions générales avant de sceller le contrat. La partie contractante doit en avoir pris connaissance avant la conclusion du contrat et en accepter la validité.
  7. Mentionnez clairement les conditions générales dans le contrat.
  8. Placez les conditions générales de vente à un endroit facilement accessible à tous, comme par exemple sur votre site web. De préférence de manière à ce que les clients puissent les imprimer au format PDF.
  9. La responsabilité pour négligence légère peut être limitée et fixée à un certain montant ou exclue. Il existe toutefois des exceptions. L'exclusion de la négligence grave ou de la faute est nulle (article 100 du Code suisse des obligations).
  10. La détermination du droit applicable et du lieu de juridiction est essentielle pour les entreprises. Il est préférable de choisir le droit suisse et le tribunal du siège de l'entreprise. Vous pouvez en outre définir des variantes extrajudiciaires de règlement des litiges, comme par exemple une procédure d'arbitrage ou une médiation. Regula Heinzelmann : "Le mieux est de régler la répartition des frais dans les conditions générales".

Si le cocontractant ne paie pas

Que faire en tant que gérant si le partenaire contractuel ne paie pas la facture ? Quelles sont les possibilités qui s'offrent à lui ? Intrum Justitia vous montre comment relever ce défi dans la troisième partie de cette suite de l'histoire.

 

Contact pour plus d'informations :

Intrum Justitia AG, sales.ch@intrum.ch, +41 44 806 85 57

Lisez la première partie ici.

Plus de 35 000 nouvelles entreprises créées en 10 mois - Croissance nette record attendue

Creditreform a publié les derniers chiffres concernant les nouvelles inscriptions, les radiations et les faillites d'entreprises. Ceux-ci indiquent une situation conjoncturelle robuste.

Les dernières statistiques de Creditreform indiquent une croissance nette record des nouvelles entreprises. (Image : Rainer Sturm - pixelio.de)

Environ 35'500 nouvelles entreprises ont été inscrites dans les registres du commerce cantonaux au cours des dix premiers mois de cette année. C'est à peu près le nombre d'entreprises créées en 12 mois entre 2007 et 2009, selon les calculs de l'union des créanciers Creditreform. Ces valeurs peuvent être lues comme un signe de la robustesse et de l'expansion de la conjoncture suisse actuelle. D'un autre côté, le nombre de radiations est resté relativement stable depuis des années et oscille entre 28 000 et 29 000 entreprises. Il en résulte que, selon toute probabilité, un nouveau record de croissance nette sera atteint cette année.

Tableau 1 : Nouvelles inscriptions, radiations, croissance nette (source : Creditreform)

Il est frappant de constater que plus de la moitié des nouvelles entreprises sont créées dans le secteur des services, la plupart d'entre elles dans le domaine des "activités spécialisées, scientifiques et techniques". Ce groupe comprend par exemple les conseillers d'entreprise et fiscaux, les agences de publicité, les bureaux d'architectes, etc. En deuxième position, on trouve le commerce de gros et de détail avec une part de 15,5 % et la construction avec 10,4 %.

De l'économie de production à l'économie de services

L'hôtellerie-restauration enregistre une nette croissance négative. Là, les nouvelles inscriptions sont contrebalancées par davantage de radiations du registre du commerce. Cela semble surprenant, car ce sont surtout les chaînes de fast-food qui créent de nombreux nouveaux établissements. Toutefois, il ne s'agit pas nécessairement d'une nouvelle entreprise, mais simplement de nouveaux emplacements. Le secteur de la construction, autre branche, occupe la cinquième place de toutes les branches en termes de croissance nette, avec une part de 8,5 %, soit 991 entreprises.

La tendance d'une économie de production vers une économie de services se poursuit donc. Selon l'Office fédéral de la statistique, en 2015, 75 % de toutes les entreprises de l'économie de marché appartenaient au secteur tertiaire et seulement environ 16 % au secteur secondaire. Si l'on considère le secteur de la construction individuellement, il occupe également la 5e place parmi les entreprises de l'économie de marché, avec une part de 8,2 %.

Augmentation des faillites

Tableau 2 : Faillites d'entreprises et de particuliers par secteur. (Source : Creditreform)

Le nombre de faillites d'entreprises a augmenté de 3,5 % au cours des dix premiers mois pour atteindre 3'962. Creditreform s'attend à un peu moins de 4'800 faillites d'entreprises d'ici la fin de l'année. Il s'agirait de la deuxième valeur la plus élevée jamais mesurée ; seule l'année 2004, avec 4'955 faillites, a enregistré un nombre nettement plus élevé. La plupart des faillites se produisent également dans le secteur des services, suivi par le secteur de la construction. Bien que seulement 8,2 % de toutes les entreprises de l'économie de marché se trouvent dans le secteur de la construction, la part des faillites d'entreprises est effroyablement élevée avec 23,5 %, constate Creditreform. De même, la part des insolvabilités des entreprises du secteur du commerce est nettement plus élevée que leur part dans les entreprises (18,8 % contre 13,1 %). La part de l'hôtellerie-restauration dans les insolvabilités est de 13,7 % pour les 10 premiers mois. C'est également nettement plus élevé que la part de l'ensemble des entreprises, qui n'est que de 5 %.

Source et informations complémentaires : Creditreform

 

La formation continue accroît la compétitivité

La constatation selon laquelle une formation continue régulière améliore les chances sur le marché du travail n'est pas vraiment nouvelle. Mais il est passionnant de se demander si la formation continue permet aux travailleurs d'exploiter leur potentiel de manière optimale.

Les Suisses s'accordent à dire que la formation continue est importante et que chacun en est responsable. Une majorité est même prête à payer la formation continue de sa propre poche. (Image : Fotolia.com)

Régulièrement, le prestataire de services en ressources humaines Randstad interroge les travailleurs sur leurs projets professionnels et leur satisfaction au travail. Les résultats de ce dernier baromètre de l'emploi montrent que seuls 63 % des salariés suisses estiment pouvoir développer leur plein potentiel dans leur emploi actuel. La Suisse se situe ainsi nettement en dessous de la moyenne mondiale (74 %) et à la dernière place en Europe, selon le verdict. Les jeunes femmes de 25 à 34 ans se sentent particulièrement sous-exploitées au travail, seules 49 % exploitant pleinement leur potentiel, selon les autres conclusions de l'enquête menée au troisième trimestre.

Chacun est responsable de son "employabilité".

Avec 94 % d'opinions favorables, les Suisses sont toutefois unanimes : il est de la responsabilité de chacun de maintenir ses compétences et aptitudes professionnelles à jour. Avec ce résultat, la Suisse - avec l'Italie, la Norvège et l'Autriche - est en tête du classement européen.

Les Suisses mettent la main à la poche pour leur propre formation continue

Trois bons quarts (76 %) des personnes interrogées estiment qu'elles ont besoin de plus de formations et d'entraînements pour rester à la pointe du développement. Avec 77 %, une grande majorité des salariés suisses est même prête à payer pour cela. Avec ce résultat, la Suisse se place en deuxième position en Europe, derrière la Grèce. Au niveau mondial, 67 % en moyenne seraient prêts à payer eux-mêmes pour des formations continues.

Source et informations complémentaires : Randstad

Pour un CRM réussi, il faut plus que de la technologie

Entretenir et développer la relation client est un défi de taille, en particulier pour les PME et les entreprises traditionnelles. Sur le marché, elles sont confrontées à des start-ups qui possèdent un énorme savoir-faire technique et placent d'emblée l'utilisateur au centre de leurs processus.

 

Les technologies de CRM et de marketing automation ne suffisent pas. (Image : artinspiring - Fotolia.com

Les entreprises essaient de plus en plus de se positionner de manière similaire. Elles investissent dans des technologies telles que les solutions de gestion de la relation client, par exemple pour créer une image du client à 360 degrés grâce aux données. Mais pour cela, il faut plus que de la technologie. Il faut une Vision.

Exemple tiré de la pratique

Les entreprises industrielles, en particulier, s'équipent de technologies de CRM et de marketing automation. Le défi : souvent, seule la direction du groupe est consciente de l'utilité de ces outils. Les départements spécialisés qui doivent mettre en œuvre les solutions n'en comprennent souvent pas l'utilité. De plus, les entreprises définissent leur vision, par exemple pour la transformation du département des ventes, par le biais d'une technologie. Mais cela ne tient généralement pas compte des besoins des collaborateurs, qui ont des exigences spécifiques vis-à-vis de l'outil.

Résultat : des divisions comme la vente ne peuvent pas fournir les résultats souhaités en temps voulu. Pour expliquer aux départements l'objectif du logiciel, un mannequin à cliquer permet de comprendre les possibilités du nouveau logiciel. Cela permet ensuite de définir de nouvelles exigences, par exemple la consultation mobile des données clients pour les collègues de la vente.

Le CRM a besoin d'une vision

L'exemple le montre : La vision définit le logiciel acheté. Et non l'inverse. Si la vision du client à 360 degrés est la vision, le logiciel doit être adapté à cet objectif. De plus, la flexibilité joue un rôle important. C'est la seule façon d'intégrer les exigences personnelles des départements et de les adapter en permanence.

Le CRM et le rôle du Customer Journey

L'expérience montre donc que les Product Owners des systèmes CRM ne passent souvent que peu de temps avec les clients. Il est pourtant essentiel de connaître ses clients et de comprendre en détail le parcours client actuel. Pour cela, il faut impliquer tous les collaborateurs sur le terrain et saisir toutes les exigences des intermédiaires comme des clients finaux.

Définir l'objectif

L'analyse met en évidence tous les potentiels d'amélioration. À ce stade, il s'agit de définir dans quel but le parcours client doit être amélioré : La meilleure expérience client du marché ? Qu'est-ce que cela signifie exactement ? Des délais de livraison rapides ? Conseil personnalisé ? Réduction des coûts ?

Elaborer l'état souhaité

Une fois les objectifs clairs, nous définissons le parcours cible. Si l'objectif est un suivi plus personnalisé, nous nous concentrons sur les ressources et les outils. Si les coûts sont au centre des préoccupations, nous concevons le parcours en mettant l'accent sur l'efficacité des processus.

Le parcours cible permet de mettre en évidence les divergences par rapport à l'expérience client actuelle. Elle met en évidence les exigences concrètes en matière de processus et d'outils, notamment celles concernant le système CRM. Grâce à ces connaissances, les entreprises peuvent désormais créer de nouvelles structures et utiliser une technologie sur mesure.

Ce qui fait un bon système CRM

À une époque où la qualité des produits est généralement élevée, les processus clients sont le principal facteur de différenciation sur le marché. Un système CRM avec des processus standard ou une simple extension de l'ERP pour le service externe ne permet pas d'atteindre l'objectif de différenciation sur le marché. Un outil CRM doit être adaptable en tant que plate-forme. De cette manière, il est possible de concevoir des processus clients uniques et de modifier les systèmes backend en conséquence.

Intelligence artificielle

Historiquement, les CRM sont de grands pots de données. Avec l'augmentation du flux de données, ils deviennent de plus en plus pleins - et donc de plus en plus précieux. Celui qui achète aujourd'hui un système CRM devrait donc veiller à ne pas acheter seulement un pot de données - mais aussi des outils appropriés pour évaluer les données et y reconnaître de nouveaux modèles.

Utiliser au mieux le potentiel de développement

Ainsi, les entreprises peuvent non seulement augmenter considérablement leur efficacité grâce à un CRM optimisé. Elles voient également en un coup d'œil lesquels de leurs clients ont le plus grand potentiel de développement. Bien entendu, les clients en profitent également : Un CRM idéal va de pair avec le meilleur service possible. De notre point de vue, il s'agit d'une situation gagnant-gagnant absolue et la démarche de transformation numérique vaut donc la peine d'être envisagée pour chaque entreprise.

L'auteur est consultant senior et expert en CRM chez Namics 

Lire également le Entretien avec Bernd Schopp, CEO de Namics dans le dernier numéro de ORGANISATEUR.

 

get_footer() ;