L'entreprise suisse de logiciels Opacc fête son 30e anniversaire

Opacc fêtera un anniversaire rond en 2018 : le fabricant de logiciels de Kriens aura 30 ans cette année. L'exercice 2017, extrêmement réussi, est une raison supplémentaire d'envisager 2018 avec optimisme.

Il peut se retourner avec fierté sur les 30 ans d'histoire de son entreprise : Beat Bussmann, CEO du fabricant de logiciels Opacc de Suisse centrale. (Image : Opacc)

Est-on encore jeune à 30 ans ? "Oui, mais ..." estime Beat Bussmann, CEO et fondateur d'Opacc Software AG : "Encore jeune, parce que nous évoluons sur le marché avec agilité et en pleine forme. Mais nous jouissons aussi d'une certaine 'ancienneté', car dans la branche informatique, 30 ans d'activité commerciale réussie signifient beaucoup. La continuité et le long terme sont justement des facteurs décisifs dans le domaine des logiciels d'entreprise".

Fondée il y a 30 ans

L'entreprise lucernoise a été inscrite au registre du commerce de Lucerne il y a 30 ans, le 22 janvier 1988. D'une idée commerciale est né un fournisseur de logiciels établi et renommé, employant actuellement 125 personnes. Le fondateur et CEO de l'entreprise, Beat Bussmann, se souvient des premiers jours et des premières semaines : "Notre credo d'alors est resté le même jusqu'à aujourd'hui : La qualité plutôt que la quantité !" Des PME de tous les secteurs utilisent les applications OpaccERP, OpaccEnterpriseShop et OpaccEnterpriseCRM - sur une seule plateforme : OpaccOXAS met à disposition toutes les données, fonctions et services pour gérer les flux de marchandises, d'argent, de prestations et d'informations dans toute l'entreprise.

Année record 2017

Comme l'indique l'Opacc, l'exercice écoulé a été le plus fructueux de toute l'histoire de l'entreprise, tant en ce qui concerne les nouveaux clients que le développement des clients existants. Comme lors de toutes les années précédentes, la création de valeur a pu être augmentée. Opacc, dont le siège est à Kriens, est en outre entièrement autofinancé et donc financièrement indépendant. Le développement continu des applications logicielles d'entreprise Opacc est ainsi assuré à l'avenir également, comme l'indique l'entreprise.

Le "cadeau d'anniversaire" : l'OpaccCampus de Rothenburg tel qu'il devrait être un jour. (Image : Opacc)

Nouveau OpaccCampus à Rothenburg

En automne 2018, le fabricant de logiciels quittera son site de longue date de Kriens pour s'installer à Rothenburg. Le nouveau bâtiment d'Opacc, situé à proximité immédiate de la gare de Rothenburg et de la sortie d'autoroute de Rothenburg, est conçu pour accueillir environ 200 collaborateurs. Cela suffira pour de nombreuses années, d'autant plus qu'il existe un potentiel d'extension pour un total de 400 collaborateurs sur le propre site. L'entreprise, qui a été récompensée à plusieurs reprises pour ses conditions de travail progressistes et qui applique depuis de nombreuses années une stratégie d'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, pose ainsi un nouveau jalon dans le développement de sa culture d'entreprise. Le nouveau bâtiment de Rothenburg contribuera largement à créer un environnement de travail innovant et ouvrira de nouvelles perspectives pour la formation et le perfectionnement au sein de l'entreprise.

Les festivités du 30e anniversaire de l'entreprise Opacc auront lieu le week-end du 15 au 17 novembre 2018 à Rothenburg.

Site web de l'entreprise

Capital étranger : investir dans des crédits de PME suisses

Avec un nouveau produit de placement, Vicenda et creditworld offrent aux PME suisses une possibilité de financement supplémentaire et aux investisseurs institutionnels une alternative de placement intéressante dans un contexte de taux bas persistants, selon le communiqué.

La planification financière des PME n'est pas simple. En ce qui concerne le capital étranger, il existe désormais plus d'alternatives via le crowdlending. (Image : Fotolia.com)

Pour des raisons réglementaires, les banques limitent l'octroi de crédits. Cela ouvre la porte à des possibilités de financement alternatives, par exemple via des plateformes de crowdlending. Dans ce contexte, Vicenda et creditworld élargissent leur offre pour les PME afin de leur permettre de se procurer des capitaux de tiers "de manière sûre et non bureaucratique", comme le précise un communiqué de presse. En outre, ce nouveau produit de placement offre aux investisseurs institutionnels une alternative intéressante dans le domaine des placements à taux fixe dans le contexte actuel de taux bas.

Des engagements déjà pris pour plus de 40 millions de francs

Selon leurs propres informations, Vicenda et creditworld visent un volume d'investissement de CHF 100 millions, qui sera redistribué par tranches de CHF 100'000 à CHF 10 millions à des entreprises suisses de tous les secteurs ayant un chiffre d'affaires de CHF 0,5 à 30 millions, sous forme de crédits d'investissement et de crédits d'exploitation. Des investisseurs se sont déjà engagés pour plus de CHF 40 millions, indiquent les deux entreprises. Un rendement brut de 5 pour cent est visé pour les investisseurs. L'investissement minimum est de CHF 150'000.

Combler le déficit de crédit par des financements institutionnels par l'emprunt

Daniel Franc, responsable Asset Management Solutions de Vicenda, peut être cité comme suit : "Les placements en dette privée sont une possibilité d'investissement intéressante pour les investisseurs institutionnels. Notre produit est particulièrement intéressant pour les caisses de pension en raison de son profil rendement/risque attractif et de son lien avec la Suisse. Nous offrons une manière simple et sûre d'investir dans un portefeuille diversifié de crédits aux PME suisses". Et Philipp Schneider, cofondateur de creditworld AG, d'ajouter : "Les banques sont de plus en plus limitées dans l'octroi de crédits aux PME. Nous pouvons combler le déficit de crédit qui en résulte grâce à des financements privés et institutionnels par des capitaux de tiers. De plus, en tant qu'entreprise fintech, le processus d'octroi de crédit peut être mis en œuvre rapidement et efficacement grâce au traitement numérisé".

Un fonds de placement international en arrière-plan

Vicenda est responsable de la décision d'octroi de crédit ainsi que de la structuration et du suivi du portefeuille. creditworld est responsable de l'identification et, en collaboration avec son partenaire de notation Euler Hermes, de l'évaluation des crédits. La plateforme de titrisation luxembourgeoise de Vicenda, Thalos Investment Platform S.A. Luxembourg, avec le compartiment I de financement de crédit des PME, sert de véhicule pour l'émission des titres correspondants. En décembre déjà, Vicenda a lancé avec des partenaires le Daneo Private Debt Fund. Le Daneo Private Debt Fund réunit des entreprises à la recherche de crédits en Suisse, en Allemagne et en Autriche et des investisseurs institutionnels par le biais d'un fonds de placement.

www.vicenda.com / www.creditworld.ch

Selon economiesuisse, les décisions de Donald Trump ont une "énorme influence" sur l'économie suisse

Cette année, au WEF de Davos, tous les regards étaient tournés vers le président américain Donald Trump. Lors d'un entretien avec le président de la Confédération Alain Berset, les bonnes relations entre la Suisse et les Etats-Unis ont été soulignées. Le fait est que la Suisse entretient des relations commerciales aussi intenses avec pratiquement aucun autre pays.

"Atout" Donald Trump : ouvre-t-il la voie à un accord de libre-échange américano-suisse ? (Image : Alisa - Fotolia.com)

Le fait que Donald Trump ait affirmé au président de la Confédération Alain Berset, lors du WEF, vouloir collaborer plus étroitement avec la Suisse à l'avenir, est considéré par economiesuisse comme un "signal réjouissant". En effet, il est évident que les décisions du président américain auront une grande influence sur les entreprises suisses, écrivent Jan Atteslander, responsable du commerce extérieur, et Marc Engelhard dans un Article sur le site web de l'association faîtière de l'économie. En se basant sur les chiffres de la statistique des exportations de l'Administration fédérale des douanes, les auteurs citent cinq raisons pour lesquelles les Etats-Unis sont si importants pour la Suisse. En effet, derrière l'Allemagne et ses 88 milliards de francs de volume commercial, les Etats-Unis occupent la deuxième place avec 46 milliards. Il faut également tenir compte de l'important excédent commercial : Celui-ci s'élève à 17 milliards de francs et n'est plus élevé chez aucun autre partenaire commercial.

Raison 1 : "Fabriqué en Suisse

La première raison pour laquelle les Etats-Unis sont si importants pour la Suisse est la valeur ajoutée exportée. En effet, les statistiques douanières ne renseignent que sur les chiffres bruts. Toutes les prestations préalables et les pièces détachées achetées par les entreprises suisses à l'étranger sont également comprises dans ces chiffres. L'OCDE recense régulièrement les chiffres relatifs à la valeur ajoutée effectivement exportée. Celle-ci s'élève à 34 milliards de dollars américains pour les États-Unis, soit 13 pour cent de la valeur ajoutée totale exportée par la Suisse. Seule l'Allemagne vend encore plus de qualité suisse. Aux yeux d'economiesuisse, le "Made in Switzerland" continue donc de faire recette aux Etats-Unis.

Raison 2 : les États-Unis, un client de choix pour les services

La croissance du secteur des services est un fait. Mais economiesuisse passe quelque peu sous silence les coûts de cette croissance. En effet, il ne faut pas oublier que le secteur industriel suisse est globalement en recul. Les exportations de services représentent désormais un tiers du total. Selon la Banque nationale suisse, les prestataires de services suisses réalisent environ 33 milliards de francs de chiffre d'affaires aux États-Unis dans les services (sans le tourisme). Les États-Unis sont donc le principal partenaire commercial dans ce secteur. A titre de comparaison, les entreprises suisses de services réalisent un chiffre d'affaires de 12 milliards de francs avec l'Allemagne.

Raison 3 : désir de libre-échange

La majeure partie des entreprises importatrices et exportatrices sont des PME. Certaines d'entre elles sont leaders du marché mondial dans leur domaine. Lorsqu'on demande aux PME avec quel pays la Suisse devrait entretenir de meilleures relations commerciales, elles répondent le plus souvent : les Etats-Unis. Le choc du franc a probablement renforcé le souhait d'un accord de libre-échange avec les Etats-Unis. Selon les PME suisses, le fait qu'il n'existe pas d'accord de ce type entre la Suisse et les Etats-Unis est une "grande négligence", selon economiesuisse.

Raison 4 : les États-Unis en tant qu'investisseur

Donald Trump devrait se réjouir : de nombreuses entreprises suisses investissent déjà aux Etats-Unis. Selon la BNS, les capitaux détenus aux Etats-Unis s'élèvent à 234 milliards de francs. Inversement, les Etats-Unis investissent massivement en Suisse : ils sont le troisième plus important investisseur direct, derrière le Luxembourg et les Pays-Bas. Il est donc clair, selon economiesuisse, que toutes les mesures prises par Donald Trump en matière de fiscalité et d'investissement auront un impact direct sur la place économique suisse.

Raison 5 : Encore beaucoup de potentiel

Selon economiesuisse, les Etats-Unis offrent aux entreprises suisses la possibilité de réaliser d'énormes bénéfices commerciaux. A cet égard, le marché américain est comparable à celui de l'UE. Les chiffres actuels du commerce indiquent toutefois qu'il est possible de faire beaucoup mieux. Pour economiesuisse, il est donc réjouissant que Donald Trump ait confirmé au président de la Confédération Alain Berset sa volonté de collaborer plus étroitement avec notre pays. Selon economiesuisse, les deux parties profiteraient d'un accord de libre-échange, si l'on se réfère aux chiffres cités ici.

Plus d'informations : Prise de position d'economiesuisse

La fidélisation du personnel est une priorité absolue

Fidélisation des collaborateurs, structures de travail flexibles et promotion de l'employabilité - voici les trois thèmes principaux du point de vue des RH. C'est ce que révèle le dernier rapport RH du cabinet de recrutement Hays.

Le dernier rapport RH du cabinet de recrutement Hays met les organisations agiles au banc d'essai. En revanche, la fidélisation des collaborateurs est une priorité absolue pour les spécialistes RH. (Image : Hays)

Malgré ou à cause de l'engouement pour les organisations numériques et agiles : Garder les collaborateurs est le thème RH numéro un pour 2018. La flexibilisation des structures de travail arrive en deuxième position dans l'agenda RH des entreprises. Favoriser l'employabilité des collaborateurs est pour la première fois le troisième point le plus important parmi les thèmes RH. C'est ce que montrent les résultats du rapport RH 2018 que Hays et l'Institut pour l'emploi et l'employabilité (IBE) viennent de publier. Plus de 1000 personnes issues d'entreprises et d'organisations ont été interrogées.

Fidéliser les employés grâce à une plus grande flexibilité

"La pression exercée par l'évolution démographique, la numérisation et la pénurie de main-d'œuvre qualifiée accroît considérablement la lutte pour les collaborateurs. C'est pourquoi la fidélisation des collaborateurs est une priorité et il faut leur accorder plus de flexibilité. Jutta Rump, directrice de l'IBE, explique le classement : "En raison de l'accélération du rythme des changements, il est impératif de maintenir les collaborateurs dans l'emploi. Une bonne ambiance de travail (57 %) est le principal facteur de rétention des collaborateurs. Viennent ensuite des horaires de travail flexibles (46 %) et une rémunération conforme au marché (44 %). Les entreprises interrogées ont progressé dans la réalisation de ces thèmes. L'écart entre l'importance et la mise en œuvre de ces instruments s'est nettement réduit.

Des processus rigides font obstacle au développement

Pour la moitié des personnes interrogées (51 %), le thème de l'organisation agile joue déjà un rôle important, voire très important. Plus la position est élevée, plus l'importance d'une organisation agile augmente de manière significative. Les personnes interrogées considèrent les processus et procédures trop rigides comme le plus grand obstacle (36 %). Pour 31 %, c'est le manque de volonté de changement des collaborateurs. "À l'avenir, il s'agira plus que jamais de mettre en place des processus interconnectés et intégrés. Ceux-ci partent du client et non de manuels de processus internes. En même temps, ils doivent offrir une grande flexibilité afin de pouvoir réagir rapidement aux nouvelles conditions du marché", explique Marc Lutz, Managing Director chez Hays Suisse.

Les compétences professionnelles déterminent les carrières de direction

L'étude s'est également penchée sur les possibilités de carrière. Pour les carrières de direction, les compétences techniques (43 %) sont incomparablement plus importantes que les compétences sociales (29 %). Les avis des personnes interrogées divergent sur la manière dont les carrières de direction se font. La moitié des personnes interrogées considèrent qu'une approche systématique est nécessaire (25 % chacun estiment que des recommandations et une planification stratégique de la succession sont essentielles). D'un autre côté, un quart pense qu'elles se font par le biais de réseaux internes, et pour 21%, le hasard joue un rôle prépondérant.

Le rapport RH, publié chaque année, analyse les principales questions RH dans les organisations. Il se base sur une enquête en ligne à laquelle ont participé 1036 collaborateurs d'entreprises et d'organisations de l'espace germanophone. Les personnes interrogées étaient des directeurs (17 %), des cadres RH (22 %), des chefs de service (38 %) et des collaborateurs sans responsabilité en matière de personnel (24 %).

Source : www.hays.ch

Impulsion de réussite : avez-vous le pied sur le frein ?

Lorsque cette chronique sera publiée, il vous restera à peine 330 jours pour faire de 2018 une année vraiment exceptionnelle - c'est-à-dire pour obtenir nettement plus pour vous-même, votre équipe, votre entreprise, votre famille, vos amis.

Desserrez vos freins ! Avec quelques impulsions de succès, cela fonctionnera. (Image : kupchynskyi12 - Fotolia.com)

Voici une impulsion importante pour le début de l'année, afin que vous puissiez y parvenir : Retirez votre pied du frein ! D'après mes observations, il existe 3 groupes de comportements pour la nouvelle année (demandez-vous à quel groupe vous et vos collègues appartenez le plus) :

  • Groupe 1 : ceux qui continuent. Ils continuent simplement comme avant, avec pour résultat que 2018 sera plutôt pire ou seulement marginalement meilleur que l'année dernière. C'est le plus grand groupe de personnes (attention : également dans votre entreprise ou votre équipe !).
  • Groupe 2 : les ambitieux. Vous vous fixez de grands objectifs, vous vous inspirez et inspirez les autres, et vous prenez quelques mesures. Avec un peu de chance et de persévérance, vous pourrez ainsi augmenter quelque peu votre succès en 2018. C'est ainsi qu'agissent peut-être la moitié des leaders dans le monde des affaires.
  • Groupe 3 : ceux qui sont sur la voie rapide. Vous faites tout comme au point 2, plus : vous desserrez les freins qui vous ont empêchés, vous et votre équipe, de remporter de plus grands succès jusqu'à présent. Rares sont ceux qui le font. Qu'est-ce que je veux dire par là ?

Freiner les modes de pensée

Vos freins sont constitués de modes de pensée, d'habitudes et de peurs. En d'autres termes, ce sont vos modes de pensée et vos habitudes bien ancrés ainsi que vos peurs (oui : nous en avons tous !) qui vous empêchent, vous et vos compagnons de route, de réaliser des choses vraiment formidables.

Vous aurez beau mettre les gaz du côté de l'inspiration, des objectifs et de la formation : Si vous et vos collaborateurs restez bloqués sur les freins des modes de pensée (également appelés mindset), des habitudes et des peurs, non seulement rien ne changera, mais vous serez au contraire frustrés et épuisés. Cela vous semble familier ?

Eh bien, desserrez vos freins ! Voici trois idées pour y parvenir :

  1. Mindset. Attendez de votre équipe (et en premier lieu de l'équipe dirigeante) qu'elle ait un état d'esprit gagnant. Cela peut s'entraîner et se coacher. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet dans une autre impulsion à la réussite.
  2. Habitudes. Examinez vos habitudes (et demandez à vos collègues de faire de même) : "Quelles sont les routines quotidiennes qui ne nous aident pas à faire quelque chose de vraiment génial ?" Il peut s'agir de réunions improductives, de la gestion des e-mails, de la conduite des entretiens, mais aussi de choses comme les habitudes alimentaires, les routines de fitness et bien d'autres choses encore. Passez tout au crible !
  3. Peurs. Demandez-vous quel est actuellement le plus grand obstacle interne à une plus grande réussite. Pour les vendeurs, il s'agit souvent d'appeler des clients potentiels inconnus, pour les dirigeants, de montrer un véritable enthousiasme et pour les membres de l'équipe, de poser des questions gênantes. Et ainsi de suite. Important : entraînez-vous systématiquement à surmonter ces peurs. Oui, c'est possible. Les équipes de haut niveau le font en permanence.

Alors, levez le pied et accélérez en 2018. Le monde (du moins vos clients et votre équipe) a besoin de vous et de votre entreprise !

Vers l'auteur :
Volkmar Völzke est un maximisateur de succès. Auteur de livres. Conseiller et consultant. Coach de formation. Orateur. www.volkmarvoelzke.ch

 

L'intelligence artificielle sera source de croissance - les collaborateurs en espèrent des avantages

L'utilisation de l'intelligence artificielle va stimuler la croissance des entreprises et créer de nouveaux emplois, selon une étude du cabinet de conseil Accenture publiée à l'occasion du Forum économique mondial de Davos.

Les entreprises misent sur l'intelligence artificielle pour la croissance et l'innovation, les collaborateurs espèrent en tirer des avantages dans leur travail quotidien. (Image : Fotolia.com)

Une étude du cabinet de conseil Accenture prévoit que le chiffre d'affaires des entreprises pourrait augmenter de 38 % en moyenne d'ici 2022 grâce à l'intelligence artificielle. Pour cette étude mondiale, les chercheurs ont interrogé Stratégie d'Accenture 14 078 salariés et indépendants et 1 201 cadres dans onze pays (Allemagne, Australie, Brésil, Chine, Espagne, États-Unis, France, Inde, Italie, Japon, Royaume-Uni).) sur leurs attitudes et leurs attentes vis-à-vis de l'intelligence artificielle. Les dirigeants d'entreprise accordent une grande importance à cette technologie : ainsi, plus des deux tiers d'entre eux (72 pour cent) pensent que l'introduction de technologies intelligentes est décisive pour la capacité de leur organisation à se différencier sur le marché. De plus, 42 % sont convaincus que toute innovation future sera basée sur l'intelligence artificielle. C'est notamment pour cette raison que plus de la moitié des entreprises (61 pour cent) souhaitent automatiser davantage de tâches et de processus à grande échelle au cours des trois prochaines années. Selon l'étude, l'automatisation est surtout poursuivie de manière très conséquente aux États-Unis (92 pour cent) et en Grande-Bretagne (84 pour cent), alors qu'en Chine, seulement un peu plus de la moitié des entreprises étudiées (56 pour cent) y aspirent.

L'intelligence artificielle suscite des attentes chez les employés

Les salariés et les indépendants sont très confiants face à la transformation du monde du travail et à l'utilisation des technologies intelligentes : Bien plus de la moitié (62 %) des salariés et des indépendants interrogés s'attendent à ce que l'intelligence artificielle ait un impact positif sur leur travail quotidien dans les trois prochaines années. Les personnes interrogées soulignent même que les technologies intelligentes créeront de nouvelles opportunités pour leur travail (62 pour cent). "L'intelligence artificielle a le potentiel de stimuler davantage la croissance et l'emploi, en particulier dans les pays industrialisés. Mais les entreprises n'en profiteront que si elles utilisent la technologie de manière à ce que leurs collaborateurs puissent assumer de nouvelles tâches", explique Thomas D. Meyer, Country Managing Director d'Accenture Suisse. "Dans le monde du travail de demain, les hommes et les machines intelligentes travailleront en étroite collaboration. De nombreuses tâches pourront ainsi être mieux accomplies, car les capacités humaines seront soutenues par l'intelligence artificielle. Ce qui sera décisif pour le succès économique des entreprises, c'est de savoir si elles parviendront à qualifier leurs collaborateurs et à adapter les profils de poste actuels à la nouvelle donne".

Néanmoins, réticence à investir

Selon l'étude, près d'une entreprise sur trois (29%) a redéfini de manière significative les domaines d'activité et les descriptions de rôle des collaborateurs afin de s'adapter aux changements technologiques dans le travail quotidien. Selon les cadres, les descriptions de rôles fixes appartiendront bientôt au passé, car le travail sera à l'avenir beaucoup plus basé sur des projets et les nouvelles technologies exigeront l'acquisition permanente de nouvelles compétences. Dans ces conditions, les champs d'action définis de manière fixe et les routines de travail rigides sont des modèles dépassés.

Il est donc d'autant plus surprenant que les entreprises rechignent jusqu'à présent à investir des sommes importantes dans la préparation de leurs collaborateurs à ce nouveau monde du travail. Seuls trois pour cent prévoient des dépenses supplémentaires importantes pour la qualification du personnel au cours des trois prochaines années. En revanche, 67 pour cent des salariés et des indépendants interrogés estiment qu'ils doivent acquérir des compétences supplémentaires pour pouvoir exploiter pleinement le potentiel des technologies intelligentes dans leur travail quotidien. "Dans le monde du travail de demain, la machine ne dominera pas l'homme. Au contraire, les technologies intelligentes sont la clé pour des employés plus productifs, qui peuvent se débarrasser des tâches routinières et se consacrer à celles à plus forte valeur ajoutée", explique Thomas D. Meyer. "Les entreprises doivent investir dans la qualification de leur personnel dans leur propre intérêt, par exemple en utilisant les bénéfices supplémentaires générés par une plus grande efficacité. Elles s'assurent ainsi un avantage concurrentiel à long terme, car ce n'est que là où l'homme et la machine collaborent que la productivité continue d'augmenter et qu'une base est créée pour les modèles commerciaux du futur".

www.accenture.ch

Christian Hunziker est le nouveau directeur de swissICT

Avec Christian Hunziker, c'est une personnalité dirigeante disposant d'un excellent réseau dans le secteur des TIC et d'une large expérience dans le marketing et la vente qui reprend le destin de l'association suisse des TIC swissICT.

Christian Hunziker, nouveau directeur désigné de SwissICT. (Image : zVg)

Christian Hunziker est le nouveau directeur de SwissICT. L'association a trouvé en lui une personne disposant d'une vaste expérience : Hunziker a été pendant de nombreuses années membre de la direction d'entreprises TIC étrangères (notamment Sun Microsystems, Dell) et suisses (notamment ELCA). Il rejoint actuellement l'association en provenance de Comsoft direct AG, une filiale de Bechtle AG, et succédera dans le courant du printemps à Thomas Flatt, qui occupait ce poste à titre intérimaire depuis mars 2017.

Informaticien, directeur et lauréat du Swiss ICT Award

Le mathématicien EPF Hunziker travaille depuis plus de 25 ans dans le secteur suisse des TIC et a adopté différentes perspectives sur la branche grâce à ses expériences auprès des fournisseurs comme des utilisateurs et dans le channel. En tant qu'ancien développeur de logiciels, expert en entrepôts de données ainsi que directeur du marketing et des ventes et, en dernier lieu, directeur général, il connaît parfaitement les thèmes de la branche et de swissICT et a déjà été en contact avec l'association à plusieurs reprises. Entre autres avec le fabricant de logiciels ELCA en tant que finaliste du Swiss ICT Award 2008 et avec la distinction de Daniel Gorostidi, alors CEO d'ELCA, en tant que Champion People.

Christian Hunziker veut faire avancer la numérisation

Le professionnel de la vente et du marketing Hunziker veut poursuivre avec swissICT la voie qu'il a choisie et la stratégie de numérisation de l'association afin de la rendre encore plus attrayante pour les membres actuels et futurs. Pour ce faire, il fera avancer des projets tels que le renouvellement du Swiss ICT Award, la plateforme en ligne "Professions des TIC", l'initiative Life Long Learning, nos études indépendantes sur les salaires et les honoraires, mais aussi la relance du site Internet de swissICT.

Hunziker lui-même voit un grand potentiel dans swissICT : "J'ai moi-même pu profiter pendant de nombreuses années de la réussite de la place industrielle suisse des TIC. Je suis très heureux de pouvoir contribuer activement au développement de swissICT. Ce faisant, je souhaite non seulement accompagner nos membres sur la voie d'un avenir numérique, mais aussi numériser entièrement nos propres produits".

www.swissict.ch

CEO Survey : les top managers n'ont pas été aussi optimistes depuis longtemps

Les cadres supérieurs du monde entier sont plus optimistes que jamais depuis le début de l'enquête. En ce qui concerne leur propre entreprise, ils sont également positifs à court terme, mais un peu plus sceptiques à trois ans. Les CEO suisses sont préoccupés par la surréglementation, les cyber-attaques et le manque de personnel qualifié - surtout dans le domaine numérique.

"L'optimiste anxieux dans le bureau du coin" : tel est le titre de la 21e enquête de PwC sur les CEO. En revanche, il est positif : Les cadres supérieurs sont plus confiants que jamais en ce qui concerne la croissance économique mondiale. Ils sont plus sceptiques en ce qui concerne leur propre entreprise. (Image : PwC / 21st CEO Survey)

Les cadres supérieurs du monde entier se montrent plus optimistes que jamais : pour la première fois, la majorité des dirigeants d'entreprises interrogés dans le monde s'attendent à ce que la crise économique se poursuive. (57 %) que l'économie mondiale va croître au cours des douze prochains mois. C'est presque deux fois plus que l'année dernière (29%) - la plus forte augmentation jamais atteinte et en même temps le résultat le plus optimiste obtenu depuis le début de l'enquête. Le regard porté sur sa propre entreprise est légèrement plus sceptique : 42 % des CEO du monde entier ont déclaré être très confiants dans la croissance de leur propre entreprise au cours des douze prochains mois (38% l'année précédente). Par rapport à l'année précédente, l'inquiétude concernant le terrorisme (41%) et les cyber-attaques (40%) a presque doublé. C'est le résultat de l'enquête mondiale menée cette année pour le Global CEO Survey par la société d'audit et de conseil PwC, à laquelle ont participé 1.293 top managers de 85 pays. Les résultats de l'étude ont été publiés en amont du World Economic Forum WEF 2o18 à Davos.

Les dirigeants d'entreprises suisses s'attendent à une croissance soutenue

Pour les 12 prochains mois, 39 % des CEO suisses s'attendent à une croissance du chiffre d'affaires. En ce qui concerne les perspectives à trois ans, ils sont un peu plus réservés : 33 % des chefs d'entreprise suisses restent très confiants quant à la possibilité de réaliser une croissance dans leur propre entreprise au cours des 36 prochains mois. Urs Honegger, CEO de PwC Suisse, explique : "La confiance croissante dans l'économie mondiale est certainement positive. Mais en Suisse, on reste sceptique quant à la pérennité de cette croissance". Les top managers suisses s'inquiètent notamment de la surréglementation et de l'incertitude géopolitique. En ce qui concerne la numérisation, ils considèrent également les cyber-attaques, les nouveaux acteurs du marché ainsi qu'une disponibilité insuffisante des qualifications clés comme des menaces. "Les incertitudes concernant la numérisation en constante progression et le besoin de main-d'œuvre qualifiée qui en découle incitent les CEO à rester prudents quant à leur propre croissance à long terme", explique Urs Honegger. L'enquête montre en outre que la sensibilisation au thème de la cybersécurité a augmenté. "Les exemples actuels de Meltdown et Spectre confirment la menace des attaques de pirates informatiques pour les entreprises et les institutions gouvernementales. Une préparation adéquate à de telles attaques est essentielle et constitue l'un des grands défis pour le top management", conclut Urs Honegger.

Des cadres supérieurs socialement responsables ?

Conformément au thème du Forum économique mondial de cette année, la majorité des chefs d'entreprise ont déclaré vivre dans un monde fragmenté avec des économies multiples et fragmentées. Les PDG du monde entier voient une évolution vers des normes et des valeurs plus diversifiées (82%), des blocs commerciaux régionaux (73%), une montée du nationalisme (65%), des modèles économiques différents (60%) et une concurrence fiscale accrue (54%). Les doutes quant à l'influence positive de la mondialisation se sont également accrus. Ils les expriment en regardant l'équité dans la concurrence fiscale mondiale (49%), la lutte contre le changement climatique et la pénurie de ressources (50%) ainsi que le comblement du fossé entre les riches et les pauvres (41%). La majorité des CEO estime qu'il est nécessaire de mesurer la prospérité autrement que par des indicateurs financiers. La responsabilité sociale fait-elle donc de plus en plus son entrée dans les étages de tapis ? "Les résultats de l'enquête de cette année montrent que la mondialisation et le progrès technologique ont contribué à une augmentation de la productivité et de la prospérité de la population sur de nombreux marchés. Mais il y a aussi de nombreux marchés qui n'ont guère profité de cette évolution. Il en résulte un découplage entre les avantages économiques et sociaux, ce qui entraîne une perte de confiance et des différences au sein des sociétés et entre elles. En conséquence, il devient de plus en plus important pour les entreprises de garder à l'esprit les exigences sociales en plus des exigences financières. Les entreprises ne devraient donc pas seulement les mettre à l'ordre du jour du management, mais aussi les communiquer clairement en tant qu'objectif de l'entreprise et se laisser mesurer à cet égard", explique Honegger.

www.pwc.com

 

Nouveau CFO pour SAP Suisse

Thomas Schreitmüller prend dès à présent le poste de Chief Financial Officer (CFO) chez SAP (Suisse) SA. Il succède à Thomas Scherr, qui change de fonction au sein de SAP.

Thomas Schreitmüller est le nouveau CFO de SAP Suisse. (Image : Service de presse SAP)

Thomas Schreitmüller rejoint la direction de SAP Suisse en tant que nouveau CFO. Il dispose d'une riche expérience dans la gestion financière et le contrôle de gestion. Après avoir obtenu son diplôme en mathématiques économiques à l'Institut de technologie de Karlsruhe (KIT), il a acquis une précieuse expérience professionnelle dans le conseil en management. En 2008, il a rejoint SAP, où il a occupé différentes fonctions techniques et de direction au niveau mondial dans l'organisation des finances et du contrôle de gestion au siège de SAP en Allemagne. Lorsqu'il a rejoint SAP Suisse en 2013, il a d'abord pris la responsabilité de l'organisation du contrôle de gestion, avant de se voir confier deux ans plus tard les tâches supplémentaires de directeur commercial. Sous sa direction, SAP Suisse a pu enregistrer un grand nombre de trimestres d'activité réussis et développer de manière ciblée l'organisation commerciale dans le cadre de la transition numérique.

 

Dans ses différents postes d'expert et de direction, Thomas Schreitmüller a acquis de vastes connaissances sur une multitude de sujets et s'est continuellement perfectionné. Outre les thèmes financiers opérationnels et stratégiques, la comptabilité, la gestion des risques et la conformité, il suit avec passion l'innovation numérique dans la gestion des entreprises. "Je suis très heureux de mon nouveau rôle au sein de la direction de SAP Suisse. Il me tient particulièrement à cœur de montrer l'exemple et de rendre visible pour nos clients le rôle central du secteur financier dans la transformation numérique et l'évolution vers le "Best-Run Business"", explique Thomas Schreitmüller pour décrire sa motivation et ses objectifs.

Thomas Schreitmüller (39 ans) vit près de Zurich, est marié et père de deux fils. Il aime passer son temps libre en famille. En voyage, il s'intéresse à la découverte de pays et de cultures étrangers. En outre, il aime pratiquer activement le sport et est un spectateur passionné de nombreuses disciplines sportives.

Le groupe Schibli est le lauréat du Prix SVC Wirtschaftsraum Zürich 2018

Le 18 janvier 2018, le Swiss Venture Club (SVC) a récompensé pour la sixième fois des petites et moyennes entreprises (PME) exemplaires de la région en leur décernant le Prix SVC Wirtschaftsraum Zürich. La gagnante du prix de cette année est le groupe Schibli de Zurich.

Le gagnant du Prix SVC Espace économique Zurich 2018, Jan Schibli, CEO du groupe Schibli, à gauche, se réjouit de son premier prix lors de la remise des prix le jeudi 18 janvier 2017 au Hallenstadion de Zurich. (PPR/Manuel Lopez)

Six lauréats ont pu s'imposer face à des centaines d'entreprises de la région au cours d'un processus de sélection en plusieurs étapes et se présenter à plus de 2 200 invités au Hallenstadion de Zurich. Cette année, c'est le groupe Schibli de Zurich qui a finalement remporté la course. Le groupe Schibli propose des services complets dans les domaines de l'électrotechnique, de la technique du bâtiment, de l'automatique, de la communication et de l'informatique. La deuxième place est revenue à Reichle & De-Massari AG de Wetzikon, leader du marché suisse des réseaux de communication de haute qualité. La troisième place a été attribuée à Transa Backpacking AG de Zurich, spécialiste de l'équipement de plein air. Meister Abrasives AG d'Andelfingen, Pumpstation Gastro GmbH de Zurich et QUALIPET AG de Dietlikon ont également été récompensés.

Première place pour le groupe Schibli de Zurich

L'entreprise familiale dirigée par la troisième génération du CEO Jan Schibli réunit avec succès des prestations de services complètes dans les domaines de l'électrotechnique, de la technique du bâtiment, de l'informatique, de la communication et de l'automatique. Avec 15 sites en Suisse et un à Dresde (D) et environ 500 collaborateurs, dont 90 apprentis, Schibli offre à ses clients tout ce dont ils ont besoin, de l'installation électrique à l'infrastructure informatique ou aux solutions cloud sur mesure, en passant par les systèmes intelligents de domotique ou de vidéosurveillance. Le succès de son positionnement sur le marché s'accompagne de l'obtention du très convoité Prix SVC Wirtschaftsraum Zürich. Michael Steinmann, président du jury composé de 16 experts, rend hommage au vainqueur fraîchement élu dans son éloge : "Le groupe Schibli est une perle entrepreneuriale qui représente bien plus que l'électrification d'appartements et de maisons zurichoises". Et de poursuivre : "Sens des affaires, sens de la famille, encouragement des talents et respect des ambitions individuelles des collaborateurs : C'est la recette de l'entreprise familiale qui nous a fortement impressionnés, nous les membres du jury".

Reichle & De-Massari et Transa Backpacking AG en deuxième et troisième position

La deuxième place revient à l'entreprise familiale suisse Reichle & De-Massari (R&M). "R&M est une histoire de transformation et de croissance réussie dans un marché d'avenir hautement compétitif", comme l'a souligné le président du jury Michael Steinmann dans son éloge. Reichle & De-Massari développe des solutions de câblage complètes pour des réseaux de communication de données de haute qualité dans les immeubles de bureaux et les centres de données, pour l'industrie et dans les télécommunications. Leader sur le marché suisse, Reichle & De-Massari est désormais présent dans plus de 40 pays et dispose de ses propres organisations de marché sur six continents. L'entreprise emploie 920 personnes dans le monde, dont 250 en Suisse, et est dirigée par le CEO Michel Riva.

Le bronze a été remporté par Transa Backpacking AG, le principal fournisseur d'équipements de voyage et de plein air en Suisse. L'entreprise est présente sur le marché depuis 40 ans et propose aujourd'hui plus de 33'740 produits de 521 marques différentes dans dix filiales et outlets. En plus d'un conseil qualifié, Transa mise, avec ses 320 collaborateurs et 19 apprentis, sur l'expérience personnelle et l'apport de l'expérience de l'outdoor. Avec une offre de services complète, des cours pour les utilisateurs et des installations de test, Transa propose à ses clients, sous la direction de son CEO Daniel Humbel, un ensemble de prestations complet autour de multiples activités de voyage et de plein air.

Distinctions pour Meister Abrasives AG, Pumpstation Gastro GmbH et Qualipet AG

Ont également été récompensés Meister Abrasives AG d'Andelfingen, leader mondial des processus de fabrication grâce à des outils de ponçage hautement productifs, l'entreprise de restauration à succès Pumpstation Gastro GmbH de Zurich ainsi que QUALIPET AG de Dietlikon, leader du marché suisse des produits pour animaux domestiques.

L'organisme responsable et l'initiateur du Prix SVC est le Swiss Venture Club, une association indépendante à but non lucratif visant à promouvoir et à soutenir les PME en Suisse. Steven Himmelsbach, responsable régional SVC de l'espace économique zurichois, souligne : "Nous récompensons des entreprises qui font partie de l'élite des PME en Suisse. Notre regard se porte sur des entreprises exemplaires qui créent des emplois et contribuent à façonner l'économie suisse. Avec le Prix SVC, nous offrons à ces entreprises une plate-forme qui leur permet de montrer leur succès à l'extérieur. Enfin, l'attention portée à nos lauréats par le Prix SVC doit être une source d'inspiration pour d'autres entreprises".

www.swiss-venture-club.ch

 

L'alliance pour l'éducation aux technologies de l'information pour lutter contre la pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans le domaine des technologies

L'Institut pour la formation et le perfectionnement professionnels (IBAW), fondé en été 2017 par la coopérative Migros Lucerne, s'engage avec Microsoft Suisse dans une alliance de formation contre la pénurie de spécialistes en technologie et pour le renforcement du système de formation dual en Suisse.

Ensemble contre la pénurie de personnel qualifié en technologie : Marc Weder, responsable des clients de formation chez Microsoft Suisse (à gauche) et Michael Achermann, directeur de l'Institut pour la formation et le perfectionnement professionnels. (Image : Microsoft / IBAW)

D'ici 2025, la Suisse aura besoin de plus de 25 000 spécialistes supplémentaires dans le domaine de l'informatique, selon l'étude de la Formation professionnelle TIC Suisse est pronostiquée. Pour contrer cette évolution, il est urgent d'investir dans la formation initiale mais aussi dans les formations continues dans le domaine de l'informatique. L'alliance de formation entre Microsoft Suisse et l'Institut pour la formation et le perfectionnement professionnels (IBAW) de Migros Lucerne a donc pour objectif de former et de perfectionner ensemble, d'ici 2021, plus de 1'500 spécialistes, des architectes cloud, des analystes de données, des informaticiens de gestion aux programmeurs et aux techniciens système et réseau. Cette alliance n'est pas totalement désintéressée, car Microsoft a également tout intérêt à réduire la pénurie de personnel qualifié dans le domaine de la technologie. Le partenariat avec l'IBAW fait donc partie de l'engagement du groupe pour la Suisse. Marc Weder, responsable des clients de formation chez Microsoft Suisse, est convaincu de l'importance de l'alliance de formation : "Les offres innovantes de l'IBAW pour les spécialistes IT, par exemple la nouvelle formation Data Scientist NDK ES, ainsi que les formations spéciales pour les enseignants dans l'utilisation des outils numériques contribuent de manière importante à la réduction du manque de personnel qualifié et ainsi au renforcement de l'espace économique et de vie suisse".

L'Institut für berufliche Aus- und Weiterbildung (IBAW) propose aux particuliers et aux entreprises/institutions, sur différents sites de Suisse alémanique, des offres de formation de haute qualité et proches de la pratique dans le domaine de la formation professionnelle supérieure "Informatique". Huit filières d'études et différents séminaires sont actuellement disponibles. En plus de l'offre de formation continue, on investit désormais aussi dans l'amélioration de la qualité de la formation. Les formations et formations continues existantes à l'IBAW sont enrichies par des certifications de fabricants comme le MCSE (Microsoft Certified Solutions Expert). Les médias d'apprentissage numériques les plus récents, par exemple les pépites d'apprentissage animées ou les séquences d'apprentissage VR, sont conçus et intégrés dans la formation. Michael Achermann, directeur de l'IBAW, à propos de la collaboration : "En tant que leader technologique, Microsoft est pour nous le partenaire idéal pour adapter nos offres de formation continue aux besoins actuels et futurs des entreprises : Nous mettons ainsi à la disposition de nos étudiants des formes et des méthodes d'enseignement ultramodernes et développons de nouveaux outils, tels que les environnements d'apprentissage Mixed Reality/Hololens ou le Machine Learning, pour un enseignement varié et réussi".

Plus d'informations :

www.microsoft.com/education

www.ibaw.ch

Symposium alpin 2018 : beaucoup de philosophie, de politique - et une rock star

Le Symposium alpin 2018 a de nouveau attiré plusieurs centaines d'invités à l'hôtel Victoria Jungfrau d'Interlaken les 16 et 17 janvier. Des intervenants tels qu'Anders Indset, Joachim Gauck, Peer Steinbrück ou Bruce Dickinson ont donné matière à réflexion et à illustration.

Pas une rock star, mais un philosophe : Anders Indset a mis en garde contre une "explosion de l'intelligence" lors du Symposium alpin 2018. (Images : Thomas Berner)

L'homme sera-t-il un jour obsolète ? Cette vision plutôt sombre de l'avenir pourrait bien devenir un jour réalité, estime le philosophe économique norvégien Anders Indset. Il met en garde contre une sous-estimation de la vitesse des développements technologiques. "Cette année encore, l'informatique quantique fera une percée", prédit Indset. "Il y aura une explosion de l'intelligence, dans trois à cinq ans, nous aurons des machines avec un QI équivalent à celui des adultes", prévoit-il. L'intelligence artificielle (AI) deviendra l'intelligence générale artificielle (AGI). Nous devrions avoir du respect pour la vision d'un "homo obsoletus", a averti Indset, appelant les auditeurs à devenir eux-mêmes des acteurs du changement afin de ne pas être simplement livrés à lui. Il n'est pas acceptable que les algorithmes deviennent les nouvelles autorités.

Pour une bonne vie

Les interventions de Rolf Dobelli et Mahsa Amoudadashi portaient plutôt sur les "petites choses". Mahsa Amoudadashi a plaidé lors du Symposium alpin 2018 pour plus de cordialité dans les relations avec les clients et les collaborateurs. Mais cela ne s'apprend pas, il faut d'abord "éveiller" l'enthousiasme par l'exemple. Rolf Dobelli a quant à lui donné quelques idées pour une "bonne vie", comme par exemple : Dire plus souvent "non", faire preuve de plus de modestie ou arrêter de toujours se comparer aux autres.

Joachim Gauck, ancien président allemand : "Une civilisation robuste" comme objectif.

L'Europe : la réponse au 21e siècle

L'ancien président allemand Joachim Gauck a également adopté un ton calme. Il voit dans la montée du populisme un défi, mais souhaite un peu plus de sérénité, un "antihistorique", selon ses propres termes. Il faut donner aux peurs légitimes des gens la possibilité de s'exprimer. Pour y répondre, il faut un langage accueillant et simple. Mais il ne faut pas laisser ce terrain aux populistes. Car leurs recettes sont trop séduisantes. La politique est plutôt appelée à simplifier elle-même par la communication les processus de plus en plus complexes de manière "éclairante". Joachim Gauck est convaincu que grâce à une "civilité robuste", un discours civil correspondant est toujours possible.

Peer Steinbrück : Les problèmes ne peuvent plus être résolus au niveau national.

Le deuxième "poids lourd politique" du Symposium alpin 2018 était l'ancien ministre allemand des Finances, Peer Steinbrück. Lui aussi a mis en garde contre la montée du populisme, tout en précisant qu'un "repli sur soi" n'était pas la bonne stratégie. "Aucun problème ne peut plus être résolu uniquement au niveau national", a déclaré Steinbrück. L'Europe est certes extrêmement sollicitée par le Brexit, les problèmes financiers ou démographiques et les incertitudes de la politique des grandes puissances comme les États-Unis ou la Russie. Mais cette même Europe est la seule bonne réponse au 21e siècle. Et où voit-il la Suisse dans cette Europe ? Il faut notamment résoudre le problème de la libre circulation des personnes.

Star du rock et homme d'affaires

Le thème du Symposium alpin de cette année était "Plan B". Bruce Dickinson a de nombreux "plans B" de ce type. Chanteur du groupe britannique de heavy metal "Iron Maiden", Dickinson est aussi un homme d'affaires avisé. Son groupe et sa musique ne sont pas les seuls éléments incontournables du genre rock. En tant que pilote - il pilote lui-même un Boeing 747 avec tout l'équipement du groupe d'un concert à l'autre - il a également fondé plusieurs entreprises de maintenance aéronautique et géré une compagnie aérienne complète, Air Djibouti. Dans l'esprit de la "diversification", Bruce Dickinson est également brasseur de bière et fabricant de montres.

Rock star et homme d'affaires : Bruce Dickinson, chanteur d'"Iron Maiden" et entrepreneur dans le domaine de l'aviation.

Nouveaux environnements de travail, émotions et humour

Les deux sœurs Melati et Isabel Wijsen ont également fait des apparitions impressionnantes et émotionnelles. En tant qu'écolières à Bali, elles ont lancé avec l'organisation "Bye Bye Plastic Bags" une initiative contre l'immense pollution des mers et des plages par les déchets plastiques. Leur prestation rafraîchissante leur a permis de gagner le cœur du public lors du Symposium alpin 2018. Samuel Koch, quant à lui, a évoqué son retour à la vie, qui avait complètement changé après son grave accident devant les caméras de l'émission télévisée "Wetten, dass... ?". Même chose pour Michel Fornasier : il est venu au monde sans main droite. Grâce à sa prothèse de main bionique "iLimb Ultra Revolution", il se déplace néanmoins à deux mains et montre par cet exemple les possibilités de la robotique. La professeure bernoise Kathrin Altwegg a parlé de la mission de la sonde spatiale "Rosetta" auprès de la comète Tchouri-Gerassimov. Et l'entrepreneur Viktor Calabrò a montré comment des formes nouvelles et plus flexibles de relations de travail peuvent apporter de nouveaux avantages à l'économie. Roman F. Szeliga, médecin, manager, auteur et clown en clinique, ainsi que l'artiste de cabaret Florian Schroeder ont provoqué de nombreux rires dans le public.

Ils ont montré que même les jeunes peuvent faire bouger les choses : Melati et Isabel Wijsen et leur programme environnemental "Bye Bye Plasticbags".

www.alpensymposium.ch

 

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