Une communication interne inefficace : un gouffre à milliards pour les entreprises
Jusqu'à présent, le multimédia pour la communication interne est rarement présent dans la plupart des entreprises. Une erreur, comme le montrent les résultats d'une nouvelle étude de TechSmith : Les conséquences seraient une baisse de la motivation des collaborateurs et des pertes de productivité se chiffrant en milliards.
Rédaction
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20 juin 2018
Communication interne : l'utilisation fréquente de vidéos, d'images et de graphiques augmente la productivité des collaborateurs. (Image : TechSmith)
E-mails, instructions écrites et autres déserts de textes : bienvenue dans la vie professionnelle prétendument moderne. Une étude récente de TechSmith en collaboration avec le Centre de recherche sur l'économie et les affaires confirme que, malgré la numérisation croissante et les technologies modernes, la communication interne de la plupart des entreprises relève encore de la naphtaline. Des contenus multimédias ? Plutôt un phénomène marginal. Conséquences : baisse de la motivation et perte de temps.
La preuve scientifique : visuel = efficace
Dans le cadre de cette étude représentative, 4.600 employés de bureau de six pays (dont plus de 1.000 de la région DACH) ont été interrogés sur la communication et la transmission d'informations sur leur lieu de travail. En outre, le traitement des informations a été étudié dans des conditions scientifiques avec plus de 100 sujets. Deux tiers (67 %) des participants ont pu effectuer les tâches demandées plus rapidement et de manière plus fiable lorsqu'ils recevaient des captures d'écran, des screencasts ou des vidéos au lieu d'instructions purement textuelles pour se préparer. En outre, ils étaient plus motivés que les collaborateurs qui n'avaient reçu que des instructions textuelles.
La pratique : un potentiel inexploité
Les entreprises ont donc tout à gagner à remplacer ou du moins à compléter les méthodes traditionnelles de transmission des informations par des outils modernes et visuels. Mais dans la pratique, cela se fait rarement : A peine un quart (22%) des personnes interrogées ont indiqué que les éléments visuels jouaient un rôle accru dans la communication au sein de leur entreprise.
La communication interne : un gouffre à milliards pour l'économie
La perte de temps qui en résulte pour chaque employé s'élève en moyenne à 33 minutes au cours d'une semaine de travail normale. Selon l'étude, les entreprises pourraient réduire cette perte de temps en intégrant davantage d'éléments visuels - images, graphiques ou vidéos - et obtenir ainsi une productivité nettement plus élevée : Sur une année, cela correspond à une différence de plus de 1.000 euros (plus de 1.200 dollars américains) par employé.
Dans les régions étudiées, une augmentation moyenne du produit intérieur brut de 0,52 pour cent serait possible - ce qui correspond à un gain de plus de 142 milliards d'euros (167 milliards de dollars américains). Pour la région DACH en particulier, une augmentation moyenne de 0,48 % du produit intérieur brut serait possible, soit plus de 20 milliards d'euros (23 milliards de dollars américains).
Aperçu des six régions interrogées
Région
Augmentation possible du PIB
Gain potentiel de PIB
UK
0.59%
16 579 milliards de dollars américains
Australie
0.55%
6,527 milliards de dollars américains
Canada
0.55%
8 961 milliards de dollars américains
ÉTATS-UNIS
0.52%
97 298 milliards de dollars américains
France
0.49%
13 583 milliards de dollars américains
DACH
0.48%
23,848 milliards de dollars américains
"Si l'on considère que bien plus de la moitié du cerveau humain est conçue pour traiter des stimuli visuels, il n'est pas surprenant que l'utilisation d'éléments visuels dans la communication d'informations et d'idées améliore considérablement la productivité des individus", a déclaré Wendy Hamilton, PDG de TechSmith. "On peut tirer deux types de conclusions de cette étude : Premièrement, les éléments visuels jouent un rôle encore plus important dans la compréhension qu'on ne le pensait auparavant. Deuxièmement, les entreprises ont un rôle à jouer dans ce domaine - elles doivent s'orienter davantage vers les besoins des collaborateurs et tenir compte des conséquences économiques".
Innovation récompensée : "Golden Idea Award 2018" pour un système de défense contre les drones
L'entreprise Droptec de Coire a réussi à développer un système de défense contre les drones à courte portée. L'entreprise a maintenant l'intention de distribuer ce produit prêt à être commercialisé aux forces de sécurité officielles en Suisse et à l'étranger. L'entreprise de Coire se verra décerner le 40e "Golden Idea Award 2018" par IDEE-SUISSE, la société suisse de gestion des idées et des innovations, le 25 juin 2018 au centre de formation ZAC Meiersboden de Coire pour son système de défense inédit.
Rédaction
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20 juin 2018
Un nouveau système de défense permet d'éliminer du ciel les drones indésirables. (Photo : www.droptec.ch)
Le marché mondial des drones civils ne cesse de croître depuis des années. Les drones deviennent à la fois moins chers et plus performants. Mais aussi passionnante et innovante que soit cette nouvelle technologie, elle recèle malheureusement aussi de nouveaux dangers, car des forces destructrices utilisent de plus en plus souvent ces nouvelles possibilités d'utilisation. Qu'il s'agisse de tentatives de contrebande dans les prisons, d'espionnage de bâtiments ou d'installations critiques pour le système ou même d'attentats avec des drones chargés d'explosifs, le potentiel d'abus de ces appareils est énorme.
Les dangers potentiels des drones
En raison de l'augmentation rapide des ventes de petits drones et de l'accroissement du potentiel de danger qui en découle, l'entreprise Droptec de Coire a développé, sur l'intention de la police cantonale grisonne, un système de défense contre les drones appelé "Dropster" pour la zone proche. Le Dropster est un système de défense contre les drones au format pistolet, qui peut tirer un filet résistant à la déchirure jusqu'à une distance de 50 m à l'aide d'une cartouche à blanc. Il permet aux forces de police et de sécurité de capturer des petits drones pesant jusqu'à 30 kg en cas d'abus et de les faire tomber du ciel. Pour les établissements pénitentiaires en particulier, le Dropster offre ainsi la possibilité de combler une lacune non négligeable en matière de sécurité. Pour cela, la jeune entreprise se verra décerner cette année le très convoité "Golden Idea Award" par IDEE-SUISSE, la société suisse pour la gestion des idées et des innovations.
Un grand potentiel de marché
C'est avec fierté que les trois fondateurs de l'entreprise recevront le prix au centre de formation de la protection civile de Coire, Meiersboden. "Ce qui compte pour nous, c'est qu'avec notre Dropster, nous pouvons mettre à la disposition des forces de sécurité un outil qui leur permet, en cas d'urgence, d'avoir une mesure en main pour éviter le pire", explique Tom Lardelli, responsable du marketing et des ventes de la société Droptec. Outre la production et la vente, Droptec propose également à ses clients des formations sur la manipulation et l'utilisation du Dropster. Les participants y apprennent à reconnaître le danger d'un drone et à réagir en cas d'urgence. L'énorme écho positif du produit a incité l'entreprise à s'implanter sur le marché international de la défense contre les drones. Le lanceur de réseau de Coire est déjà utilisé par les forces de police, les prisons et les services secrets étrangers, et Droptec voit un grand potentiel de marché, en particulier à l'étranger. Ceci d'autant plus qu'il existe certes des produits comparables sur le marché, mais ils sont trop chers à l'achat ou ne peuvent être utilisés que par des spécialistes.
Simsa et Swico : la fusion est désormais "officielle
Le 18 juin, les membres de Simsa et de Swico réunis à Zurich ont donné leur feu vert à la fusion des deux associations. Les deux organisations proposent ainsi à leurs 600 membres une offre de services plus large et une plus-value sensible, augmentent leur force de frappe politique et contribuent à un paysage associatif plus compact.
Rédaction
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19 juin 2018
La Simsa et la Swico ont désormais officiellement fusionné. Les membres des deux associations ont approuvé la fusion.
Comme précédemment à rapporté iciAu printemps 2018, les organes de direction de Simsa et de Swico ont décidé de fusionner les deux organisations. Les comités directeurs des deux associations ont signé un contrat de fusion qui devait maintenant être ratifié le 18 juin 2018 dans le cadre de deux assemblées générales distinctes. Lors des deux assemblées, la majorité des ¾ requise par la loi sur les fusions a été largement dépassée. Plus rien ne s'oppose donc à la fusion.
Le comité directeur de Swico se renforce
La nouvelle organisation reprend sans changement toutes les activités de Simsa et de Swico et opère sous le nom de Swico. Du côté de Simsa, elle intègre notamment le Code of Conduct Hosting et le Collaboration Framework ainsi que les filières de formation comme le Web Project Manager avec diplôme fédéral. Swico apporte entre autres son Issue Management complet, son programme de démarrage ainsi que la solution de branche pour la sécurité au travail et la protection de la santé. Les 600 entreprises membres auront toutes accès à un portefeuille de prestations de membres fortement élargi, comme l'indique le dernier communiqué de presse. Deux anciens représentants de Simsa siègent au nouveau comité directeur de Swico. Le président actuel de Simsa, Andrej Vckovski, CEO de Netcetera, ainsi que Nadja Perroulaz, cofondatrice et présidente du conseil d'administration de Liip, ont été nouvellement élus.
Création de nouveaux organes spécialisés
Un comité spécialisé pour le domaine de l'hébergement, dirigé par Claudius Röllin, cofondateur de Hostpoint, et un autre pour les agences web, dirigés conjointement par Imre Sinka, CEO de Dotpulse et Maximilian Plank, CEO d'Omento, viennent d'être créés. Dans le cadre de Swico, les deux comités spécialisés traiteront de manière autonome et avec leur propre budget les projets et les enjeux de ces deux segments de membres et développeront leurs propres activités, comme le font déjà d'autres comités spécialisés de Swico.
Le président de Swico, Andreas Knöpfli, se montre convaincu : "Cette fusion renforcera de manière décisive le secteur des TIC et de l'économie en ligne. Nous donnons ainsi un signal clair contre la fragmentation du paysage associatif et pourrons à l'avenir défendre encore plus efficacement les intérêts de nos membres sur la scène politique". L'ancien président de la Simsa et nouveau membre du comité directeur de la Swico, Andrej Vckovski, y voit un grand potentiel : "Ensemble, nous atteignons une masse critique et obtenons ainsi nettement plus d'impact pour notre branche. En même temps, les deux organisations peuvent beaucoup apprendre l'une de l'autre".
La fusion sera formellement réalisée le 30 juin 2018. La fusion au quotidien devrait durer jusqu'à fin 2018.
Enquête : Tendances en matière de sécurisation des bases de données dans les PME suisses
Actuellement, Monika Stucki, étudiante à la HTW de Coire, travaille sur sa thèse de master intitulée "Tendances dans la sécurisation des bases de données dans les PME suisses". Une enquête auprès des PME suisses doit servir de base à cette étude. Participez - remplir le questionnaire ne prend que 5 minutes environ.
Rédaction
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18 juin 2018
Une enquête doit rassembler du matériel statistique sur le thème "Tendances dans la sécurisation des bases de données". (Image. Fotolia.com)
Outre les opportunités, la progression de la numérisation comporte également des risques et place les PME suisses devant de grands défis. Les données, un capital important pour de nombreuses entreprises, sont particulièrement concernées. Les incidents de fuite de données enregistrés ces derniers mois le prouvent également. Mais par où faut-il commencer pour protéger les données ? Dans le cadre d'une thèse de master, nous examinons dans quelle mesure les PME suisses se préoccupent de la protection spécifique des bases de données. Il s'agit notamment de savoir si les PME suisses sont conscientes des dangers qui menacent les bases de données et si elles disposent des connaissances nécessaires pour les protéger.
L'enquête s'adresse aux responsables informatiques et des bases de données dans les PME suisses et a pour but de déterminer les tendances en matière de sécurisation des bases de données. La réalisation est entièrement anonyme et sera adaptée au nouveau RGPD. En outre, après l'évaluation de l'enquête et la finalisation du mémoire de master, les résultats seront mis à disposition sous forme de résumé sur un site web créé à cet effet.
Great Place to Work Europe : 11 entreprises suisses récompensées
Le 14 juin 2018, les "meilleurs employeurs d'Europe" ont été récompensés à Athènes. La Suisse y est représentée avec succès par 11 entreprises primées - parmi lesquelles se trouvent aussi bien des entreprises suisses que des sites suisses d'entreprises internationales.
Rédaction
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15 juin 2018
Après avoir remporté trois fois le prix suisse Great Place to Work Award, UMB est distinguée pour la deuxième fois, après 2016, comme meilleur employeur suisse en Europe. (Image : zVg UMB SA)
Au total, 2 800 entreprises de 19 pays européens ont participé au concours visant à promouvoir une qualité de travail bonne et attractive et se sont volontairement mises au banc d'essai. Plus de 1,6 million de salariés ont été interrogés par Great Place to Work sur la qualité et l'attractivité de leur entreprise en tant qu'employeur. L'accent a été mis sur des thèmes tels que le leadership, l'innovation, l'inclusion, la culture organisationnelle et la confiance. Les responsables d'entreprise ont également répondu à des questions sur la qualité, la diversité et la durabilité des mesures et des instruments de leur gestion du personnel.
Récompenses dans quatre catégories
Les entreprises se sont qualifiées pour le concours général européen par le biais des concours nationaux. concours Great Place to Work. Quatre catégories différentes ont été distinguées : entreprises internationales, petites, moyennes et grandes entreprises nationales. Les prix récompensant une qualité et un attrait particuliers en tant qu'employeur sont décernés chaque année depuis 2003. Les 36 meilleurs employeurs de Suisse ont déjà été récompensés en mai de cette année à Zurich. Parmi ces gagnants suisses, 11 entreprises ont maintenant pu être élues "Best Workplaces in Europe 2018″.
Les gagnants de Suisse
Dans la catégorie "Meilleurs employeurs d'Europe - Entreprises multinationales", les entreprises suivantes, actuellement également primées en Suisse, sont représentées :
Cisco à la cinquième place,
AbbVie à la 6e place,
SAS Institute à la 7e place,
Amgen à la 12e place,
Bristol-Myers Squibb à la 14e place,
DHL Express à la 18e place,
Novo Nordisk à la première place
SC Johnson à la 22e place
ainsi que Phoenix Contact à la 25e place.
Les entreprises suivantes, dont le siège est en Suisse, se sont également placées avec succès :
dans la catégorie de taille "Meilleurs employeurs d'Europe - Entreprises de moins de 50 salariés" L'entreprise suisse gagnante, Rackspace, est arrivée en 5e position pour l'Europe.
Dans la catégorie de taille "Meilleurs employeurs d'Europe - Entreprises de 50 à 500 employés", l'entreprise suisse gagnante, UMB AG, s'est classée sixième parmi toutes les entreprises d'Europe.
L'UMB SA est ainsi le meilleur employeur suisse d'Europe. "Le fait que nous soyons désormais le triple meilleur employeur suisse et que nous ayons atteint une sensationnelle 6e place à l'échelle européenne sur plus de 2800 entreprises évaluées est un autre point fort de l'histoire de notre réussite", se réjouit Matthias Keller, CEO & propriétaire de l'UMB SA.
Quand une petite entreprise ose quelque chose de grand avec SAP
75 jours de délai d'exécution. C'est ce que Pi2Process AG a demandé à GIA Informatik AG pour mettre en place un système SAP complet. L'entreprise internationale de sous-traitance de composants mécaniques et d'appareils entiers a remporté le Quality Award pour ce projet informatique.
Rédaction
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15 juin 2018
Pietro Pignatiello, CEO de Pi2Process AG, sur l'écran SAP. Le modèle "gia//fertigung" est omniprésent : Pietro Pignatiello travaille sur la saisie standardisée simplifiée de la base de données articles SAP de GIA. (Image : zVg GIA / Pi2Process)
Supposons que vous rencontriez régulièrement un produit au cours de votre vie et que vous connaissiez ses avantages : L'utiliseriez-vous alors dans votre propre entreprise ? Il n'a pas hésité une seconde : Pietro Pignatiello, propriétaire et CEO de Pi2Process AG. La PME de 20 collaborateurs à Freienbach, née en septembre 2016 d'un règlement de succession, fabrique des composants mécaniques principalement en aluminium, métaux non ferreux, plastique et assemble des sous-ensembles jusqu'à des appareils entiers. Ces derniers sont livrés en Suisse, outre-mer et en Asie. Elle est en outre le seul fournisseur en Suisse à s'être spécialisé dans la fabrication additive hybride 3D, une nouvelle dimension de l'impression 3D. "Au cours de mon long parcours professionnel, j'ai déjà dirigé cinq ERP-pour la première fois. Pour ma propre entreprise, j'ai opté pour SAP, car c'est la seule solution qui garantit des processus standard éprouvés et une petite entreprise n'a pas le temps de les remettre en question", explique Pietro Pignatiello. Seuls des processus standardisés permettent un traitement rapide et efficace. En tant qu'homme d'action, il a également rebaptisé son entreprise nouvellement acquise, l'a orientée de manière conséquente vers les processus et a opté pour un nouveau site afin de mieux mettre en œuvre l'idée de processus dans le flux de matériel ainsi que dans la manière de travailler avec le parc de machines.
Gestion de projet et un modèle SAP
Quelques jours seulement après avoir repris l'entreprise, Pietro Pignatiello a commencé à travailler avec la Fournisseur de services informatiquesin GIA Informatik AG d'Oftringen. Pourquoi n'a-t-il pas effectué d'évaluation ERP à proprement parler ? "Mon évaluation était mon parcours professionnel. GIA et moi avions déjà été en contact à plusieurs reprises par le passé. J'ai été convaincu par la communication ouverte, la confiance mutuelle, le chef de projet compétent et les personnes qui se cachaient derrière. De plus, je savais que l'entreprise disposait avec 'gia//fertigung' d'un modèle de PME éprouvé avec des processus de bonnes pratiques de SAP".
Pietro Pignatiello dans son atelier de production devant diverses machines CNC : "Avec SAP, nous assurons un traitement rapide et une grande transparence". (Image : zVg GIA / Pi2Process)
Le projet de 75 jours
En seulement 75 jours, GIA devait mettre en place SAP ERP on HANA "à partir d'une prise de courant". Est-ce possible ? Pour une si petite entreprise ? "Avec l'aide de Pietro Pignatiello, nous avons veillé dès le début à respecter rigoureusement les normes SAP et à mettre en place une gestion de projet allégée pour les PME, avec des phases définies avec précision", explique Thomas Burkhardt, Account Manager GIA Informatik AG. "En septembre 2016, nous avons installé le système dans notre centre de données et déployé notre modèle". Parallèlement, GIA a élaboré le concept métier Delta, dans lequel sont consignés les écarts par rapport aux processus standard SAP. Ensuite, nous sommes passés à la phase de réalisation avec la formation des utilisateurs et la reprise des données. Fin décembre 2016, le "go-live" a eu lieu - juste dans les délais impartis.
Les nouveaux processus comme inconnus
L'une des difficultés résidait dans le fait que les collaborateurs devaient maîtriser les nouveaux processus SAP en peu de temps. Que faire ? Dès le début, Pietro Pignatiello a suscité l'enthousiasme de ses employés pour la voie qu'ils avaient choisie. Il a toujours été à leurs côtés, les a formés en permanence et a ainsi atténué leur peur de l'inconnu. "Alors qu'auparavant, l'improvisation et l'agitation étaient surtout à l'ordre du jour dans mon entreprise, la standardisation et la structure de SAP ont alors pris tout leur sens", explique Pietro Pignatiello.
Une grande utilité pour une petite entreprise
Cet exemple montre que SAP fonctionne aussi dans les petites entreprises. Pietro Pignatiello : "Nos clients, des PME de 200 à 1000 collaborateurs, travaillent souvent eux-mêmes avec SAP. C'est pourquoi ils apprécient beaucoup l'échange d'égal à égal. Ils savent que SAP est un garant de compétence professionnelle, qu'il est standardisé, transparent et traçable. La confiance dans ces qualités est palpable". Les investisseurs comme les banques se montrent également heureux d'avoir un partenaire disposant d'un système ERP actuel, car les chiffres clés de l'entreprise affichés peuvent être présentés à tout moment de manière transparente.
Pietro Pignatiello, CEO de Pi2Process AG, et Thomas Burkhardt, Account Manager de GIA Informatik AG, en discussion sur la nouvelle technologie de fabrication additive hybride 3D. (Image : zVg GIA / Pi2Process)
Conseils pour les autres entreprises
Quels conseils Pietro Pignatiello donne-t-il aux autres PME qui s'interrogent sur l'ERP ?
Même en tant que PME, investissez dans un système ERP professionnel. Si vous faites le calcul, y compris les avantages des processus sur toute la durée de vie, presque chaque prix se relativise fortement.
Adoptez dès le départ une approche pragmatique. Investissez votre argent dans une solution ERP standardisée et surtout cohérente comme SAP. Car l'état actuel est un non-objectif ; le chemin est l'objectif. Ainsi, une évaluation formelle, coûteuse et chronophage, n'est pas nécessaire.
SAP dispose de processus standard intégrés de haut niveau pour l'ensemble du processus de création de valeur et des flux financiers. Comptez sur eux.
Misez sur un partenaire aux compétences professionnelles et humaines. Ce n'est que lorsque vous parlez la même langue qu'un tel plan peut fonctionner.
Récompense avec le Quality Award
Ce projet SAP a posé de nouveaux jalons. C'est pourquoi l'entreprise schwytzoise a remporté au printemps 2017 le SAP Quality Award dans la catégorie "Fast Delivery". "Ensemble, nous avons prouvé qu'en adoptant la bonne attitude, nous étions en mesure de réaliser un tel projet avec succès et en toute simplicité", explique Thomas Burkhardt.
Actuellement, Pi2Process affine et entraîne les processus standard afin de pouvoir, par exemple, planifier les capacités de manière encore plus précise. De plus, de nombreuses autres automatisations sont à l'ordre du jour. "Nous assurons ainsi une transparence interne encore meilleure et un traitement encore plus rapide", souligne Pietro Pignatiello.
Avec sa grande imprimante métallique (à droite), Pi2Process propose le procédé SLM 3D par fabrication additive hybride. (Image : zVg GIA / Pi2Process)
Faits - l'essentiel en bref
Objectifs :
Assurer une sécurité maximale des processus et une transparence logistique et financière chez Pi2Process
Pas d'environnement serveur chez Pi2 Process AG ; "livraison à partir d'une prise de courant".
Prouver que l'approche avec le modèle "gia//fabrication" fonctionne également pour les très petites entreprises.
Réaliser un projet de référence avec SAP dans une entreprise de 20 collaborateurs
effort :
46 jours de conseil jusqu'à la mise en service, 19 jours de conseil supplémentaires pour les processus supplémentaires ainsi que les optimisations dans la phase deux
Pi2Process : trois personnes (CEO, finances, opérations)
GIA : six personnes (chefs de projet, conseillers : traitement des commandes, achats/gestion des matières/production, finances/contrôle, formulaires/étiquettes, technologie)
Déroulement du projet :
Mettre en place le système SAP et importer le modèle "gia//fabrication" : Septembre 2016
Concept spécialisé Delta : en parallèle en septembre 2016, terminé en octobre 2016
Réalisation : réglage des deltas de processus, formation des utilisateurs, reprise des données en novembre et décembre 2016
Utilisation de "SAP à partir de la prise" à partir de SAP Cloud@GIA dans le datacenter GIA, exploité sur un système SAP HANA partagé
Coût total :
Frais tout compris pour l'infrastructure, l'hébergement, l'exploitation, les licences, la maintenance, la solution et le projet : les coûts par utilisateur et par mois correspondent au leasing d'une voiture de classe moyenne.
Objectifs atteints :
Le projet a été mis en œuvre dans l'étendue définie au préalable, au coût calculé au préalable, dans les délais et la qualité convenus.
Le client et le consultant ont apporté la preuve qu'un projet SAP peut être mis en œuvre de manière très légère, même pour les petites entreprises.
L'informatique et l'ERP jettent les bases d'une activité qui peut se développer
Gain du SAP Quality Award dans la rubrique "Fast Delivery" au SAP Forum 2017
Lean - condition préalable à l'industrie 4.0 et à une numérisation ciblée
ARTICLE FINANCIER Les mots clés Industrie 4.0, Internet des objets et Big Data sont omniprésents. Dans notre vie quotidienne, nous possédons de plus en plus d'appareils et d'objets qui se connectent et communiquent via Internet, par exemple des éclairages domestiques, des machines à café, des tondeuses à gazon et même des installations de production.
Christoph Lustenberger
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15 juin 2018
Digital Business Transformation - a Conceptual Framework (IMD, Michael Wade, juin 2015).
Les avantages des derniers développements technologiques sont évidents : nous n'avons jamais disposé d'autant d'informations pour prendre des décisions. Dans cette situation de départ, de nombreuses entreprises ont pour première priorité d'élargir leur propre modèle commercial. Dans ce contexte, il est important de "penser plus loin que le bout de son nez" afin de générer de véritables potentiels pour une entreprise grâce à la mise en réseau.
La transformation numérique d'une entreprise a pour but de s'adapter à l'évolution du marché et d'améliorer les performances de l'entreprise grâce à l'utilisation de technologies et de modèles commerciaux numériques. Il est important de comprendre que la base de la réussite est la culture d'entreprise et l'implication des collaborateurs. Les collaborateurs doivent comprendre pourquoi ces changements sont à l'ordre du jour et quel est leur rôle dans l'avenir.
Agilité commerciale
L'orientation client sera également le point de départ de toutes les activités dans le monde numérique. Les clients sont aujourd'hui mieux informés que jamais, bien avant l'achat. Ils sont également de plus en plus impliqués dans la chaîne de création de valeur, avec pour résultat une augmentation des fabrications individuelles et des attentes plus élevées en matière de service de livraison. L'agilité commerciale numérique devient donc un avantage concurrentiel central qui, selon le modèle de Michael Wade (IMD, juin 2015), repose sur les trois piliers suivants :
Hyperawareness (disponibilité des données et des informations)
Informed Decision Making (prise de décision en connaissance de cause)
Fast Execution (mise en œuvre rapide)
Décentralisation des décisions
La numérisation des processus et la mise en réseau des systèmes n'ont de sens que si elles sont actuelles, optimisées, efficaces et lean (sans gaspillage). Afin d'adapter et d'améliorer en permanence l'agilité de l'entreprise aux conditions du marché, il est nécessaire de représenter et d'analyser les processus transversaux à l'aide de l'analyse du flux de valeurs et d'éliminer les gaspillages. Le flux d'informations permettra toutefois, dans le cadre de la mise en réseau, de nouvelles voies directes entre des acteurs intelligents et les décisions pourront être prises de manière plus décentralisée. À l'avenir, les améliorations seront proposées non seulement par l'homme, mais aussi par des machines intelligentes, et la production allégée deviendra ainsi un système autodidacte.
Utiliser l'approche Lean
Lean, avec son approche de processus allégés et sans gaspillage, est la base et la condition préalable à l'industrie 4.0 et à une numérisation ciblée. La numérisation de la production promet de nouvelles possibilités de rendre la production plus efficace, voire de la révolutionner. Toutefois, rares sont les entreprises qui peuvent planifier une production de A à Z en tenant compte de toutes les possibilités offertes par l'industrie 4.0. C'est surtout pour les entreprises qui souhaitent mettre à niveau une production existante sur le plan numérique qu'il convient de présenter une approche qui utilise l'approche Lean éprouvée tout en intégrant les possibilités de la numérisation.
Auteur : Christoph Lustenberger, Dr sc. techn., diplômé en ingénierie alimentaire ETH, est Senior Consultant chez Wertfabrik AG. www.wertfabrik.ch / www.wertblog.ch
Ouverture d'un nouveau Data Center à Bienne - création de postes de travail informatiques attrayants
Le 14 juin, le hub:biel a été inauguré dans le quartier industriel des Champs-de-Boujean à Bienne. Ce cube noir abrite d'une part le nouveau quartier général du spécialiste du cloud netrics, qui souhaite attirer davantage de talents informatiques grâce à une atmosphère de travail exceptionnelle. D'autre part, le hub:biel offre une infrastructure informatique hautement efficace et sécurisée aux entreprises de toutes tailles de l'Espace Mittelland.
Rédaction
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14 juin 2018
Le nouveau Data Center à Bienne vu de l'extérieur. (Image : DataHub)
Alors que les agglomérations de Zurich, Berne et l'arc lémanique sont bien pourvues en infrastructures pour l'économie numérique, l'Espace Mittelland et notamment Bienne étaient jusqu'à présent laissés pour compte. Depuis la mi-juin, cette lacune est comblée. "Avec hub:biel, les entreprises disposent d'une infrastructure informatique optimale pour conquérir la Suisse et le monde entier par voie numérique à partir d'ici", s'est réjoui Erich Fehr, maire de Bienne. Adrian Roth, CEO du groupe DataHub, a ajouté : "La région de Bienne est connue pour son travail de précision. Nous en faisons de même avec notre nouveau Data Center et offrons à nos clients non seulement une sécurité maximale pour leurs données, mais exploitons également notre installation de manière extrêmement écologique". En raison de sa conception technique avancée, le hub:biel a été nominé en avril pour le prestigieux DCS Award britannique dans la catégorie des nouveaux projets.
Travailler chez "Amazon de Bienne
En tant que fournisseur de services gérés et spécialiste du cloud, netrics AG propose une large gamme de services pour l'ère numérique et dépend donc du savoir-faire de spécialistes. Ces spécialistes sont parfois rares. "Pour attirer les talents de la jeune génération, les seules incitations financières ne suffisent plus", a expliqué Pascal Schmid, CEO de netrics AG : "Il faut aussi une atmosphère de travail adéquate ainsi que la possibilité de se familiariser avec les technologies les plus récentes". netrics a saisi l'occasion et offre à ses 60 collaborateurs une ambiance contrastée et décontractée dans son nouveau quartier général. netrics sert de nombreux clients ayant des exigences réglementaires élevées. Le nouveau centre de données offre ici des avantages stratégiques : "Pour les clients ayant des exigences élevées en matière de conformité ou des exigences de sécurité spécifiques, le hub:biel - combiné aux offres de netrics - est la solution idéale", a ajouté Schmid.
Efficacité énergétique maximale - valeur PUE* inférieure à 1,25 et densités énergétiques jusqu'à 20kW par rack
L'alimentation électrique, la connexion par fibre optique ainsi que les systèmes de refroidissement et de climatisation du hub:biel sont redondants sur toute la surface utile de 3000 mètres carrés (infrastructure 2N). Ils répondent aux normes de sécurité les plus élevées. Pour le High Perfomance Computing, des densités d'énergie de 15 à 20 kW par rack sont possibles au hub:biel. À titre de comparaison : dans un centre de calcul traditionnel, la puissance habituelle est de 2 kW par rack. De cette manière, il est possible d'économiser beaucoup de surface, ce qui est particulièrement important en Suisse. L'efficacité énergétique très élevée résulte de la combinaison d'un refroidissement de précision, d'un nouveau type d'alimentation sans interruption (ASI) et d'une gestion systématique de l'énergie. Pour la première fois en Suisse - et l'une des premières fois en Europe - le hub:biel utilise une installation UPS de Schneider Electric avec des batteries lithium-ion, ce qui permet un rendement de plus de 98 pour cent. L'efficacité énergétique globale du hub:biel se situe à un PUE* inférieur à 1,25, ce qui permet aux clients de réaliser d'importantes économies sur leur facture d'électricité.
* Le PUE (Power Usage Efficiency) est le rapport entre la consommation totale d'énergie électrique d'un centre de données (équipements informatiques plus composants d'infrastructure) et la consommation d'énergie électrique des équipements informatiques seuls.
Seven-Air Gebr. Meyer AG remporte le Prix SVC Zentralschweiz 2018
La gagnante du Prix SVC Zentralschweiz 2018 est la société Seven-Air Gebr. Meyer AG de Lucerne et Hitzkirch. Cette entreprise familiale produit et commercialise des appareils de ventilation et de climatisation innovants et économes en énergie pour le secteur du confort et des processus.
Rédaction
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13 juin 2018
Tobias et Christoph Meyer reçoivent le trophée du Prix SVC Zentralschweiz 2018 des mains du président du SVC Andreas Gerber (à gauche). (Image : Swiss Venture Club)
Le 12 juin, le Swiss Venture Club (SVC) a récompensé pour la septième fois des petites et moyennes entreprises (PME) exemplaires de la région en leur décernant le Prix SVC Zentralschweiz 2018. La manifestation a permis aux plus de 1300 invités issus des milieux économiques, scientifiques, politiques et médiatiques de se faire une idée de l'impressionnant et varié entrepreneuriat de la Suisse centrale. La cérémonie de remise des prix au KKL Luzern a été animée par Nik Hartmann. L'organisme responsable et l'initiateur du Prix SVC est le Swiss Venture Club, une association indépendante à but non lucratif visant à promouvoir et à soutenir les PME en Suisse. Christoph Baggenstos, responsable régional SVC pour la Suisse centrale, souligne : "Nous récompensons des entreprises qui font partie de l'élite des PME en Suisse. Notre regard se porte sur des entreprises exemplaires qui créent des emplois et contribuent à façonner l'économie suisse. Avec le Prix SVC, nous offrons à ces entreprises une plate-forme qui leur permet de montrer leur succès à l'extérieur. Enfin, l'attention portée à nos lauréats par le Prix SVC doit être une source d'inspiration pour d'autres entreprises".
Première place pour Seven-Air Gebr. Meyer AG de Lucerne
Fondée en 1971 et dirigée en deuxième génération par les frères Christoph et Tobias Meyer, Seven-Air Gebr. Meyer AG est spécialisée dans la fabrication et la distribution d'appareils et de systèmes de climatisation dans le monde entier. Pour ses produits et solutions, l'entreprise mise sur une qualité élevée et une utilisation optimisée de l'énergie avec récupération de chaleur et des valeurs d'isolation élevées. Les appareils sont robustes, faciles à entretenir et simples à utiliser. Le président du jury, Urban Camenzind, directeur de l'économie publique du canton d'Uri, a rendu hommage au vainqueur dans son éloge : "Seven-Air convainc par sa grande qualité et sa conscience écologique, combinées à la compétence, la continuité et la fiabilité. Le jury a été impressionné par la grande profondeur de consolidation ainsi que par les innombrables innovations dans le processus de production". Par ailleurs, il a également fait l'éloge de la culture d'entreprise exemplaire : "L'ancienneté de nombreux collaborateurs n'est pas due au hasard. La musique d'entreprise de Seven-Air et sa propre équipe de football manifestent cette culture d'entreprise vécue de manière exemplaire". Seven-Air, dont le siège principal est à Lucerne et le site de production à Hitzkirch, est aujourd'hui le leader du marché en Suisse avec ses quelque 400 collaborateurs. De nombreux objets de référence - du tunnel de base du Gothard à la cabane du Mont Rose, en passant par des immeubles de bureaux aux États-Unis, au Japon, en Russie et en Indonésie - témoignent de la position de leader de Seven-Air. Selon ses propres indications, Seven-Air Gebr. Meyer AG détient en Suisse une part de marché de 60 pour cent.
Veriset AG et Rigitrac Traktorenbau AG aux deuxième et troisième places
La deuxième place revient au leader du marché suisse de la construction de cuisines, Veriset AG. Fondée en 1999, l'entreprise emploie aujourd'hui 270 personnes et dispose, grâce à de nouvelles installations de production, d'une technique de production ultramoderne, d'une grande flexibilité dans la production et du leadership en matière de coûts dans la construction de cuisines en Suisse. Grâce au modèle "Design to Cost", l'entreprise dirigée par le propriétaire Ueli Jost parvient à développer des cuisines aux coûts optimisés en fonction d'un prix cible prédéfini. Avec la "cuisine numérique", elle met en réseau tous les appareils de cuisine sur une plateforme et ouvre ainsi la voie à de nouvelles expériences culinaires à forte valeur ajoutée pour ses clients. Rigitrac Traktorenbau AG, dont la création de l'entreprise a commencé par la vision de construire son propre tracteur, obtient le bronze. Depuis, l'entreprise familiale fondée par les époux Marlis et Sepp Knüsel pose de nouveaux jalons dans la mécanisation des pentes et sur le marché des tracteurs en général grâce à des innovations permanentes, notamment l'articulation centrale rotative. La qualité et la perfection sont au premier plan du développement et de la production. Outre les quatre filles Knüsel, l'entreprise emploie aujourd'hui 40 personnes.
Distinctions pour la fromagerie de montagne Aschwanden, Bruno's Best AG et Stanserhorn-Bahn AG
Ont également été récompensées la fromagerie de montagne Aschwanden de Seelisberg, avec son fromage de montagne fabriqué à partir de lait de foin, Bruno's Best AG de Sarnen, connue pour ses sauces à salade Bruno's Best très appréciées, ainsi que la société Stanserhorn-Bahn AG de Stans, qui a créé une attraction touristique et une nouveauté mondiale avec son téléphérique CabriO. Dans l'ensemble, l'attribution du Prix SVC Zentralschweiz 2018 - comme les remises de prix dans les autres régions d'ailleurs - a montré une fois de plus la force d'innovation indiscutable d'entreprises suisses, dont certaines sont peu connues du grand public.
La start-up la plus innovante de Suisse orientale : OnlineDoctor AG remporte le "Startfeld Diamant".
La jeune entreprise saint-galloise OnlineDoctor AG remporte le prix "Startfeld Diamant" de la Banque cantonale de Saint-Gall. Ce prix, qui récompense les jeunes entreprises innovantes, a été décerné cette année pour la septième fois.
Rédaction
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13 juin 2018
Philipp Wustrow (à gauche) et Tobias Wolf ont reçu le "Startfeld Diamant" avec leur entreprise OnlineDoctor AG. (Photo : zVg)
Cette année, le gagnant du prix Startfeld Diamant est OnlineDoctor AG. Grâce à la plateforme d'OnlineDoctor, les dermatologues peuvent travailler plus efficacement et les patients obtiennent rapidement et facilement une évaluation par un spécialiste. 80% des maladies de la peau peuvent être évaluées rapidement en ligne à l'aide de photos prises avec un téléphone portable - une visite au cabinet médical n'est nécessaire que dans quelques cas. Le bilan de santé cutané d'OnlineDoctor est rapide, indépendant du lieu et peu coûteux, ce qui rend service aux patients comme aux dermatologues.
Potentiel de marché élevé attesté
Roland Ledergerber, président du jury et CEO de la SGKB : "OnlineDoctor adresse deux problèmes très actuels : la pénurie de médecins spécialistes et l'augmentation des coûts de la santé. La plateforme de télémédecine pour les dermatologues est une véritable innovation qui permet un diagnostic et un traitement plus efficaces, moins coûteux et plus rapides". Le jury a été convaincu par la plateforme construite de manière cohérente en fonction des besoins des clients et par le potentiel élevé du marché.
D'autres innovations de Suisse orientale récompensées
Outre le vainqueur OnlineDoctor, quatre autres finalistes ont été récompensés par 5'000 francs chacun. Ils s'appellent Surp, Master- ColdBrewer, ServiceOcean et Mivital. Surp propose des voyages surprises, Mastercoldbrewer a développé une nouvelle méthode de traitement du café, ServiceOcean soulage les centres d'appels grâce à son logiciel et MiVital a mis au point un procédé permettant d'utiliser les substances actives contenues dans les aliments. Avec le prix pour les jeunes entreprises innovantes, cinq entreprises sont soutenues et encouragées chaque année par la Banque cantonale de Saint-Gall, qui leur fournit des conseils, des formations et une somme totale de 50 000 francs. De plus, les jeunes entreprises ont accès à un vaste réseau de connaissances et de contacts dans toute la Suisse orientale. Au total, 26 jeunes entreprises avaient posé leur candidature cette année.
Mieux vaut payer la rançon en cas d'attaque par ransomware que d'investir dans la sécurité informatique ?
Moins d'une entreprise suisse sur deux considère ses propres données critiques comme "entièrement sécurisées". Tel est l'un des résultats inquiétants du dernier rapport Risk:Value de NTT Security. Malgré cela, les investissements dans la sécurité informatique restent à un niveau relativement bas. Les entreprises sont plus enclines à répondre aux demandes de rançon en cas d'attaque de ransomware.
Rédaction
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12 juin 2018
De nombreuses entreprises semblent croire qu'il est plus avantageux de payer une rançon en cas d'attaque par ransomware que d'investir dans la sécurité informatique... (Image : arrow - Fotolia.com)
Le rapport Risk:Value est établi chaque année par la société d'études de marché Vanson Bourne pour le compte de NTT Security. Il s'agit d'une enquête menée auprès de cadres supérieurs du monde entier - 1 800 cette année - sur des sujets liés à l'informatique et à la sécurité informatique.
Faibles investissements dans la sécurité informatique
L'enquête actuelle montre qu'avec 40%, moins de la moitié des décideurs interrogés dans les entreprises suisses classent toutes les données critiques de l'entreprise comme "entièrement sécurisées". Par rapport à l'enquête de l'année dernière, cela représente un recul de 15 points de pourcentage. Cela s'explique notamment par le fait que les investissements dans la sécurité informatique restent faibles. En Suisse, seulement un peu plus de 15% du budget IT est investi dans la sécurité de l'information. Le volume d'investissement est nettement plus faible que dans de nombreux autres secteurs d'entreprise. En ce qui concerne les segments dans lesquels les investissements sont plus élevés que dans la sécurité de l'information et des données, les entreprises mentionnent
46% Exploitation et fabrication
46% Marketing
41% Distribution
41% Comptabilité et contrôle de gestion
32% Recherche et développement
25% Ressources humaines
Attaques de ransomware : mieux vaut payer...
Le manque de volonté d'investir correspond à un autre résultat central de l'enquête. 23% des entreprises suisses interrogées seraient prêtes à payer une rançon en cas d'attaque de ransomware plutôt que d'investir davantage dans la sécurité de l'information, car elles estiment qu'une telle approche est plus économique. Au niveau mondial, 33% des entreprises en moyenne sont même prêtes à accepter des demandes de paiement.
"Ce résultat est plus qu'effrayant, surtout si l'on tient compte du fait que la menace des attaques de ransomware ne s'estompe pas. Notre récent rapport Global Threat Intelligence Report a révélé que les ransomwares représentent une part élevée de 29% de toutes les attaques de malwares dans la région EMEA", explique Kai Grunwitz, Senior Vice President EMEA chez NTT Security. "Si les entreprises s'attendent à des avantages financiers en payant une rançon, c'est à nos yeux plus que trompeur. Et le réveil brutal viendra tôt ou tard pour beaucoup".
Cette faible propension à investir est d'autant plus étonnante que 96% des entreprises interrogées en Suisse estiment qu'un incident de sécurité impliquant un vol de données a de graves conséquences négatives. Ont été citées la perte de confiance des clients (52%), l'atteinte à la réputation (52%) et les pertes financières directes (45%). Les personnes interrogées s'attendent à une perte moyenne de chiffre d'affaires d'un peu plus de 7% et estiment que la réparation d'un dommage survenu dure plus de neuf semaines et entraîne des coûts moyens de plus de 1,1 million de francs suisses. Les coûts sont estimés par les entreprises suisses à un niveau nettement inférieur à celui des autres pays. La moyenne internationale est de 1,5 million de francs suisses.
La gravité de la situation n'est toujours pas reconnue ?
Le potentiel élevé de dommages soulève la question de savoir où en est le thème de la réponse aux incidents. Sur ce point également, rien n'a vraiment changé par rapport à l'année précédente. En Suisse, seuls 42% des entreprises disposaient d'un plan de réponse aux incidents en 2017. Toutefois, 21% se trouvaient déjà dans le processus de mise en œuvre et 211 autresTP2T prévoyaient de le faire.
mesures correspondantes dans un avenir proche. Les résultats actuels ne reflètent toutefois pas cette évolution, bien au contraire. Aujourd'hui encore, seules 42% des entreprises disposent d'un plan de réponse aux incidents. "Le résultat montre malheureusement que l'on en est souvent resté à de simples déclarations d'intention et que la gravité de la situation n'est toujours pas suffisamment reconnue, même si de nombreux incidents de sécurité récents ont en fait montré qu'un plan de réponse aux incidents mis en œuvre est devenu incontournable. En effet, seuls des plans de déroulement et d'urgence dédiés permettent de réagir de manière appropriée et surtout rapide aux différents incidents de sécurité informatique. Idéalement, des outils de réponse aux incidents spécialisés devraient être mis en place.
Par exemple, une plate-forme centrale de réponse aux incidents pour le traitement systématique et coordonné des incidents de sécurité avec des plans d'action prêts à l'emploi", explique M. Grunwitz.
Les services de sécurité gérés gagnent en importance
Toutefois, du point de vue de NTT Security, l'enquête a également donné des résultats positifs. Ainsi, l'idée que les incidents de sécurité ne peuvent pas être totalement exclus s'est imposée. 57% des personnes interrogées ont déjà été victimes d'un tel incident et 14% n'en ont pas encore été victimes mais s'y attendent. C'est pourquoi les services de sécurité gérés (MSS) gagnent en importance dans la mise en œuvre de stratégies de cybersécurité globales. Le rapport Risk:Value montre toutefois qu'environ deux tiers des entreprises interrogées en Suisse s'intéressent activement aux solutions MSS ou prévoient de le faire prochainement.
Galledia AG, la plus grande entreprise de médias indépendante de Suisse orientale, a une nouvelle identité visuelle depuis début juin. Pour cette nouvelle identité visuelle, elle a travaillé avec l'agence zurichoise de branding Process.
Rédaction
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11 juin 2018
Brochure d'image de Galledia AG (photo : zVg)
"La nouvelle image de l'entreprise nous permet de promouvoir nos compétences de manière ciblée sur le marché. En même temps, la nouvelle présentation garantit une gestion durable de la marque", explique Daniel Ettlinger, CEO de Galledia AG. Le nom "Galledia" reste inchangé, mais la couleur et la forme ont changé. Les secteurs de l'impression, du numérique et de l'édition ont un poids égal dans la communication.
La nouvelle identité visuelle doit traduire de manière cohérente la promesse de la marque "simple", "personnelle", "efficace", tant dans la communication d'entreprise que dans les supports de marketing et de communication. Le rebranding comprend un nouveau logo, une nouvelle Site webLe projet comprend également une brochure de présentation, diverses lettres ainsi que des fiches d'information, des cas de référence et des annonces.