Bruno Aregger : Comment gagner à partir de décisions erronées - téléchargez maintenant le livre audio !

Lors d'un atelier organisé à l'occasion de la Journée suisse des PME (26 octobre 2018), l'auteur du livre Bruno Aregger partagera avec le public son expérience d'entrepreneur et montrera comment un bon esprit peut également être intégré dans votre entreprise. En exclusivité pour les lecteurs d'ORGANISATOR, un extrait de son livre audio est d'ores et déjà disponible.

"Le bon esprit de ton entreprise" : un chapitre entier du livre de Bruno Aregger est disponible en téléchargement sous forme de livre audio. (Image : zVg)

Bruno Aregger a beaucoup à raconter. En raison d'erreurs apparemment "stupides", il a perdu presque toute sa fortune en tant que propriétaire d'une PME. Il a consigné ses erreurs et les leçons qu'il en a tirées dans son livre "Le bon esprit de ton entreprise".

Champions cachés

Beaucoup de choses peuvent arriver, en particulier pendant la phase de saturation d'une entreprise. Ainsi, la soif de grandeur est une source d'erreurs entrepreneuriales. "Plus une entreprise a du succès, plus le risque de succomber à la folie des grandeurs est grand", écrit Bruno Aregger. Pour éviter cela, il recommande de s'orienter vers ce que l'on appelle les champions cachés. Ils présentent des caractéristiques telles que

  • Ils sont silencieux.
  • Ils passent inaperçus.
  • Elles sont attrayantes, mais proportionnellement peu connues.
  • Ils réalisent de bonnes marges.
  • Ils ont rarement des difficultés à trouver de nouveaux collaborateurs.
  • Ils sont des spécialistes absolus dans un domaine (vont en profondeur, pas en largeur).

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Un système de valeurs authentique constitue une protection contre la mégalomanie. Vous trouverez plus d'informations à ce sujet dans le chapitre "La phase de saturation", qui se trouve à l'adresse suivante ici comme livre audio à télécharger prêt.

Marché de l'emploi suisse : une croissance ininterrompue depuis fin 2015

Au troisième trimestre de l'année 2018, les entreprises suisses publient 6% d'offres d'emploi de plus qu'il y a un an. C'est ce que montre l'enquête scientifiquement fondée de l'Adecco Group Swiss Job Market Index du Moniteur du marché de l'emploi de l'Université de Zurich.

Les métiers de l'informatique sont particulièrement recherchés sur le marché de l'emploi suisse. (Image : Fotolia.com)

Depuis 2015, le marché suisse de l'emploi enregistre une croissance quasi ininterrompue, signe que l'économie se porte bien. Ainsi, au troisième trimestre 2018, l'Adecco Group Swiss Job Market Index est supérieur de 6 pour cent à ce qu'il était à l'automne de l'année dernière. Par rapport au dernier trimestre, l'indice reste stable avec une augmentation de 2 pour cent. Si l'on corrige les effets saisonniers, on constate une augmentation de seulement 1 pour cent par rapport au trimestre précédent. Nicole Burth, CEO du groupe Adecco Suisse, ajoute : "Dans l'ensemble, la tendance positive observée depuis fin 2015 se poursuit".

Forte demande de personnel dans les métiers de l'organisation et du management

Après la forte augmentation du nombre d'offres d'emploi dans les métiers du management et de l'organisation (p. ex. chefs d'entreprise, de secteur, de projet, spécialistes de l'organisation) au cours des trois derniers trimestres, la demande reste élevée ce trimestre également. Par rapport au trimestre précédent, les offres d'emploi dans ces professions ont augmenté de 25%. "La Suisse investit donc actuellement dans le management et l'organisation. La raison pourrait être le monde des affaires de plus en plus interconnecté et volatile, où les processus commerciaux basés sur des projets et par conséquent le personnel formé dans les métiers du management et de l'organisation sont demandés", explique Jan Müller du Moniteur du marché de l'emploi de l'Université de Zurich. "Comme les nouveaux projets comportent souvent une importante composante numérique ou s'accompagnent d'une automatisation, il n'est pas étonnant que la demande en personnel informatique ait augmenté en même temps", ajoute Nicole Burth. Ainsi, en comparaison annuelle, on constate également une augmentation remarquable du nombre d'offres d'emploi dans les métiers de l'informatique (par exemple programmeur/programmeuse, développeur/développeuse d'applications, ingénieur/ingénieure système) (+15%). Depuis le début de l'année 2017, on constate une tendance positive dans les métiers de l'informatique. On constate également une augmentation en comparaison annuelle dans les métiers de l'industrie et du transport (+12%). Ce trimestre, cette hausse est notamment due à une demande accrue de main-d'œuvre qualifiée dans l'industrie métallurgique et électrique. En tant que numéro 1 du Global Innovation Index Ranking[1], la Suisse est particulièrement innovante. Au sein de la Suisse, les taux d'innovation sont particulièrement élevés, entre autres, dans les domaines des technologies de l'information et de la communication ainsi que dans l'industrie des machines et de l'électronique[2]. "Ces innovations nous apportent un avantage concurrentiel international, ce qui favorise la création de nouveaux postes dans les groupes professionnels de l'informatique et de l'industrie", ajoute Burth.

Région lémanique : un pic atteint ?

En comparaison annuelle, le nombre d'offres d'emploi dans la région lémanique connaît à nouveau une croissance supérieure à la moyenne. Au troisième trimestre 2018, les entreprises de cette région ont publié 21% d'offres d'emploi de plus qu'au troisième trimestre de l'année précédente. Après trois trimestres consécutifs de hausse supérieure à la moyenne de la demande en personnel, la comparaison avec le trimestre d'été 2018 (-1%) montre toutefois que cette tendance ne se poursuit pas, du moins pour le moment. En Suisse orientale (+9%) et dans l'Espace Mittelland (+8%), le nombre d'offres d'emploi a également augmenté par rapport au trimestre correspondant de l'année précédente. Dans les autres régions, le nombre d'offres d'emploi n'a connu que des changements relativement mineurs. Le nombre de postes vacants est relativement stable en Suisse du Nord-Ouest (+4%), en Suisse centrale (+3%) et dans la grande région de Zurich (+1%).

Marché de l'emploi suisse : évolution des offres d'emploi par grandes régions. (Graphique : Adecco)

Par rapport au même trimestre de l'année précédente, le taux de chômage augmente dans la zone euro. Région du lac Léman la demande dans les métiers de l'industrie et de la construction a été particulièrement forte (+64%). Cette forte hausse dans les métiers de l'industrie et de la construction s'observe depuis plus de deux ans déjà. "Cette hausse est en partie due à un franc moins fort. Dans la région lémanique, la demande en personnel dans ces métiers a particulièrement souffert dans le sillage du choc du franc de 2015. Mais avec la forte hausse de ces deux dernières années, la demande en personnel dans les métiers de l'industrie et de la construction a maintenant rattrapé son retard. Entre-temps, l'indice du nombre de postes vacants a de nouveau atteint un niveau similaire à celui des autres groupes professionnels", ajoute Jan Müller. Les autres groupes professionnels sont également plus demandés dans la région lémanique : les groupes professionnels de la technique et de l'informatique (+29%), des services aux entreprises (+17%) et des services personnels et sociaux (+10%) ont tous enregistré une croissance des offres d'emploi.

La Suisse orientale, une région en plein essor

En Suisse alémanique, la demande en personnel augmente en Suisse orientale a le plus augmenté (+9%). "La Suisse orientale a atteint début 2016 son point le plus bas depuis le début des mesures comparables (fin 2014). Depuis, le nombre de postes mis au concours s'est redressé. Il se situe désormais à nouveau à un niveau similaire à celui de fin 2014", précise Müller. En Suisse orientale, l'augmentation du nombre d'offres d'emploi par rapport au trimestre correspondant de l'année précédente est principalement due à une hausse de la demande de personnel dans les professions des services aux entreprises (+16%) et dans les professions de la technique et de l'informatique (+12%).

Source : Adecco

Mouvement sur le marché suisse des logiciels Payroll et RH

Le marché suisse des logiciels de gestion de la paie et des ressources humaines continue d'évoluer : début octobre, P&I Personal & Informatik a repris la société PerSal AG de Kriens et renforce ainsi sa position sur le marché.

Fritz Achermann de PerSal AG (à gauche) et Christos Triadis, directeur de P&I AG. (Image : zVg)

P&I est aujourd'hui l'une des entreprises les plus importantes et les plus renommées de l'industrie RH en Europe et se positionne comme une Pure HR Company proposant des logiciels innovants pour toutes les tâches de gestion du personnel. En 2012 et 2015 déjà, l'entreprise a considérablement renforcé sa position sur le marché suisse des logiciels RH et de gestion de la paie grâce aux rachats de Mirus Software AG et de Soreco HR AG.

"Un concentré de compétences logicielles"

Avec la dernière acquisition de PerSal AG de Kriens, P&I, dont le siège suisse se trouve à Thalwil, ajoute une pièce importante du puzzle à son portefeuille de produits actuel dans le segment de marché des entreprises jusqu'à 500 collaborateurs, comme l'indique un communiqué aux médias. Elle a repris l'ensemble des actions de PerSal AG au 01.10.2018. PerSal AG et le logiciel PerSal continueront d'exister en tant qu'entreprise et marque indépendantes, et le site et les collaborateurs seront repris sans changement par les nouveaux propriétaires. De même, Fritz Achermann continuera d'assurer la direction de l'entreprise et de poursuivre de la même manière la philosophie de PerSal Software ainsi que le service d'assistance réputé pour sa qualité et sa fiabilité, ajoute le communiqué. "Avec la fusion de P&I, nous avons désormais la possibilité d'offrir une solution RH complète et intégrée, dans laquelle l'ensemble du "HR Life Cycle" est représenté, de la gestion des candidats à la saisie des temps. Toute notre équipe s'en réjouit et nous sommes impatients de voir comment le marché suisse des RH réagira à cette concentration de compétences logicielles", a déclaré Fritz Achermann sur demande. Christos Triadis, directeur général de P&I AG en Suisse, tire lui aussi un bilan positif : "L'acquisition de PerSal AG va nous permettre de renforcer notre position sur le marché des RH tout en l'élargissant de manière significative". Pour P&I AG, cette étape représente un gain important, poursuit Triadis.

Externalisation de la paie

La société PerSal AG, issue de la société "Persoline AG" fondée en 1994, s'est fait un nom grâce à sa longue expérience du marché dans le domaine des RH et de la paie, notamment grâce à son logiciel standard flexible et hautement adaptable "PerSal" et à ses solutions modulaires d'externalisation de la paie. La succursale suisse de P&I, également fondée dans les années 1990, compte, avec PerSal AG, plus de 2200 entreprises parmi ses clients RH et Payroll. P&I Suisse emploie 72 personnes réparties sur 4 sites. Les deux directeurs, Christos Triadis et Fritz Achermann, sont convaincus que l'élargissement de la gamme de produits et l'introduction d'un nouveau P&I LogaAll-in pour la Suisse apporteront de grands avantages aux clients existants et nouveaux.

Plus d'informations : www.persal.ch

 

Le boom des créations d'entreprises s'essouffle

Au début de l'année, on parlait d'un véritable boom des créations d'entreprises en Suisse, mais au troisième trimestre, on a assisté à un effondrement. C'est ce que montre une enquête récente de moneyhouse.ch

Le boom des créations d'entreprises a fait une pause estivale : mais le secteur du conseil en gestion/économie, avec 751 nouvelles entreprises, reste le plus populaire auprès des créateurs d'entreprise. (Image : Fotolia.com)

Les créateurs d'entreprise suisses ont été très actifs en ce début d'année. Au premier trimestre, 11'055 nouvelles entreprises ont été inscrites au registre du commerce. Au deuxième trimestre, on comptait déjà 11'225 créations, soit 2,95% de plus que l'année précédente.

Le mois d'août marque une pause dans le boom des créations d'entreprises

La situation était différente au troisième trimestre. Au total, 9'704 nouvelles entreprises ont été inscrites dans les registres du commerce suisses, contre 9'999 l'année dernière. Le mois d'août en particulier est à l'origine de ce faible chiffre : avec seulement 2'913 créations, il a été le mois le plus faible de l'année jusqu'à présent. Au quatrième trimestre, les offices du registre du commerce devraient à nouveau être très occupés. On s'attend à de nombreuses nouvelles inscriptions, en particulier en décembre, car c'est également à cette période que le plus grand nombre d'entreprises a été enregistré en 2016 (4 121 créations) et en 2017 (4 200 créations). Les entrepreneurs peuvent ainsi commencer la nouvelle année avec une nouvelle entreprise.

SARL et conseil en gestion

Au troisième trimestre, les fondateurs ont opté soit pour une Sàrl (38.17%), une entreprise individuelle (32.23%) ou une société anonyme (20.24%). Les autres formes juridiques telles que les associations, les sociétés en nom collectif ou les coopératives ont donc été choisies dans moins de 10% des cas. Le secteur le plus populaire a été le conseil aux entreprises/économiques, avec 751 nouvelles entreprises. Suivent les restaurants, cafés & snacks avec 431 créations et la vente et location d'appartements & d'immeubles avec 371.

Source : Moneyhouse

 

De plus en plus de femmes terminent avec succès des études d'informatique

Vendredi dernier, 420 étudiants en bachelor et en master ont reçu leur diplôme à la Hochschule für Technik FHNW à Brugg-Windisch. Fait particulièrement réjouissant : dans le profil informatique iCompetence, 42% des diplômes ont été décernés à des femmes.

Les femmes s'intéressent de plus en plus aux études d'informatique - et les terminent avec succès. (Image : Fotolia.com)

388 ingénieurs ont reçu vendredi leur diplôme de Bachelor of Science FHNW, du génie électrique au génie industriel. Parallèlement, 32 étudiants ont également obtenu leur Master of Science in Engineering MSE. Dans la spécialité Informatique, on remarque que huit des 19 diplômés iCompece sont des femmes. La tendance à l'augmentation du nombre de diplômées en informatique à la Hochschule für Technik FHNW se poursuit donc.

Success story iCompetence

Augmenter la part des femmes dans les filières d'ingénierie et d'informatique est un objectif à long terme de la Hochschule für Technik FHNW. Il y a huit ans, elle a développé le profil iCompetence, une offre d'études qui combine l'informatique avec le design et le management. "Grâce à la définition de thèmes actuels, le profilage a gagné un nouveau public pour l'informatique", explique le professeur Sarah Hauser, responsable de la filière informatique, "ces dernières années, nous avons ainsi pu notamment augmenter de manière significative le nombre d'étudiantes en informatique".

Les femmes ont autant de succès que les hommes

En ce qui concerne les performances, il n'y a pas de différences entre les sexes pendant les études : "Le taux de réussite est le même pour les femmes et les hommes", explique Sarah Hauser, qui a toutefois été frappée cette année par les bonnes notes des étudiantes. Parmi les meilleurs étudiants de l'année, deux femmes arrivent en tête avec la meilleure moyenne.

Forte proportion de femmes professeurs

Tout comme la composition de la population estudiantine, celle du corps enseignant a évolué au cours des dernières années. Actuellement, 17 femmes enseignent à iCompetence. Les équipes mixtes - notamment parmi les professeurs - font partie intégrante de la culture du cursus.

Prix de diplôme pour d'excellentes performances

17 diplômés ont été récompensés pour leurs excellentes performances par les très convoités prix de diplôme ainsi que par le Siemens Excellence Award.

www.fhnw.ch/technik

Faciliter les procédures de poursuite : Lancement d'un nouveau produit

Le fabricant de matériel de bureau Biella lance, en collaboration avec tilbago, prestataire de services pour l'encaissement en ligne, un dossier de poursuites innovant et astucieux. Celui-ci allie le savoir-faire d'experts de l'ordre analogique à l'expertise de la gestion en ligne de l'encaissement légal et soutient ainsi les PME.

Simplifie les procédures de poursuite : Le dossier de poursuites Biella - un projet de coopération entre Biella et tilbago. (Image : Biella/tilbago)

Deux entreprises qui ne pourraient pas être plus différentes s'associent : d'un côté, l'entreprise traditionnelle Biella, de l'autre, la jeune start-up avec participation de PostFinance tilbago. L'objectif des deux entreprises est de créer une solution complète pour les PME dans le cadre du processus de poursuite. Biella agit en tant qu'expert dans le domaine de l'ordre analogique et tilbago s'engage avec ses connaissances d'expert dans le domaine du recouvrement en ligne.

Environ 3 millions de procédures de poursuite en Suisse

Rares sont les entrepreneurs qui échappent à la perte de créances. Il est particulièrement dangereux de ne pas faire valoir ses créances de manière conséquente. Le bruit court vite que certains créanciers, par exemple, décomptent de petites créances au lieu de les faire valoir par voie juridique. Bien que près de 3 millions de procédures de poursuite soient déjà engagées chaque année, de nombreuses PME ont peur de se lancer dans le recouvrement juridique. D'une part, parce qu'une poursuite entraîne des dépenses supplémentaires et, d'autre part, parce qu'il peut en résulter un processus long et fastidieux.

Ordre dans les documents et vue d'ensemble du processus

Avec le nouveau dossier de poursuites développé, les entreprises maîtrisent parfaitement leurs poursuites, comme le promettent Biella et tilbago. Les deux partenaires mettent en commun leur savoir-faire et relient le monde analogique au monde numérique. La charge de travail de l'utilisateur est réduite. Grâce à l'index prédéfini en six parties, en allemand ou en français, le créancier a tous les documents importants relatifs aux poursuites classés de manière claire par cas et toujours à portée de main. De plus, le processus de poursuite imprimé selon la LP lui donne la vue d'ensemble nécessaire pendant la procédure de poursuite. Dès que le créancier a saisi son cas en ligne sur tilbago.ch, tilbago l'informe lorsqu'il doit agir dans le processus de poursuite - qu'il s'agisse d'activités prescrites par la loi, de compétences des offices des poursuites ou de délais prescrits par la loi.

Le nouveau porte-documents est entièrement fabriqué chez Biella à Brügg près de Bienne. Un produit SwissMade complet est ainsi disponible, du développement à la production.

Source : www.biella.ch et www.tilbago.ch

 

Anniversaire de l'entreprise Jaisli-Xamax AG : 50 ans sous tension

L'entreprise d'installations électriques Jaisli-Xamax AG fête cette année ses 50 ans d'existence. A cette occasion, une nouvelle identité visuelle et quatre ambassadeurs de l'apprentissage ont été introduits.

A l'occasion de son 50e anniversaire, Jaisli-Xamax AG a relooké son identité visuelle - visible également sur le journal des collaborateurs "Brilli's News". (Image : zVg)

Le 1er octobre 1968, Ruedi Jaisli a fondé la société R. Jaisli & Co. - au départ comme simple entreprise d'installation électrique avec dix collaborateurs. Aujourd'hui, l'entreprise s'est développée pour devenir une entreprise d'électricité comptant environ 400 collaborateurs. Ses domaines de spécialisation sont les installations électriques, la construction de tableaux de distribution, le service après-vente, la technique des systèmes de bâtiment, le photovoltaïque ainsi que la télématique. Jaisli-Xamax AG est également une entreprise formatrice de premier plan : elle forme actuellement 70 apprentis.

Anniversaire fêté comme il se doit - et nouvelle présentation

Le 23 juin, les festivités se sont déroulées au siège principal de Dietikon : Un barbecue a réuni les clients, les partenaires de projet, les collaborateurs et, en tant qu'invité d'honneur, le fondateur de l'entreprise Ruedi Jaisli. Mais ce n'est pas tout : L'entreprise profite également de cet anniversaire pour se doter d'une nouvelle identité visuelle. Un nouveau corporate design a été élaboré avec une agence de graphisme zurichoise. Le journal des collaborateurs "Brilli's News" a également fait peau neuve : le concept de couleurs a certes été conservé, mais la police et le look ont été entièrement revus. La présentation en ligne de Jaisli-Xamax AG a également été remaniée et rendue encore plus conviviale.

Quatre ambassadeurs de l'apprentissage

Désormais, quatre apprentis de tous les domaines professionnels - installateur-électricien, électricien de montage, monteur-automaticien, employée de commerce - parleront de leur apprentissage chez Jaisli-Xamax SA en tant qu'ambassadeurs. L'ambassadrice et les trois ambassadeurs offrent aux futurs apprentis des aperçus passionnants de leur quotidien d'apprentis. Les futurs apprentis en apprennent plus de première main sur leur place d'apprentissage et profitent de l'expérience de leurs collègues. Avec cette mesure, l'entreprise veut encourager l'échange direct entre les jeunes. L'objectif est également d'augmenter la proportion de femmes dans les métiers de l'électricité. Pour ce faire, il est prévu d'organiser des journées de découverte sur le thème de l'électricité dans les écoles primaires afin d'inciter davantage de filles à s'intéresser à cette spécialité.

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L'impulsion du succès : entre amis

Pourquoi nous comportons-nous différemment entre amis et au travail ? La dernière impulsion de Volkmar Völzke montre comment créer un environnement "amical" dans les affaires également.

Apportez du plaisir et de l'humour au travail ! Nous sommes des êtres humains, pas des machines. (Image : Fotolia.com)

L'autre jour, un membre de l'équipe de direction d'un de mes clients m'a demandé comment il devait réagir lorsque son chef s'endormait pendant la réunion et que d'autres collègues montraient leur désintérêt. Je n'ai pas eu à réfléchir longtemps pour lui répondre, car ce phénomène n'est pas si rare dans les PME sous une forme similaire (mais parfois moins flagrante). (Remarque : dans ce cas, ce n'est guère dû aux sujets ennuyeux). Voici ma contre-question : "Comment réagirais-tu entre amis si une telle chose se produisait ?" La réponse est facile : "Faire une blague à ce sujet". Ou : "Aller vers la personne, lui donner une bonne tape sur l'épaule et dire quelque chose comme "Alors, tu as encore fait la fête trop longtemps hier soir ?

Ce qu'on ne fait pas entre amis...

C'est incroyable : que ne faisons-nous pas entre amis ? Nous nous amusons, nous nous faisons confiance, nous nous donnons un feedback honnête, nous nous pardonnons, nous nous battons ensemble pour nos rêves et nous nous réjouissons de passer du temps ensemble. Et lorsque nous travaillons ensemble à des objectifs importants pour nous tous, une énergie et une passion incroyables peuvent se déployer. Je ne sais pas pour vous, mais je me souviens très bien de ces moments-là.

C'est là que le bât blesse : pourquoi n'agissons-nous pas de la même manière pendant notre travail ? Pourquoi passons-nous trop souvent à un autre programme dès que nous sommes au travail ? Bien sûr, il y a de nombreuses raisons de faire cela et de considérer notre travail comme une activité non professionnelle.amilique, de voir un environnement étranger. Et donc de faire exactement le contraire de ce que nous ferions entre amis.

Créez un environnement "amical".

La bonne nouvelle : cela peut être changé. Voici le contre-programme (c'est-à-dire comment obtenir une amicréer un environnement favorable) :

  1. Projection. Imaginez que vos collègues, vos managers et vos clients sont des amis de longue date : Comment les salueriez-vous le matin ? Seriez-vous détendu et décontracté ? Feriez-vous un commentaire sympathique ? Quoi qu'il en soit : faites exactement cela au travail !
  2. Humour. Les heures de sérieux conviennent rarement aux relations entre amis. Au lieu de cela, les amis rient ensemble. Apportez du plaisir et de l'humour au bureau ! Nous sommes des êtres humains, pas des machines.
  3. Confiance. Supposez que vous puissiez faire entièrement confiance à vos collègues. Alors, agissez en conséquence. Il n'y a tout simplement pas d'alternative raisonnable (à part le travail forcé).

Votre temps de travail est un temps de vie précieux, et ce pour une part considérable. Vous pouvez choisir de le passer entre "étrangers" ou entre amis. Votre décision se répercute sur votre entourage.

Vers l'auteur :
Volkmar Völzke est un maximisateur de succès. Auteur de livres. Conseiller et consultant. Coach de formation. Orateur. www.volkmarvoelzke.ch

Obligation d'annoncer les postes vacants dans la branche de l'hôtellerie et de la restauration : des charges excessives pour un bénéfice minime

Selon une enquête de GastroSuisse, la majorité des établissements de l'hôtellerie et de la restauration sont moyennement ou pas du tout satisfaits de la mise en œuvre de l'obligation d'annoncer les postes vacants. Elle entraîne surtout des dépenses et n'apporte guère d'avantages.

Le secteur de l'hôtellerie et de la restauration se plaint de problèmes massifs dans la mise en œuvre de l'obligation d'annoncer les postes vacants. (Image : Fotolia.com)

La mise en œuvre de l'obligation d'annoncer les postes vacants - une mesure liée à la mise en œuvre de l'initiative contre l'immigration de masse, qui vise à donner la priorité aux travailleurs indigènes sur les postes vacants - suscite des critiques, notamment dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration, comme le montre un récent sondage de l'association professionnelle GastroSuisse. Les personnes interrogées critiquent la charge de travail élevée pour les entreprises ainsi que la qualité des dossiers envoyés par l'ORP. De plus, l'enquête a révélé que les ORP ne respectent pas les délais fixés par la loi. L'hôtellerie-restauration, en tant que branche à forte intensité de main-d'œuvre avec plus de 200'000 collaborateurs, dépend tout particulièrement d'une mise en œuvre praticable de l'obligation d'annoncer les postes vacants. Selon l'enquête, 26,4 % des entreprises interrogées ont déjà annoncé au moins un poste à l'ORP en seulement deux mois et demi.

Les défauts sont évidents

Les expériences des membres de GastroSuisse sont mitigées : 57,8 % sont moyennement ou pas du tout satisfaits des prestations des ORP. Ils critiquent la charge de travail importante et le faible taux de réussite. Les dossiers envoyés ne correspondraient souvent pas au profil d'exigences du poste. Bien plus de la moitié des dossiers envoyés par les ORP (54,8 %) ne convenaient pas. L'ORP a pu pourvoir à peine un poste annoncé sur 7 ou 8 (13.7 %). La qualité des dossiers pourrait être améliorée en affinant la nomenclature des professions. La catégorie professionnelle "personnel de cuisine", par exemple, comprend à tort du personnel qualifié et du personnel auxiliaire. "Il existe une grave pénurie de personnel qualifié pour les cuisiniers qualifiés. Pourtant, les postes vacants doivent être déclarés. Où sont tous les cuisiniers au chômage si l'ORP ne peut pas non plus envoyer de dossiers adéquats ?", se demande Casimir Platzer, président de GastroSuisse et hôtelier à Kandersteg.

Temps d'attente beaucoup trop long

Les délais d'attente parfois très longs lors du processus de recrutement sont également insuffisants. Ainsi, seul un établissement a reçu immédiatement une confirmation de réception de l'ORP (0,6 %). Or, c'est précisément ce que GastroSuisse exige pour réduire les délais d'attente. En effet, ce n'est qu'à partir de ce moment que commence à courir le délai de blocage de cinq jours pendant lequel les employeurs ne peuvent pas mettre le poste au concours. La durée entre l'accusé de réception et l'envoi des dossiers est également nettement trop longue : 43,4 % des entreprises ont dû attendre 4 jours ou plus, dépassant ainsi le délai légal de 3 jours. Au total, un tiers des entreprises interrogées (33.3 %) qui ont finalement reçu un dossier ont dû attendre 8 jours ou plus à partir de l'annonce de l'emploi. Pour 8.3 %, cela a même duré plus de 14 jours. L'hôtellerie-restauration connaît des fluctuations relativement importantes de ses effectifs, qu'il convient de compenser rapidement. Les longs délais d'attente entraînent une surcharge de travail pour le personnel employé et compliquent considérablement la gestion de l'entreprise.

Source : GastroSuisse
Pour en savoir plus sur l'obligation de déclarer les postes vacants et les premières expériences en la matière, lire cet article ORGANISATEUR.

 

 

"AI-Race" : la Suisse doit mettre les gaz

Une formation efficace et une imposition équitable de la création de valeur numérique sont des piliers importants pour le secteur des TIC, afin que la Suisse puisse non seulement conserver sa bonne position actuelle dans la course mondiale à la numérisation, mais aussi la renforcer.

Table ronde des médias au symposium SwissICT : pour la course à l'IA, c'est-à-dire pour être en tête en matière d'intelligence artificielle, la Suisse doit mettre les gaz. (Image : swissICT Symposium).

Lors d'une rencontre avec les médias à l'occasion du 38e symposium swissICT, qui s'est tenu pour la première fois en 2018 à Bâle avec plus de 100 spécialistes, le président de swissICT Thomas Flatt s'est dit convaincu que le secteur des TIC est lui-même bien préparé. Selon lui, l'économie doit toutefois prendre davantage conscience du fait que la numérisation influence aujourd'hui massivement la stratégie de base d'une entreprise.

Focus sur l'éducation

Les politiciens et les entreprises ne passeront pas à côté de la numérisation, a déclaré Thomas Flatt en réponse à la constatation selon laquelle de nombreuses entreprises n'accordent pas encore suffisamment d'attention à cette évolution. Lors de la discussion avec Andri Silberschmidt, président des jeunes libéraux-radicaux suisses et membre du comité directeur du PLR suisse, Thomas Hutter, spécialiste en informatique et en marketing, et Pascal Kaufmann, grand spécialiste de l'intelligence artificielle (IA), tous étaient d'accord pour dire qu'il fallait mettre l'accent sur la formation pour un avenir réussi.

Silberschmidt a également identifié un besoin d'action dans les domaines de la fiscalité, du droit du travail et de l'aménagement du territoire. Selon Thomas Flatt, il n'y a toutefois pas besoin d'un nouveau modèle fiscal pour les startups, mais simplement d'un "débat sur la manière dont la création de valeur numérique doit être imposée par le système fiscal existant".

Leadership en matière d'intelligence artificielle

Le pionnier de l'IA Pascal Kaufmann a souligné que la Suisse était le numéro un européen dans le domaine de la recherche sur l'intelligence artificielle et qu'elle disposait d'une situation de départ idéale pour jouer un rôle de leader dans la "course à l'IA". Seuls des investissements considérables - Pascal Kaufmann parle de milliards - permettraient d'assurer ce rôle à long terme. Il s'attend à ce qu'une grande percée de l'intelligence artificielle ait lieu dans les cinq à dix prochaines années. "Les cartes seront redistribuées dans le monde entier", déclare Kaufmann.

Le manque de personnel qualifié est un problème plus important que les robots

C'est pourquoi Kaufmann a également misé sur une réorientation de la formation. Les quatre experts n'ont pas considéré que les emplois dans lesquels l'homme joue un rôle important étaient en danger. Il s'agit plutôt d'une situation où de nombreux postes ne seront pas pourvus dans les années à venir, notamment en raison du départ à la retraite de la génération du baby-boom.

Thomas Hutter, spécialiste en informatique, était également convaincu que de nouveaux emplois allaient être créés. Selon son expérience, de nombreuses entreprises suisses ont encore besoin de beaucoup de travail de persuasion et d'investissements. On sent encore une grande réticence à aborder les thèmes numériques, a déclaré Thomas Hutter.

www.swissict-symposium.ch

 

Le travail flexible, principal avantage pour les parents qui travaillent

Le thème de la conciliation de la vie professionnelle et de la vie familiale est sur toutes les lèvres. De nouvelles études menées par Regus, le fournisseur de bureaux à louer, montrent que les parents qui travaillent demandent de plus en plus à leurs employeurs des solutions de travail flexible afin de pouvoir passer plus de temps avec leur famille.

Pour les parents qui travaillent, travailler dans des espaces de coworking peut être une option. (Image : Regus)

L'enquête a révélé que 85 % des parents qui travaillent échangeraient volontiers d'autres avantages contre un travail flexible. 81 % des personnes interrogées ont estimé que l'avantage le plus important était une meilleure conciliation de la vie familiale et professionnelle. Les espaces de travail flexibles, également appelés espaces de coworking, offrent aux particuliers et aux employeurs des locaux présentant un avantage important : il n'est pas nécessaire de se rendre au bureau ou de travailler à domicile, où l'on est facilement distrait. Le marché croissant des espaces de travail flexibles montre que de plus en plus d'espaces de ce type sont disponibles dans tous les endroits possibles et imaginables. Cette grande disponibilité est également un avantage important des espaces de travail flexibles, car les utilisateurs ne doivent plus faire la navette et peuvent travailler plus près de chez eux. Selon l'enquête de Regus, les parents qui travaillent préféreraient passer le temps qu'ils perdent à faire la navette avec leur famille (71 %). Le temps pour soi, comme un long bain ou des activités avec des amis, arrive en deuxième position (38 %).

Attention aux employeurs ! Les parents qui travaillent acceptent volontiers des compromis pour des options flexibles

Les employeurs devraient tenir compte du fait que le travail flexible est une priorité absolue pour les parents qui travaillent. 96 % des parents qui travaillent déclarent qu'ils aimeraient travailler pour un employeur qui propose le travail flexible dans le cadre du package de rémunération et 74 % déclarent qu'ils changeraient également de travail si une telle offre leur était faite.

Profiter au maximum des options flexibles

Pour de nombreux parents, le passage à un travail flexible est synonyme d'une nette amélioration de la qualité de vie. Regus a réuni ici quelques conseils utiles pour ceux qui sont actuellement à la recherche de telles possibilités :

  1. Négociez avec votre employeur : Convaincre votre employeur d'offrir le travail flexible peut être plus facile que vous ne le pensez, même si ce n'est pas encore le cas. Vous pouvez peut-être échanger un avantage de moindre valeur contre du travail flexible ou négocier de nouveaux horaires de travail. Par exemple, les parents qui travaillent déclarent qu'ils seraient prêts à renoncer à des avantages tels qu'un abonnement à la salle de sport financé par l'entreprise pour travailler de manière flexible (85 %).
  2. Faites preuve de créativité dans l'étude de votre site : Faire la navette n'implique pas nécessairement de se rendre de votre porte au bureau. Si vous préférez travailler près d'une école ou d'une crèche, ou plus près d'un client que du bureau principal, vous pouvez le faire grâce aux espaces de coworking et aux bureaux flexibles qui sont désormais disponibles dans d'innombrables endroits.
  3. Mettez fin au présentéisme : Les espaces de travail flexibles font partie d'une nouvelle ère dans le monde du travail. Grâce aux nouvelles technologies, les travailleurs sont plus flexibles que jamais. Pour de nombreux parents, les horaires de travail de 9h à 17h ne sont pas compatibles avec l'emploi du temps de leurs enfants. Pour tirer le meilleur parti du travail flexible, vous devriez envisager d'adapter vos horaires de travail de manière à commencer tard et finir tard ou à commencer tôt et finir tôt. Ou alors, vous pouvez vous détacher complètement de vos horaires de travail et vous concentrer sur la fourniture de résultats.
  4. Utilisez le travail flexible comme solution de secours : Vous ne pouvez pas travailler de manière flexible à plein temps ? Vous pouvez peut-être garder cette option ouverte, au moins pour les cas d'urgence, par exemple lorsque la crèche est fermée ou que vous avez beaucoup de rendez-vous. Vous n'êtes pas obligé de passer complètement au travail flexible si ce n'est pas une nécessité absolue. Néanmoins, il est rassurant de savoir que cette possibilité vous est ouverte en cas de besoin.

Les parents qui travaillent doivent exprimer leurs souhaits à leur employeur

Garry Gürtler, Country Manager de Regus Suisse, souligne que "le rythme du monde du travail moderne fait qu'il est difficile pour tous de trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Les parents qui travaillent sont particulièrement touchés par cette situation et ont des difficultés à concilier vie familiale et professionnelle. Avec des espaces de travail flexibles, les parents peuvent réduire leur temps de trajet et adapter leur emploi du temps à leurs obligations privées de manière plus flexible. Les parents qui travaillent sont de plus en plus nombreux à s'intéresser aux avantages du travail flexible. C'est pourquoi les employeurs devraient s'attendre à ce que de plus en plus de parents expriment ce souhait lors de l'entretien d'embauche".

Source et informations complémentaires : Regus

 

De l'importance des émotions dans la gestion des services

Qu'est-ce qui fait un bon service à l'heure du changement numérique ? Et comment les entreprises peuvent-elles l'offrir ? Autant de questions auxquelles de nombreux managers sont actuellement confrontés.

Les émotions font aussi partie de la gestion des services, estime Martin Beims d'aretas GmbH. (Image : Aretas GmbH).

La numérisation introduit constamment de nouvelles technologies sur le marché, qui influencent les processus commerciaux, les clients, les collaborateurs et les services. "Les managers sont tenus de répondre aux défis et de poser les jalons", explique Martin Beims, associé gérant d'Aretas GmbH, une société de conseil en entreprise axée sur les services et basée à Aschaffenburg. "Il est essentiel de créer des conditions et des processus adaptés aux personnes, plutôt que de les contraindre à se conformer à des systèmes et des solutions existants issus de la littérature. Pour cela, les responsables doivent avant tout tenir compte d'une chose : Les émotions".

Emotionnaliser les processus

Aujourd'hui, presque toutes les entreprises disposent de processus numérisés de manière plus ou moins conséquente, y compris dans la gestion des services. La plupart du temps, les clients ne le ressentent que de manière subliminale, mais en l'absence de numérisation, une mauvaise intégration des données, des problèmes de communication et un manque de synchronisation se font sentir. Pour éviter cela, l'accent est mis sur le client et sur la promotion du sentiment d'être compris et d'être entre de bonnes mains. "On parle de ce que l'on appelle l'émotionnalisation des services", explique Beims. "Chaque service et chaque processus déclenchent inconsciemment des émotions positives ou négatives que le cerveau enregistre et auxquelles il se réfère pour prendre de futures décisions". Cela signifie que si l'expérience de service a été bonne, un client se sentira plus enclin à commander à nouveau quelque chose ou à solliciter une prestation auprès de la même entreprise qu'après une expérience négative. Le fait de rendre les services et leurs canaux de distribution plus émotionnels donne donc aux entreprises un avantage concurrentiel.

Les souhaits des clients en point de mire

Les émotions influencent inconsciemment les actions des personnes. Si les entreprises répondent aux besoins individuels des clients, cela augmente leur bien-être et leur satisfaction. Cela se répercute ensuite sur la prise de décision. Lors de la conception des processus, il convient de veiller à ce que le client soit au centre des préoccupations : Comment le client souhaite-t-il que l'opération se déroule ? "C'est surtout en ce qui concerne les réclamations et les dysfonctionnements que l'importance des processus émotionnels est énorme et que l'impact du manque de numérisation se fait sentir. Dans ce cas, il est important de vraiment comprendre les besoins des clients et d'y adapter les processus de manière cohérente", explique le directeur d'aretas. Les collaborateurs doivent faire preuve de compréhension envers les clients et élaborer des solutions avec eux. Ce n'est qu'à travers ce lien émotionnel qu'une base de confiance peut s'établir et se consolider dans le cerveau du client, de sorte que celui-ci se tourne à nouveau vers l'expertise de l'entreprise.

Impliquer les collaborateurs

Dans tous les processus de changement, le management doit toujours impliquer les collaborateurs dès le début. En effet, ce n'est que lorsque tous les participants savent comment les exigences modernes se présentent et comment ils peuvent y réagir que les sensations entrent en jeu. "Pour une motivation à long terme et donc le succès de l'offre de service, il est essentiel de trouver le bon équilibre entre les souhaits individuels ainsi que les idées sur le déroulement des prestations et en même temps les nécessités de l'entreprise. En revanche, dans les relations avec les clients, il est toujours bon d'agir comme on aimerait être traité", explique Beims. Il faut trouver un juste milieu, en tenant toujours compte de l'objectif de concevoir un produit ou un service parfaitement adapté au client. C'est aux collaborateurs de reconnaître la situation et d'agir en conséquence, de sorte qu'une relation avec le client puisse se développer. Il s'agit de consolider le plus rapidement possible ce lien en renouvelant les expériences positives. "Une chose est sûre : Pour les managers, il n'y a pas d'autre solution que de rendre les processus aussi simples et compréhensibles que possible pour les clients, car on n'achète pas des produits que l'on ne comprend pas", résume Beims. En d'autres termes, le service doit enthousiasmer les clients, de sorte qu'ils reviennent la prochaine fois pour les produits ou les services qui y sont proposés. Cela fait souvent passer les autres critères de décision, comme le prix, au second plan.

Pour plus d'informations sur aretas GmbH, voir www.aretas.de

 

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