Comment promouvoir une gestion de la qualité acceptée et vécue ?
La participation des collaborateurs est notamment déterminante pour le succès d'un système de gestion. Les experts en GQ de ConSense Management Consulting, les services de conseil du développeur de logiciels ConSense GmbH basé à Aix-la-Chapelle, recommandent d'utiliser l'approche orientée processus non seulement pour mettre en place un système de gestion de la qualité ou de gestion intégrée basé sur un logiciel, mais aussi pour encourager la communication interne. En effet, il en résulte des propositions d'amélioration qui [...]
Rédaction
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16 décembre 2022
Promouvoir une gestion de la qualité acceptée et vécue - avec un
approche orientée processus pour la communication interne (Image : ConSense GmbH)
La participation des collaborateurs est, entre autres, déterminante pour le succès d'un système de gestion. Les experts en GQ de ConSense Management Consulting, les services de conseil du développeur de logiciels d'Aix-la-Chapelle ConSense GmbH, recommandent d'utiliser l'approche orientée processus non seulement pour mettre en place un système de gestion de la qualité ou de gestion intégrée basé sur un logiciel, mais aussi pour encourager la communication interne. En effet, il en résulte des propositions d'amélioration qui aident le système à être davantage utilisé et bien accepté.
Approche axée sur les processus : favoriser la gestion des connaissances et l'apprentissage en commun
Cette approche axée sur les processus pour soutenir la communication interne implique la modélisation et l'optimisation des processus avec la participation des collaborateurs. Les connaissances et les méthodes relatives aux différents processus sont collectées, les points de vue sont échangés et une image commune de chaque tâche est élaborée. La méthode SIPOC, un principe de conception issu du lean management, permet de représenter les processus et les procédures de manière légère, transparente et compréhensible avec un niveau de détail relativement faible. L'élaboration en équipe permet de créer une base uniforme et visualisée à partir de laquelle il est plus facile de procéder à des modifications, des mises à jour et des améliorations ultérieures, puisque tous les participants partent de la même base.
Des remarques sur les processus aux canaux de discussion : Partager les connaissances et les expériences
Comme les connaissances empiriques ne peuvent pas être entièrement transmises par la documentation, ConSense Management Consulting mise sur un échange et une collaboration étroits entre les collaborateurs. Les solutions logicielles de cette entreprise sont conçues dans ce but et offrent à leurs utilisateurs diverses possibilités de poser des questions, d'émettre des idées et de faire des propositions dans les processus de l'entreprise. Il est par exemple possible d'enregistrer des évaluations ou des remarques sur les processus. En outre, les canaux de discussion permettent une communication et une collaboration directes au sein du système de gestion. Les processus et les activités sont ainsi toujours examinés ensemble par les participants, qui échangent leurs expériences et leurs connaissances à ce sujet et optimisent ou développent les procédures. La valeur des modélisations de processus réside donc non seulement dans la visualisation et l'analyse des processus et de leur potentiel d'amélioration, mais aussi dans le soutien de la communication au sein des équipes ou entre les services. En même temps, cela permet de créer une compréhension commune des processus de travail.
Webinaires et ateliers pour une mise en pratique
Les experts en systèmes de gestion de l'entreprise de logiciels d'Aix-la-Chapelle expliquent comment réaliser une mise en œuvre adaptée à l'application et ce à quoi il faut faire attention. ConSense Management Consulting soutient la modélisation des processus en fonction de la pratique et de l'application, en considérant l'entreprise dans sa globalité. Celle-ci prend en compte de la même manière les trois domaines de conception que sont la technique, l'organisation et les hommes. Le webinaire du ConSense Campus "Des processus d'un seul tenant grâce à un guide de style pour les descriptions de processus"qui aura lieu par exemple le 9 mars 2023. Pour une étude plus approfondie, l'atelier d'une journée "ConSense Styleguide pour la modélisation des processus", dont la date est fixée sur demande, est idéal.
Evoq pour Hellofiber : un nouveau "hello" pour une fleur bien connue
Hellofiber est détenue par la même société mère américaine que le fournisseur de télécommunications "Sunrise". Hellofiber raccorde les ménages privés, les entreprises et les institutions publiques aux réseaux de fibres optiques. En très peu de temps, Evoq a développé pour cela l'image de marque mais aussi la stratégie de commercialisation complète avec les moyens de communication correspondants. Le cœur du concept de création est la fleur de marque, les points lumineux et une série de couleurs primaires et secondaires [...].
Rédaction
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15 décembre 2022
Hellofiber est détenue par la même société mère américaine que le fournisseur de télécommunications "Sunrise". Hellofiber raccorde les ménages privés, les entreprises et les institutions publiques aux réseaux de fibres optiques. En très peu de temps, Evoq a développé l'image de marque ainsi que la stratégie de commercialisation complète avec les moyens de communication correspondants.
Le cœur du concept de conception est la fleur de la marque, les points lumineux et une série de couleurs primaires et secondaires qui doivent assurer une présentation variée et qui attire l'attention. Un kit marketing spécifique a été élaboré pour la commercialisation. Des outils, des processus et des ressources y sont disponibles selon les principes S, M et L. En fonction de la zone d'extension et de la tâche à accomplir, les mesures de marketing doivent pouvoir être mises en œuvre rapidement, efficacement et en fonction des besoins locaux. La planification de chaque campagne est structurée en trois phases.
Il s'agit d'abord de faire connaître la marque dans la zone cible clairement définie. Ensuite, le portefeuille de produits est pénétré et le caractère unique de l'offre est mis en avant. Enfin, vient la phase de raréfaction par des offres promotionnelles et des avantages limités dans le temps, selon le principe "maintenant ou jamais".
La communication se fait par le biais de canaux numériques tels que le site web Hellofiber.de et numériques, mais aussi et surtout par des mesures OOH, des diffusions, des mailings directs et des annonces dans les médias locaux.
Baden a désormais sa propre organisation touristique
Baden et sa région ont une scène culturelle vivante et se distinguent comme lieu de réunion et de détente. La vaste offre de Baden est appréciée tant par les visiteurs que par les habitants. Afin d'exploiter encore mieux ce potentiel, les acteurs du tourisme se sont regroupés au sein de la nouvelle TourismusRegion Baden AG (TRB). La fondation a eu lieu mercredi soir. Elle marque une [...]
Rédaction
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15 décembre 2022
Inauguration de la TRB mercredi soir : Michael Wicki, City Com ; Werner Egli, Eglin Group ; Jessica Schmiederer, IG-Hotels Baden ; René Kamer, Thermal Baden ; Rainer Blaser, Stiftung Gesundheitsförderung Bad Zurzach + Baden, Susanne Slavicek, Verein Kulturaktiv ; Markus Schneider, maire de la ville de Baden ; Michael Böni, Grand Casino Baden ; Mirko Capodanno, TourismusRegion Baden ; Stephanie Kiener, Tourismusregion Baden (de g. à dr.). (Image : zVg.)
Baden et sa région ont une scène culturelle vivante et se distinguent comme lieu de réunion et de détente. La vaste offre de Baden est appréciée tant par les visiteurs que par les habitants de la région.
Afin d'exploiter encore mieux ce potentiel, les acteurs du tourisme se sont regroupés au sein de la nouvelle TourismusRegion Baden AG (TRB). La fondation a eu lieu mercredi soir. Une nouvelle ère touristique s'ouvre ainsi, écrivent les fondateurs dans un communiqué : la société anonyme ne se contentera pas de commercialiser activement la diversité unique de la destination, mais regroupera également de manière efficace et dynamique les forces des prestataires, de la commune et des partenaires économiques.
Partenaires du tourisme, de l'économie et de la politique à bord
"Des partenaires clés solides issus des domaines les plus divers seront un facteur de réussite essentiel de la nouvelle organisation", explique René Kamer, président du conseil d'administration de la TRB. L'économie et d'autres groupes d'intérêt sont directement impliqués dans la nouvelle SA et en assument la responsabilité.
Parmi les nouveaux actionnaires figurent IG Hotels Region Baden, l'association City Com, la fondation pour la promotion de la santé Bad Zurzach + Baden, le Grand Casino Baden, l'association Kulturaktiv ainsi que Eglin Immobilien. Ils sont tous convaincus que la commercialisation commune permettra à la destination Baden & Région de gagner fortement en notoriété et en popularité. La commune de Baden ne participe pas à la SA. Il existe entre elle et TRB une convention de prestations qui doit garantir la collaboration et le droit de regard grâce à la présence de Markus Schneider, maire de la ville, au conseil d'administration. La convention de prestations est limitée dans un premier temps à quatre ans.
"Une valeur ajoutée pour tous"
TRB souhaite présenter la ville culturelle et thermale comme vivante, chaleureuse, innovante et savoureuse. Grâce à son esprit d'innovation et à son engagement, la nouvelle organisation innovante doit renforcer la destination, mieux la positionner, exploiter les synergies et ainsi augmenter la valeur ajoutée dans la région.
"Je me réjouis que la commercialisation soit désormais assurée en commun - cela ne renforce pas seulement le tourisme, mais apporte une plus-value à tous", déclare Mirko Capodanno, le directeur de la TRB fraîchement élu, cité dans le communiqué. Enfin, cette réflexion commune, ouverte et globale permettra de créer une véritable culture de l'accueil et de l'hospitalité.
L'organisation de tourisme créée mercredi va désormais commencer ses activités et le transfert opérationnel hors de la ville dans les meilleurs délais. Tous les collaborateurs du domaine de compétence Tourisme de la ville de Baden seront transférés dans la nouvelle organisation. Le conseil d'administration se compose comme suit :
René Kamer, président du CA ThermalBaden, président du conseil d'administration
Susanne Slavicek, membre du comité directeur de l'association Kulturaktiv, vice-présidente
Jessica Schmiederer, IG Hotels Baden + région
Michael Wicki, président de City Com Baden
Rainer Blaser, directeur de la fondation pour la promotion de la santé Bad Zurzach + Baden
Michael Böni, CEO, Grand Casino Baden
Werner Eglin, Conseil d'administration Eglin Group et représentant MICE
Markus Schneider, maire de la ville de Baden
Le directeur de la région touristique de Baden est Mirko Capodanno et la directrice adjointe Stephanie Kiener, qui dirigeait jusqu'à présent le domaine de compétences tourisme de la ville de Baden. L'équipe du tourisme se compose en outre de six autres collaborateurs.
Numérisation du système de santé : la population suisse est mûre pour cela
La numérisation a pris de l'ampleur dans de nombreux secteurs industriels. Pourtant, le secteur de la santé est loin d'être à la traîne. Pour que la transformation numérique du système de santé réussisse, il faut tenir compte des besoins et des craintes de la population suisse. C'est dans ce contexte que digitalswitzerland 2022 a lancé Digital Health, une nouvelle initiative visant à numériser l'ensemble du système de santé suisse [...].
Rédaction
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15 décembre 2022
La population suisse est mûre pour la numérisation du système de santé. C'est la protection des données qui suscite les plus grandes réserves. (Image : Depositphotos.com)
La numérisation a pris de l'ampleur dans de nombreux secteurs industriels. Pourtant, le secteur de la santé est loin d'être à la traîne. Pour que la transformation numérique du système de santé réussisse, il faut tenir compte des besoins et des craintes de la population suisse. C'est dans ce contexte que digitalswitzerland 2022 a lancé Digital Health, une nouvelle initiative visant à numériser l'ensemble du système de santé suisse et à le rendre centré sur le patient. Cela doit contribuer à améliorer la transparence, l'accessibilité et la compréhension des informations sur la santé pour l'ensemble de la population suisse. Un sondage a maintenant été réalisé pour savoir comment la population suisse évalue la numérisation du système de santé.
Plus le niveau d'éducation est élevé, plus les compétences en matière de santé et de numérique sont importantes
Les résultats de l'enquête montrent que de nombreux citoyens suisses estiment que leurs compétences en matière de santé (76%) et leurs compétences numériques (72%) sont élevées à très élevées. A cet égard, les compétences en matière de santé augmentent avec l'âge, tandis que les compétences numériques diminuent. Le niveau d'éducation joue également un rôle important : les personnes ayant un niveau d'éducation plus élevé disposent d'une meilleure culture sanitaire et numérique. "La santé et la culture numérique devraient être abordées dès l'école obligatoire, afin que tous les citoyens aient les mêmes chances de développer ces compétences importantes d'aujourd'hui et de demain", conclut Jade Sternberg, responsable du projet Digital Health, digitalswitzerland et auteur principal de l'étude.
Facteur clé pour la numérisation du système de santé : la confiance
La confiance dans les différentes organisations de santé qui jouent un rôle dans la numérisation du système de santé est particulièrement importante. En ce qui concerne le traitement des données de santé, 70% des personnes interrogées ont une grande à très grande confiance dans les prestataires de santé, y compris les hôpitaux, suivis par le gouvernement (47%), tandis que le secteur privé (22%) jouit de la confiance la plus faible. La confiance dans les hôpitaux et les médecins de famille justifie leur grande importance en tant que principale source d'informations sur la santé (54%). Le personnel médical est un élément central du système de santé depuis des siècles, mais il existe des signes de changement vers un système moins axé sur les professionnels de la santé et plus sur les patients.
Les patient(e)s jouent un rôle de plus en plus actif
Parallèlement, le rôle des patients évolue également, car ils assument un rôle plus actif et une plus grande responsabilité personnelle que par le passé. Ainsi, 31% de la population ne désignent plus exclusivement les personnes nécessitant un traitement comme patients. Tout le monde est un patient, qu'il soit en bonne santé, malade ou blessé. Cela se reflète également dans la diversité croissante des offres de prévention des caisses d'assurance maladie. Le système de santé de demain devrait être centré sur le patient et lui permettre de s'informer sur sa santé et de s'intéresser davantage aux mesures de prévention. Ceci dans le but de promouvoir une société plus active et plus saine.
"Actuellement, nous n'exploitons pas pleinement le potentiel de la prévention en matière de santé. La prévention jouera un rôle clé à l'avenir - c'est la seule façon de passer d'un système qui se concentre sur les malades et les blessés à un système qui vise à maintenir tous les citoyens en bonne santé plus longtemps, explique Philomena Colatrella, CEO de la CSS.
Cela va de pair avec le souhait des patients d'avoir plus de contrôle sur leurs propres données de santé. 68% de la population veulent être les propriétaires légitimes de leurs données personnelles de santé. Le dossier électronique du patient est un pas dans cette direction, car les patient(e)s contrôlent eux-mêmes qui peut accéder à leurs données.
La protection des données, clé pour ou contre la numérisation du système de santé
La numérisation présente de nombreux avantages, mais elle suscite également des craintes chez les citoyens. 46% de la population craignent que leurs données soient utilisées à mauvais escient ou volées. La protection des données a récemment fait l'objet d'une attention accrue, mais elle devra jouer un rôle encore plus central à l'avenir dans la numérisation du système de santé, afin de garantir l'utilisation de systèmes et de serveurs appropriés pour le stockage et l'échange de données et d'éviter l'utilisation abusive, le stockage incorrect ou le vol de données. "Nous devons rassembler tous les acteurs et représentants pertinents du système de santé suisse afin de permettre une transition en douceur et réussie du système de santé vers le monde numérique", explique Jade Sternberg. Ce n'est qu'ensemble que cette transition pourra être réussie, avec une communication transparente et un renforcement du pouvoir des patients.
45% des personnes en Suisse rejettent la numérisation de leurs données de santé
En Suisse, les gens sont sceptiques face à la saisie et à la transmission numériques de leurs données de santé. Près d'une personne sur deux n'y est pas prête. C'est ce qui ressort de la nouvelle étude Deloitte "Digitalisation des données de santé : grandes opportunités, grand scepticisme". Le manque de confiance peut toutefois être renforcé par l'information et la transparence ainsi que par la mise en évidence des avantages potentiels des données de santé numérisées pour les personnes elles-mêmes et pour le système de santé dans son ensemble. D'une part, la politique est maintenant appelée à stimuler le débat public sur un système de santé numérisé uniforme, suffisamment sécurisé et surveillé, et à créer au niveau fédéral les conditions nécessaires à sa mise en œuvre durable et uniforme. D'autre part, les fournisseurs de solutions numériques, les établissements médicaux et les professionnels de la santé doivent redoubler d'efforts pour gagner la confiance des patients et mettre en avant les avantages de la numérisation. Parmi les principaux avantages d'une numérisation systématique, on peut citer le potentiel d'économies considérables. Amélioration de l'efficience et de l'efficacitéLe projet de loi sur les soins de santé a été adopté par le Parlement européen en décembre 2009, notamment en ce qui concerne les soins aux patients et les processus de plus en plus complexes depuis longtemps déjà.
Rapport Salesforce : il devient plus difficile de vendre
La cinquième édition du rapport Salesforce "State of Sales" est arrivée. Il résume les conclusions de plus de 7 700 experts en vente de 38 pays, dont 100 en Suisse. L'étude a examiné comment les organisations de vente optimisent la technique pour une efficacité maximale, répondent aux exigences croissantes des clients et augmentent la productivité des [...].
Rédaction
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14 décembre 2022
La cinquième édition du rapport Salesforce "State of Sales" est arrivée. Il résume les conclusions de plus de 7 700 experts en vente de 38 pays, dont 100 en Suisse. L'étude a examiné comment les organisations de vente optimisent la technique pour une efficacité maximale, répondent aux exigences croissantes des clients et maximisent la productivité des collaborateurs de vente pour réussir maintenant.
Il s'est avéré que le nouveau mantra de vente est la maximisation de l'impact. Les entreprises se détournent des stratégies à haut risque en raison de l'inflation, des goulets d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement, de l'incertitude réglementaire et des perturbations politiques. Et pourtant, les commerciaux sont sous pression pour atteindre leurs objectifs. 53 % des professionnels suisses de la vente affirment que vendre est désormais plus difficile. À titre de comparaison, ce chiffre atteint même 67 % pour l'ensemble des pays interrogés.
Submergé par le nombre d'outils
En Suisse, les entreprises interagissent avec les acheteurs via huit à dix canaux en moyenne : Les commerciaux tentent de répondre aux attentes croissantes des acheteurs. Les acheteurs attendent des commerciaux qu'ils les rencontrent là où ils se trouvent, indépendamment du canal de distribution, et qu'ils agissent ensuite en tant que conseillers de confiance. Or, près de 70% des commerciaux se disent dépassés par le nombre d'outils disponibles. Neuf organisations de vente sur dix prévoient donc de consolider leurs ensembles technologiques au cours de l'année à venir, afin que les collaborateurs puissent consacrer plus de temps à la vente et au contact avec les clients.
En Suisse, les commerciaux ne consacrent qu'environ 29 % de leur temps à la vente proprement dite. Au lieu de cela, ils sont davantage occupés par des tâches administratives. Pourtant, le département des ventes joue un rôle de plus en plus stratégique dans l'entreprise. Les technologies qui aident à travailler plus efficacement peuvent permettre aux commerciaux de consacrer plus de temps aux discussions avec les clients.
Les entreprises passent en revue les programmes de formation et les avantages sociaux tout en optimisant les domaines et les outils de vente afin d'aider les employés à réussir et à conserver les meilleurs talents.
Etude : 500 francs pour les jouets
Dans une étude récente, GfK a analysé le comportement des consommateurs à Noël cette année. En ce qui concerne les cadeaux pour les jouets, les Suisses prévoient de dépenser en moyenne 500 francs. Néanmoins, une tendance à renoncer à la consommation se dessine. Au total, 42% des personnes interrogées prévoient de dépenser moins pour les cadeaux que les autres années. On constate une certaine tendance à renoncer à la consommation [...].
Rédaction
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14 décembre 2022
Image : Freestocks / Unsplash
Dans une étude récente, GfK a analysé le comportement des consommateurs à Noël cette année. En ce qui concerne les cadeaux pour les jouets, les Suisses prévoient de dépenser en moyenne 500 francs. Néanmoins, une tendance à renoncer à la consommation se dessine. Au total, 42% des personnes interrogées prévoient de dépenser moins pour les cadeaux que les autres années. Une certaine tendance à renoncer à la consommation est perceptible, mais elle ne s'applique pas de la même manière à tous les Suisses. Nombreux sont ceux, surtout ceux qui en ont les moyens, qui organiseront les fêtes de fin d'année dans le même cadre ou dans un cadre similaire à celui des autres années.
Mais ce sont surtout les personnes aux revenus modestes qui font attention à leur budget de Noël : 37 % veulent manger moins à l'extérieur avant ou pendant les fêtes et 33 % essaient d'économiser sur les repas de Noël à la maison. Ils sont à peu près aussi nombreux à vouloir renoncer à des activités sportives telles que le ski pendant ou après les fêtes, ou à vouloir le faire moins souvent que les autres années. Près de 20 % envisagent également d'offrir cette année des produits d'occasion, c'est-à-dire des produits de seconde main - cela semble être une tendance surtout chez les plus jeunes - ils sont un bon tiers à le faire.
Les dépenses annuelles croissantes pour les jouets, qui atteignent cette année le montant record de 500 francs, contredisent les projets généraux d'économie. Pourtant, 67% des gens font leurs achats en ligne et en magasin. La part des consommateurs qui préfèrent acheter des cadeaux pour les jouets en ligne a diminué par rapport à l'année précédente pour atteindre 10 pour cent (2021 : 12 pour cent), tout comme celle des consommateurs qui n'achètent plus que dans les magasins stationnaires (2022 : 23 pour cent, 2021 : 26 pour cent).
Les prestataires de soins de santé doivent affiner leur gestion des données
Les données seront centrales dans une révolution du secteur de la santé. Le marché mondial du Big Data dans le secteur de la santé représentera 71,6 milliards de dollars d'ici 2027, les fournisseurs investissant jusqu'à 25 % de leur budget total dans les technologies. Les données stimulent l'innovation dans les domaines du diagnostic, des sciences de la vie et de l'efficacité opérationnelle, entre autres, et aident [...].
Rédaction
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14 décembre 2022
Dans le secteur de la santé, les données sont souvent fragmentées. Pour obtenir de meilleurs résultats pour les patients, les prestataires de soins de santé doivent donc aiguiser leur approche des données. (Image : Depositphotos.com)
Les données seront centrales dans une révolution du secteur de la santé. Le marché mondial des Big Data dans le secteur de la santé représentera 71,6 milliards de dollars d'ici 2027, les fournisseurs investissant jusqu'à 25 % de leur budget total dans les technologies. Les données stimulent l'innovation dans les domaines du diagnostic, des sciences de la vie et de l'efficacité opérationnelle, entre autres, et aident les professionnels de la santé à se concentrer davantage sur la santé et le bien-être des patients. De même, l'IA et l'informatique en nuage permettront de mettre en place des systèmes de soins mieux connectés, qui utiliseront toutes les données de santé disponibles pour améliorer les traitements, les soins et la prévention.
L'accès aux bonnes données et à une technologie efficace permettra de se concentrer davantage sur les patients. En comprenant les antécédents médicaux individuels de chaque patient, du diagnostic à l'efficacité de certains traitements, en passant par les effets indésirables potentiels à gérer, les professionnels de la santé pourront prendre des décisions plus éclairées et obtenir de meilleurs résultats. L'utilisation efficace des données de santé permet également d'effectuer des analyses intelligentes et d'automatiser les processus, ce qui améliore l'efficacité et permet aux médecins et aux professionnels de la santé de donner la priorité aux soins des patients.
Il existe toutefois des obstacles qui entravent cette approche intelligente et connectée des soins de santé. Les données sont généralement fragmentées, ce qui rend difficile un traitement efficace et personnalisé. Parallèlement, les défis croissants en matière de conformité et de cybersécurité obligent les organisations de soins de santé à adopter une approche proactive de la gestion des données.
Assembler le puzzle des données
Le secteur de la santé est confronté à des défis majeurs en matière de gestion des données. Traditionnellement, les organisations du secteur de la santé achètent et exploitent leurs propres systèmes, les données des patients étant dispersées dans différents départements, bases de données et fournisseurs de solutions. Les données des patients sont saisies de manière très fragmentée, tant au sein des organisations que dans l'ensemble du secteur. Comme pour toutes les bases de données, cela conduit ainsi à des inefficacités et rend difficile l'utilisation des données pour les analyses, les diagnostics, la recherche et les mesures correspondantes.
Pour exploiter tout le potentiel des données de santé, les données traditionnellement bien gérées et stockées de manière structurée doivent être fusionnées avec les données non structurées afin de créer une vue unique des informations pertinentes. Dans le secteur de la santé, de plus en plus de données sont stockées à partir d'un nombre croissant de sources, dont les wearables et les applications pour patients. Trouver des données utiles dans cette masse peut s'apparenter à chercher une aiguille dans une botte de foin. Le passage à une base de données autonome bien intégrée dans le cloud, par exemple, permet aux fournisseurs d'exploiter pleinement le potentiel de leurs données et d'obtenir des informations qui améliorent les soins aux patients.
Des prestataires de soins de santé qui montrent l'exemple
Un exemple : avec Oracle Analytics Cloud et Autonomous Data Warehouse, l'hôpital Sejong en Corée du Sud, un hôpital de pointe spécialisé dans les maladies cardiaques, a amélioré l'impact sur la vie de plus de 1600 enfants atteints de maladies cardiaques. La collecte de données tout au long du processus médical et la mise à disposition transparente d'informations en temps réel aux équipes médicales signifient que les décisions qui sauvent des vies et dont l'évaluation prenait auparavant des heures peuvent désormais être prises en quelques minutes.
L'American Hospital Dubai - autre exemple - a également entrepris une transformation numérique complète visant à utiliser les données pour améliorer les résultats de guérison des patients. En collaboration avec Cerner et Oracle, l'hôpital a mis en place un nouveau dossier médical électronique pour permettre aux médecins de mieux suivre les patients et a introduit une plateforme de planification des ressources pour réduire les coûts et augmenter la productivité. Ces données intégrées sur les patients constituent également la base des travaux de recherche de l'hôpital en matière d'IA et de robotique, ce qui se traduit par des avantages supplémentaires pour les patients.
En Suisse, les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) sont l'un des cinq hôpitaux universitaires de Suisse et gèrent huit hôpitaux dans le canton de Genève ainsi que 40 ambulances et cliniques spécialisées dans la région. Les Hôpitaux Universitaires de Genève ont migré la plupart de leurs systèmes de base de données vers Oracle Exadata Cloud@Customer, une option d'Oracle Exadata Cloud Services, qui est fournie en tant que service géré dans leur propre centre de données. Oracle Exadata Cloud@Customer permet ainsi aux HUG de consolider leurs systèmes critiques sur une seule plateforme informatique, tout en respectant les réglementations pertinentes en matière de conservation des données.
Le système de santé n'est pas une bouillie uniforme
Chaque patient doit être considéré individuellement. Ils ont des besoins médicaux, des plans de traitement et des préférences de communication différents. Et pourtant, la plupart des traitements des patients et des analyses médicales sont standardisés. Avec la pandémie, les attentes des patients ont augmenté et, avec l'émergence des rendez-vous virtuels, l'éventail des expériences personnelles vécues par les patients ne cesse de s'élargir. Les plateformes de télémédecine enregistrent à elles seules un taux de croissance de 1'000 %. Si les prestataires de soins de santé misent davantage sur les expériences personnalisées des patients en ligne et hors ligne, tous recevront le traitement qui leur convient. En outre, les résultats peuvent être améliorés en s'assurant que les patients individuels suivent mieux les plans de traitement.
Une approche rigoureuse de la gestion des données peut, si elle est mise en œuvre efficacement, conduire à une plus grande personnalisation et à une réduction des coûts des soins de santé. Coloplast A/S, une multinationale danoise qui développe et fabrique des appareils médicaux, soutient ses patients avec un programme d'assistance personnalisé. Coloplast Care travaille ici avec les solutions Oracle Customer Experience (CX) et soutient directement les infirmières et les médecins en leur fournissant des informations adaptées à eux et à la situation.
Travailler avec des règles et des restrictions
La majorité des personnes se préoccupent de la sécurité de leurs données de santé. Les données de santé sont à juste titre soumises à une protection accrue. Les fournisseurs peuvent travailler de manière conforme et sûre avec les réglementations et utiliser les données pour obtenir de meilleurs résultats pour les patients. Les règlements régionaux tels que le RGPD en Europe comprennent une catégorisation et des mesures de protection spécifiques aux données de santé. Ils contiennent également des exigences en matière de localisation des données, qui sont particulièrement sensibles pour les prestataires de soins de santé basés sur le cloud. Une gouvernance robuste est donc de la plus haute importance, non seulement pour protéger les patients, mais aussi pour protéger les organisations contre les poursuites judiciaires.
L'assureur maladie néerlandais Zorg & Zekerheid s'assure que ses clients reçoivent des soins de qualité et abordables sur la base de vastes ensembles de données, et mise sur l'automatisation pour améliorer encore la sécurité des données. L'implémentation d'Oracle Autonomous Data Warehouse a permis d'automatiser presque toutes les tâches manuelles susceptibles de provoquer des erreurs humaines. L'automatisation permet d'améliorer la sécurité, de réduire les coûts et de gagner du temps. Les données sont encore plus sécurisées grâce au cryptage des données inutilisées et actives, à la protection des données réglementées et à l'examen et la détection rapides des menaces.
Un système de santé piloté par les données
Il a été démontré que les prestataires de soins de santé qui investissent dans la gestion de leurs données peuvent offrir de meilleurs soins aux patients et acquérir un avantage concurrentiel. Des données connectées et sécurisées permettront non seulement d'apporter des améliorations au sein du système de santé, mais aussi de poursuivre les progrès médicaux, d'accroître la diversité et l'efficacité des essais cliniques et d'accélérer la mise sur le marché des médicaments. L'utilisation responsable des données de santé permet de sauver des vies et nous commençons à peine à effleurer la surface de ce qui peut être réalisé. Comme le dit le Dr Shetty de Narayana Health, de la plus grande clinique cardiaque du monde, "nous croyons en Dieu, mais pour tout le reste, nous avons besoin de données".
Auteur : Thierry Buecheler est responsable de l'activité Cloud clé, de la valeur commerciale et de la stratégie EMEA chez Oracle.
Le partenaire USP veille à ce que le Ricola soit fraîchement cuisiné
Pour la première fois dans l'histoire de Rucola, les consommateurs ont pu assister en direct au processus de cuisson et de gaufrage sur le point de vente. Parallèlement, les cuisiniers en bonbons Ricola ont transmis des informations intéressantes sur la marque. La promotion devait mettre l'accent sur la qualité des matières premières utilisées ainsi que sur le soin apporté à leur transformation et les mettre en scène sur le point de vente en fonction de la marque. Un logo détaillé a été [...].
Rédaction
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13 décembre 2022
Pour la première fois dans l'histoire de Rucola, les consommateurs ont pu assister en direct au processus de cuisson et de gaufrage sur le point de vente. En même temps, les cuisiniers en bonbons Ricola ont transmis des informations intéressantes sur la marque.
La promotion devait mettre l'accent sur la qualité des matières premières utilisées ainsi que sur le soin apporté à leur transformation et les mettre en scène sur le point de vente en fonction de la marque. Une présentation de la marque riche en détails complétait l'expérience, avec notamment les 13 herbes du mélange d'herbes Ricola présentées dans un parterre surélevé sur le stand. Des éléments visuels forts, une forte pression sur les produits et des offres de vente adaptées avec des rabais et des actions complémentaires devaient assurer des incitations supplémentaires à l'achat.
L'USP s'est vu confier la responsabilité globale de l'activation du marketing en direct et a été responsable de la gestion du projet, du concept au développement de l'image du stand et de la marque, en passant par la garantie de la logistique, jusqu'à la présentation professionnelle globale sur le terrain. La campagne POS a été immortalisée dans un film d'ambiance.
Responsable chez Ricola Suisse : Fiona Wägerle (Senior Brand Experience Manager Switzerland & Travel Retail), Eren Karakus (Senior Key Account Manager Switzerland), Björn Christ (Director Trade Marketing & B2B). Concept & responsabilité globale du projet : Partenaires USP. Construction de stands et logistique : Eurexpo.
Ce qui convainc les CEO de la reprise après sinistre
La plupart des entreprises ne disposent toujours pas d'un programme complet de reprise après sinistre, c'est-à-dire de restauration des systèmes et des données en cas de catastrophe - et ce, bien qu'elles soient exposées à divers risques sérieux, comme les catastrophes naturelles ou les cyberattaques. Et elles supportent ainsi le risque de toutes les conséquences liées à la perte de données ou aux temps d'arrêt, y compris les pertes de chiffre d'affaires, les coûts liés aux pénalités et aux amendes [...].
Rédaction
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13 décembre 2022
Florian Malecki d'Arcserve constate que de nombreux CEO se déplacent sans stratégie de restauration et de reprise après sinistre. (Image : Arcserve)
La plupart des entreprises ne disposent toujours pas d'un programme complet de reprise après sinistre, c'est-à-dire de restauration des systèmes et des données en cas de catastrophe - et ce, bien qu'elles soient exposées à divers risques sérieux, comme les catastrophes naturelles ou les cyberattaques. Et elles supportent ainsi le risque de tous les effets dus à la perte de données ou aux temps d'arrêt, y compris la perte de chiffre d'affaires, le coût des pénalités et des amendes ainsi que le préjudice causé à la marque de l'entreprise.
Malgré les risques évidents et les conséquences potentiellement dévastatrices pour l'ensemble de l'entreprise, les intégrateurs de systèmes et les fournisseurs de services gérés (MSP) ont toujours du mal à convaincre les PDG qu'une catastrophe, quelle qu'elle soit, est pratiquement inévitable. Pourtant, espérer que rien ne se passe n'est pas un bon plan - surtout lorsque des solutions éprouvées existent.
Il existe trois façons de convaincre les PDG, les managers ou la direction de l'entreprise de ne pas se contenter de sauvegarder leurs données, mais d'investir dans une solution professionnelle de récupération après sinistre :
1. la différence essentielle entre la sauvegarde et la reprise après sinistre
La chaîne d'arguments qui permet de convaincre les dirigeants d'investir dans une stratégie de reprise après sinistre appropriée commence souvent par l'éducation. Il est utile que la direction de l'entreprise connaisse la différence entre la sauvegarde des données et la reprise après sinistre. La simple sauvegarde des données consiste à créer des copies des données importantes qui seront disponibles en cas de perte ou de compromission des données originales. Les sauvegardes dans le cloud ou dans un autre environnement secondaire ont fait leurs preuves. Toutefois, les sauvegardes classiques ne suffisent pas à garantir une restauration rapide et complète après une catastrophe. C'est là que la reprise après sinistre entre en jeu. Un plan de reprise après sinistre garantit une restauration rapide et complète après une catastrophe de presque n'importe quel type. Il comprend un plan détaillé qui définit toutes les étapes nécessaires à une récupération complète tout en s'assurant que ces étapes sont bien réalisées. Il définit les objectifs de restauration et établit des mesures qui ne se rapportent pas uniquement aux intérêts de l'informatique, mais qui visent à garantir l'ensemble de l'entreprise et de ses chaînes de processus. En outre, des tests réguliers des copies de sauvegarde permettent de s'assurer que les données, les systèmes et les chaînes de processus sont effectivement récupérables. Pour la direction de l'entreprise, il est important de comprendre que la sauvegarde des données ou le backup ne sont qu'une partie d'un plan de récupération d'urgence global et qu'ils ne garantissent pas encore la continuité des activités.
Il ne s'agit pas de peur, mais de sécurité
La peur peut être un puissant facteur de motivation. Mais il est préférable de savoir qu'il ne faut pas avoir peur. Avec ce message positif, il est beaucoup plus facile de convaincre les CEO que le Disaster Recovery et un plan de récupération en cas de sinistre sont essentiels pour assurer la pérennité de l'entreprise. Un plan de reprise après sinistre est un investissement qui peut garantir le chiffre d'affaires et protéger l'existence de l'entreprise. En outre, il offre aux dirigeants la possibilité d'acquérir une connaissance approfondie de chaque partie de l'organisation afin d'évaluer encore mieux la dépendance à la technologie numérique. Car, en fin de compte, il s'agit de s'assurer que l'entreprise est toujours disponible pour ses clients, qu'elle produit efficacement et, en fin de compte, qu'elle réussit.
En bref, des initiatives telles que la reprise après sinistre et un plan de récupération après sinistre seront approuvées et soutenues par la direction de l'entreprise si les avantages et les inconvénients sont communiqués et compris au niveau C. Lorsque les intégrateurs de systèmes et les MSP comparent un aperçu détaillé des menaces potentielles et des coûts consécutifs aux catastrophes avec les avantages d'un programme complet de reprise après sinistre, il y a de fortes chances qu'ils soient engagés.
La disponibilité et les avantages du DRaaS
De nombreuses entreprises ont constaté que le fait de confier la reprise après sinistre à des collaborateurs informatiques internes peut s'avérer problématique. En effet, ces collaborateurs sont détournés de leur mission première, qui est de soutenir de manière significative les activités quotidiennes de l'entreprise. C'est pourquoi de nombreux CEO sont ouverts à l'idée d'attribuer des budgets à des MSP plutôt que de grever les ressources internes pour la création, le déploiement et la maintenance d'un plan de reprise après sinistre. Un large éventail de fonctions informatiques, qui étaient auparavant gérées en interne, sont aujourd'hui fournies par des prestataires externes sous forme de services. Les services informatiques de tous types sont efficaces en termes de travail et de coûts, car ils ne nécessitent pas, par exemple, d'investissement dans une nouvelle infrastructure.
En cas de catastrophe, lorsque les serveurs, les disques durs ou d'autres composants informatiques d'une entreprise tombent en panne, un partenaire Disaster Recovery as a Service (DRaaS) peut intervenir rapidement et restaurer à la fois les données et l'infrastructure. Un partenaire DRaaS garantit que toutes les données sont régulièrement sauvegardées et qu'il existe un plan solide pour remettre rapidement l'infrastructure en état de marche après une catastrophe. Pour les CEO, cela signifie la sécurité pour leur entreprise. Avec un partenaire DRaaS, ils ont la certitude que des professionnels expérimentés relèvent tous les défis de la reprise après sinistre et gèrent systématiquement tous les aspects de la restauration. Ils peuvent être sûrs qu'une catastrophe ne mettra pas leur entreprise hors course.
En résumé, il faut : La reprise après sinistre a besoin d'une stratégie
Aucun chef d'entreprise ne conduirait une voiture sans couverture d'assurance ou n'achèterait une maison sans assurance. Et pourtant, de nombreuses entreprises gèrent leur activité sans stratégie de restauration et de reprise après sinistre en cas de catastrophe. Les responsables espèrent qu'aucune catastrophe ne se produira ou ignorent le risque. Ce n'est pas une bonne stratégie et c'est aussi totalement inutile. En effet, il existe aujourd'hui un grand nombre de MSP expérimentés qui proposent des solutions et des services solides.
Auteur : Florian Malecki est vice-président exécutif du marketing de ArcserveLe projet a été mené à bien grâce à l'aide d'un fournisseur de solutions de protection des données et de continuité des activités.
Studio Thom Pfister réalise un rebranding pour Simatec
L'entreprise familiale Simatec de Wangen an der Aare développe, produit et commercialise des produits pour la maintenance des roulements sous les marques de produits Simalube, Simatherm et Simatool. La collaboration entre Studio Thom Pfister et Simatec a débuté par un concours de design pour les étiquettes Simalube. L'agence ne s'est pas contentée d'élaborer un nouvel habit pour Simalube, elle a été [...].
Rédaction
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13 décembre 2022
L'entreprise familiale Simatec de Wangen an der Aare développe, produit et commercialise des produits pour la maintenance des roulements sous les marques Simalube, Simatherm et Simatool.
La collaboration entre Studio Thom Pfister et Simatec a débuté par un concours de design pour les étiquettes Simalube. L'agence n'élabore pas seulement un nouvel habit pour Simalube, mais a été chargée de développer le rebranding pour toutes les marques. Studio Thom Pfister a ainsi remanié la marque ombrelle Simatec et les marques de produits Simalube, Simatherm et Simatool.
L'élément de design nouvellement développé relie les différentes marques. L'univers visuel, les icônes et les mises en page des imprimés ont été redéfinis. Un design d'écran a également été créé pour le site web. Le déploiement de la nouvelle identité visuelle se fera en continu et devrait être achevé en 2023, à l'occasion du quarantième anniversaire de l'entreprise en juillet 2023.
Responsable chez Simatec : Mischa Wyssmann (CEO), Peter Aebi (chef du Product Management), Ivo Sonderegger (Marketing & Communications), Angela Kalousek (Marketing & Communications). Responsable chez Studio Thom Pfister : Thom Pfister (directeur de création, idée/concept), Ursula Rytz (conseil), Roland Zenger (directeur artistique), Daniel Hackiewicz (design graphique & développement web), Juli Martinelli (design graphique), Laura Capponi (conseillère de marque).
SAP Quality Awards : une nouvelle catégorie pour le développement durable
Depuis 2005, SAP a décerné des SAP Quality Awards à plus de 1300 clients dans le monde entier. En Suisse, SAP a désigné depuis 2008 112 gagnants qui se sont distingués par des prestations exceptionnelles lors de la planification et de l'exécution de projets d'implémentation. Les implémentations SAP réussies montrent non seulement une planification de projet à un niveau de qualité élevé, mais aussi une concentration sur des mises en œuvre rapides et rentables, proches du [...].
Depuis 2005, SAP a décerné des SAP Quality Awards à plus de 1300 clients dans le monde entier. En Suisse, SAP a désigné depuis 2008 112 gagnants qui se sont distingués par des prestations exceptionnelles lors de la planification et de la réalisation de projets d'implémentation. Les implémentations SAP réussies montrent non seulement une planification de projet à un niveau de qualité élevé, mais aussi une concentration sur des mises en œuvre rapides et rentables proches du standard SAP. Les Quality Awards récompensent les clients SAP qui font preuve d'une performance exceptionnelle. Les projets sont évalués par un jury indépendant sur la base des dix principes de qualité recommandés par SAP. Ceux qui les respectent peuvent s'attendre à de meilleurs résultats lors de l'implémentation de logiciels standard. L'objectif est d'obtenir des résultats de projet qui génèrent une valeur ajoutée mesurable et qui répondent à l'exigence de cycles d'introduction courts et d'une création de valeur rapide.
Les prix SAP Quality Awards : Récompenses dans trois catégories
Les entreprises dont les implémentations SAP ont été couronnées de succès peuvent se porter candidates dans trois catégories pour un SAP Quality Award. Dans chaque catégorie, un grand gagnant sera désigné.
La nouvelle catégorie est "Sustainability". Les entreprises qui souhaitent concourir dans cette catégorie doivent présenter au moins une des solutions du Portefeuille de durabilité de SAP en utilisation active. Ce portefeuille comprend des solutions pour le changement climatique, l'économie circulaire, la responsabilité sociale ainsi que pour la durabilité et les rapports ESG. Une autre condition est que les projets soumis doivent avoir un impact mesurable sur au moins l'une des 17 Objectifs de développement durable (Sustainable Development Goals, SDG) des Nations unies.
Dans la catégorie "Rapid Time to Value" Les projets de petite et moyenne taille avec moins de 600 utilisateurs, une durée maximale de 7 mois et une charge de travail de moins de 1000 jours-personnes sont concernés.
La catégorie "Transformation des entreprises" comprend de grands projets avec plus de 500 utilisateurs, une durée de projet de plus de 6 mois et une charge de travail de plus de 900 jours-personnes.
Qui peut participer ?
Sont autorisées à participer toutes les entreprises qui ont implémenté une solution SAP entre 2 et 18 mois avant la candidature et qui sont domiciliées en Suisse ou sont gérées par SAP Suisse. Les projets ne doivent pas avoir été soumis à une autre société SAP ni à un Quality Award au cours d'une année précédente. Les partenaires SAP peuvent soutenir leurs clients dans leur candidature, mais ne peuvent pas soumettre de projets eux-mêmes.
Les entreprises intéressées par une candidature remplissent un Questionnaire ainsi que la nomination en ligne de la sélection. Elles constituent la base d'une shortlist. Les entreprises figurant sur la shortlist présentent ensuite leur projet au jury indépendant lors d'une session en ligne de 45 minutes. Ce comité choisit ensuite les gagnants de chaque catégorie de prix.
Selon SAP, les gagnants profitent de cette distinction à plusieurs égards. Ils reçoivent une reconnaissance interne et externe pour leur performance. Le prix apporte du prestige aux équipes et à leurs membres. En outre, il constitue une preuve de professionnalisme vis-à-vis des parties prenantes concernées et facilite le financement de futurs projets informatiques.
Étude : la majorité des entreprises proposent Twint comme moyen de paiement
Le nombre de points d'acceptation de Twint ne cesse de croître : selon une étude récente de la Haute école des sciences appliquées de Zurich, environ 77% des magasins stationnaires et 76% des boutiques en ligne en Suisse proposent désormais Twint comme moyen de paiement. En 2022, de nombreux commerçants auront mis Twint en ligne comme moyen de paiement. Parmi les détaillants tels que Coop, Migros et Aldi, [...]
Rédaction
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12 décembre 2022
Le nombre de points d'acceptation de Twint ne cesse de croître : selon une étude récente de la Haute école des sciences appliquées de Zurich, environ 77% des magasins stationnaires et 76% des boutiques en ligne en Suisse proposent désormais Twint comme moyen de paiement. En 2022, de nombreux commerçants auront mis Twint en ligne comme moyen de paiement. Les détaillants comme Coop, Migros et Aldi, qui acceptent déjà les paiements par Twint depuis un certain temps, ont été rejoints cette année par Denner et Lidl. Et depuis ce printemps, il est également possible d'effectuer des paiements chez McDonald's.
Le nombre de boutiques en ligne qui proposent Twint comme option de paiement a également augmenté. Ainsi, Globus, Hotelplan, ifolor, Breuninger, Just Eat ou Zalando en font désormais partie.