Fusion de deux développeurs de logiciels : Farner crée la marque Hyand
La fusion des deux entreprises MT et God donne naissance au nouveau développeur de logiciels allemand Hyand. Farner I Team Farner développe pour Hyand un nouveau nom, une histoire de marque ainsi que l'ensemble de l'identité visuelle.
Rédaction
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22 mai 2024
La fusion des deux entreprises MT et God réunit en même temps deux marques qui se distinguent et se complètent donc idéalement. Cette "Merger of Equals" implique également le développement d'une marque qui doit réunir avec succès les collaborateurs des deux entreprises, ancrer l'exigence d'excellence dans les marchés de vente et positionner durablement l'entreprise sur le marché du travail.
Au niveau de la stratégie de marque, Farner I Team Farner a développé une vision et une mission précises. En outre, une identité de marque a été créée afin de consolider l'ambition de leadership en matière de compétences et d'innovation, tant en interne qu'en externe. Cette exigence est également reflétée par le nom Hyand. Le nouveau nom de la marque est dérivé du terme anglais "High End" et du suffixe "and/plus". Avec son nouveau nom, Hyand doit montrer qu'il s'agit d'une entreprise dont les prestations dépassent les attentes. Cette dérivation est également reprise dans le nouveau design de la marque et dans le logo.
Le slogan "Code of Change" résume la brand story de la nouvelle marque Hyand. Celle-ci a été mise en scène dans un film de marque en collaboration avec Addictive Films.
Responsable chez Hyand : Dr Sarah Schütmatt (responsable du secteur Marketing), Andrej Krahne (Chief Innovation Officer). Responsable chez Farner Consulting : Markus Gut, Jan Jenny, Fabian Bertschinger, Martin Fawer.
Republica : le rideau se lève sur le nouveau TOBS !
Le Theater Orchester Biel Solothurn "TOBS !" se présente sous un jour entièrement nouveau. L'agence bernoise Republica a conseillé la maison multidisciplinaire sur le plan stratégique et a créé une nouvelle présentation qui commence par la définition de l'essence de la marque et qui, à travers toutes les mesures, dégage beaucoup de fraîcheur, de profondeur culturelle et en même temps une légèreté contemporaine.
Rédaction
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22 mai 2024
En 2013, les deux institutions Théâtre Bienne Soleure et Orchestre symphonique de Bienne ont fusionné pour donner naissance au Théâtre Orchestre Bienne Soleure, dont le sigle est TOBS. Cette institution bilingue et pluridisciplinaire a des exigences élevées en matière d'expression artistique et attire des personnalités de toutes les disciplines, ce qui constitue à son tour un terreau idéal pour les talents émergents et un tremplin pour de futures carrières. Avec quatre lieux de représentation à Bienne et deux à Soleure, l'Orchestre de théâtre Bienne Soleure est en outre l'un des plus grands employeurs de la région. Tout cela a incité Republica à mettre un point d'exclamation.
TOBS ! a demandé à Republica de transformer sa présentation actuelle afin qu'elle reflète la grande diversité et la qualité de ce qui est proposé. En effet, la transformation est une constante dans le domaine culturel, sans laquelle une offre culturelle ne peut pas s'épanouir. Il fallait donc repenser et redessiner le contenu et le visuel pour attirer l'attention sur tous les canaux essentiels et par rapport à la vaste offre concurrente des secteurs du divertissement, de la culture et des loisirs. Parallèlement, les ventes d'abonnements et de billets individuels devraient augmenter et les jeunes générations devraient être attirées par le programme de TOBS ! à des jeunes gens. Pour ce faire, il a été décidé, entre autres le site web a été entièrement remanié.
Une culture qui donne le ton
La nouvelle marque avec point d'exclamation TOBS ! se présente explicitement comme un phénomène fluide. Elle doit faire bouger les gens, les cultures et les cœurs, mais aussi le quotidien, les sentiments, les sons et les corps - bref, tout.
La communication visuelle événementielle est un élément essentiel de la mission. C'est là que l'on voit in extremis à quel point la marque TOBS ! est - et doit être - changeante et pourtant reconnaissable. Car entre un classique comme "Macbeth" et une pièce moderne comme "Cabaret", il y a un monde. C'est pourquoi la marque est mise en avant dans tous les sujets d'événements, presque comme un décor de scène, tout en restant extrêmement flexible, adaptable et fluide, et en faisant apparaître ses protagonistes sous leur meilleur jour.
Bien que TOBS ! se considère comme une institution interdisciplinaire avec ses différents domaines, les cinq secteurs que sont l'art dramatique, l'opéra, le concert, la danse et la jeunesse sont désormais clairement séparés par des couleurs. Les groupes cibles peuvent ainsi décoder rapidement les messages ; et surtout, la diversité de l'offre est ainsi soulignée visuellement.
Migros prononce ses premiers licenciements en raison de la restructuration du groupe
Comme annoncé, la nouvelle société Migros Supermarché SA supprime ses premiers postes. Mardi, la direction a informé les collaborateurs de ces suppressions par un livestream, comme l'a annoncé Migros le même jour. Environ 150 collaborateurs perdent leur emploi, 100 autres reçoivent un congé de modification.
Rédaction
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21 mai 2024
Selon un rapport du portail, Migros avait annoncé la suppression de postes chez Supermarkt AG. Inside Paradeplatz a déjà été confirmé vendredi. Selon le communiqué, les collaborateurs du siège principal de Migros à la Limmatplatz à Zurich sont concernés par les suppressions. Ce sont surtout des services administratifs qui y sont installés.
Toutes les directions de Supermarkt AG sont concernées, dont les directions produits frais, food et non-food ainsi que les départements communication marketing, finances, opérations, distribution et état-major, a expliqué un porte-parole interrogé. "C'est dans le domaine de la communication marketing que le plus grand nombre de postes seront supprimés", a-t-il déclaré. Le personnel des filiales n'est en revanche pas concerné par ces mesures.
Selon le communiqué, les personnes licenciées seront soutenues dans leur réorientation professionnelle. En outre, comme déjà communiqué, Migros a mis en place un nouveau plan social en vue des licenciements à venir au 1er mai. En effet, dans le cadre de la réorientation de l'entreprise, quelque 1500 postes de travail seront supprimés au total.
Nouvelle structure
La direction de Supermarkt SA, en collaboration avec une équipe de projet composée de toutes les directions et de conseillers externes - il s'agit, selon les médias, d'une équipe de la société de conseil McKinsey - a réorganisé la structure organisationnelle. Cette nouvelle structure a été approuvée par le conseil d'administration de Supermarkt SA et sera mise en place au 1er juillet 2024.
L'objectif de cette réorientation est de "simplifier les processus, d'alléger les structures et de clarifier les rôles". Le contexte est que Migros veut faire des économies sous ses nouveaux chefs Mario Irminger, chef de la Fédération des coopératives Migros, et Peter Diethelm, chef de Migros Supermarché SA.
Dans la foulée, la société veut également vendre plusieurs marchés spécialisés et filiales, dont le distributeur d'électronique Melectronics. La vente se déroule "comme prévu", selon le porte-parole.
Comme l'écrit Migros dans son dernier communiqué de presse, la vente prévue de Melectronics entraînera toutefois des changements dans une cinquantaine de grands magasins de supermarchés de Migros. "Il s'agit ici des surfaces de vente Melectronics à l'intérieur des supermarchés Migros, similaires aux formats shop-in-shop", a déclaré le porte-parole.
A l'avenir, Melectronics ne vendra plus qu'un "assortiment de base d'articles électroniques" sur ces sites. Ces surfaces de vente au sein des supermarchés Migros ne seraient pas à vendre - contrairement aux magasins Melectronics indépendants.
Migros abandonne le Nutri-Score et le service de livraison de repas à domicile
Outre les licenciements, diverses autres mesures d'économie sont prises par Migros Supermarché SA. L'une d'entre elles concerne le label alimentaire facultatif Nutri-Score. Migros veut supprimer progressivement le Nutri-Score de ses produits.
La raison invoquée par l'entreprise est que le label apporte trop peu et coûte trop cher. "Les expériences faites depuis son introduction il y a trois ans ont montré que l'utilité est trop faible par rapport aux coûts élevés", peut-on lire dans le communiqué. Migros ne veut toutefois pas chiffrer le montant actuel des coûts du label. "Ce que nous pouvons dire, c'est que les coûts de l'abandon sont nettement inférieurs à la poursuite de la conversion et aux éventuelles adaptations futures de tous les produits", explique une porte-parole.
Le Nutri-Score est un système d'étiquetage alimentaire utilisé dans plusieurs pays d'Europe qui compare, grâce à un système de couleurs et de lettres, les aliments d'une même catégorie en fonction de leur équilibre. La Confédération soutient cette initiative, qui a été développée par le ministère français de la Santé.
Par ailleurs, Migros annonce l'arrêt du service de livraison de repas Foodnow à la fin du mois de mai. Lancé en 2020, ce service de livraison est comparable à des services comme Eat.ch ou Uber Eats et livre des repas de restaurants aux clients. "Malgré environ 600 restaurants partenaires, une croissance considérable des commandes et l'extension de la zone de livraison, les objectifs économiques n'ont malheureusement pas pu être atteints", explique Migros pour justifier sa décision d'abandonner Foodnow.
La directrice de Fraîcheur s'en va
L'équipe de direction de Migros Supermarché SA connaît un nouveau départ. Sandra Stöckli, qui dirigeait la direction des produits frais depuis l'été dernier et qui était l'adjointe du chef des supermarchés Migros Peter Diethelm, quittera ses fonctions à la fin juin.
Elle quittera ensuite complètement l'entreprise à la fin du mois d'août. Selon le communiqué, aucune succession n'est prévue à la tête de la direction des produits frais. En lieu et place, les deux directions Food et Fraîcheur seront désormais réunies en une seule direction. La direction combinée sera dirigée par Miriam Richter, qui est responsable depuis mars du secteur Food & Approvisionnement. (SDA)
Bold fournit des rafraîchissements en double pour Lateltin
Certaines choses, comme les recettes éprouvées, ne doivent pas être modifiées. En revanche, pour les présentations de marque, un rafraîchissement peut faire des merveilles, comme le montre Bold pour l'entreprise Lateltin.
Rédaction
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16 mai 2024
Pour les deux marques de boissons de Lateltin, Jsotta et Ginuin, l'agence bernoise a mis en place une nouvelle présentation, y compris des mesures de communication.
Jsotta est fabriqué exclusivement à partir de vins suisses et d'herbes suisses sélectionnées à la main. Pour le vermouth et ses différentes alternatives de produits, la recette du succès est "la force d'innovation, la qualité et le sens des tendances". Un branding frais et moderne a été développé pour mettre en scène la marque en conséquence.
Ginuine est synonyme de gin authentique et honnête de Suisse et a été créé il y a quelques années par Lateltin. La gamme est complétée par la variante sans alcool G'nuine Zero. En accord avec cette boisson contemporaine, Bold a créé ici aussi une image de marque qui met en scène avec justesse le caractère authentique de G'nuine Zero.
Dans les campagnes pour Jsotta et G'nuine Zero, Bold mise sur une stratégie de communication variée afin d'ancrer les marques dans l'esprit des consommateurs avec des présentations fraîches. Les looks doivent refléter à la fois la tradition et la force d'innovation de Lateltin. Les visuels clés et les spots des deux boissons seront visibles à partir du mois de mai sur un large éventail de supports d'affichage, DOOH, imprimés et en ligne.
Responsable chez Lateltin : Michaela Berger (responsable de la marque). Agence responsable & production : Bold, Studio Canapé (Oliver Schmocker). Styliste alimentaire : Nom-nom food studio.
Publication d'un livre blanc sur la directive ISO 31030 relative à la gestion des risques liés aux voyages
La Fondation International SOS a publié le livre blanc "ISO 31030:2021 Travel Risk Management. Safeguarding Your International Workforce - Ensuring Compliance for Swiss Organisations", publié en collaboration avec l'Association of Swiss Travel Management (ASTM) et l'avocat suisse Michel Chavanne, du cabinet r&associés avocats, spécialisé dans le droit du travail.
Rédaction
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16 mai 2024
Un nouveau livre blanc sur la norme ISO 31030 traite de la gestion des risques liés aux voyages. (Image : Rob Wilson / Unsplash.com)
La Fondation International SOS se veut l'ambassadrice du thème du devoir d'assistance. Elle a été créée en 2011 pour améliorer la sécurité, la santé et le bien-être des personnes qui voyagent ou travaillent à l'étranger pour des raisons professionnelles. En collaboration avec le cabinet d'avocats lausannois r&associés avocats, la fondation a publié un livre blanc à ce sujet. Le livre blanc en anglais résume les parties fondamentales de la directive publiée par l'International Organization for Standardization en 2021. "ISO 31030:2021 Gestion des risques liés aux voyages. Guidance for organizations" (Guide pour les organisations) de l'entreprise. Il présente une approche systématique de la gestion des risques liés aux voyages et donne des recommandations en vue de la mise en œuvre de la directive ISO 31030, afin de permettre aux entreprises suisses de remplir plus facilement leur devoir d'assistance.
Possibilité d'un benchmark international
"Pour garantir une gestion efficace des risques liés aux voyages tout en respectant le devoir d'assistance, une approche systématique est essentielle. Cela implique le développement, la mise en œuvre, l'évaluation et la révision d'un système intégré et personnalisé de gestion des risques liés aux voyages, aligné sur la directive ISO 31030", a déclaré Dominic Short, coprésident en exercice de l'Association of Swiss Travel Management. "Le nouveau guide que nous avons élaboré en collaboration avec l'International SOS Foundation fournit aux entreprises suisses une telle approche et énumère les mesures qu'elles peuvent prendre pour se conformer aux exigences de la directive ISO 31030", poursuit M. Short.
"La directive ISO 31030 offre enfin aux entreprises la possibilité de disposer d'un benchmark international et d'un guide étape par étape sur les points que les entreprises doivent prendre en compte pour une gestion globale des risques liés aux voyages", ajoute Wolfgang Hofmann, Regional Security Manager chez International SOS.
Objectif : développer une norme mondiale pour la gestion des risques liés aux voyages
Le secteur de la gestion des risques liés aux voyages a considérablement évolué ces dernières années, notamment en raison d'incidents complexes liés à la santé et à la sécurité. Ces évolutions ont accru la nécessité d'adaptations réglementaires ou d'une réaction significative. Pour répondre à ce besoin, l'International Organization for Standardization a publié le guide ISO 31030. L'objectif est de créer une norme mondiale applicable aux entreprises et aux organisations, quel que soit leur secteur ou leur taille. La norme doit contribuer à la protection globale de la santé et de la sécurité des collaborateurs. En même temps, elle vise à minimiser les risques opérationnels, juridiques et de réputation associés aux activités liées au travail lorsque les voyageurs d'affaires se trouvent en dehors de leur lieu de travail habituel.
Un brand refresh savoureux d'Allink pour la Chesa Rosatsch
Dans le cadre d'un brand refresh, Allink a modernisé le site web ainsi que la présentation de la Chesa Rosatsch à Celerina et a positionné l'établissement traditionnel comme un hôtel de plaisir.
Rédaction
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15 mai 2024
Le site web et l'image de marque d'un hôtel sont généralement le premier point de contact décisif pour les nouveaux clients. Il en va de même pour Chesa RosatschDepuis des décennies déjà, cet établissement traditionnel marque de son empreinte la commune engadinoise de Celerina et attire non seulement des clients internationaux, mais aussi de nombreux locaux - grâce à trois restaurants et un bar.
Avec un rafraîchissement de la marque, Allink a remis l'image au goût du jour et l'a orientée vers un public plus jeune. Le thème "plaisir" a donné l'orientation stratégique de la marque : de la catégorie "hôtel plaisir" créée spécialement à l'opulence de l'univers visuel. Des photos saisonnières prises par des drones invitent les visiteurs du site Internet à se plonger dans l'univers de la Chesa Rosatsch, tandis que des photos de natures mortes soigneusement arrangées mettent en lumière les plaisirs culinaires. Les produits propres à la Chesa Rosatsch - des spiritueux comme la vodka Brotbrösmeli à la sauce chili - ont également été dotés d'un nouveau design d'emballage qui s'inspire de la présentation générale.
Le thème du plaisir est également abordé dans le marketing en ligne sous la forme de contenus relatifs à la Chesa Rosatsch. Les coopérations de longue date avec les petites entreprises locales sont mises en avant sous la forme d'"Alpine Food Stories" et doivent donner envie de visiter Celerina. Le nouveau design de la marque est complété par des logos modernisés pour l'hôtel et les restaurants ainsi que par une typographie simple mais autonome avec une police de caractères d'entreprise spécialement créée pour l'occasion.
Responsable chez Chesa RosatschMichael Stutz (propriétaire de Gastgeber 3.0 AG, société d'exploitation), Fanny Eisl (marketing), Rahel Meyer (hôtelière & hôtesse). Responsable chez Allink: David Zangger (Creative Director, Partner), Fabian Schiltknecht (Managing Director), Davide Rossetto (Design Director), Marc Wöltinger (Strategy & Content Director), Simon Zangger (Photo & Film Director), Yuma Greco (Photographer), Lena Nyfeler (Photography Apprentice), Alban Bochsler (Technical Director), Nicolai Spicher (Senior Digital Designer), Nora Pfund (Online Marketing Manager), Johanna Senn (Copywriter), Florin Schweizer (Trainee Content & Online Marketing).
Le label de confiance numérique s'étend désormais à l'IA de confiance
En Suisse, le premier outil est lancé pour aider les entreprises à utiliser l'intelligence artificielle (IA) de manière fiable et responsable. Le Digital Trust Label (DTL) est une réponse à la méfiance croissante des utilisateurs et à la multiplication des réglementations.
Rédaction
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15 mai 2024
Les quatre critères principaux du Digital Trust Label. (Image : Swiss Digital Initiative)
Le label de confiance numérique (DTL) a été créé lancé en janvier 2022L'objectif est de promouvoir la confiance et la transparence dans les services numériques. Sur cette base, le catalogue de critères a été élargi pour mieux inclure l'IA. Cela s'est fait dans le cadre d'un processus complet et coopératif avec des partenaires et le Digital Trust Expert Group. "Par analogie avec un label bio ou un tableau des valeurs nutritives, le label Digital Trust fonctionne comme un sceau de confiance pour le monde numérique", explique Doris Leuthard, présidente du conseil de fondation de SDI. "Avec cette liste de critères actualisée, le DTL est désormais compatible avec l'IA et comble l'écart actuel entre la demande croissante d'IA et l'évolution de la réglementation. Le DTL permet aux entreprises d'avancer dans l'utilisation de l'IA de manière fiable".
Catalogue de critères vérifiables
Le catalogue de critères actualisé sert non seulement de base aux certifications DTL, mais aussi de guide pour les organisations qui souhaitent exploiter le potentiel de l'IA de manière responsable et digne de confiance, tout en protégeant les utilisateurs finaux des services numériques basés sur l'IA. L'IA étant en constante évolution, la SDI publiera également d'autres guides. Grâce à cette extension, la DTL deviendra un outil important pour les fournisseurs de services numériques afin de maintenir et d'établir la confiance des utilisateurs, en particulier lorsqu'ils utilisent l'IA générative (GenAI). Face à la multiplication des réglementations à travers le monde et à la prolifération des principes, la DTL reste unique en ce qu'elle opérationnalise des valeurs et des principes abstraits dans un ensemble de critères vérifiables. Alors que les réglementations et les normes rattrapent leur retard, la DTL offre une solution qui améliore déjà la transparence pour les utilisateurs finaux des services numériques.
Celui qui veut profiter de l'IA doit être digne de confiance
Depuis sa création en 2020, la SDI s'intéresse déjà au thème de la confiance numérique, un thème dont l'importance s'accroît encore fortement avec l'IA. La question de la
La fiabilité des systèmes d'IA et l'intégrité des entrées et sorties de données freinent l'acceptation et attisent la méfiance des utilisateurs comme des entreprises. S'appuyant sur le catalogue de critères éprouvés de la DTL, les critères supplémentaires abordent spécifiquement les questions de confiance soulevées par l'IA et la GenAI. Le long des dimensions existantes du DTL - sécurité, protection des données, fiabilité et interaction équitable avec les utilisateurs - les critères spécifiques à l'IA mentionnent par exemple les obligations d'information et de transparence vis-à-vis des utilisateurs finaux, les procédures de gestion des risques, abordent les distorsions dans les systèmes algorithmiques et les considérations éthiques concernant les données d'entraînement.
Une solution pratique et pragmatique dans une période d'incertitude
Depuis la création de la Swiss Digital Initiative, cette fondation à but non lucratif basée à Genève travaille à la mise en pratique de principes éthiques et rassemble des experts, des praticiens et des fournisseurs de services numériques dans un processus collaboratif. Le Digital Trust Label place l'utilisateur final des services numériques au centre des préoccupations et fournit aux fournisseurs de services numériques un outil qui leur permet de communiquer clairement leur adhésion à des pratiques de confiance. Parmi les organisations qui ont déjà obtenu le DTL pour un service numérique, on trouve Cisco, Credit Exchange, Julius Bär, Kudelski IoT, OneLog, PeopleWeek, Swisscom, Swiss Post, Swiss Re, Tresorit, UNICEF et Wefox. Le DTL peut également faire l'objet d'une licence en tant que système d'audit opérationnel, ce qui représente une possibilité intéressante pour les entreprises qui souhaitent certifier la fiabilité des services numériques.
Comment l'IA et le cloud façonnent l'avenir de l'assurance qualité
L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) et des technologies cloud joue un rôle décisif dans l'optimisation de la gestion de la qualité et dans la prévention des erreurs. Nous présentons quelques-unes des principales tendances et la valeur ajoutée pour les utilisateurs.
Rédaction
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15 mai 2024
Les technologies d'IA permettent de faire des prévisions précises en analysant de grandes quantités de données et en détectant les erreurs à un stade précoce. (Image symbolique. Jakub Żerdzicki / Unsplash.com)
L'avenir de l'assurance qualité réside dans la numérisation. L'utilisation de l'IA permet d'automatiser des processus à multiples facettes, ce qui entraîne une augmentation de la qualité des produits et des services. Dans l'industrie en particulier, ces développements sont d'une grande importance pour optimiser les processus internes et garantir la satisfaction des clients à long terme.
Des prévisions précises grâce au soutien de l'IA
Les technologies d'IA permettent de faire des prévisions précises en analysant de grandes quantités de données et en détectant les erreurs à un stade précoce. Cela aide les entreprises à améliorer continuellement leurs normes de qualité. Dans le domaine de l'assurance qualité, l'IA contribue à la prévention des erreurs et reconnaît des modèles à partir desquels les défauts peuvent être rapidement identifiés et les éventuels défauts du produit final prédits. Ces prévisions de la qualité des produits et des processus basées sur les données permettent aux entreprises de se rapprocher de l'objectif de la "qualité prédictive". Grâce à la surveillance informatisée de tous les paramètres, il est possible d'identifier les défauts de qualité tout au long de la chaîne d'approvisionnement avant qu'ils n'apparaissent réellement.
Flexibilité et évolutivité grâce au cloud
Les systèmes de gestion des données et des documents (DMS) basés sur le cloud se distinguent par leur flexibilité et leur évolutivité. De nouveaux partenaires rejoignent à tout moment les processus de qualité tout au long de la chaîne d'approvisionnement, en toute simplicité et sans frais d'installation. L'environnement de données commun ainsi créé met en réseau toutes les informations importantes pour la qualité dans une "Single Source of Truth". Cela garantit que toutes les personnes concernées travaillent toujours avec la version actuelle dans toute l'entreprise. Un système intelligent de rôles et de droits veille à ce que seules les personnes autorisées aient accès aux données sensibles. Une communication réglementée et un échange d'informations transparent sont la base pour que les entreprises améliorent continuellement leur gestion de la qualité en utilisant des systèmes intelligents comme la qualité assistée par ordinateur (CAQ) ou la qualité prédictive.
L'utilisabilité comme facteur de réussite pour l'assurance qualité
Les entreprises misent de plus en plus sur les terminaux mobiles et les technologies de réalité virtuelle ou augmentée pour optimiser les processus de travail dans la gestion de la qualité. Les écarts peuvent être saisis directement au shopfloor via un appareil mobile ou un appareil VR/AR et être accompagnés d'informations supplémentaires. Une assistance IA dans la méthode de résolution des problèmes 8D aide par exemple à mettre en place des mesures immédiates et préventives appropriées ou à constituer l'équipe optimale pour la résolution des erreurs. Les mesures nécessaires sont attribuées et mises en œuvre de manière automatisée via des workflows numériques dans le DMS.
Optimiser les processus de qualité avec Low-Code
Les fonctions Low-Code et No-Code donnent aux départements spécialisés la possibilité d'adapter et d'optimiser de manière autonome les processus commerciaux et les masques de saisie. Un éditeur graphique BPMN 2.0 (Business Process Modelling Notation) et un concepteur de formulaires permettent aux collaborateurs de réagir de manière autonome à de nouvelles exigences sans connaissances en programmation et de les résoudre sans délai.
"De nombreuses entreprises utilisent déjà plusieurs logiciels hautement spécialisés pour différents domaines de la gestion de la qualité. Mais ces solutions isolées peuvent rarement être reliées entre elles. Il en résulte parfois des ruptures de médias et des taches aveugles dans la vision de la qualité", explique Andreas Dangl, directeur de Fabasoft Approve. "Avec notre système de gestion des données et des documents à part entière, nous concevons la gestion de la qualité de bout en bout tout au long de la chaîne de création de valeur. Grâce à notre technologie cloud native, l'infrastructure informatique existante peut être facilement connectée via des interfaces standard. Grâce à l'utilisation de l'IA, on obtient ainsi une vue à 360 degrés de la qualité".
Le nouveau moteur derrière la numérisation : le conflit de générations entre les nomades numériques et les natifs numériques. Les entreprises ont plus que jamais besoin d'une vision durable et numérique de leurs produits.
Rédaction
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14 mai 2024
À propos de l'entreprise
En se concentrant sur des expériences clients intelligentes et en mettant l'accent sur le design, appmotion soutient les entreprises modernes dans le développement et l'optimisation de relations clients à long terme grâce à des expériences clients numériques uniques. L'entreprise "remote-first" se considère comme un conseiller stratégique global, un réalisateur et un intégrateur dans les processus de transformation numérique. L'entreprise, qui a reçu de nombreuses distinctions et certifications, fait partie du groupe germano-suisse MYTY depuis 2022.
S e nracinée depuis plus de dix ans en Allemagne et maintenant aussi à Berne, appmotion GmbH agit comme un partenaire solide pour les entreprises qui aspirent à une transformation numérique, en créant des applications centrées sur l'utilisateur, de la vision stratégique du produit à l'implémentation technique. Avec plus d'une décennie d'expérience, l'équipe sait pourquoi c'est précisément le moment décisif pour investir dans la numérisation : le clivage générationnel entre les natifs du numérique et les nomades du numérique crée désormais un conflit dans lequel les entreprises ne s'imposeront que si elles se distinguent aussi à l'avenir sur le marché par le numérique. Pour pouvoir rester durablement dans la course, il faut aborder le tout de manière stratégique avec des équipes interdisciplinaires.
Pourquoi il faut se dépêcher
La transformation numérique se présente désormais à nous avec une nouvelle urgence : la génération Z (née entre 1997 et 2012) exige la numérisation dans tous les secteurs. Elle ne fait pas seulement partie de la première génération de natifs du numérique, elle a désormais rejoint les rangs de la population active. Dans les années à venir, elle deviendra le groupe de population au pouvoir d'achat le plus élevé et contribuera donc à l'avenir à déterminer les besoins auxquels le marché devra répondre. En tant que première génération à avoir grandi et été socialisée avec les technologies numériques, elle a des exigences claires en matière d'applications numériques : Elles doivent être transparentes et centrées sur l'utilisateur. Alors que dans les entreprises, c'est la génération de leurs parents qui siège actuellement dans les conseils d'administration et les départements stratégiques, ce sont eux qui influencent l'orientation du marché. Le directeur d'appmotion, Lasse Gruner-Lüders, est convaincu que "la génération Z est désormais le moteur de la transformation numérique. Car seules les applications numériques de haute qualité sont réellement utilisées, ce qui augmente les taux de conversion, la fidélité à la marque et, à long terme, le chiffre d'affaires. Les entreprises qui ne suivent pas le mouvement maintenant perdront le contact à long terme".
Des partenariats solides, des stratégies intelligentes
La solution est évidente : investir dans la numérisation. Mais qu'est-ce que cela signifie ? Cette étape exige plus que des développeurs qui conçoivent un site web ou une application attrayants. Il faut une approche stratégique pour que les exigences de l'entreprise et des clients s'y retrouvent de manière authentique. Une application numérique est toujours un produit de l'entreprise, et pour que la numérisation soit vraiment réussie, il faut une vision durable du produit.
Pour cela, il faut un changement sur deux fronts : Les entreprises doivent reconnaître que les réalisations uniques ne fonctionnent pas, car les produits numériques doivent être développés en permanence pour rester pertinents. C'est pourquoi un partenariat à long terme avec des studios numériques est judicieux. Du côté des agences, un changement doit également avoir lieu. Elles doivent penser davantage en termes de solutions de produits qu'en termes de campagnes. En effet, pour pouvoir s'imposer à long terme sur le plan numérique, les stratégies à long terme doivent être planifiées et mises en œuvre de manière itérative afin de pouvoir réagir de manière flexible et rapide au marché. Cela ne fonctionne pas si les partenariats entre les agences et les entreprises sont à court terme et liés à des projets. Les connaissances nécessaires à l'innovation sont alors perdues.
Des unités numériques plutôt qu'une pensée en silo
"Grâce à nos projets, nous avons compris que les visions de produits numériques durables fonctionnent mieux avec des équipes interdisciplinaires et c'est pourquoi nous avons introduit le modèle des Digital Units. Les Digital Units sont de véritables powerhouses, car elles agissent comme des centres de force de l'innovation afin d'assurer le succès économique à long terme", explique Lasse Gruner-Lüders.
Les Digital Units rassemblent des compétences numériques au sein d'équipes interdisciplinaires afin de développer des solutions agiles et centrées sur le client, au-delà des frontières traditionnelles de l'entreprise. Toujours dans l'optique de créer des produits numériques durables qui résolvent de vrais problèmes et apportent une réelle valeur ajoutée. Cette étroite collaboration leur permet de réagir rapidement aux changements et de créer de nouveaux modèles et opportunités commerciaux pour les clients.
Les unités numériques contredisent l'hypothèse selon laquelle les produits numériques sont exclusivement mis en œuvre par des développeurs et ne jouent aucun rôle majeur dans le processus global. Comme les clients ne reconnaissent souvent pas cette erreur, il arrive régulièrement qu'ils collaborent avec différents prestataires de services et sous-traitants. La stratégie, le design et le développement sont alors confiés à des personnes différentes, qui n'ont souvent que peu de points de contact et travaillent en silos. Il en résulte un processus long et rigide, semblable au modèle obsolète de la cascade. Ce n'est pas dans l'air du temps, car avec une vision du produit correctement pensée, tous les corps de métier s'imbriquent sans problème et travaillent main dans la main de manière itérative. Les Digital Units permettent de créer des produits qui ne sont pas seulement technologiquement avancés, mais qui offrent également une expérience client optimale. Et cela devrait toujours être l'objectif d'un produit numérique.
Expérience, expérience, expérience !
Ce n'est pas une actualité, mais un appel pertinent que les entreprises doivent comprendre : L'utilisateur est toujours au centre. Customer Centricity est donc venu pour rester. Les entreprises doivent être en mesure d'identifier les besoins et les souhaits de leurs clients et de les intégrer de manière proactive dans le développement des produits. Ce n'est qu'ainsi que de nouvelles références pourront être établies dans le paysage numérique. "À une époque où les produits et les services sont de plus en plus homogénéisés, la capacité à se démarquer par une expérience utilisateur unique est cruciale. Les entreprises qui l'ignorent risquent de perdre leur pertinence", sait Lasse Gruner-Lüders.
La conception de l'expérience utilisateur (UX) permet d'atteindre cet objectif, car les produits orientés design ne sont pas un luxe, mais une nécessité. Le design UX veille à ce que les utilisateurs aient la meilleure expérience possible avec les applications numériques, car elles sont centrées sur l'utilisateur, intuitivement navigables et visuellement attrayantes, tout en promettant des performances élevées avec des interactions transparentes.
Des qualités qui sont particulièrement pertinentes en ce qui concerne la génération Z : De nombreuses entreprises ont encore un point aveugle dans ce domaine. Il y a différentes raisons à cela : La génération n'est pas encore considérée comme pertinente, le lien entre les besoins du groupe cible et ceux de l'entreprise n'est pas encore connu ou l'identification avec elle fait défaut. Pourtant, elle joue déjà un rôle porteur pour l'économie suisse. Environ 16 pour cent de la population fait partie de la génération Z et en 2022, environ 13 pour cent des actifs appartiendront à cette génération. Une proportion qui devrait augmenter dans les années à venir. En tant que groupe de consommateurs croissant, il est stratégiquement important de l'intégrer dans la stratégie commerciale, d'autant plus qu'il s'agit du groupe qui utilise le plus les applications numériques au quotidien.
C'est pourquoi une interaction directe avec le groupe cible est nécessaire dès les premières phases du développement de la vision du produit et de la conception UX. Pour cela, il faut utiliser systématiquement les données et le feedback direct des utilisateurs. La fidélisation de la clientèle est ainsi garantie par une adaptation constante aux besoins changeants des utilisateurs. Cela garantit que les utilisateurs reviennent toujours à l'application.
Se rapprocher encore plus des utilisateurs grâce aux synergies
Les bons produits numériques, centrés sur l'utilisateur, sont développés grâce à des collaborations inter-silos entre le marketing, le développement commercial et le développement de produits. C'est pourquoi la collaboration avec des agences de communication numérique est essentielle, car elles sont proches du groupe cible, connaissent ses besoins, observent l'évolution des tendances et établissent des liens entre la marque et le groupe cible.
Cette interaction est rendue possible par MYTY Group, dont appmotion fait partie depuis 2022. Le réseau international du groupe comprend 13 entreprises et plus de 800 experts dans des domaines tels que le web3, le commerce électronique, le marketing, la création et bien d'autres. Plus de 200 d'entre eux sont basés dans les villes suisses de Zurich, Bâle, Berne et Aadorf.
En Suisse, les projets appmotions sont notamment enrichis par la collaboration avec Sir Mary AG, qui, grâce à l'analyse des données et des groupes cibles ainsi qu'à l'utilisation de l'IA, offre entre autres de précieux aperçus sur les développements actuels et les nouvelles tendances. "De même que les bonnes campagnes reposent sur de solides insights des groupes cibles, les bons produits numériques placent l'utilisateur et ses besoins au centre de leurs préoccupations. La collaboration interdisciplinaire est ici absolument centrale. Une interaction optimale entre la communication et le produit peut s'avérer décisive face à la concurrence", explique Tino Elsener, Strategy Director et partenaire chez Sir Mary.
Cette approche interdisciplinaire n'est pas seulement vécue entre les deux équipes, mais s'étend à MYTY Digital Solutions. Elle se compose d'entreprises du groupe MYTY spécialisées dans la mise en œuvre de la transformation numérique de manière transparente et durable. Comme ce modèle fonctionne avec succès et qu'il permet d'assurer une croissance stratégique grâce à la numérisation, appmotion s'est également positionné comme partenaire technologique en Suisse depuis 2024.
"Seules les applications numériques de haute qualité seront utilisées".
"Les unités numériques réfutent l'hypothèse selon laquelle les produits numériques sont exclusivement mis en œuvre par des développeurs".
"La génération Z joue déjà un rôle important pour l'économie en Suisse".
Image : unsplash.com / and machines studios.Image : unsplash.com / and machines studios.
Le groupe Eraneos nomme Stefan Tijsinger au poste de directeur financier
Le groupe Eraneos, entreprise internationale de conseil en technologie et en transformation numérique, a nommé Stefan Tijsinger au poste de Chief Financial Officer (CFO) et membre de la direction. Il aura pour mission d'accélérer la croissance rentable et l'internationalisation de l'entreprise.
Rédaction
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14 mai 2024
Oliver Vaterlaus (à gauche) avec Stefan Tijsinger, le nouveau CFO du groupe Eraneos. (Image : zVg / Eraneos)
Le groupe Eraneos est un groupe international de conseil en management et en technologie qui propose des services dans le domaine de la numérisation et de la transformation, du développement de la stratégie à sa mise en œuvre. Il est né de la fusion, annoncée en 2021, de Ginkgo Management Consulting, Quint Group et AWK Group. En 2022, DCP a rejoint le groupe et depuis 2023, SMP et Convalid font également partie du groupe. Le groupe s'occupe de clients sur trois continents et dispose de 1075 collaborateurs.
Soutenir la croissance
Le nouveau CFO du groupe est désormais Stefan Tijsinger. Il dispose d'une longue expérience dans les domaines de la finance, de l'informatique et de la numérisation et apporte une grande expertise dans le contrôle de gestion, la comptabilité, le risque et la conformité, la trésorerie et les fusions et acquisitions. Oliver Vaterlaus, CEO du groupe Eraneos, déclare à propos du nouveau venu : "Eraneos poursuit sa croissance et la collaboration entre les différentes sociétés nationales ne cesse d'augmenter. Le profil de Stefan Tijsinger convient parfaitement à Eraneos et à notre orientation stratégique. Il dispose non seulement d'une grande expérience en tant que CFO, mais aussi d'une connaissance approfondie de la manière de gérer un groupe de conseil international afin d'en tirer un maximum d'avantages pour le client. Je suis convaincu qu'il sera un précieux complément à notre équipe".
Longue expérience dans le secteur du conseil
Stefan Tijsinger succède à Uwe Schiller, qui a rejoint Eraneos en janvier 2022 et a depuis mis en place une organisation financière internationale pour l'entreprise. Schiller assistera Stefan Tijsinger pendant une phase de transition et quittera Eraneos le 30 septembre 2024 à sa propre demande.
Stefan Tijsinger - qui a toujours travaillé dans le secteur du conseil - était dernièrement actif chez Xebia, où il occupait le rôle de Group CFO. Il avait déjà rejoint l'entreprise en 2016 en tant que CFO de Xebia Consultancy Services. Il était notamment responsable de la mise en place d'une organisation financière globale, des plans financiers stratégiques, des activités de fusion et d'acquisition, des relations avec les investisseurs ainsi que des domaines juridique et Risk & Compliance.
Après 20 ans d'existence : Nouvelle image de marque pour la région de vacances de Flims-Laax-Falera
La région de vacances grisonne de Flims Laax Falera revient à une stratégie de marque unique - et mise désormais sur "Flims Laax" au lieu de "Flims" et "Laax". Auparavant, elle avait déjà essayé de le faire avec "Alpenarena".
Rédaction
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13 mai 2024
Image : JProducer ; Unsplash.
Après près de 20 ans, la région de vacances grisonne de Flims Laax Falera change d'image de marque. Alors que la destination de la Surselva se présentait jusqu'à présent sous les deux marques "Flims" et "Laax", elle s'appelle désormais uniquement "Flims Laax".
"Les deux marques suivent ainsi la perception qui va de soi depuis longtemps pour le client : Flims Laax est une destination", a fait savoir lundi l'organisation touristique des trois villages de vacances. Ensemble, les deux marques sont plus fortes que chacune d'entre elles. Avec cette stratégie de marque unique, la région de vacances veut se positionner comme une destination valable toute l'année. La nouvelle marque de destination ne doit pas seulement avoir un effet touristique, mais aussi établir la région comme un espace de vie et de travail attractif et moderne.
Retour à une stratégie de marque unique
Avec sa stratégie de marque unique, l'organisation touristique ne réinvente toutefois pas la roue. Jusqu'en 2005, la région de vacances se présentait sous la marque "Alpenarena". Des études de marketing ont cependant montré que cette appellation ne pouvait pas être positionnée en tant que marque ni être suffisamment connue.
Il est également apparu à l'époque que les clients d'été n'étaient pas les mêmes que ceux d'hiver. La région a alors opté pour deux marques. L'offre hivernale a été positionnée sous la marque "Laax". "Flims" est devenu le nom générique des vacances et des loisirs d'été. (ats)
La fondation Brändi fait peau neuve avec A4
La fondation Brändi se dote d'une nouvelle image de marque : pour cela, l'agence A4 a développé un concept global de corporate design. Les pièces maîtresses sont le nouveau logo et le nouveau slogan : Brändi. Rendre plus possible.
Rédaction
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13 mai 2024
Beaucoup de gens connaissent Brändi grâce au jeu culte "Brändi Dog". Mais peu de gens le savent : Brändi est la plus grande institution suisse pour l'inclusion des personnes handicapées. Aujourd'hui, plus de 2000 personnes travaillent et vivent dans la fondation. Afin d'assurer le succès de l'institution à l'avenir également, la direction a lancé un vaste processus de développement stratégique.
La nouvelle identité visuelle est un élément important de ce processus : elle doit rendre la nouvelle orientation visible et perceptible pour tous. Elle a été développée par l'agence A4, un prestataire de services complet de Rotkreuz. Le nouveau logo symbolise subtilement le thème de l'inclusion avec la ligature dans la police de caractères. L'arc de cercle qui en découle est un élément central du design. Le nouveau slogan "Mehr möglich machen" (rendre plus possible) doit résumer le message de la nouvelle orientation : Brändi reconnaît et réalise les potentiels des personnes et surmonte les prétendues limites.
Film stratégique pour le lancement
Pour l'événement interne de lancement, l'agence A4 a conçu et produit un film stratégique accompagné d'un flyer. Actuellement, l'agence travaille sur différentes réalisations - de la nouvelle conception des emballages de produits alimentaires et de jeux à l'extension du screendesign du site web, en passant par les annonces, les affiches et les brochures.
Responsable chez Brändi : Marcel Hossli (président de la direction), Matthias Moser (directeur du marketing et de la communication), Karin Strik (directrice du marketing et des ventes des produits Brändi). Responsable à l'agence A4 : Patrik Frei (direction), Nicole von Wartburg (conception, texte), Simone Amrein (conception, design), Larissa Schelbert (conseil, direction de projet), Brigitte Frei (texte).