De plus en plus de plates-formes de crowdfunding

En 2015, le marché suisse du crowdfunding a de nouveau connu une forte croissance selon une étude de la Haute école de Lucerne. Par rapport à l'année précédente, le volume des fonds intermédiés a augmenté de 73 pour cent pour atteindre 27,3 millions de francs. Le crowdlending pour les PME et le real estate crowdfunding vont continuer à assurer une croissance marquée, tout comme le nombre toujours croissant de plateformes de crowdfunding.

Le crowdfunding va continuer à se développer. (Image : Mirjam Dörr - Fotolia.com)

Les personnes à la recherche d'argent pour une start-up, une initiative culturelle de jeunes, une production de film ou un engagement dans la protection de l'environnement trouvent de plus en plus souvent leur bonheur sur les plateformes de crowdfunding. Le "Crowdfunding Monitoring Schweiz", réalisé pour la troisième fois par l'Institut für Finanzdienstleistungen Zug IFZ de la Haute école de Lucerne, montre que cette forme alternative d'intermédiation financière s'impose de plus en plus et qu'elle a de nouveau connu une très forte croissance l'année dernière : bien que le volume des sommes d'argent intermédiées reste faible par rapport aux Etats-Unis ou à la Grande-Bretagne par exemple, il a presque été multiplié par neuf en Suisse depuis 2011 pour atteindre 27,3 millions de francs en 2015. Cela représente une croissance de 73% par rapport à l'année précédente. Pour l'analyse, les données de 31 plateformes actives en Suisse ont été prises en compte. Elles sont réparties en quatre catégories (voir détails dans l'encadré) : crowdinvesting (argent contre participation à l'entreprise), crowdlending (argent contre intérêts), crowdsupporting (argent contre biens/services) et crowddonating (pas de contrepartie directe).

De nouvelles offres et plates-formes comme moteurs de croissance

Comme en 2014, c'est le secteur du crowdlending qui a connu la plus forte croissance en 2015, à savoir 127 %. "Cette forte croissance est surtout liée à l'arrivée sur le marché de plateformes qui permettent non seulement aux particuliers, mais aussi aux PME, d'obtenir des crédits via le crowdfunding", explique le codirecteur de l'étude et professeur de finance Andreas Dietrich. Dans le domaine du crowdinvesting, qui a progressé de plus de la moitié, une nouvelle offre a également vu le jour depuis 2015 : le crowdfunding dit immobilier, qui permet de devenir copropriétaire proportionnel de biens immobiliers. "Tant le KMU-Lending que le Real Estate Crowdfunding voient affluer des sommes importantes, ce qui a eu des répercussions sur le volume total", explique Dietrich. Le crowdsupporting/crowddonating reste toutefois la catégorie la plus importante en termes de volume, avec 12,3 millions de francs de fonds placés. Un montant considérable de 5,5 à 6 millions de francs est attribué à l'industrie culturelle et créative.

Une raison décisive de la croissance générale est le nombre de plateformes ainsi que le renforcement de l'ancrage du crowdfunding auprès de la population suisse. Alors qu'en 2013, seules 14 plateformes étaient actives en Suisse, ce nombre avait doublé fin 2014. En avril 2016, on comptait déjà 40 plateformes. Au total, plus de 90'000 personnes ont soutenu financièrement des campagnes de crowdfunding l'année dernière. Les auteurs de l'étude estiment que depuis que le crowdfunding existe en Suisse, environ deux pour cent de la population suisse a soutenu cette forme alternative de placement de fonds.

Les personnes qui soutiennent les campagnes sont souvent des femmes, plutôt âgées et vivant en milieu urbain.

Pour la première fois, la Haute école de Lucerne a également mené une enquête auprès des personnes soutenant un projet, appelées "backers". L'objectif était d'étudier leurs motivations et leurs caractéristiques. L'équipe de recherche a évalué les réponses de plus de 430 backers. L'analyse a montré que les femmes cofinancent plus souvent des projets que les hommes, que les backers ont tendance à avoir plus de 35 ans et qu'ils vivent plutôt en ville qu'à la campagne. Dans le domaine du crowdsupporting/crowddonating, les motifs sont majoritairement de nature altruiste et idéelle. La connaissance personnelle de l'emprunteur joue également un rôle déterminant. Dans le crowdlending et le crowdinvesting, les motifs financiers sont en revanche clairement au premier plan.

Une croissance importante attendue en 2016

Pour l'année 2016, les auteurs de l'étude s'attendent à une nouvelle accélération de la croissance à environ 65 millions de francs. "Ce sont en particulier le KMU-Lending et le Real Estate Crowdfunding qui assureront des volumes plus élevés", explique Dietrich. "Mais nous nous attendons également à une poursuite de la croissance dans le domaine du crowdsupporting, car le degré de notoriété est désormais très élevé en Suisse".

Le "Crowdfunding Monitoring Schweiz" est réalisé chaque année par l'Institut für Finanzdienstleistungen Zug IFZ de la Haute école de Lucerne, en coopération avec Swisscom et avec le soutien des plateformes suisses de crowdfunding.

Source : www.hslu.ch/crowdfunding

Des moyens supplémentaires pour la biodiversité

Le Conseil fédéral alloue 55 millions de francs supplémentaires pour les quatre prochaines années à la conservation de la diversité biologique en Suisse.

Les fonds doivent notamment être utilisés pour la biodiversité dans les forêts.
Les fonds doivent notamment être utilisés pour la biodiversité dans les forêts.

La diversité biologique et les services qu'elle fournit à l'économie et à la société sont sous pression. L'utilisation intensive des ressources naturelles par l'agriculture, la mobilité, l'extension de l'habitat et les activités de loisirs a fait reculer les surfaces des zones alluviales de 70%, des marais de 80% et des prairies et pâturages secs de 95% depuis 1900. Plus d'un tiers de toutes les espèces étudiées en Suisse sont menacées. La propagation croissante d'espèces exotiques envahissantes ainsi que le changement climatique continuent de mettre la biodiversité sous pression.

Mesures immédiates pour la biodiversité 

Le Conseil fédéral veut contrer cette évolution et a donc réaffecté 80 millions du budget de l'OFEV à la promotion de la biodiversité, en complément des efforts actuels de la Confédération et des cantons, et alloué 55 millions de francs supplémentaires. Ces moyens servent à entreprendre rapidement les mesures d'assainissement et de revalorisation les plus urgentes. Ils seront utilisés par tranches (2017 : 20 millions de francs ; 2018 : 35 millions de francs ; 2019 et 2020 : 40 millions de francs chacun). Les cantons participeront au financement des mesures urgentes dans des proportions similaires.

Ces mesures ont pour but d'améliorer la qualité des biotopes d'importance nationale et de promouvoir la biodiversité en forêt. Il s'agit par exemple de supprimer les anciens drains et fossés de drainage des marais, qui sont pourtant toujours efficaces, de prendre des mesures contre les espèces exotiques problématiques et de créer des réserves forestières ou des îlots de vieux bois et de bois mort pour soutenir les espèces forestières. Actuellement, il est urgent d'assainir 25% des sites de reproduction des amphibiens, 30% des zones alluviales, 80% des hauts-marais, 30% des bas-marais et 20% des prairies et pâturages secs. En matière de biodiversité forestière, l'accent est mis sur la promotion des réserves forestières, des îlots de vieux bois et de bois mort ainsi que des espèces et des habitats prioritaires au niveau national.

Stratégie de la Suisse concernant les espèces exotiques envahissantes

Les fonds alloués doivent également être utilisés pour mettre en œuvre les mesures de la stratégie relative aux espèces exotiques envahissantes. Le Conseil fédéral les a également approuvées aujourd'hui en réponse au postulat Vogler (Po. 13.3636), afin de lutter contre les dommages causés par ces espèces et d'en prévenir de futurs. Les espèces exotiques envahissantes peuvent avoir des effets négatifs sur la santé humaine et animale (par exemple en provoquant des allergies par le pollen ou en transmettant des maladies), modifier durablement des habitats particulièrement sensibles ou dignes de protection (par exemple en évinçant des espèces végétales indigènes menacées) ou endommager des infrastructures (par exemple en déstabilisant des digues pour la protection contre les crues). L'harmonisation et l'adaptation des bases légales relatives aux espèces exotiques font partie de la mise en œuvre de la stratégie. Le DETEC est maintenant chargé d'élaborer un projet dans ce sens.

Plan d'action pour la mise en œuvre de la Stratégie Biodiversité Suisse

Par ses décisions, le Conseil fédéral souligne son intention de mettre en œuvre la Stratégie Biodiversité Suisse (SBS) et d'atteindre les objectifs qui y sont formulés. Il a pris connaissance aujourd'hui du rapport sur les résultats de la préconsultation concernant le catalogue de mesures du plan d'action SBS. D'ici la fin de l'année, le DETEC élaborera un projet de consultation correspondant à l'attention du Conseil fédéral. La SBS constitue la base du maintien à long terme d'une biodiversité riche, capable de s'adapter aux changements (p. ex. au réchauffement climatique). En outre, les générations futures de la population suisse doivent également pouvoir profiter des prestations gratuites de la biodiversité (par exemple la mise à disposition de nourriture, d'eau propre, de sources d'énergie ou de ressources génétiques).

Énergie solaire et éolienne : la Suisse très en retard

La Fondation suisse de l'énergie SES a comparé la production d'électricité éolienne et solaire par habitant en Suisse avec celle des pays voisins. Cela ne suffit que pour la dernière place.

Si tous les projets de la liste d'attente RPC avaient été réalisés, cela suffirait tout de même à les placer dans la moyenne.
Si tous les projets de la liste d'attente RPC avaient été réalisés, cela suffirait tout de même à les placer dans la moyenne.

La SES a comparé la production d'électricité solaire et éolienne par habitant des pays européens. Dans ce classement, la Suisse fait pâle figure : en 2015, elle n'a produit que 167 kWh d'électricité solaire et éolienne par habitant. Cela représente à peine 2 % de la consommation annuelle par habitant en Suisse et nettement moins que ce qui a été produit dans les pays voisins. Si tous les projets figurant sur la liste d'attente de la RPC étaient déjà réalisés, la Suisse se situerait tout de même dans la moyenne européenne.

Voiture-balai Suisse
En comparaison avec les pays environnants, la Suisse occupe la dernière place. Même des pays présentant des conditions géographiques similaires à la Suisse, comme la République tchèque (avec même moins d'heures d'ensoleillement) et l'Autriche (un pays enclavé avec une population similaire), produisent plus d'électricité à partir du vent et du soleil. Dans le contexte européen, la Suisse n'est pas mieux lotie : seules la Slovénie, la Slovaquie, la Hongrie et la Lettonie produisent encore moins d'électricité à partir de l'énergie solaire et éolienne. La Suisse a tout de même gagné une place depuis 2014. Si tous les projets figurant sur la liste d'attente de la RPC étaient déjà réalisés, la Suisse se situerait tout de même dans la moyenne européenne.

En comparaison directe avec les pays environnants, la Suisse arrive en dernière position.
En comparaison directe avec les pays environnants, la Suisse arrive en dernière position.

Centrale nucléaire de Beznau 1 déjà remplacée
Cette mauvaise position de la Suisse sur la liste le montre : Le développement des nouvelles énergies renouvelables est nécessaire pour que la Suisse, par ailleurs très avancée sur le plan technique, ne reste pas à la traîne. Mais jusqu'à présent, la politique freine le développement. Le financement de nombreuses centrales solaires et éoliennes est bloqué. Sur la liste d'attente pour la rétribution à prix coûtant du courant injecté (RPC), plus de 37 000 projets attendent d'être réalisés. Ceux-ci pourraient produire au total plus de trois térawattheures d'électricité par an. La production annuelle de la centrale nucléaire de Beznau 1, actuellement déconnectée du réseau pour des raisons de sécurité, serait ainsi déjà remplacée.

Sans liste d'attente, dans la moyenne européenne
Le supplément réseau pour le financement de ces projets est actuellement plafonné à 1,3 centime par kilowattheure. Il n'est donc pas possible de réduire la liste d'attente de la RPC. La stratégie énergétique 2050 apporte une légère amélioration : avec un maximum légal plus élevé de 2,3 centimes par kilowattheure, la liste d'attente pourrait être en grande partie résorbée. Cela en vaut la peine : si ces projets étaient déjà mis en œuvre maintenant, la Suisse se placerait tout de même dans la moyenne européenne et atteindrait le 12e rang sur 29 pour l'ensemble de l'Europe, et même le 5e rang sur 9 en comparaison avec les pays voisins. "La SES demande donc au Parlement suisse d'adopter la Stratégie énergétique 2050 lors du vote final, afin de sortir la Suisse de son embarrassante dernière place sur la liste", déclare Myriam Planzer, responsable de projet à la SES.

(SES)

Élection d'un nouveau chef de service pour les techniques d'assurance

Lors de sa séance du 13 mai 2016, le comité administratif de la Suva a nommé Olivier Steiger au poste de chef de la division Technique d'assurance. Olivier Steiger succède à Felix Jenni, qui reste dans l'entreprise pour des tâches spéciales.

Oliver Steiger, responsable du département Technique d'assurance

La direction du département actuariat sera assurée par Olivier Steiger, qui connaît bien la Suva. Olivier Steiger a étudié les mathématiques à l'Université de Zurich et a obtenu son doctorat en 2004. En 2005, Olivier Steiger a rejoint la Suva en tant qu'actuaire et a suivi, en cours d'emploi, la formation complémentaire d'"actuaire FSA" de l'Association suisse des actuaires. Depuis 2011, il dirige le domaine actuariel. Dans cette fonction, il est responsable des mesures de primes ainsi que de l'évaluation et de la fixation des provisions actuarielles du bilan. Agé de 41 ans, il assume en outre des tâches liées à la gestion financière et à la gestion des risques de la Suva. Le 1er septembre 2016, Olivier Steiger succédera à Felix Jenni, qui restera dans l'entreprise pour des tâches spéciales et qui, à sa demande, prendra sa retraite de manière échelonnée. (Source : SUVA)

L'équilibre entre vie professionnelle et vie privée est plus important que sa propre carrière

A l'avenir, les employeurs devront offrir à leurs collaborateurs davantage qu'un salaire confortable et des perspectives de carrière intéressantes. Une fois que les collaborateurs sont à la recherche d'un emploi, les Romands sont plus actifs que les Suisses alémaniques. Ce sont les résultats d'une étude menée par JobCloud AG en collaboration avec l'Institut Link.

Pour plus des trois quarts des travailleurs, l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée passe avant le salaire. (Image : Fotolia.com)

Pour cette étude, 1 486 personnes âgées de 16 à 60 ans ont été interrogées dans le cadre d'une recherche d'emploi active ou passive. Le résultat sans doute le plus clair de l'étude est que pas moins de 78% des personnes interrogées préféreraient un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée à un poste élevé dans l'entreprise.

Seuls 43 pour cent se sont prononcés en faveur d'une carrière très importante pour eux. Les Suisses romands semblent accorder plus d'importance à la progression personnelle que les Suisses alémaniques (52 contre 40 pour cent). Si la "chimie" est bonne, les personnes interrogées peuvent facilement s'imaginer rester plus de cinq ans chez le même employeur (89 pour cent). Même la jeune génération âgée de 16 à 24 ans n'y voit aucun problème (81 pour cent).

Suisse romande plus active

En ce qui concerne la répartition des demandeurs d'emploi, il y a globalement plus de demandeurs d'emploi actifs et passifs en Suisse alémanique : 41% contre 36% en Suisse romande. Les Romands sont toutefois plus actifs : au cours des 12 derniers mois, 45% d'entre eux ont postulé à un emploi.

En Suisse alémanique, ce chiffre n'était que de 38%. Durant la même période, les Romands ont envoyé en moyenne 28 candidatures alors que les Alémaniques n'en ont envoyé que 15 par personne. Dans l'ensemble, on constate que les demandeurs d'emploi plus âgés ont postulé plus souvent que les jeunes.

Chaînes populaires

Les portails d'emploi en ligne sont le canal le plus populaire pour la recherche d'emploi avec 65 pour cent. Cela représente une augmentation de deux pour cent par rapport à l'année précédente. En deuxième position, on trouve les sites Internet des entreprises avec 53 pour cent, la même valeur que l'année précédente. Les annonces dans les journaux et les magazines sont chaque année moins utilisées pour la recherche d'emploi (moins 6 pour cent par rapport à l'année précédente).

Avec 21 %, les réseaux sociaux continuent de jouer un rôle plutôt secondaire dans la recherche du job de rêve.

http://www.jobcloud.ch

(ZvG : JobCloudAG)

 

Marketing numérique : voici les vraies stars

Une étude révèle ce que soupçonnent tous ceux qui n'aiment pas automatiquement sauter sur chaque "hype numérique" : le marketing mobile et des médias sociaux est moins pertinent que prévu. En effet, 76% des entreprises font confiance aux relations publiques classiques et les budgets restent stables. Parmi les canaux de communication, la smartwatch est la grande perdante.

Malgré de nombreux "likes" : le marketing des médias sociaux est moins pertinent qu'on ne le pense. (Image : Fotolia.com)

Le marketing par moteur de recherche et par e-mail gagne du terrain, tandis que le marketing événementiel perd de l'importance. Ce sont les résultats clés de l'étude actuelle "Digital-Marketing-Trends 2016" du Dr Torsten Schwarz, responsable du groupe de compétence Marketing en ligne de l'eco - Association de l'économie Internet e. V. (www.eco.de). Pour ce rapport, 172 experts ont été interrogés sur la répartition des budgets en ligne et l'importance des thèmes en ligne et mobiles dans leurs entreprises.

Budgets en hausse pour les moteurs de recherche, l'e-mail et le data-driven marketing

Selon ce rapport, 46 % s'attendent à une augmentation des budgets pour le marketing de recherche et le marketing par e-mail. 44 % s'attendent à des augmentations de budget pour le data-driven marketing, 41 % pour le social media marketing. Le thème du marketing mobile, souvent très en vogue, peut compter sur une augmentation du budget dans un bon tiers des entreprises (36 %).

Le marketing événementiel sur le déclin

Selon l'enquête, c'est le marketing événementiel qui doit accepter la restriction la plus drastique des moyens financiers : 15 % des personnes interrogées s'attendent à des réductions, 21 % ne dépensent de toute façon pas d'argent dans ce domaine. Les arbres ne semblent pas non plus monter jusqu'au ciel pour les médias sociaux : 45 % ne veulent pas augmenter le budget, 5 % le réduisent même. Le budget le plus stable est celui des relations publiques : Les trois quarts (76 %) des entreprises veulent tout simplement "laisser les choses en l'état" dans ce domaine.

La moitié des budgets reste inchangée

Tous canaux de communication confondus, un tiers (34 %) des personnes interrogées s'attendent à une augmentation des budgets marketing pour cette année. Une bonne moitié (51 %) s'attend à ce que le budget de l'année dernière reste inchangé en 2016. Seuls 5 % prévoient une réduction.

Le marketing de contenu en tête de l'agenda

Pour plus des trois quarts (77%) des entreprises, le marketing de contenu figure en tête de l'agenda du marketing en ligne. Juste derrière (70 %) vient l'intégration des systèmes, c'est-à-dire la mise en réseau de tous les systèmes afin de garantir la meilleure gestion possible des processus. Selon l'étude eco, les autres places sont occupées par le parcours client (64 %), la personnalisation (61 %), l'optimisation de la conversion (59 %), la publicité par images animées et vidéo (54 %) et la génération de leads (53 %). Le marketing en temps réel (24 pour cent), la messagerie et l'Internet des objets (20 pour cent) ainsi que la publicité programmatique (15 pour cent) sont moins demandés. Souvent louée, mais en dernière position dans la comparaison marketing, la réalité virtuelle (10 pour cent).

Le Responsive Design est d'une grande importance

En revanche, le Responsive Design est tout en haut de l'échelle d'importance : pour 87% pour le site web, pour 80% pour les e-mails. Le suivi des utilisateurs sur plusieurs appareils est considéré comme important par 56 % des personnes interrogées. La publicité mobile est importante pour 44 %, une application propre à l'entreprise pour 39 %. L'intégration de contenus géolocalisés en temps réel est apparemment moins intéressante (26 %). L'optimisation pour une smartwatch est loin derrière - seuls 5 % des personnes interrogées accordent actuellement de l'importance à la communication au poignet.

Les prétendues stars du marketing ne sont pas si pertinentes que ça

Torsten Schwarz, responsable du groupe de compétence marketing en ligne de l'eco, explique : "Les prétendues stars du marketing en ligne moderne comme le mobile et les médias sociaux ne sont manifestement pas considérées comme aussi pertinentes qu'on aurait pu le penser. Les canaux qui connaissent la plus forte croissance sont plutôt les moteurs de recherche, l'e-mail et le data-driven marketing. Et comme toujours, le marketing de contenu représente un thème important : Plus des trois quarts des personnes interrogées l'ont inscrit à leur agenda pour cette année".

Source : www.eco.de

Les entreprises craignent les conséquences de la numérisation

À l'occasion du CeBIT 2016, le fournisseur ERP godesys a interrogé les visiteurs sur les plus grands défis auxquels les entreprises sont actuellement confrontées. La réponse la plus souvent citée : le changement numérique. La plus grande préoccupation en matière de numérisation est ici l'augmentation des risques de sécurité qui y sont liés ainsi que la complexité croissante.

La numérisation, un sujet de préoccupation

Pas moins de 45 pour cent des visiteurs professionnels participants considèrent la numérisation comme la plus grande tâche à laquelle ils devront faire face au cours des cinq prochaines années. La deuxième place est occupée par la mondialisation (20 pour cent), suivie de près par le tournant énergétique et la pénurie de ressources (16 pour cent). Même si la majorité considère le changement numérique comme un défi majeur, douze pour cent des personnes interrogées ne tiennent pas compte de cette tendance dans leur stratégie commerciale. Pour 14 pour cent, les plans pour une stratégie numérique sont certes disponibles, mais aucune mise en œuvre n'a encore eu lieu. En revanche, près des trois quarts des visiteurs du CeBIT interrogés abordent la numérisation de manière proactive : Pour 41% d'entre eux, une stratégie numérique globale est en place et sa mise en œuvre est en cours. 33% mettent déjà en œuvre des projets numériques dans certains domaines.

Sécurité, complexité, coûts : voici les principales préoccupations

Mais quels sont les aspects de la numérisation qui préoccupent le plus les entreprises ? 38% de tous les participants à l'enquête ont indiqué que les risques de sécurité accrus étaient leur première préoccupation. La complexité croissante assombrit les attentes de 22% des personnes interrogées. Une personne sur cinq est effrayée par les coûts élevés, par exemple pour la technologie, qui pourraient résulter de la numérisation. Plus de la moitié d'entre eux estiment que ces coûts sont moyens à très élevés pour leur entreprise (58%). Interrogés sur le domaine dans lequel il existe un besoin prioritaire de rattrapage en matière de numérisation, 22 pour cent ont cité le flux de travail. Viennent ensuite la production (17%) et la distribution (16%).

Craintes diffuses

"Dans notre pays, le thème de la numérisation est souvent accompagné d'un mélange de timidité et de peur diffuse", commente Godelef Kühl, fondateur et président du directoire de godesys AG. "Cependant, ceux qui optimisent leur flux de travail de manière planifiée et qui font avancer l'automatisation des processus avec l'expertise nécessaire profitent des opportunités de développement. C'est précisément dans cette optique que nous soutenons les entreprises de tous les secteurs avec le logiciel d'entreprise correspondant, convivial et agile".

Source : www.godesys.de

Liste de contrôle : Comment réussir le travail d'équipe virtuel

Les innovations sont le résultat d'échanges intensifs entre les collaborateurs. Les managers reconnaissent de plus en plus souvent une culture d'entreprise collaborative comme une source d'agilité et de force d'innovation qu'ils souhaitent promouvoir de manière ciblée afin d'assurer le succès de leur entreprise. C'est ce que démontre une étude récente de PAC et Damovo, un fournisseur de solutions de communications unifiées et de collaboration (UCC).

La collaboration d'équipes virtuelles fait l'objet d'une attention accrue. (Image : Fotolia.com)

Plus la transformation numérique ébranle les fondements des entreprises, plus l'appel à plus d'agilité et de capacité d'innovation se fait entendre. Cela signifie également que le travail d'équipe est à nouveau au centre des préoccupations des dirigeants d'entreprise : comme le montre une analyse actuelle de Spotlight, le succès de la mise en œuvre des innovations peut être nettement amélioré si l'entreprise parvient à une collaboration efficace. L'étude "Chantier du changement culturel : la transformation numérique grâce au travail d'équipe" identifie cinq champs d'action dans lesquels les dirigeants doivent créer les conditions techniques et organisationnelles nécessaires à une culture d'entreprise collaborative. La liste de contrôle suivante montre quels sont exactement ces domaines :

  1. Le top management soutient-il les démarches de projet agiles et la collaboration auto-organisée au sein d'équipes virtuelles ?
  2. Le top management prend-il au sérieux son rôle de leader virtuel ? Les managers font-ils un usage actif des applications prévues à cet effet ?
  3. Les activités de collaboration font-elles partie des temps productifs ? Calculez-vous des temps productifs avec une part réaliste d'environ 30 % pour la communication et la collaboration ?
  4. Suivez-vous une stratégie globale lors de l'implémentation des applications de conférence et de partage de fichiers afin d'éviter une prolifération technologique ? Les outils utilisés s'intègrent-ils sans problème les uns aux autres ?
  5. Les collaborateurs sont-ils suffisamment formés à l'utilisation sûre des différentes applications et des outils techniques ? Disposent-ils de suffisamment d'appareils mobiles pour une gestion de projet efficace ?

Pour plus d'informations, consultez l'étude complète. Elle peut être téléchargée gratuitement ici : http://dialog.damovo.de/virtuelleTeams

Le groupe TRISA affiche un bon résultat annuel 2015

Grâce à une productivité accrue, à de nombreuses améliorations de processus et à une gestion conséquente des coûts, le groupe TRISA peut afficher un bon résultat annuel 2015 de 22,4 millions de francs au niveau de l'EBIT. Cela correspond à une augmentation de 8,5 pour cent par rapport à l'année précédente. Le chiffre d'affaires total a en revanche diminué de 9,1 pour cent pour atteindre 232 millions de francs. Le recul du chiffre d'affaires est en premier lieu une conséquence de la nouvelle appréciation du franc. Au cours de l'exercice écoulé, TRISA a également enregistré une part d'exportation de 95 pour cent dans son activité principale, les brosses à dents.

Les brosses à dents restent l'activité principale de TRISA.

L'appréciation du franc a touché de manière substantielle le groupe TRISA, composé de TRISA Holding SA, TRISA SA, TRISA Electronics SA, TRISA Accessoires SA, TRISONIC SA, Ebnat SA et TRISA Bulgaria GmbH. Il a toutefois été possible de réagir rapidement et de manière réfléchie, selon le communiqué. Les priorités claires que sont la focalisation sur les clients, l'innovation et les coûts, associées à la capacité d'adaptation et à la flexibilité, ont fait leurs preuves dans cet environnement exceptionnel et se sont avérées être les bonnes pour TRISA, indique l'entreprise. La structure et l'orientation du groupe TRISA ont également contribué à atténuer une partie des effets de change négatifs.

Des évolutions différentes selon les régions du monde

TRISA a pu réaliser une évolution positive du marché, notamment dans les pays du Moyen-Orient et aux États-Unis, tandis que les baisses de chiffre d'affaires dues aux fluctuations monétaires ont eu lieu sur les marchés européens. Dans l'ensemble, le marché intérieur s'est révélé robuste pour TRISA. Selon le credo du groupe, la confiance et la fidélité de sa grande clientèle nationale et internationale sont des valeurs essentielles, surtout en période de difficultés. La solidité de ces relations a été une fois de plus démontrée, comme on a pu le constater.

Un taux d'innovation à nouveau élevé et une activité d'investissement soutenue

Avec 22,6 millions de francs investis dans de nouveaux produits, machines et constructions, le groupe TRISA a une fois de plus enregistré une forte activité d'investissement. Au début de l'été, l'entrepôt à hauts rayonnages entièrement automatisé, pouvant accueillir quelque 9'100 palettes, a été mis en service sur le site de Triengen. Ces capacités de stockage supplémentaires permettent de centraliser les besoins des entreprises du groupe TRISA, d'organiser plus efficacement les processus de travail et d'exploiter les synergies. En automne, les filiales Ebnat AG et TRISA Bulgaria GmbH ont également mis en service un nouveau bâtiment de production et un nouveau bâtiment de bureaux et de stockage.

Vers l'avenir avec une force d'innovation et une augmentation de la productivité

Tant que le franc suisse évolue au-delà de la parité de pouvoir d'achat, il n'y aura pas de levée d'alerte sur le front monétaire. Les responsables de TRISA s'attendent à ce que les mesures déjà mises en place portent leurs fruits cette année encore. L'accent est mis sur l'exploitation des synergies au sein du groupe TRISA, sur de nouvelles améliorations de la productivité, sur des processus allégés et des augmentations durables de l'efficacité ainsi que sur l'optimisation des coûts sur toute la chaîne de création de valeur. Ces mesures sont soutenues par un processus de développement de produits optimisé et des délais d'exécution rapides, afin de pouvoir réagir encore mieux aux opportunités et de garantir un "time to market" attractif. TRISA s'appuie également à l'avenir sur ses forces éprouvées : La volonté de performance et la force d'innovation de ses équipes ainsi que la haute qualité de ses produits.

www.trisa.ch

Croissance record des investissements durables

Fin 2015, le volume des placements financiers durables en Suisse s'élevait à 191,9 milliards - une augmentation impressionnante de 169% par rapport à l'année précédente.

Fonds d'investissement, mandats et produits structurés durables en Suisse, en milliards de CHF. Source : FNG/SSF
Fonds d'investissement, mandats et produits structurés durables en Suisse, en milliards de CHF. Source : FNG/SSF

Avec une augmentation de 169 pour cent par rapport à l'année précédente, le volume des placements durables en Suisse s'élève à 191,9 milliards de CHF à la fin 2015. De plus en plus de gestionnaires d'actifs intègrent des aspects environnementaux et sociaux dans la gestion de leurs actifs. Pour la première fois, les actifs autogérés d'investisseurs institutionnels ont également été recensés, ce qui a également contribué à la forte croissance. Avec 75%, la part des fonds institutionnels n'a jamais été aussi élevée.

Cette nette croissance est due en grande partie à la forte augmentation du volume des mandats durables, qui s'élève à 96,5 milliards de CHF, soit 165 pour cent de plus que l'année précédente. Les actifs d'investisseurs institutionnels recensés pour la première fois, d'un montant de CHF 55,2 milliards, ont également contribué à la forte croissance, tout comme la hausse d'environ 16 pour cent des fonds durables. C'est ce que montre la dernière étude de marché suisse sur les placements durablesLe 10 mai, les deux organisations ont présenté à Zurich leur rapport sur les placements durables, élaboré conjointement par le Forum Nachhaltige Geldanlagen (FNG) et Swiss Sustainable Finance (SSF).

"La croissance exceptionnellement élevée des placements durables reflète l'attention accrue que ce thème suscite auprès des investisseurs institutionnels en Suisse", explique la directrice du SSF Sabine Döbeli. "Mais la prise en compte des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) joue également un rôle de plus en plus important dans la gestion de fortune privée", ajoute-t-elle. "Il est frappant de constater que, suite à la conférence sur le climat de Paris, de plus en plus d'investisseurs intègrent également les risques climatiques dans leurs décisions d'investissement", explique Patrick Wirth, vice-président du FNG et directeur du FNG Suisse. "L'éventail est large, allant de la mesure des risques climatiques à des décisions claires de désinvestissement", explique-t-il en décrivant les résultats de l'enquête spéciale sur les investissements climatiques.

"Sous l'impulsion de différentes études de la Confédération, le débat public sur la responsabilité des investisseurs s'est intensifié l'année dernière", explique Jean-Daniel Gerber, président du SSF. "Mais la croissance mise en évidence n'est qu'un début. Des initiatives telles que la création de SVVK-ASIR par un certain nombre d'investisseurs de droit public l'année dernière vont encore accélérer la tendance", ajoute le président du SSF à propos de la dynamique positive en Suisse. "Si l'on regarde au-delà des frontières nationales, nous assistons actuellement à beaucoup de mouvements sur le marché de l'investissement durable, notamment en raison du débat sur le changement climatique, mais aussi en relation avec les droits de l'homme et d'autres thèmes", ajoute Volker Weber, président du comité directeur de la FNG. "Les investisseurs institutionnels ont été et sont toujours des moteurs essentiels de cette évolution".

Si les critères d'exclusion restent l'approche la plus importante, l'approche intégrée a détrôné l'approche best-in-class de la deuxième place avec une croissance de 300%. Les critères sociaux, environnementaux et de gouvernance sont donc de plus en plus souvent intégrés dans l'analyse financière et servent à mieux identifier les opportunités de performance. La troisième approche la plus importante est le screening basé sur les normes, qui permet de filtrer de manière ciblée les portefeuilles qui ne respectent pas les normes internationales. Avec une augmentation de 274%, l'approche de l'engagement, qui consiste à mener un dialogue actif avec les entreprises sur les thèmes de la durabilité, a également gagné en importance.

Outre les placements durables au sens strict, les investissements responsables, qui reposent généralement sur l'exclusion de domaines controversés comme les armes proscrites au niveau international, ont également été recensés. De tels critères sont appliqués pour des investissements d'un montant de 2,4 billions de francs suisses, ce qui fait de ce domaine le courant dominant.

Vers Étude

Le magasin d'ameublement de bureau règle sa succession

Depuis début mai, l'entreprise d'ameublement Bruno Wickart AG de Zoug, leader dans son domaine, a une nouvelle direction. Dans le cadre du règlement de la succession, Isidoro Celentano, expert de la branche, reprend l'entreprise zougoise de conseil en design de bureau et d'habitat.

Fin avril, dans le cadre du règlement de la succession, Isidoro Celentano a repris Bruno Wickart AG, l'entreprise renommée de Zoug pour l'aménagement de bureaux, de collectivités et de logements. (Photo : zVg)

Bruno Wickart AG se considère comme un conseiller en matière d'aménagement de bureaux, de collectivités et d'habitations dans le segment haut de gamme. L'entreprise zougoise représente des marques de meubles renommées comme USM, Vitra, Cassina, Fritz Hansen, Wilkhahn ou Zoom et occupe une position de leader en Suisse alémanique dans la planification et l'aménagement de bureaux et de locaux administratifs. Bruno Wickart AG emploie une vingtaine de personnes. L'entreprise a été fondée en 1951 par Josef Wickart en tant que magasin de papeterie et de machines à écrire à Zoug. En 1970, Bruno Wickart a fondé la SA et a orienté l'entreprise vers l'aménagement de bureaux et d'objets. Depuis fin avril 2016, l'entreprise est détenue à 100 % par Isidoro Celentano, qui justifie d'une longue expérience dans le secteur de l'ameublement.

Isidoro Celentano a de l'expérience dans la direction de PME et dispose de plus de dix ans de compétences en matière d'aménagement et de vente dans le secteur du mobilier de bureau et d'habitation haut de gamme pour les entreprises et les particuliers. L'entrepreneur de 58 ans, originaire de Nottwil/LU, est titulaire d'un MBA de l'université de Zurich et a exercé en dernier lieu en tant qu'entrepreneur indépendant. Celentano veut consolider la position de leader de l'entreprise sur le marché et poursuivre son développement : "Ce sera un grand défi que je me réjouis de relever. Avec mes collaborateurs de longue date, je vais investir de manière ciblée dans l'avenir. Rien ne change pour nos clients. Ils continueront à bénéficier de la qualité de service élevée habituelle et du savoir-faire en matière d'aménagement des collaborateurs de longue date".

Plus d'informations : www.bruno-wickart.ch

Le top 10 des réviseurs en Suisse

En Suisse, les grandes entreprises sont tenues de faire contrôler leurs comptes annuels par un organe de révision agréé. Il existe plus de 3000 sociétés de révision en Suisse. Le service de renseignements économiques Bisnode D & B a publié en avril un classement des plus grands réviseurs. Les plus grands d'entre eux ont plus de 1000 mandats.

Les grandes entreprises doivent faire vérifier leurs comptes annuels par un organe de révision. (Image : Rainer Sturm - pixelio.de)

Toute personne qui fait réviser ses comptes annuels par un expert-comptable externe doit publier officiellement ce fait ou le nom du réviseur. Sur la base de ces publications, il est possible de compter le nombre de mandats de révision par réviseur. Pour le présent classement, le service de renseignements économiques Bisnode D&B a examiné en avril 2016 toutes les entreprises inscrites au registre du commerce suisse et a établi un classement des plus grands réviseurs en Suisse. C'est PricewaterhouseCoopers qui détient le plus grand nombre de mandats de révision avec 6 493 mandats, suivi de BDO avec 5 220 mandats. La troisième place est occupée par Ernst & Young avec 3'766 mandats de révision, suivi de KMPG avec 3'297 mandats. Deloitte est le réviseur de 1'117 entreprises, suivi directement par OBT avec 1'038 mandats. Tous les autres réviseurs ont moins de 1 000 mandats.

Le classement des plus grands organes de révision suisses :

  1. PricewaterhouseCoopers AG Zurich : 6'493 mandats
  2. BDO SA Zurich : 5'220 mandats
  3. Ernst & Young AG Bâle : 3'766 mandats
  4. KPMG SA Zurich : 3'297 mandats
  5. Deloitte SA Zurich : 1'117 mandats
  6. OBT AG St. Gallen : 1'038 mandats
  7. Fiduciaire FIDAG SA Martigny : 764 mandats
  8. Balmer-Etienne AG Luzern : 600 mandats
  9. PROVIDA Wirtschaftsprüfung AG St. Gallen : 511 mandats
  10. T + R AG Gümligen : 423 mandats

La liste du Top 100 ainsi que des informations sur les mandats des sociétés d'audit sont disponibles sous www.wer-revidiert-wen.ch.

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