Augmentation de six pour cent des faillites d'entreprises
Un aperçu actuel du service d'information économique Bisnode D&B met en évidence : 1'933 faillites d'entreprises de janvier à mai 2016 en Suisse ; cela correspond à une augmentation de six pour cent par rapport à la même période de l'année précédente. Le côté francophone des entreprises suisses se distingue malheureusement de manière particulièrement négative.
Rédaction
-
4 juillet 2016
Pour les petites entreprises, il est de plus en plus difficile de s'imposer face aux grands acteurs.
En ce qui concerne les dépôts de bilan, la Suisse romande a été particulièrement touchée. Selon l'étude Bisnode "Faillites et créations d'entreprises en mai 2016", les faillites d'entreprises ont augmenté de 23% en Suisse romande. D'une manière générale, une prudence particulière est de mise pour les entreprises du secteur de la construction, les entreprises de restauration et les artisans qui souhaitent être livrés sur facture.
Dans ces branches jusqu'ici classiques, le risque de faillite est massivement accru - et dans le pire des cas, les fournisseurs concernés d'entreprises en faillite restent assis sur leurs factures impayées. C'est pourquoi Bisnode D&B recommande un examen approfondi des partenaires commerciaux. - Mais ce ne sont pas seulement les faillites qui ont augmenté, mais aussi les créations d'entreprises.
Au total, 17 086 entreprises ont été inscrites au registre du commerce entre janvier et mai, ce qui représente une augmentation de deux pour cent.
Télécharger l'étude Faillites et créations d'entreprises au mois de mai 2016 dans ce pays Lien
Des critères d'efficacité plus stricts pour les voitures neuves
A partir du 1er janvier 2017, des catégories d'efficacité plus strictes s'appliqueront aux étiquettes énergétiques des voitures particulières.
Rédaction
-
4 juillet 2016
Label énergétique pour les voitures neuves : les critères d'efficacité sont renforcés
www.news.admin.ch - Des critères d'efficacité plus stricts pour les voitures neuves à partir du 1er janvier 2017
Depuis mars 2003, l'étiquette-énergie pour les voitures de tourisme doit être apposée de manière bien visible sur chaque voiture neuve proposée à la vente. L'étiquette-énergie répartit les voitures particulières en sept catégories d'efficacité de A à G : A correspond à un véhicule efficace sur le plan énergétique, G à un véhicule relativement inefficace. L'étiquette contient en outre d'autres indications, comme la consommation de carburant ou les émissions de CO2, et permet ainsi d'acheter une voiture en tenant compte de l'énergie et de l'environnement.
L'étiquette-énergie est adaptée chaque année par le DETEC (date de référence : 31 mai) à l'état le plus récent de la technique, faute de quoi la proportion de véhicules appartenant à la meilleure catégorie d'efficacité A ne cesserait d'augmenter. Les facteurs utilisés pour calculer les équivalents essence et les équivalents énergie primaire-essence sont également vérifiés à cette occasion et adaptés aux nouvelles connaissances scientifiques et techniques ainsi qu'aux développements internationaux. Les nouvelles limites des catégories d'efficacité sont fixées dans l'ordonnance du DETEC sur les données figurant sur l'étiquette-énergie des voitures de tourisme neuves (OEE-VT). Elles sont applicables à partir du 1er janvier 2017. Par ailleurs, les facteurs d'émissions de CO2 provenant de la production de carburant ont été nouvellement intégrés dans l'ordonnance. Jusqu'à présent, seules les émissions de CO2 dues à la production d'électricité figuraient sur l'étiquette.
L'étiquette-énergie doit également indiquer la valeur moyenne des émissions de CO2 de toutes les voitures neuves mises en circulation au cours de la période précédente (1er juin - 31 mai). Jusqu'à présent, cette moyenne était de 139 grammes de CO2 par kilomètre. Grâce à l'amélioration des moteurs, la consommation de carburant et les émissions de CO2 des voitures neuves ne cessent toutefois de diminuer, si bien que la moyenne des émissions de CO2 pour les modèles de voitures neuves en Suisse est désormais de 134 g/km.
Première bourse de l'emploi pour les emplois environnementaux
La première bourse de l'emploi de Suisse pour le secteur de l'environnement et des cleantech doit remédier au manque de personnel qualifié.
Rédaction
-
4 juillet 2016
Simplifier la recherche d'emploi pour les professionnels de l'environnement : C'est ce que veut faire une nouvelle bourse de l'emploi en ligne
Simplifier la recherche d'emploi et de candidats pour les métiers de l'environnement et des cleantech : C'est ce que veut faire la bourse de l'emploi en ligne ouverte depuis le 1er juillet. professionnels-de-l'environnement.ch.
L'association Organisation du monde du travail (OrTra) Environnement a pour objectif de promouvoir les métiers de l'environnement dans la formation professionnelle en tant que domaine professionnel d'avenir, de renforcer leur image et de contribuer à l'échange d'informations et d'opinions.
L'objectif de la nouvelle plate-forme est de servir de passerelle entre les employeurs spécialisés et les travailleurs et de contribuer ainsi à lutter contre la pénurie de main-d'œuvre qualifiée. Concrètement, la bourse de l'emploi doit permettre de réduire les efforts de recherche, tant pour les entreprises que pour les professionnels : les employeurs trouveront des candidats mieux qualifiés et les employés des offres d'emploi adaptées à leurs compétences.
Les offres sont réparties dans les domaines suivants : "Gestion des déchets et recyclage", "Efficacité énergétique et énergies renouvelables", "Protection de la nature et du paysage", "Protection de l'environnement et ingénierie environnementale" et "Eau et assainissement". L'ensemble de la Suisse est couvert. Les postes vacants peuvent être filtrés par activité.
Renforcement de l'aide à l'innovation pour les PME
La Confédération soutient les PME orientées vers l'exportation avec 61 millions de francs supplémentaires pour la promotion de l'innovation. Ces mesures spéciales doivent profiter aux entreprises qui sont sous pression en raison de la force du franc.
Rédaction
-
1er juillet 2016
C'est justement en temps de crise qu'il faut rester innovant.
Pour la deuxième fois, la Commission pour la technologie et l'innovation (CTI) peut aider les petites et moyennes entreprises (PME) orientées vers l'exportation à renforcer leur capacité d'innovation. Dans le cadre de la procédure de supplément au budget 2016, les Chambres fédérales ont approuvé les moyens demandés par le Conseil fédéral. Le financement est assuré par compensation des moyens alloués au domaine FRI durant la période en cours.
C'est la deuxième fois, après 2015, que la Confédération réagit de manière ciblée aux difficultés persistantes des PME orientées vers l'exportation et les aide à investir dans l'innovation et à maintenir ou à développer leurs capacités de recherche et de développement.
Programme de mentorat
Les mesures spéciales permettent non seulement aux partenaires économiques de réduire la contribution en espèces dans les projets d'innovation, mais elles leur permettent également de participer plus faiblement aux coûts des projets. Parallèlement, le recours aux mentors de l'innovation de la CTI pour encadrer les PME ciblées est renforcé. Les premières mesures spéciales prises en 2015 ont déjà montré que de telles mesures sont efficaces.
En plus des projets réguliers, 314 projets ont été évalués dans le cadre des mesures spéciales. Parmi eux, 154 ont été approuvés et soutenus par une contribution fédérale d'un montant total de 57,7 millions de francs. Et la demande de soutien des PME par les mentors de l'innovation a également continué d'augmenter avec les mesures spéciales. Ainsi, en 2015, environ 70% de projets de recherche et développement et de chèques d'innovation en plus ont été lancés avec des mentors d'innovation par rapport à l'année précédente.
Le président de la Confédération et chef du DEFR, Johann N. Schneider-Ammann, qui avait déjà initié les premières mesures visant à atténuer la force du franc en 2015, est convaincu de pouvoir à nouveau apporter une contribution directement efficace : "Nous avons réussi à mettre en place des incitations ciblées pour la capacité d'innovation des PME fortement orientées vers l'exportation. Elles peuvent ainsi renforcer leur compétitivité même dans cette phase difficile et garantir les emplois".
Il manque toujours 3000 apprentis dans le secteur de la construction
Pour environ 9'000 jeunes, c'est le sprint final dans la recherche d'une place d'apprentissage en 2016. Les autres, près de 90'000, sont déjà dans les starting-blocks pour commencer leur apprentissage en 2017. Selon Lena et orientation.ch, rien que dans le bâtiment, environ 3'000 places d'apprentissage sont encore vacantes pour 2016. En 2015, les apprentis ont pu choisir parmi environ 94'000 places. Avec 13%, la construction comptait parmi les trois branches ayant le plus grand nombre de places non pourvues.
Rédaction
-
30 juin 2016
Six apprentis des métiers du bâtiment avec leurs maîtres d'apprentissage lors d'une conférence de presse. (Image : thb)
Il y a quelques années encore, c'était l'inverse : trop de jeunes en fin de scolarité se présentaient pour trop peu de places d'apprentissage. Mais la tendance s'est désormais inversée et ne change pas en 2016, notamment dans le secteur de la construction. Les derniers chiffres publiés par le SBFI signalent même une augmentation du nombre de places d'apprentissage non pourvues par rapport à 2015. Selon orientation.ch, les cantons qui comptent le plus de places d'apprentissage ouvertes dans la construction sont Saint-Gall (470), Zurich (402), Berne (304). Le SBFI ne recense pas les places d'apprentissage ouvertes par branche et par canton. La situation des places d'apprentissage dans le secteur de la construction s'est donc globalement aggravée. Cela a des répercussions sur l'ensemble de l'économie. En effet, la construction ne contribue pas seulement à hauteur d'environ 6% au PIB - devant les banques ; elle occupe également une position clé dans la conjoncture et dans la mise en œuvre de la stratégie énergétique de la Confédération. En effet, les bâtiments recèlent un potentiel d'économie d'énergie pouvant atteindre 50%. Or, jusqu'à présent, seuls 1% de bâtiments nécessitant une rénovation sont rénovés chaque année.
Des profils professionnels attrayants avec de grandes opportunités de carrière
Il existe une cinquantaine de métiers dans la construction, où les salaires sont souvent très élevés. Les carrières rapides ne sont pas rares. Celui qui commence aujourd'hui un apprentissage dans la construction dirige déjà des chantiers et exerce des fonctions de cadre dans des entreprises de construction dans les cinq ans au plus tard. Le système de formation professionnelle dual de la Suisse facilite en outre l'accès à la voie académique. Lors d'un point de presse organisé par bausinn.ch le 29 juin 2016, six apprentis de six branches de la construction ont montré à quel point les activités dans la construction sont exigeantes et passionnantes. Depuis des années, toutes les branches et les médias parlent des apprentis. Lors de la rencontre avec les médias organisée aujourd'hui par bausinn.ch au Musée national, les apprentis ont parlé les yeux dans les yeux avec les journalistes ; pour la toute première fois, les apprentis étaient les personnages principaux d'un événement médiatique. Les six jeunes hommes sont monteur d'échafaudages, peintre, maçon, soudeur, constructeur métallique et polybâtisseur. Ils ne sont pas seulement capables de planifier, de mettre la main à la pâte et de réaliser des projets dès leur plus jeune âge. Ils apprennent aussi et surtout à travailler en équipe et à gérer la pression des délais et les changements de processus. Ils sont ainsi bien armés pour faire carrière à tout moment.
Monteur d'échafaudages Andrea Baltensperger de Winterthur, 3e année d'apprentissage : "Les échafaudages assurent la sécurité du travail dans la construction. Tout le monde connaît les échafaudages dans les bâtiments. Ils sont également importants pour les ponts, comme par exemple la rénovation du pont Quai à Zurich. Pour la construction d'échafaudages de ponts, quelqu'un doit avoir une grande expérience en mathématiques. Car ici, la statique doit être calculée". Après son apprentissage, il prévoit de suivre une formation de chef de groupe et souhaite ensuite devenir chef d'objet - ce dernier dessine des plans et contrôle les chantiers.
maçon Robby Hinnen de Seuzach (ZH) : Robby Hinnen prouve à quel point les jeunes talentueux peuvent aller vite et loin dans la construction. Il a terminé son apprentissage de trois ans comme maçon en 2015. "Je sais maintenant beaucoup de choses sur les matériaux comme le béton et la pierre. Je connais le déroulement des chantiers et j'ai appris à travailler en équipe et aussi sous stress. Ce que je trouve particulièrement passionnant, c'est de voir ce que l'on a fait. Le métier est très varié. Mon bâtiment préféré est le bloc d'habitation de mon patron". Lors de la rencontre avec les médias, il a expliqué les nombreuses étapes de la construction, qui a duré plusieurs jours, d'un mur de soutènement a priori simple.
Constructeur métallique Alex Trüb de Lausen (BL) : Qu'il construise des portes en aluminium, des portes en acier ou des jardins d'hiver dans son atelier et les monte ensuite sur le chantier, il apprécie le sentiment de réussite rapide : "Ce qui me plaît aussi, c'est de voir tout ce que l'on a accompli. Quand le client est content, on se plaît deux fois plus soi-même". Il recommande l'apprentissage de quatre ans à tous ceux qui apprécient le travail individuel et qui sont capables de trouver des solutions très rapidement.
Sven Schlüchter, soudeur à Bowil (BE), 1ère année d'apprentissage : Sven Schlüchter, 16 ans, effectue un apprentissage de constructeur d'installations et d'appareils chez Ferdinand Steck Maschinenfabrik AG à Bowil (BE). Lors de la rencontre avec les médias, Schlüchter a représenté un métier qui n'existe pas, mais pour lequel des championnats professionnels sont organisés : Le soudeur. L'importance du soudage dans la construction ne cesse de croître. Avec les nouvelles normes européennes, qui s'appliquent également en Suisse dans la construction depuis 2015, certains travaux nécessitent une formation continue certifiée en soudage. Ainsi, avec la norme EN 1090, les entreprises de construction métallique ne peuvent postuler pour certains projets que si elles emploient un soudeur certifié.
Polybâtisseur, Jan-Eric Allenbach de Säriswil (BE) : Avant d'entamer un apprentissage de polybâtisseur spécialisé dans la couverture, il a fréquenté le gymnase pendant un an. Il a dû se rendre à l'évidence : ce n'était pas vraiment son univers. Issu d'une entreprise familiale qui s'occupe également de couverture et de photovoltaïque, il s'est décidé pour ce métier après plusieurs stages d'initiation. Il ne s'inquiète pas non plus pour son avenir : "Chaque maison a besoin d'un toit ; ce métier ne disparaîtra donc jamais. En ce qui concerne l'avenir, je considère la collaboration au tournant énergétique comme une chance particulière".
Peintre Stella Francescato de Thalwil, 1ère année d'apprentissage : "Pour n'être qu'en première année d'apprentissage, j'ai déjà pu apprendre beaucoup de choses. Même à l'école, j'ai pu acquérir des connaissances sur les matériaux les plus divers". Pour elle, le métier de peintre est le plus beau de tous les métiers du bâtiment. Ce qui l'intéresse avant tout, c'est l'aspect artistique ainsi que les travaux de finition, comme la peinture décorative. Ce faisant, elle peut laisser libre cours à sa créativité. Elle a également appris à faire ses preuves en tant que femme sur le chantier.
Ces six apprentis visent tous des formations continues après l'obtention de leur diplôme, afin de pouvoir reprendre plus tard soit des fonctions de direction, soit même l'entreprise de leurs parents. Dans l'ensemble, ils ne se font pas de souci pour l'avenir de leur branche, car on construira toujours, et même malgré la numérisation, on aura toujours besoin d'artisans bien formés.
Pour une meilleure valorisation du secteur de la construction
La communauté d'intérêts bausinn.ch s'engage pour une meilleure valorisation du secteur suisse de la construction et pour la fierté professionnelle des professionnels de la construction. Les organisations responsables de bausinn.ch sont actuellement AM Suisse, Enveloppe des édifices Suisse, la Société suisse des entrepreneurs (SSE), la Société suisse des entrepreneurs en échafaudages (SSEE), l'Association suisse des entrepreneurs plâtriers-peintres (ASEPP) et l'Association suisse pour la technique du soudage (ASS). Ueli Büchi, responsable de la politique de formation professionnelle de la Société suisse des entrepreneurs (SSE), Siegfried Dauner, responsable de la formation professionnelle Metaltec d'AM Suisse, Mario Freda, président central de l'Association suisse des entrepreneurs plâtriers-peintres (ASEPP), Karin Gamma, directrice de MarKom & Events Enveloppe des édifices Suisse, Marc Harzenmoser, directeur de l'Association suisse pour la technique de soudage (ASS), Josef Wiederkehr, président de l'Association suisse des entrepreneurs en échafaudage (ASEG), ont répondu aux questions des médias lors de la rencontre. Les maîtres d'apprentissage des six apprentis ont également pris position et ont souligné, à travers leur propre parcours professionnel, la polyvalence des formations dans le bâtiment.
Dans le contrôle d'entreprise, le thème de la durabilité a mûri ces dernières années. Mais le contrôle de gestion n'est pas ou très peu impliqué dans la mise en œuvre des objectifs sociaux et environnementaux de l'entreprise. Les contrôleurs de gestion sont appelés à intervenir davantage pour leur propre compte vis-à-vis de leurs directions. Le contrôle de gestion doit en outre se mettre davantage en réseau avec les départements qui s'occupent des aspects de durabilité. Telle est la conclusion de l'étude Green-Controlling 2016 de l'Association internationale des contrôleurs de gestion (ICV).
Rédaction
-
30 juin 2016
Green Controlling : les temps sont volatils pour les thèmes de la durabilité. (Image : Fotolia.com)
L'étude Green Controlling 2016 avait pour but de faire le point sur l'état actuel du contrôle de gestion écologique. L'accent a été mis sur les changements par rapport à la première étude de 2010 en ce qui concerne le degré de mise en œuvre et la pertinence du Green Controlling. Pour la première fois, le contrôle des thèmes sociaux a également été pris en compte.
Période volatile pour la thématique de la durabilité
Au début de leur rapport, les auteurs constatent "une période volatile pour la thématique de la durabilité". Ainsi, le thème de la durabilité a certes gagné en importance, mais des évolutions contradictoires ne peuvent pas être ignorées. Les décisions d'orientation prises lors du sommet sur le climat à Paris, par exemple, sont assombries par des scandales environnementaux qui, pour certaines entreprises, "remettent clairement en question le sérieux du développement durable au niveau de l'entreprise". Parallèlement, la pression réglementaire en faveur de la publication d'informations non financières (p. ex. sur les questions de protection de l'environnement et des travailleurs) augmente. Dans le même temps, on observe une chute des prix des matières premières comme le pétrole, ce qui peut à son tour nuire au business case de la durabilité.
Répondre aux exigences des clients, améliorer l'image de l'entreprise
La deuxième étude de contrôle vert de l'ICV a montré que l'importance stratégique de la durabilité dans les entreprises a augmenté par rapport à 2010, même si elle est moins importante que ce qui était attendu il y a cinq ans. Dans le contrôle d'entreprise, le thème de la durabilité a mûri ces derniers temps. Par une approche plus "adulte", les auteurs entendent que les avantages économiques sont désormais au premier plan, associés à la responsabilité sociale et au respect des obligations légales. Il est également apparu que la stratégie de durabilité d'une entreprise est déterminante pour la manière dont le contrôle vert est organisé. Par conséquent, les entreprises durables dans leur ensemble misent nettement plus sur le contrôle de gestion vert que les entreprises qui suivent une stratégie dominée par la conformité.
Depuis la première étude, la proportion d'entreprises qui, dans le contexte de la durabilité, poursuivent une stratégie orientée vers le marché des "produits et solutions verts" a augmenté. "La satisfaction des exigences des clients et l'amélioration de l'image de l'entreprise font partie des principaux objectifs à atteindre avec une orientation écologique", indique l'étude. Celle-ci avait également examiné où se situe la principale responsabilité en matière de durabilité dans les entreprises : Ici, ce n'est pas le contrôle de gestion, mais le top management et les départements spécialisés dans ce domaine (par ex. la gestion de l'environnement).
Tâches axées sur les mesures et le reporting
Interrogés sur les principales motivations de l'intégration du contrôle de gestion, les participants ont surtout mentionné une meilleure évaluation financière des mesures de durabilité ainsi que la mise à disposition de systèmes et de processus appropriés par le contrôle de gestion. En revanche, le manque de ressources dans le contrôle de gestion et le fait de renoncer sciemment à l'intégration des contrôleurs de gestion ont été considérés comme des obstacles majeurs à l'intégration. Les directions recherchent surtout un soutien pour les décisions écologiques et sociales par la mise à disposition d'indicateurs clés de performance et d'informations de reporting. Les entreprises ayant une stratégie verte globale ont en outre un besoin de soutien très étendu, y compris dans le cadre du développement et de la mise en œuvre de la stratégie.
La majorité des entreprises interrogées considèrent que la responsabilité future du contrôle de gestion vert est intégrative, c'est-à-dire qu'elle est partagée entre le contrôle de gestion de l'entreprise et la gestion de la durabilité. Parmi les tâches les plus importantes du contrôle de gestion vert, on compte surtout celles qui peuvent être caractérisées comme des types de tâches orientées vers les mesures et le reporting.
Plus de publicité pour sa propre cause est nécessaire
Comme le montre en outre l'étude, le contrôle de gestion manque souvent de capacités pour assumer les tâches de contrôle vert ou l'implication du contrôle de gestion n'est même pas souhaitée. Ainsi, les auteurs résument : "En résumé, il convient de souligner que la direction de nombreuses entreprises ne considère apparemment pas encore souvent les contrôleurs de gestion comme des interlocuteurs pour le contrôle de gestion vert. Dans ce cas, le contrôle de gestion devrait faire davantage de publicité pour son propre compte afin de pouvoir s'impliquer dans la mise en œuvre d'objectifs écologiques et sociaux au sein de l'entreprise. En outre, le contrôle de gestion devrait davantage se mettre en réseau avec les départements qui s'occupent des aspects de durabilité. Cela comprend aussi bien la gestion de l'environnement que le service du personnel".
Les développeurs organisationnels Marc Pfyffer et Dieter Schmid remportent le prix ASCO "Best Business Transformation 2016". Ils sont récompensés pour un projet visant à exploiter les synergies au sein de l'administration.
Rédaction
-
30 juin 2016
Dr. Dieter Schmid et Marc Pfyffer (photo : www.trisystemics.ch)
L'association faîtière de la branche suisse du conseil ASCO (Association of Swiss Consultants) récompense chaque année les transformations d'entreprise les meilleures et les plus durables en Suisse. Cette année, lors de la remise des "Oscars des conseillers en entreprise" le 28 juin à Zurich, Pfyffer Schmid Organisationsentwicklung GmbH a été désigné vainqueur dans la catégorie des boutiques de conseil (1 à 9 collaborateurs). Le projet de fusion des deux services de génie civil du canton et de la ville de Schaffhouse en un centre de compétences commun a été récompensé.
Large soutien politique et interne
Le projet a été approuvé par le peuple en novembre 2015 avec près de 70% de voix favorables. Il a également bénéficié d'une grande acceptation interne de la part des cadres et des collaborateurs - bien qu'il ait également entraîné des réductions de personnel. En juillet 2016, le premier coup de pioche pour le nouveau bâtiment commun de l'atelier a lieu. Dans la nouvelle organisation sur le nouveau site, les prestations actuelles peuvent être maintenues et même en partie améliorées avec une utilisation réduite des ressources. Grâce à l'exploitation des synergies, le projet génère des économies annuelles récurrentes de 1,3 million de CHF. Le déplacement de l'aire du Werkhof de la ville vers la périphérie permet en outre de libérer du terrain en situation centrale pour une utilisation résidentielle de plus grande valeur.
Le leadership coopératif, clé de la réussite
Pfyffer Schmid ont choisi une approche coopérative - et ont développé le scénario de la transformation en collaboration avec le client. Durant la phase de planification et de mise en œuvre, ils ont animé les ateliers et les réunions critiques. Les contenus ont à chaque fois été préparés par une équipe centrale légère, puis discutés et finalisés lors de larges ateliers avec tous les cadres. Du point de vue du responsable du mandat, Dieter Schmid, cela a conduit au succès : "L'implication précoce de tous les participants et le traitement coopératif des thèmes nous ont permis de trouver des solutions viables. Cela n'aurait pas été possible dans le cadre d'un processus topdown classique". La méthode de direction coopérative sous la devise "se dépasser" a été développée par Marc Pfyffer et Dieter Schmid ; aujourd'hui, elle est également enseignée à la Haute école de gestion de Zurich HWZ.
Un projet précurseur dans toute la Suisse
Dans sa laudatio, le jury a jugé le projet "Centre de compétences en génie civil de Schaffhouse" comme "un projet suisse exemplaire qui montre comment, au-delà des frontières souveraines entre le canton et les communes, des synergies peuvent être utilisées de manière constructive dans l'administration publique".
Plus d'informations :
ASCO : Association faîtière des conseillers d'entreprise suisses : www.asco.ch
L'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM) pourrait avoir passé le creux de la vague. Selon Swissmem, les entrées de commandes de la branche ont enregistré une hausse de 0,9% au premier trimestre par rapport à l'année précédente, après cinq trimestres consécutifs de baisse.
Rédaction
-
29 juin 2016
L'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM) pourrait avoir passé le creux de la vague. Selon Swissmem, les entrées de commandes ont enregistré une hausse de 0,9% au premier trimestre par rapport à l'année précédente, après cinq trimestres consécutifs de baisse. Cette reprise prudente est uniquement due à l'augmentation des commandes de l'étranger, prévient Swissmem. En ce qui concerne les chiffres d'affaires, après les mauvais résultats de 2015, l'évolution négative s'est poursuivie au cours des trois mois de la période sous revue :
Elles ont diminué de 8,8 pour cent par rapport au même trimestre de l'année précédente. Le taux d'utilisation des capacités de production a quant à lui baissé à 86,5 %. Avec cette valeur, elle reste tout de même au-dessus de la moyenne à long terme de 86,3 pour cent. Malgré ces signaux légèrement positifs, l'association faîtière n'est pas encore trop optimiste. Les effectifs ont diminué de 10 800 personnes depuis la suppression du cours plancher. Au premier trimestre 2016, les entreprises MEM du pays ne comptaient plus que 319'400 employés. (Source : Swissmem)
46 millions de francs pour de l'huile dans des tranches de fromage
Des prestations d'assurance en hausse malgré la baisse des coûts des rentes : en 2015, l'assurance militaire a versé 194 millions de francs pour environ 40'000 cas de maladie et accidents. Plus aucun argent n'a été versé aux soi-disant soldats du pétrole, qui ont été empoisonnés accidentellement par de l'huile de refroidissement dans des tranches de fromage pendant la Seconde Guerre mondiale.
Rédaction
-
29 juin 2016
En 2015, l'assurance militaire (AM) a pris en charge près de 30 000 cas de maladie et plus de 10 000 accidents de ses assurés, qui effectuaient principalement leur service militaire, leur service de protection civile ou leur service civil. C'était à peu près le même nombre que l'année précédente. Parmi eux, les soldats de milice étaient concernés par environ 16'000 cas de maladie et près de 7'000 accidents. C'est ce qui ressort de la dernière statistique de l'assurance militaire.
Au total, l'AM a versé 194 millions de francs de prestations d'assurance, soit 5 millions de plus que l'année précédente. "Un nombre de cas légèrement croissant, des cas individuels coûteux et des frais médicaux généralement plus élevés sont à l'origine de cette augmentation", explique Stefan A. Dettwiler, directeur de l'AM. En revanche, les coûts des rentes ont continué à baisser pour atteindre actuellement 94 millions de francs, car le nombre de bénéficiaires de rentes ne cesse de diminuer. Non seulement les prestations de rente sont à leur niveau le plus bas depuis 40 ans, mais pour la première fois depuis 60 ans, elles sont également inférieures aux dépenses pour les prestations à court terme, qui s'élèvent à 100 millions de francs.
Le dernier "soldat du pétrole" est mort
En 2015, pour la première fois depuis 75 ans, l'AM n'a plus versé de prestations aux soldats du pétrole. Le dernier soldat du pétrole connu est décédé en 2014. Les soldats du pétrole sont les quelque 100 soldats suisses qui ont été empoisonnés en 1940 par de l'huile de refroidissement pour mitrailleuses. Cet été-là, ils ont confondu l'huile de refroidissement avec de l'huile alimentaire et l'ont utilisée pour préparer des tranches de fromage. L'automne suivant, une autre compagnie a utilisé la mauvaise huile pour la sauce à salade. Les soldats ont été intoxiqués, ce qui a entraîné des lésions nerveuses permanentes.
Une confusion fatale
La confusion s'est produite parce que, faute de récipients originaux, l'huile de refroidissement a été versée dans des bidons d'huile alimentaire. Lors du transport, un éventuel marquage s'est perdu et l'huile de refroidissement a été fatalement amenée dans l'entrepôt alimentaire. Les cuisiniers ne se sont pas rendu compte de la confusion, car l'huile de refroidissement ne se distinguait pas de l'huile alimentaire, ni par son goût ni par son aspect. Juridiquement, il n'y avait pas de coupable et l'événement était donc considéré comme un accident. Seul le médecin de bataillon a été condamné à 45 jours de prison pour violation des obligations de service.
Entre 1940 et 2015, l'AM a versé un total de 46,1 millions de francs aux soldats du pétrole. La solidarité de la population a également été grande.
L'AM a traité de manière exhaustive le chapitre des soldats du pétrole dans son édition de cette année de la Statistique de l'assurance militaire. Elle est disponible sous www.suva.ch/waswo (Le lien est ouvert dans une nouvelle fenêtre).
Industrie 4.0 : les chefs sont incompétents du point de vue des employés
Mauvaises notes pour les managers européens : seuls 30 à 40 % des salariés considèrent les cadres de leur entreprise comme absolument compétents en matière d'"industrie 4.0". Et tout au plus une personne sur deux fait confiance aux chefs pour mener avec succès l'entreprise et les collaborateurs dans le monde du travail de demain. Ce sont les résultats de l'étude internationale "Le monde du travail du futur" réalisée par le cabinet de conseil ROC. Pour ce faire, plus de 2.500 salariés ont été interrogés en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Autriche et en Suisse.
Rédaction
-
28 juin 2016
Tourner la roue de l'industrie 4.0 : un collaborateur sur trois en Europe estime que les chefs sont incompétents à cet égard. (Photo : Fotolia.com)
"La transformation numérique est en cours. Une transition réussie vers l'industrie 4.0 et l'Internet des objets n'est toutefois pas seulement une tâche technique, mais au moins autant une tâche de direction", déclare Oliver Back, Global COO de ROC Group. "Dans l'idéal, un cadre supérieur de l'entreprise devrait vivre dès aujourd'hui le monde du travail du futur autant que possible, afin de montrer l'exemple à ses collaborateurs. Cela peut être au bureau, dans la production ou dans le service de développement".
Les managers suisses sont plus compétents
L'étude ROC révèle des différences régionales : ainsi, les managers suisses et autrichiens, avec respectivement 42% et 41% d'approbation des compétences, reçoivent un meilleur certificat de leurs collaborateurs en matière d'industrie 4.0 que les cadres allemands (36%). Les managers britanniques sont encore plus mal lotis, puisque seul un employé sur quatre atteste d'un savoir-faire numérique utile.
Les salariés sont au moins un peu plus confiants dans la capacité de leurs supérieurs à guider leur entreprise et leurs collaborateurs vers le monde du travail de demain. En Allemagne, en Autriche et en Suisse, environ un employé sur deux compte sur une courbe d'apprentissage ascendante, et chez les Britanniques encore un peu plus d'un sur trois.
La confiance dans le management n'est pas assez élevée
"Comme le montre notre enquête, la confiance de nombreux collaborateurs dans leurs cadres n'est pas aussi élevée qu'elle devrait l'être au vu des défis technologiques et organisationnels qui nous attendent. Armin Trost, doyen des études à l'université de Furtwangen (HFU), qui a accompagné l'étude sur le plan scientifique.
Dans ce contexte, les départements RH des entreprises sont massivement sollicités. "C'est aux responsables du développement du personnel de préparer les chefs, et donc toute l'organisation, à une nouvelle culture d'entreprise dans l'avenir numérique. L'apprentissage permanent en matière de monde du travail 4.0 est une nécessité absolue. Cela vaut pour chaque individu au sein de l'entreprise, mais surtout pour les cadres en tant que multiplicateurs", demande le ROC-COO Back.
Une start-up zurichoise lance le premier moteur de recherche basé sur les préférences gustatives
Joixes, c'est un chercheur en goût, un astrophysicien, un développeur de logiciels et un spécialiste du commerce électronique. Ensemble, ils ont développé un moteur de recherche gustatif et révolutionnent ainsi la recherche sur Internet de produits et de services pour lesquels l'esthétique est déterminante. Le concept innovant rassemble les résultats de recherche en fonction des goûts personnels et de la sensibilité stylistique des utilisateurs et veut ainsi donner du fil à retordre aux géants établis des moteurs de recherche dans les domaines de la mode, des restaurants, des meubles et des films, en s'inspirant de beaucoup de choses. La version bêta est disponible dès maintenant sur joixes.com.
Rédaction
-
28 juin 2016
L'écran de recherche de joixes.com. (Image : pd)
C'est bien connu, les goûts ne se discutent pas - nos préférences individuelles sont tout simplement trop différentes. Les goûts ne se cherchent pas non plus, car ils sont difficiles à exprimer. Du moins jusqu'à présent. Car c'est précisément sur ce point que les géants établis des moteurs de recherche atteignent leurs limites. C'est là qu'intervient le moteur de recherche visuel Joixes (www.joixes.com) : Développé par quatre jeunes Zurichois, Joixes apprend les goûts de l'utilisateur à l'aide d'un court jeu visuel et de simples gestes de balayage, et lui propose ensuite des résultats individuels correspondant à ses préférences. Ces résultats ne sont pas basés sur les spécifications traditionnelles des produits telles que la couleur, le matériau ou le prix, mais sur les goûts esthétiques de l'utilisateur. Joixes trouve ainsi des résultats pertinents même lorsque l'utilisateur ne peut pas décrire exactement ce qu'il recherche. Et ce, tout simplement par "swipe and see" au lieu de "type and read", c'est-à-dire avec des représentations visuelles et une possibilité de sélection simple par swipe au lieu de la saisie manuelle de termes de recherche.
Une première mondiale : un calibrateur de goût auto-apprenant
"Le goût peut être compris comme une préférence individuelle pour certaines caractéristiques et associations symboliques auxquelles les gens accordent une grande importance lorsqu'ils choisissent des produits et des services. Joixes est le premier moteur de recherche qui permet de saisir et d'appliquer ces préférences de manière simple et amusante : Joixes est donc aussi une sorte de calibrateur de goût", explique David Holzer, cofondateur de Joixes et docteur en sciences du goût. Celui qui souhaite utiliser Joixes détermine tout d'abord son "profil de goût" personnel à l'aide d'un bref quiz visuel : l'utilisateur choisit des combinaisons d'images qui lui plaisent - et c'est tout. Un algorithme autodidacte sélectionne ensuite les résultats correspondant au profil de goût de l'utilisateur parmi des millions d'options différentes. Joixes apprend également du comportement de recherche des utilisateurs afin d'améliorer en permanence les résultats pour chaque utilisateur : Des bars pas trop tendance pour le hipster de la grande ville à la recherche du prochain bon plan, des shorts en jean, des sandales à pompons et des blouses hippies pour la jeune fille estivale férue de festivals ou un film français d'art et d'essai oublié depuis longtemps pour l'afficionado de la culture.
Des millions de produits de plus de 400 fournisseurs - de A comme Amazon à Z comme Zalando - garantissent le choix.
Les résultats, que Joixes compile individuellement pour chaque utilisateur, proviennent d'environ 400 sources de produits - dont Zalando, Amazon, Foursquare et Yoox - et peuvent être achetés directement en un clic. "Nous élargissons constamment notre réseau de sources dans tous les domaines - dans le domaine des meubles, par exemple, il y a encore de nombreuses plateformes passionnantes qui sont dans le pipeline de nos sources", explique Benjamin Boesch, cofondateur de Joixes. "Notre vision est de faire de Joixes le premier point de contact pour tous ceux qui aimeraient faire confiance à leurs goûts lors de leurs recherches en ligne, mais qui ne savent pas vraiment comment les exprimer. À l'avenir, nous souhaitons permettre à nos utilisateurs de créer et de gérer un profil de goût et de l'appliquer dans différentes situations en ligne et hors ligne - par exemple, comme ligne directrice pour un concierge d'hôtel lorsque les utilisateurs lui demandent des conseils sur des restaurants sympas ou des activités touristiques".
Conçu pour une utilisation mobile
Comme la personnalisation de Joixes se fait exclusivement par le biais du profil de goût anonyme, les utilisateurs n'ont pas besoin de divulguer des données sensibles - un simple enregistrement avec une adresse e-mail suffit pour avoir accès en permanence au profil de goût déterminé. Joixes est également totalement exempt de publicité - et le restera - car il génère depuis le premier jour des revenus exclusivement basés sur le parrainage. Joixes.com a été développé mobile-first, c'est-à-dire qu'il a été conçu spécifiquement pour les recherches sur smartphone, afin de tenir compte du fait qu'aujourd'hui déjà, la majorité des recherches sont effectuées à partir d'appareils mobiles.
L'association professionnelle bso conclut un nouveau partenariat de formation
L'association professionnelle pour le coaching, la supervision et le conseil en organisation (bso) conclut un partenariat de formation avec le centre de cours d'Aarau. La reconnaissance bso permet aux personnes ayant suivi les cours du centre de cours de devenir directement membres de la bso après avoir obtenu un master avec succès. Ils peuvent ainsi porter le titre de "Coach bso". Sur le marché peu clair du coaching, ce titre facilite le positionnement au sens d'un label de qualité.
Rédaction
-
28 juin 2016
L'équipe des enseignants du centre de cours d'Aarau (de gauche à droite) : Werner Herren, Marianne Rutz, Danièle Zatti Kuhn et Roland Seefeld se réjouissent de la collaboration contractuelle avec l'association professionnelle bso. (Photo : zVg.)
Il y a 35 ans, le centre de cours d'Aarau a été le premier institut en Suisse à développer une formation solide et pratique de coach. Le coaching orienté vers les solutions s'est ensuite imposé dans les entreprises et les organisations non professionnelles comme un instrument efficace de développement de l'organisation et du personnel ainsi que de gestion des conflits. Les cours du centre de formation transmettent les connaissances et les compétences nécessaires à un coaching efficace et durable. L'accent est mis sur un apprentissage vivant, efficace et axé sur la pratique.
Outre la formation en coaching, le centre de cours d'Aarau propose une formation de master pour les conseillers à court terme, des formations continues orientées sur la systémique et les solutions ainsi que des cours de développement personnel. Jusqu'à présent, 7000 participants ont élargi leurs compétences professionnelles au centre de cours d'Aarau.