Six points importants pour le contrat de travail

Selon la dernière étude du marché de l'emploi réalisée par le prestataire de services en ressources humaines Robert Half, les spécialistes suisses ont de bonnes perspectives de carrière. Les personnes qui s'apprêtent à signer un nouveau contrat de travail doivent néanmoins faire attention à certains points ou bien les négocier.

Négocier intelligemment les points importants du contrat de travail permet d'envisager avec optimisme une carrière réussie (Photo : Fotolia.com)

Selon l'OCDE, le taux d'emploi de la Suisse se situe toujours en tête du classement mondial. Les perspectives d'emploi restent très bonnes. Selon la dernière étude sur le marché du travail de Robert Half, 71 % des entreprises suisses souhaitent embaucher de nouveaux collaborateurs. Mais en même temps, 70 % des 100 responsables RH interrogés craignent que des collaborateurs importants signent dans une autre entreprise au cours des douze prochains mois. Mais avant de signer, les candidats désireux de changer devraient examiner attentivement le nouveau contrat de travail. L'agence de recrutement spécialisée a rassemblé dans une check-list les aspects juridiques et stratégiques les plus importants en matière de contrat de travail. Un contrat de travail bien négocié permet de régler les exigences et les souhaits réciproques avant le début d'une relation de travail. Ci-dessous, six points auxquels les travailleurs devraient être particulièrement attentifs lors de la rédaction de leur contrat de travail.

  1. la forme du contrat : Le contrat de travail individuel n'est soumis à aucune exigence de forme et peut, à l'exception des contrats d'apprentissage, être conclu oralement. Néanmoins, il est préférable pour l'employé de conclure un contrat écrit. Les conventions annexes verbales ne sont pas non plus recommandées. Il est préférable de les inclure dans le contrat par écrit dans des clauses correspondantes.
  2. Titre du poste et domaine de responsabilité : Dans le contrat de travail, l'intitulé du poste doit refléter de manière appropriée le rôle du travailleur dans l'entreprise et définir clairement son champ d'action et de responsabilité. En effet, la position dans l'entreprise détermine les prestations que le travailleur doit fournir et si l'employeur peut lui confier des activités supplémentaires. Plus le domaine d'activité est vaste, plus la flexibilité que le supérieur peut exiger en cas de doute est élevée. Le travailleur devrait donc vérifier si l'employeur peut lui attribuer des domaines de responsabilité dont il ne peut ou ne veut pas accomplir les tâches.
  3. Lieu de travail : Le contrat de travail doit mentionner le lieu où le travail doit habituellement être effectué. La loi autorise également la mention de plusieurs lieux ou d'une zone. Dans le cas d'une entreprise ayant plusieurs sites, le travailleur doit donc veiller à ce qu'un lieu de travail concret soit défini. En l'absence d'une telle mention, l'employeur peut exiger le changement entre les différents sites de l'entreprise. Pour les emplois nécessitant de nombreux déplacements, la volonté d'effectuer des missions et leur durée devraient être consignées par écrit. Il en va de même pour la possibilité de travailler dans un bureau à domicile.
  4. Rémunération, bonus et autres avantages : Le contrat de travail doit mentionner la rémunération et tous les autres droits auxquels le travailleur a droit ou qu'il a promis lors de la négociation salariale. Outre le salaire, il s'agit de primes (heures supplémentaires, travail posté, etc.), de paiements spéciaux (primes de Noël, primes de vacances), de contributions à la retraite de l'entreprise, de voitures de service ou de tickets de transport en commun, d'options sur actions, de prestations de constitution de patrimoine ou de primes. Si des augmentations de salaire ont été convenues, par exemple après la période d'essai ou périodiquement, elles devraient également être fixées par écrit.
  5. Horaires de travail et vacances : La durée hebdomadaire du travail des travailleurs de l'industrie, du personnel de bureau, des employés techniques et du personnel de vente des grandes entreprises du commerce de détail ne peut pas dépasser 45 heures. Pour tous les autres travailleurs, la durée maximale de travail hebdomadaire est de 50 heures. Les dérogations éventuelles, telles que la prise en charge obligatoire des heures supplémentaires, le travail en heures supplémentaires ou les services en équipe, de garde ou de week-end, doivent être documentées. Cela vaut également pour les accords relatifs à la flexibilité du temps de travail, comme la définition d'heures de présence fixes ou la gestion de comptes de temps de travail flexibles. Si le droit annuel aux congés n'est pas fixé dans le contrat de travail, le travailleur n'a droit qu'aux quatre semaines prévues par la loi (cinq semaines jusqu'à l'âge de 20 ans révolus). Les conventions collectives de travail accordent souvent aux travailleurs de plus de 50 ans un droit aux vacances plus élevé. Il est judicieux que les deux parties contractantes mentionnent dès le contrat de travail les restrictions concernant la demande de congés. Ainsi, les parents peuvent planifier leurs congés pour les vacances scolaires, tandis que les employeurs peuvent décréter un blocage général des congés pour les périodes de haute conjoncture.
  6. Clause de non-concurrence : Une clause de non-concurrence est vite signée avant l'embauche, mais elle peut avoir une influence décisive sur la carrière future de l'employé. La clause de non-concurrence inscrite dans le contrat de travail interdit à l'employé, après la fin de la relation de travail, d'entrer en concurrence avec son ancien employeur pour le compte d'un tiers ou en tant qu'indépendant.

"Lors de la rédaction du contrat, le candidat doit veiller à ce que les formulations soient claires et, en cas de désaccord, consulter le service du personnel ou son futur patron. Faire des demandes de modification n'est en principe pas un affront pour le nouvel employeur", commente Sven Hennige, Senior Managing Director Central Europe & The Netherlands chez Robert Half. "Si l'on se montre poli et déterminé, mais pas inflexible dans ses exigences, on peut discuter ouvertement et de manière constructive de ses souhaits. Si le candidat a de bons arguments pour justifier ses exigences et se montre prêt à faire des compromis, il a de bonnes chances de voir son contrat de travail modifié en fonction de ses propres besoins, tout en démontrant des aptitudes sociales importantes pour son futur rôle dans l'entreprise".

Source : Robert Half

La consommation de ressources a triplé en 40 ans

La consommation mondiale de ressources naturelles augmente à un rythme vertigineux : elle est aujourd'hui plus de trois fois supérieure à celle d'il y a 40 ans.

Un monde affamé : la consommation de ressources n'a jamais été aussi élevée - et elle continue de croître.
Un monde affamé : la consommation de ressources n'a jamais été aussi élevée - et elle continue de croître.

Qu'il s'agisse de sable pour le béton, d'acier, de denrées alimentaires ou de combustibles fossiles, notre quotidien repose fortement sur les ressources naturelles.

Le thème de l'efficacité des ressources est l'un des objectifs de l'Agenda pour le développement durable des Nations unies. Un site nouveau rapport de l'organisation montre désormais comment la consommation de ressources naturelles s'est accélérée au cours des quatre dernières décennies.

Les chiffres sont impressionnants : depuis 1970, la population mondiale a doublé, mais l'économie et donc la consommation de matériaux ont plus que triplé. La consommation de ressources naturelles par habitant est passée de 7 à 10 tonnes pendant cette période.

Et l'on observe une forte accélération durant cette période, notamment depuis l'an 2000, fortement corrélée à la transformation industrielle et urbaine de la Chine : le boom de la construction et de l'économie de la nation engloutit des quantités sans précédent d'acier, de ciment, d'énergie et de matériaux de construction.

L'ONU prévient que l'augmentation de la consommation et du transport des matériaux intensifiera le changement climatique, augmentera la pollution atmosphérique et réduira la biodiversité. Enfin, les ressources non renouvelables finiront par s'épuiser - ce qui pourrait donner lieu à des conflits mondiaux, selon l'ONU.

"Nous devons aborder ce problème de toute urgence, avant d'avoir exploité de manière irréversible les ressources qui font tourner notre économie. Il s'agit d'un problème profondément complexe, l'un des plus grands défis auxquels l'humanité ait été confrontée à ce jour. Il nous oblige à repenser fondamentalement l'exploitation des ressources naturelles", déclare Alicia Bárcena Ibarra, codirectrice du Panel international de recherche de l'ONU.

Alors qu'en 1970, 22 milliards de tonnes de matériaux étaient extraits de la terre chaque année, ce chiffre atteint aujourd'hui 70 milliards de tonnes. Les pays les plus riches consomment en moyenne dix fois plus de ressources que les pays les plus pauvres. Si l'économie et la population augmentent comme prévu, les 9 milliards d'habitants auront besoin de 180 milliards de tonnes de matériaux par an en 2050.

Parallèlement, l'efficacité des matériaux n'a guère augmenté au cours des 20 dernières années - elle a même plutôt diminué depuis l'an 2000. L'ONU attribue ce phénomène au fait que la production s'est déplacée de pays efficaces comme le Japon, la Corée du Sud et les pays européens vers des pays beaucoup moins efficaces comme la Chine, l'Inde et la région de l'Asie du Sud-Est.

Découpler la croissance

Le monde doit donc de toute urgence utiliser moins de ressources primaires, selon le rapport. Le seul moyen d'y parvenir est de découpler la croissance économique de la consommation de ressources. Pour cela, il faut "des stratégies et des règles bien conçues", selon l'ONU. Pour y parvenir, il faut investir dans la recherche et le développement et améliorer les règles et le financement.

Livre conseillé : Le facteur K

Dans son nouveau livre ("K-Faktor" - Doppelte Unternehmensführung im dritten Jahrtausend), le conseiller en entreprise Leonhard Fopp décrit la nécessité pour la direction de l'entreprise de faire beaucoup plus que de simplement gérer l'entreprise par le biais des coûts et de la participation aux bénéfices.

Leonhard Fopp présente son livre sur le changement de paradigme dans la gestion d'entreprise

Les clients d'aujourd'hui recherchent la cause et l'authenticité. Les employés n'attendent pas seulement de bonnes conditions d'emploi matérielles. Ils veulent plutôt ressentir les valeurs originales d'une entreprise : exprimées par l'art, la création, la force et la communication. Cela correspond au nouveau paradigme de gestion de la double direction d'entreprise.

La troisième force

Par facteur K, le conseiller en entreprise et auteur de livres entend la troisième force d'une entreprise, après le savoir et l'argent. Les facteurs de réussite que sont l'art, la création, la force et la communication donneraient naissance, selon Leonhard Fopp, à une nouvelle dynamique d'entreprise. Mais ces prétendus facteurs doux ne sont en aucun cas "L'art pour l'art", comme le précise l'auteur. Les impulsions créatives et l'énergie interpersonnelle sont au contraire le terreau d'une plus grande capacité d'apprentissage et d'innovation, qui se répercute à son tour de manière sensible sur la rentabilité de l'entreprise. Cela permet une croissance durable et respectueuse des ressources.

Un changement de paradigme est nécessaire

Pour que le facteur K puisse s'épanouir pleinement, l'auteur considère qu'il est nécessaire que les entreprises ne travaillent pas exclusivement pour maximiser leurs bénéfices, mais qu'un changement de paradigme s'opère plutôt vers plus d'intuition et d'émotion dans la gestion de l'entreprise. Leonhard Fopp postule à cet effet le retour à l'essence de l'entreprise (force originelle ou ADN) et, en outre, l'utilisation de symboles et d'archétypes dans la communication. Ainsi, l'image de l'entreprise, habilement mise en scène, permet de se profiler clairement sur le marché avec un rayonnement positif.

La publication de Leonhard Fopp n'est toutefois pas qu'un traité théorique. Outre d'innombrables exemples d'application, le lecteur découvre dans une série d'interviews de personnalités connues du monde de l'entreprise ce que cela signifie concrètement d'utiliser le facteur K dans son entreprise ou de le vivre. Le lecteur a ainsi un aperçu de l'univers professionnel et intellectuel de personnalités connues du monde de l'entreprise telles que Michael Pieper, Michael Ringier ou Reinhold Würth, entre autres.

L'auteur

Leonhard Fopp, docteur en économie HSG, est propriétaire de DYMAS AG, spécialiste de la dynamisation des entreprises, ainsi que président du conseil d'administration de Continuum AG, qui soutient les familles d'entrepreneurs ainsi que les entreprises familiales dans le règlement de leur succession. Il est président de la FBA Family Business Association, ancien président de l'ASCO (Association suisse des conseillers en entreprise) et auteur de plusieurs livres de management et de nombreux articles.

Plus d'informations : www.leonhard-fopp.ch

Cinq conseils pour aborder la reprise après sinistre dans le cloud

Pour les entreprises, il est crucial que leurs activités continuent de fonctionner même en cas de catastrophe : Les temps d'arrêt signifient rapidement une perte de chiffre d'affaires, une baisse de la productivité des employés et une perte de confiance dans la marque. Pourtant, les discussions avec les entreprises révèlent rapidement que seulement 50-60% des entreprises ont des plans de reprise après sinistre (DR) dans leurs tiroirs - et beaucoup de ces plans ne couvrent que quelques applications.

Un crash de données peut paralyser une entreprise. Des plans de reprise d'activité sont donc nécessaires (image : Gerd Altmann / pixelio.de)

Souvent, il y a aussi des résistances à la DR dans le cloud. Voici quelques bonnes pratiques qui ont permis à des DSI intelligents de mettre en place des plans de RD pour le cloud. Les conseils proviennent de CommvaultL'entreprise a été fondée en 2006 par le Dr.

  1. Soyez actifs ! Si vous n'êtes pas vous-même à l'origine de la reprise après sinistre, vous risquez chaque jour de mettre en péril les valeurs de l'entreprise. Comprenez mieux la planification de la reprise après sinistre en tant qu'objectif de l'entreprise et assurez-vous que vos collègues sont activement informés de ces plans.
  2. Évaluez les risques ! La planification de la RD devrait toujours commencer par une analyse des risques. Déterminez les risques les plus probables et, à partir de là, élaborez la meilleure façon de les limiter. Prenons un exemple : De quelle sauvegarde votre entreprise a-t-elle besoin en cas de panne de courant ?
  3. Préparez-vous à recevoir la "carte de sécurité" ! Il se peut que vous receviez des vents contraires parce qu'il y a des doutes sur le fait que le cloud soit aussi sûr que les solutions sur site. Si quelqu'un joue la carte de la "sécurité", les DSI doivent répliquer : tout est une question de confiance. Car l'entreprise travaille chaque jour avec des fournisseurs tiers et il n'y a jamais d'interaction 100% sûre entre vous et les fournisseurs. Aucune différence ne devrait être faite à ce niveau.
  4. N'oubliez pas les terminaux ! La mobilité est devenue une préoccupation majeure pour les DSI. En effet, la perte de données d'entreprise suite à la perte d'un appareil personnel est soudain devenue un autre scénario possible. Parallèlement, les entreprises sont confrontées à un problème : elles ne veulent pas stocker de données personnelles sur des serveurs appartenant à l'entreprise, mais doivent en tout cas mettre en œuvre une DR pour leurs appareils mobiles. Les DSI peuvent résoudre ce problème en développant des politiques d'utilisation pour les employés, qui définissent un cadre pour l'utilisation par l'entreprise de l'appareil d'un employé.
  5. Libérez les tests de reprise après sinistre de leur stigmatisation ! Les tests de RD peuvent saper le moral de l'équipe responsable des tests et des plans de RD. Prenez garde à cela. Faites comprendre d'emblée à votre équipe que vous vous attendez à des difficultés et que les tests sont indispensables pour les détecter. À long terme, il est utile de construire une culture dans laquelle les tests de RD sont aussi normaux que les autres cycles de test.

Source : www.commvault.com

Travailler là où l'on vit

La nouvelle coopérative VillageOffice veut s'attaquer à la racine du problème des déplacements pendulaires : Les gens doivent à l'avenir pouvoir travailler là où ils habitent. Pour ce faire, la coopérative met en place un réseau de VillageOffices dans toute la Suisse : des lieux de travail utilisés en commun au centre des villages, des petites villes et des banlieues.

Travailler là où l'on vit : les trajets courts désamorcent le problème des pendulaires. (Photo : Christoph Huber / pixelio.de)

Le flux quotidien de navetteurs provient d'un modèle datant de la révolution industrielle, lorsque les gens ont dû pour la première fois se rendre au travail là où se trouvaient les machines : à l'usine. Aujourd'hui encore, nous faisons la navette vers ces "usines", alors que près de la moitié des travailleurs pourraient faire leur travail de n'importe où. Nous ne pouvons plus nous permettre cet automatisme. Se rendre chaque jour au bureau sans raison impérative, c'est comme acheter des fraises importées par avion en février : un non-sens écologique et économique. Le rapport conceptuel sur la tarification de la mobilité présenté par la conseillère fédérale Doris Leuthard propose donc de recourir davantage au télétravail. Mais ceux qui utilisent déjà le home office savent que cela entraîne ses propres problèmes : le mélange de la vie privée et de la vie professionnelle, la distraction, l'infrastructure insuffisante et la disparition des contacts sociaux.

trajet de moins de 15 minutes

La coopérative VillageOffice veut ramener le travail là où nous vivons. Cela permet non seulement de réduire les émissions de CO2 et de désengorger les infrastructures, mais aussi de renforcer les communautés locales et d'offrir des modèles de travail flexibles qui augmentent la satisfaction des employés et l'attractivité des employeurs. La nouvelle approche est donc la suivante : un environnement de travail professionnel et partagé, accessible en moins de 15 minutes depuis le domicile. Un lieu où les gens peuvent travailler et se mettre en réseau sans devoir d'abord traverser la moitié de la Suisse.

Contribution active à l'Agenda 2030

Ce changement nécessite du temps et un écosystème qui relie toutes les parties prenantes nécessaires. C'est pourquoi l'objectif de la coopérative VillageOffice est de créer cet écosystème. En tant que projet partenaire des Objectifs de développement durable de l'ONU, les initiateurs se sont engagés à apporter une contribution active à l'Agenda 2030 par cette approche. La coopérative est présidée par David Brühlmeier. "Pendant neuf ans, j'ai fait la navette entre Fribourg et Zurich et j'étais très énervé par la perte de temps. Ma solution à l'époque ? Il faut des trains plus rapides !" se souvient-il de sa propre expérience de pendulaire. Au fil du temps, il s'est rendu compte qu'en tant que société, nous devions nous demander si l'activité pendulaire était vraiment utile. "Avec plus de 2,4 millions de personnes qui peuvent travailler indépendamment de leur lieu de travail, la réponse est clairement non", déclare-t-il aujourd'hui clairement. "Nous vivons actuellement un bouleversement comme celui que nous avons connu pour la dernière fois avec la révolution industrielle. Je souhaite apporter ma contribution pour marquer positivement cette nouvelle société. Pour cela, il faut de nouvelles formes de travail et de nouvelles organisations. Nous mettons en œuvre ces deux aspects avec VillageOffice".

www.villageoffice.ch

L'importance d'une enquête auprès des clients

La satisfaction des clients est devenue l'un des indicateurs les plus importants de la réussite économique. L'effet viral est prouvé à maintes reprises. Tant pour la réputation de l'entreprise que pour la fidélisation des clients, les expériences partagées sont devenues un facteur décisif - souligne le spécialiste des logiciels Customer Alliance. Une liste de contrôle.

Les entreprises exposées comme les hôtels ne peuvent pas éviter de prendre le pouls de leurs clients. (Image : depositphotos)

Les hôtels en particulier devraient prendre le pouls de leurs clients. La satisfaction est relative. A l'ère du numérique, les évaluations positives permettent non seulement de fidéliser les clients existants, mais aussi, et c'est peut-être plus important, d'en gagner de nouveaux.

C'est pourquoi les propriétaires de commerces doivent réfléchir à la manière la plus efficace de collecter les évaluations des clients. Nous entrons ici dans le vif du sujet, à savoir les enquêtes de satisfaction.

La bonne enquête auprès des clients

En fait, une enquête client bien conçue permet d'obtenir en très peu de temps un grand nombre de commentaires sur des sujets qui contribuent au succès de l'entreprise. Ne vous laissez pas décourager, il n'y a rien de magique à réussir une enquête auprès des clients. Nous avons réuni ici quelques conseils importants pour réussir une enquête auprès des clients :

À quoi devrait ressembler mon enquête auprès des clients ?

La clé d'une enquête réussie auprès des clients est d'abord d'avoir une idée concrète des réponses que vous aimeriez obtenir de vos clients. Il est également important de formuler des questions simples dans un langage simple afin que les personnes interrogées puissent les comprendre. Selon Guiseppe Rossi, un expert en matière de création d'enquêtes de satisfaction, le simple fait de changer un mot peut donner un résultat complètement différent à l'enquête !

Pour lui, il y a deux critères principaux à prendre en compte pour obtenir des résultats fiables à partir d'enquêtes auprès des clients :

1. la précision

Pour une enquête la plus précise possible auprès des clients, vous devriez

  • -Il est possible de créer des questions qui fournissent des données valides de manière fiable.
  • -se limiter aux questions auxquelles tous vos clients peuvent répondre.

2. pertinence

Pour obtenir des résultats pertinents à partir de l'enquête menée auprès de vos clients, vous devriez :

  • -Être à l'aise avec vos propres questions
  • -connaître vos objectifs et les informations dont vous avez besoin

pour atteindre ces objectifs.

Introduisez ces idées clés dans votre questionnaire. Ainsi, vous obtiendrez non seulement un feedback plus concret, mais vous augmenterez en même temps le taux de conversion de votre enquête client, car les personnes interrogées se sentiront plus concernées.

Respecter la structure

En ce qui concerne la structure de votre enquête auprès des clients, il faut avant tout garder à l'esprit sa portée. Personne n'aime remplir des enquêtes interminables. Ne soyez donc pas trop avide d'obtenir le plus de réponses possible. Réfléchissez au nombre de questions réellement nécessaires et au temps qu'il faudra pour remplir l'ensemble du questionnaire.

Le mieux est de vous mettre dans la peau d'un client typique et de répondre vous-même à l'enquête. Faites des recherches, éventuellement avec votre équipe marketing, sur le type de feedback que vous visez et suivez le principe KISS (In der kurze liegt die Würze ist/Keep it short and simple).

-> Supprimez chaque mot qui n'est pas absolument pertinent pour votre enquête auprès des clients !

Pour plus d'informations sur les expériences et les analyses en matière de gestion des évaluations, voir

http://ww.customer-alliance.com

Recherche d'emploi : les Suisses ne sont que partiellement confiants

Avec 51%, la confiance des Suisses se situe juste au-dessus de la moyenne européenne (49%) et est légèrement supérieure à celle des demandeurs d'emploi en Autriche, en France ou en Italie - souligne l'étude actuelle de PageGroup, qui vient de paraître sous le titre "Confidence Index (April - Juni 2016)".

Environ la moitié des demandeurs d'emploi suisses s'attendent à ce que leur domaine d'activité évolue positivement au cours des prochains mois. (Image : depositphotos)

Chaque trimestre, au moins 900 candidats suisses sont interrogés par PageGroup. Selon l'indice de confiance PageGroup, les demandeurs d'emploi suédois sont les plus confiants dans leur avenir professionnel. Ils sont suivis par les candidats allemands. L'étude, menée entre avril et juin, montre que les attentes des demandeurs d'emploi suisses ont baissé depuis le "choc du franc" et les répercussions économiques qui ont suivi. Quelques résultats :

  • 49% s'attendent à ce que leur domaine d'activité évolue positivement au cours des prochains mois - 53% en Suisse alémanique, 48% en Suisse romande.
  • Deux tiers (65%) s'attendent à ce que leur équilibre entre vie professionnelle et vie privée se détériore. Les demandeurs d'emploi suisses de moins de 30 ans sont donc plus pessimistes que le reste de l'Europe continentale.

Seuls 38% des candidats suisses de moins de 30 ans s'attendent à une amélioration à cet égard, contre 48% en Allemagne. La majorité des Suisses (58%) ne s'attend pas à une augmentation de salaire dans l'année, contre 55% l'année précédente. Par rapport à la moyenne européenne (37%), les demandeurs d'emploi suisses sont toutefois plus confiants quant au développement de leurs propres compétences (41%).

"Qui cherche des emplois, trouve des emplois"

Près de la moitié des candidats suisses sont optimistes quant à leur capacité à trouver un nouvel emploi dans les trois prochains mois. Ce résultat est nettement supérieur à celui de l'année précédente (38%) et à la moyenne européenne de 45%.

La confiance des demandeurs d'emploi dépend considérablement du sexe, de l'âge et de la région :

  • Les hommes ont une vision plus positive que les femmes de la situation future sur le marché du travail. Environ 67% s'attendent à une amélioration dans les 6 prochains mois. Chez les femmes, ce chiffre n'est que de 59%.
  • Les candidats de moins de 30 ans sont les plus confiants en ce qui concerne les augmentations de salaire et ils sont optimistes quant à la possibilité de trouver un nouvel emploi dans les 3 prochains mois.

Les candidats romands sont plus confiants que les candidats alémaniques pour trouver un nouvel emploi dans un délai inférieur à 3 mois. Xavier Chauville, Executive Director chez Page Personnel (qui fait partie de PageGroup), constate : "L'étude montre que les jeunes demandeurs d'emploi sont particulièrement confiants quant à leur valeur sur le marché du travail. Ils sont convaincus de trouver un poste et un salaire au moins équivalents chez un nouvel employeur. Les attentes des jeunes candidats en matière d'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, de formation continue et de salaire sont réalistes. Ils sont parfaitement conscients qu'ils devront travailler plus longtemps et plus dur pour y parvenir".

A propos de l'indice de confiance PageGroup : La base de données pour l'Europe continentale a été constituée au 1er trimestre 2016 par les réponses de 13 300 candidats, au 2ème trimestre les données ont été collectées auprès de 15 700 candidats. Chaque trimestre, au moins 900 candidats suisses sont interrogés. L'évaluation de l'étude se fait tous les trimestres.

www.michaelpage.ch

Le salaire est secondaire : Des employés anglais étonnent les chercheurs

Le travail a une telle importance pour de nombreuses personnes que même environ 67 pour cent travailleraient s'ils n'avaient absolument pas besoin de ce salaire. Malgré un stress croissant, la peur du chômage semble dominer. C'est ce que montre une étude récente de British Social Attitudes (BSA).

La volonté de travailler existe surtout en période de turbulences. (Image wikipedia/evening standard)

"Malgré tous les sujets de conversation sur l'équilibre vie-travail, il ne semble pas que nous l'ayons réellement", estime la psychologue Stephanie Morgan.

Bien que les employés en Angleterre travaillent en moyenne beaucoup plus longtemps qu'auparavant et qu'ils soient parfois stressés, de nombreux salariés "apprécient" encore leur travail. Environ deux employés sur trois indiquent même dans l'étude BSA qu'ils ne considèrent pas le salaire comme le moyen le plus important de leur travail.

Une enquête similaire avait déjà été menée en 2005. A l'époque, seuls 49 pour cent des personnes étaient prêtes à travailler même si l'argent n'était pas important pour elles. Aujourd'hui, ils sont 67 pour cent de plus à être prêts. "Malgré toutes les discussions sur l'équilibre vie-travail, il ne semble pas que nous l'ayons vraiment", commente la psychologue Stephanie Morgan de la London's Kingston Business School.

Un phénomène mondial

Il n'y a pas qu'en Grande-Bretagne que l'on constate que les travailleurs sont de plus en plus soumis à un stress élevé (pressetext en a parlé) : http://pte.com/news/20130620004). Les chercheurs s'étonnent donc des déclarations des personnes interrogées. "Il se pourrait que la satisfaction à l'égard du travail résulte de la peur de problèmes financiers. D'un autre côté, les conditions de travail ont changé, ce qui fait que les gens sont prêts à travailler plus", explique Kirby Swales du NatCen Survey Centre (http://natcen.ac.uk).

Les personnes interrogées dans le cadre de l'étude devaient finalement indiquer si elles se sentaient en sécurité dans leur travail. Il y a ici une grande contradiction. Contrairement à la forte augmentation de la satisfaction au travail, le sentiment de sécurité ne s'est pas du tout amélioré. "Il semble qu'il soit de plus en plus facile d'accepter de travailler plus et de vivre du stress", commente Kurby Swales du NatCen Survey Centre.

Pour plus d'informations sur l'étude menée, voir

http://bsa.natcen.ac.uk

Dernière étape pour Solar Impulse

Le tour du monde est presque terminé : l'avion solaire Solar Impulse 2 doit atterrir aujourd'hui à Abu Dhabi, d'où il a commencé son voyage il y a plus d'un an.

L'avion solaire décolle du Caire pour la dernière étape de son tour du monde. (Photo : Solar Impulse)
L'avion solaire décolle du Caire pour la dernière étape de son tour du monde. (Photo : Solar Impulse)

Après 17 étapes en 16 mois, l'avion solaire Solar Impulse 2 a enfin fait le tour complet de la Terre cette nuit.

Les zones interdites de vol, les conditions météorologiques et les thermiques font que le pilote et aventurier Bertrand Piccard et son équipage sont encore une fois particulièrement sollicités.

C'est ici qu'il a atterri en 1999 après son premier vol autour du monde sans escale, et c'est ici qu'il a commencé à rêver d'un nouveau tour du monde, uniquement à l'énergie solaire.

Un rêve réalisé : Bertrand Piccard se prépare pour la dernière étape de Solar Impulse 2. (Photo : Solar Impulse)
Un rêve réalisé : Bertrand Piccard se prépare pour la dernière étape de Solar Impulse 2. (Photo : Solar Impulse)

Pour réaliser ce rêve, Bertrand Piccard, médecin et explorateur dans l'âme, s'est associé à André Borschberg, ingénieur et entrepreneur chevronné. Les deux hommes se sont relayés pour piloter le Si2 autour du monde, mais assument des rôles différents dans le projet. Piccard est responsable de la vision du projet et de l'influence politique, ainsi que de la recherche de partenaires pour les financements et les technologies. Borschberg a réuni une équipe qui a conçu et construit le Si2 et s'engage à transformer les innovations technologiques de l'avion en nouvelles solutions d'ingénierie.

Après avoir atterri à Abu Dhabi, aux Émirats arabes unis, où l'aventure a commencé en mars 2015, Bertrand Piccard et André Borschberg, avec leur équipe et leurs partenaires, continueront à faire avancer la mission de Solar Impulse et à vanter les solutions concrètes et efficaces sur le plan énergétique qui peuvent résoudre bon nombre des défis auxquels la communauté mondiale est confrontée.

Vous pouvez suivre le vol en direct ici.

Changement climatique : l'augmentation de la chaleur réduit la productivité

Lorsque les températures augmentent, la productivité au travail diminue. Cela a des conséquences économiques : Selon de nouvelles études, cela pourrait bientôt coûter 2 billions de dollars par an au monde.

Lorsque les températures augmentent, le corps travaille plus lentement.
Lorsque les températures augmentent, le corps travaille plus lentement.

Avec l'augmentation de la chaleur, la productivité au travail diminue. Cela a des conséquences : Rien qu'en Asie du Sud-Est, selon de nouvelles études, entre 15 et 20% des heures de travail annuelles sont déjà perdues sur des postes de travail exposés à la chaleur. En effet, plus les températures sont élevées, plus les mouvements sont lents - et moins le travailleur est productif.

A l'avenir, ces chiffres pourraient augmenter de manière drastique dans le monde entier, rapportent les ÉtudesLes résultats ont été présentés lors d'un forum des Nations unies à Kuala Lumpur : Selon les chercheurs, d'ici 2030, les coûts liés à la perte de productivité atteindront jusqu'à deux mille milliards de dollars US$.

Les pays asiatiques sont particulièrement touchés : la chaleur devrait coûter 450 milliards à la Chine et à l'Inde, et l'Indonésie, la Malaisie et la Thaïlande font également partie des pays qui perdent plus de 150 milliards de dollars US$.

"L'effet de la chaleur sur la vie quotidienne, et en particulier sur le travail, n'a pas été suffisamment pris en compte jusqu'à présent", explique le responsable de l'étude, Tord Kjellström, au journal britannique the Independent. "Le corps s'adapte à la chaleur pour se protéger et ralentit. Cela peut coûter à certains pays plusieurs milliards en peu de temps".

La plus grande usine de modules solaires de Suisse ouvre ses portes

La nouvelle usine de production du fabricant suisse de modules solaires Megasol Energie AG est entrée en service. Avec une capacité annuelle de 80 mégawatts, c'est la plus grande de Suisse et l'une des plus grandes d'Europe.

C'est ici que seront désormais produits les modules solaires avec la technologie verre-verre : Le site de production de Deitingen (SO)
C'est ici que seront désormais produits les modules solaires avec la technologie verre-verre : Le site de production de Deitingen (SO)

Depuis 2013, Megasol produit en Suisse des modules solaires avec la technologie verre-verre. Après la reprise de l'ancien site industriel d'ABB en octobre 2015, la production existante de modules solaires a été transférée de Langenthal à Deitingen et a été développée. "Grâce à un meilleur espace et à l'augmentation du degré d'automatisation, nous avons pu doubler la capacité à 80 mégawatts", explique le fondateur et CEO Markus Gisler. Cela permet d'alimenter chaque année 17 000 foyers suisses supplémentaires en électricité solaire.

Des cellules colorées et invisibles
La production se concentre sur les solutions photovoltaïques intégrées aux bâtiments, comme par exemple les modules solaires à haut rendement intégrés aux toits ou les éléments pour façades et toitures. Ceux-ci peuvent être fabriqués dans n'importe quelle teinte et même avec des cellules solaires invisibles. Leur utilisation est intéressante en tant qu'alternative à l'enveloppe de bâtiment traditionnelle, car ils génèrent un rendement régulier pour des coûts d'investissement à peine plus élevés et s'amortissent d'eux-mêmes au fil des ans.

Les produits fabriqués présentent une durée de vie de plus de 50 ans. "Grâce à la période d'amortissement plus longue, nos modules Swiss Made ont un meilleur rapport qualité-prix que les modules solaires traditionnels", souligne Gisler. C'est pour cette raison qu'ils sont souvent utilisés dans les grands projets, pour lesquels la sécurité de planification à long terme du rendement est au centre des préoccupations.

100 nouveaux emplois
À l'occasion de son déménagement à Deitingen, Megasol a également créé le Cleantech Businesspark. De nombreuses autres entreprises cleantech se sont installées sous son toit. Aujourd'hui, près de 100 personnes travaillent déjà sur le site dans les domaines de la production d'énergie intégrée aux bâtiments, des technologies smartgrid, des systèmes de stockage et des solutions de mobilité durable. Une centaine d'emplois supplémentaires devraient s'y installer dans les cinq prochaines années.

Journée de visite
Le Cleantech Businesspark et l'usine de modules solaires qui en constitue le cœur seront officiellement inaugurés le vendredi 16 septembre 2016 et présentés au grand public. Des visites guidées de l'usine, des présentations sur le thème de l'électricité solaire et de l'efficacité énergétique ainsi qu'un programme de divertissement accompagnant l'événement attendront les visiteurs à partir de 15 heures.

Toits solaires, pilotes automatiques et camions : voici le nouveau plan directeur de Tesla

Elon Musk, le fondateur de Tesla, passe à la vitesse supérieure : avec le deuxième plan directeur de Telsla, les véhicules électriques devraient à l'avenir être encore plus écologiques et plus sûrs - et rapporter de l'argent à leurs propriétaires.

Elon Musk vise haut avec Tesla.
Elon Musk vise haut avec Tesla.

Tesla publie un nouveau plan directeur pour ses véhicules électriques. Le fondateur Elon Musk cite comme objectif central d'accélérer l'arrivée de l'ère de l'énergie renouvelable - car "plus vite nous atteindrons la durabilité, mieux ce sera".

Musk met l'accent sur quatre points

1) Énergie solaire et stockage : à l'avenir, les Tesla devraient être équipées d'un toit solaire intégré avec une unité de batterie. Pour ce faire, Solarcity, le spécialiste du photovoltaïque également fondé par Elon Musk, devrait être intégré à Tesla.

2) De nouveaux segments : Outre de nouveaux types de véhicules pour l'usage privé, les transports de marchandises seront également équipés de la technologie Tesla à l'avenir. Il est d'abord prévu de construire des pick-up et des SUV, puis des camions et des véhicules pour les transports publics. Ces deux derniers types sont encore en phase de planification et devraient être présentés pour la première fois l'année prochaine.

3) Autonomie : malgré les premiers titres négatifs sur l'Autopilote, Tesla veut faire avancer le pilotage autonome. Dès que le pilote automatique aura prouvé qu'il est dix fois plus sûr que le véhicule américain moyen, il sera définitivement libéré de la phase de test. Le plus grand défi reste le logiciel, selon Musk. Il n'en reste pas moins qu'aujourd'hui déjà, la conduite semi-autonome est plus sûre qu'une personne qui conduit sans assistance.

4) Carsharing : à l'avenir, les propriétaires de Teslab gagneront de l'argent avec leur véhicule lorsqu'ils ne l'utiliseront pas. La vision : en appuyant sur une touche d'une application, le propriétaire peut autoriser l'utilisation de sa voiture. L'Autopilot conduit le véhicule de manière autonome chez le client - et revient de manière autonome chez le propriétaire lorsqu'il en a à nouveau besoin. Tesla pourrait ainsi concurrencer à l'avenir des prestataires comme Uber ou Lyft.

Les plans ne sont toutefois pas encore très concrets - il n'est en tout cas pas possible de trouver un calendrier précis. Mais Musk se montre confiant quant à la réussite de son nouveau plan directeur.

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