C'était le Live-Talk de LSA sur le thème du consent marketing
Le consent marketing est un sujet complexe qui, outre la révision de l'ordonnance suisse sur la protection des données et la fin des cookies de tiers, associe également l'intérêt accru des consommateurs pour la protection des données. Ce sont autant de sujets pertinents auxquels les entreprises doivent actuellement faire face. D'une part, les clients peuvent, doivent ou doivent donner leur accord pour le traitement des données et peuvent, par le biais du consentement [...].
Le consent marketing est un sujet complexe qui, outre la révision de l'ordonnance suisse sur la protection des données et la fin des cookies de tiers, associe également l'intérêt accru des consommateurs pour la protection des données. Ce sont autant de sujets pertinents auxquels les entreprises doivent actuellement faire face. D'une part, les clients peuvent, doivent ou doivent donner leur accord pour le traitement des données et peuvent se sentir dérangés par les bannières de consentement, d'autre part, les entreprises ont peur de perdre des données et donc la possibilité d'optimiser leurs activités de marketing.
Il y a environ un an, la Banque cantonale de Zurich a introduit une bannière "opt-in", dans laquelle les préférences en matière de cookies doivent être définies pour pouvoir utiliser le site web. La ZKB se considère comme un partenaire responsable qui montre de manière transparente à ses clients ce qui se passe avec les données. Grâce à une modélisation du marketing mix, le succès du marketing a pu être correctement classé malgré des données moins mesurables. Grâce à cette modélisation statistique, il est toujours possible de pratiquer un marketing basé sur les données et d'identifier de nouveaux indicateurs clés de performance.
Dans le cadre du LSA Live-Talk, Christof Zogg s'est entretenu avec Tobias Zehnder et Boris Meier de Webrepublic ainsi qu'avec Alexandra Rahm de la Banque cantonale de Zurich sur l'approche Privacy First de la Banque cantonale et sur la manière dont les décisions peuvent continuer à être prises sur la base des données existantes.